Lionel Bosco reprend Huy

 

Steve Joveneau ayant démissionné, Huy devait se trouver un nouvel entraineur. C’est chose faite puisque Lionel Bosco reprend les rênes de la R2 de l’Union.

 

Avec un bilan de trois victoires en treize rencontres, le bilan chiffré du club mosan parait bien maigre. S’il n’y a pas péril en la demeure, Malonne, Nivelles et Waterloo étant derrière les Hutois au classement, la situation reste préoccupante.

Et elle a entrainé la démission de l’entraineur de l’Union, Steve Joveneau. « Une démission reste toujours une surprise » nous confie le Président hutois, Alain Bernard. « Mais Steve est quelqu’un d’intelligent, qui a la tête sur les épaules. Il a dû penser qu’un déclic était nécessaire pour l’équipe. »

Pour remplacer le mentor de Huy, le comité enregistre l’arrivée de Lionel Bosco. Le meneur de jeu du Basic Fit Brussels, qui réalise d’excellentes performances dans la capitale et qui a vu son contrat de remplacement être prolongé jusqu’au terme de la saison, revient à l’Union comme T1. « C’est vraiment inespéré de pouvoir compter dès à présent sur Lionel » nous précise Alain Bernard. « Et nous en sommes ravis. Nous mettons dès à présent les choses en route pour faciliter sa présence tout au long du deuxième tour. »

Fort de son expérience, Lionel mettra tout en oeuvre pour permettre à ses jeunes joueurs de parvenir à se maintenir, ce qui semble tout à fait dans les cordes de la formation hutoise au regard du talent présent dans le noyau. Nul doute, également, que l’expérience engrangée lors de ce premier tour s’avèrera utile lors de cette deuxième partie de saison afin de décrocher d’autres succès.

Souhaitons à Lionel beaucoup de réussite dans sa prise de fonction et à Huy une riche et fructueuse seconde moitié de championnat.

 

Aubel, en route vers le titre?

 

Aubel est champion d’automne et ne s’est incliné qu’à une seule reprise, en toute fin de premier tour. De bon augure pour terminer la saison à la même position et s’adjuger le titre? 

 

Nous nous sommes déjà penché sur le cas d’Aubel, qui a réalisé un somptueux premier tour. Lorsque nous avions sondé Jonathan Hertay sur la recette des succès aubelois, celui-ci avait mis en avant la cohésion et la densité de l’effectif. « Notre avantage,c’est d’avoir dix joueurs interchangeables » nous expliquait-il. « Nos remplaçants peuvent être dans le cinq de base de n’importe quelle équipe de P1. Cela saute aux yeux en match d’ailleurs où, bien souvent, nous faisons jeu égal au départ et ce sont nos rotations qui nous permettent de faire la différence. »

Toutefois, un détail qu’il convient de prendre en compte, est le départ pour l’étranger de Demarteau et, de fait, son absence dans les rangs aubelois. Une donnée à prendre en considération tant on connait l’influence de Jérémy dans le club du plateau de Herve.

Un autre aspect à ne pas négliger, c’est l’importance de l’histoire. La saison dernière, Aubel aussi avait commencé en fanfare, avant de progressivement rentrer dans le rang. « L’année dernière aussi, Aubel avait très bien commencé avant de connaitre quelques difficultés » nous confirmait Jonathan.

Il est indubitable que connaître une telle série de succès peut parfois peser sur les organismes, mais encore plus au niveau mental. Cela entraine bien évidemment de la joie, beaucoup de joie, mais peut également conduire à une petite décompression. Nul doute que la trêve aura fait du bien à ce niveau-là.

 

 

Le championnat comme seul objectif

 

Les chances d’Aubel d’être sacré en fin de saison sont réelles. L’effectif est bien balancé, même en l’absence de Demarteau, et le jeu collectif est parfaitement huilé. Chaque joueur semble connaitre son rôle et s’y tenir et, avec Riga et Xavier Hubert, Christophe Hougardy peut compter sur deux capitaines de route particulièrement chevronnés. Xavier avait d’ailleurs été formidable en Coupe face à Tilff.

           Un groupe soudé.

La Coupe, justement, est un autre facteur à prendre en considération. Contrairement à ses poursuivants, Haut-Pré déjà qualifié et Neuville qui doit encore jouer Hannut, Aubel a été sorti de la Coupe. Si cela reste une déception pour les Vert et Blanc, cela leur permettra de s’offrir plus de repos et moins de pression. Un avantage non-négligeable.

Dès lors, les voyants semblent au vert pour Aubel, même si ses concurrents n’ont pas dit leur dernier mot, bien au contraire. Neuville présente de solides arguments, tout comme Haut-Pré qui a récupéré ses blessés. Hannut reste en embuscade, tout comme Ensival, ce qui laisse augurer d’une superbe lutte pour ce deuxième tour. Mais ne serait-ce pas magnifique qu’Aubel fête l’année de ses cinquante ans avec un titre?

« L’Etoile, c’est magique! »

 

L’Etoile Jupille a réalisé une première partie de saison absolument splendide. Premiers de leur championnat -à égalité avec Bellaire – en deuxième provinciale et qualifiés pour les demi-finales de la Coupe de la Province, au détriment d’Aubel, leader de P1, les Jupillois abordent le deuxième tour avec de grosses ambitions. L’occasion de faire un bref focus sur les pensionnaires de la salle des Argilières en compagnie de Nathan Servais.

 

Nathan, tout d’abord un très joyeux anniversaire!

Merci beaucoup.

Vous avez effectué une superbe première partie de saison. Quels sont vos objectifs avant d’en aborder la deuxième partie?

Nous voulons gagner le championnat et aussi la Coupe. C’est assez clair dans nos têtes mais nous sommes conscients que la route est encore très longue et semée d’embûches.

A titre personnel, quels sont tes désirs pour le deuxième tour qui arrive?

Je souhaite être plus constant et, ainsi, apporter plus à l’équipe.

Comment décrirais-tu ton club?

L’Étoile c’est magique tant au niveau de l’ambiance et de l’amitié que du plaisir sur le terrain.

Et si tu devais choisir un adjectif pour qualifier ton entraineur, Michel Nihon?

Passionné! Michel est un amoureux du basket et de son club pour lequel il ne ménage pas ses efforts.

Et comment décrirais-tu ton équipe?

Une formation fêtarde mais qui reste concentrée à l’entraînement, avec toujours l’envie de bien faire.

Des baskets qui font peau neuve

 

La passion des « sneakers », Gilles Jacques l’a toujours eue. Et désormais, avec BTL, il profite de cette passion pour restaurer des paires de baskets afin de leur offrir une seconde jeunesse.

 

Gilles Jacques évolue au sein de la P4 invaincue de Verlaine et, aussi loin que remonte ses souvenirs, il a toujours eu un goût prononcé pour les « sneakers ». « J’adore Michael Jordan » avance-t-il d’emblée. « Ma passion pour les baskets, et surtout les modèles originaux, commencent avec la marque au Jumpman. J’en ai d’ailleurs une vingtaine d’exemplaires. »

Mais, depuis quelques temps, Gilles s’est lancé dans une nouvelle aventure: la restauration de chaussures de sport. « Au départ, j’ai regardé plusieurs vidéos provenant des States car j’avais l’envie d’offrir une seconde vie à mes baskets mais sans savoir comment m’y prendre » nous raconte-t-il. « Grâce à ces tutoriels, j’ai commencé à rénover mes propres shoes. Ensuite, j’ai lancé une page Facebook en continuant d’acquérir un certain savoir-faire. »

BTL, la passion de la basket.

Sa page Facebook ( BTL Sneakers) et le bouche-à-oreille ont incité plusieurs personnes à lui confier leurs pompes afin de les remettre à neuf. « Une fille de mon équipe m’a donné ses Ugg afin que je les rafraichisse et elle était très contente du résultat » déclare-t-il.

Pour offrir une deuxième vie à des affaires usées, Gilles utilise différentes sortes de peinture et de techniques qui font de véritables miracles. Cela vient en complément des services que peut offrir un cordonnier car le joueur de Verlaine ne recoud pas le cuir. « Pour restaurer un modèle, cela prend deux ou trois heures, en fonction de l’ampleur de la tâche. Mais c’est plus facile en été, notamment pour faire sécher. » Et cette seconde jeunesse est à un coût très raisonnable. « Ca dépend de ce qu’il y a à faire, mais ça tourne aux alentours d’une vingtaine d’euros. Et c’est satisfait ou remboursé » nous précise-t-il.

L’objectif de Gilles est de pouvoir aider chaque personne qui souhaite restaurer sa paire favorite. « Inutile de faire cela avec toutes les chaussures, cela a plus de sens lorsque la basket a une valeur sentimentale aux yeux de son propriétaire. » Une notion que le sympathique gaillard connait bien, tant sa collection de Jordan lui tient à coeur et que la passion de la basket l’anime.

Une paire d’Adidas bien abimées.

 

Le miracle BTL.

 

« Nous pouvons chatouiller le Top 4! »

 

Spa est la meilleur équipe « liégeoise » en TDM2 et occupe la sixième place de son championnat. En P1, aussi, les Spadois sont bien classés, avec une cinquième place ex-aequo avec Angleur, et un bilan positif de 7 victoires en treize rencontres. Avant d’aborder un second tour qui s’annonce passionnant, nous sommes allés nous entretenir avec Damien Close, nouveau venu dans le club de la Cité Thermale.

 

Damien, que penses-tu de votre première partie de saison?

J’estime qu’il s’agit d’un début de saison plutôt mitigé. Je pense qu’il y a des matchs où nous pouvions faire beaucoup mieux. Il fallait peut-être le temps de s’adapter l’un à l’autre car la fin du premier tour a été bien plus concluante.

Quel est votre objectif pour le second tour à venir?

Les Playoffs sont accessibles selon moi, et cela peut être un bel objectif pour l’équipe.

Crois-tu que vous puissiez aller chatouiller le top 4?

Bien sûr ! Je suis catégorique à ce propos. Nous l’avons d’ailleurs prouvé en allant battre Ensival sur son terrain et prenant la mesure d’Hannut à domicile. Il  ne reste plus qu’à concrétiser sur le long terme désormais.

Comment décrirais-tu votre équipe?

Notre formation est bien équilibrée au niveau des différents postes, chacun y trouve sa place. Cependant, un big man ne serait pas de refus !

Cela fait désormais plusieurs semaine que l’annonce du départ de Simon Doneux et de sa succession par Bruno Dagnely a été faite. Savoir que votre entraineur prendra en main la D3 la saison prochaine change-t-il quelque chose pour vous?

Non pas du tout. Les objectifs restent les mêmes, la plupart des joueurs s’entrainaient déjà avec la D3. Je trouve, justement, que c’est une belle opportunité pour Bruno et qu’elle est méritée au vu de tout le travail qu’il effectue au sein du club.

La saison dernière, tu évoluais à l’Etoile Jupille où vous aviez fait une belle saison, ratant la montée de peu lors du test-match contre Alleur. Pourquoi avoir décidé de quitter l’Etoile?

Pour raisons familiales tout simplement. Habitant Spa, j’allais devenir papa et je voulais passer le plus de temps possible avec ma femme et ma fille. J’adorais jouer à l’Etoile mais les déplacements prenaient énormément de temps dans ma vie de tous les jours.

A titre personnel, que penses-tu de ta saison actuellement?

Tant qu’à présent, je n’ai pu faire que la préparation et trois matchs de championnat. J’ai eu des douleurs au niveau du poignet droit. J’ai d’abord été immobilisé puis, finalement, j’ai dû passer par l’opération début décembre. J’espère recommencer bientôt, et en forme, pour prouver que j’ai ma place au sein de cette équipe.

« Dison a les capacités pour se sauver »

 

Dison-Andrimont et Yves Perugini, c’est fini. L’entraineur verviétois nous expliquait les raisons de son départ il y a quelques jours. Liège & Basketball est allé faire le point avec Mike Petit, le pivot du matricule 1215, actuellement avant-dernier de sa série en R2.

 

Mike, est-ce que la démission de ton entraineur, Yves Perugini, est une surprise pour toi?

Je savais qu’il avait des problèmes familiaux, en plus du boulot et du basket, donc ce n’est pas vraiment une surprise. Il en avait déjà parlé pour voir si ça ne créerait pas une envie de se rebeller et nous avions gagné quelques matchs par la suite.

Que penses-tu de cette décision?

Je la comprends, c’est la famille avant tout, même si c’est dommage pour l’équipe car, avec ses connaissances basket, il nous aidait beaucoup. Le plus gros problème de l’équipe,  c’est le nombre de blessés et les deux arrêts des autres pivots. Nous avons désormais quatre joueurs « out », c’est loin d’être l’idéal pour redémarrer le deuxième tour. J’estime cependant que notre équipe a les capacités pour se sauver. J’en veux pour preuve que nous avons déjà gagné contre des formations du haut du tableau et que nos défaites s’expliquent souvent par un manque de fraicheur dans le dernier quart-temps, directement imputable au manque de rotations.

Le départ d’Yves signifie-t-il que se maintenir devient impossible ou bien, au contraire, cela peut vous redonner un coup de fouet?

Je pense que le changement de coach peut nous donner un coup de fouet, mais il faudra aussi voir qui reprendra les rênes de l’équipe.

Tu parlais de nombreuses blessures au sein de votre groupe, tu es directement concerné…

Oui, je suis de nouveau blessé. Je me suis occasionné une fracture du doigt. J’ai été opéré mercredi pour mettre une broche et je serai indisponible quatre à six semaines à priori.

Un nouveau logo pour une nouvelle année

 

Il convient, bien souvent, de marquer le coup lors d’un changement d’année. Pour fêter son entrée dans l’année 2018, Liège & Basketball se pare d’un logo tout neuf.

 

Le réveillon de la Saint Sylvestre est derrière nous, la trêve touche doucement à sa fin et les affaires sérieuses vont reprendre prochainement. Pour souligner le passage à cette nouvelle année qui démarre, Liège & Basketball s’adjuge un nouveau logo, après, vous l’aurez peut-être remarqué, avoir subi un petit lifting de sa page d’accueil  afin d’optimiser votre navigation.

Notre nouveau logo, soulignant les éléments emblématiques de la Cité Ardente, est un joli cadeau gentiment offert par le talentueux Gérald Henkin. C’est à lui que l’on doit, notamment, les superbes nouveaux maillots de Liège Basket. Il fait partie, comme Talent Faktory, « Basket 3.0« , Game Time Activity et tant d’autres, de tous ceux qui tentent, à leur manière, de (re)dynamiser le basket liégeois, ce que nous ne pouvons que saluer.

Le basket liégeois sera déjà en fête ce vendredi 5 janvier puisque Liège Basket accueillera Ostende, leader invaincu de la compétition. Une bien belle affiche pour démarrer l’année; Liège & Basketball sera sur place avec l’espoir que Boris, Terry, Franky et leurs coéquipiers créent la surprise de la saison.

 

 

 

Spa meilleur « Liégeois » en TDM2

 

Entre défections, grosses performances offensives et annonce de changement d’entraineur pour la saison prochaine, le premier tour des Spadois a été mouvementé. Il n’en reste pas moins positif.

 

Dès le début de saison, Spa apprenait la défection de deux pions importants de l’effectif: Jonniaux et Klassen. Un coup dur pour les Bobelins, privés de deux bons joueurs, et qui ont parfois souffert du manque de rotations, comme nous le confiait leur entraineur, Thomas Doneux, avant le derby face à Esneux. « Nous avons du réaliser des ajustements et  faire avec les moyens du bord. On compose avec un effectif réduit et on a fait monter des jeunes mais c’est parfois difficile de tenir sur la longueur physiquement. Pas mal de matchs auraient pu tourner en notre faveur avec un peu plus de fraicheur » déclarait Thomas.

Toutefois, Spa peut se targuer d’être le meilleur de nos représentants au sein de cette TDM2B. Avec un bilan positif de huit victoires et en quinze rencontres, les Spadois occupent la sixième place au classement général. Le collectif thermalien explique les bons résultats de cette première moitié de saison. « Notre qualité première c’est d’avoir un vrai groupe » nous précisait Thomas Doneux. « Il y règne une excellente ambiance, les joueurs ne râlent pas après une défaite. Pour la plupart, ils jouent pour moi depuis quatre ou six ans, cela crée des automatismes, une vraie cohésion. Après, on sait qu’on possède aussi deux gros scoreurs et que cela peut aider. »

 

 

Fred Delsaute inscrit 40 points contre Sprimont

 

Il est vrai que les deux marqueurs spadois se sont illustrés à plusieurs reprises. Tant Gaetan Hertay, diantrement efficace, que Fred Delsaute, ont fait preuve d’une belle régularité pour aider Spa à présenter un bilan positif à la trêve. Gaetan Hertay a notamment fait exploser les compteurs avec 35 points inscrits contre Geel mais son compère Delsaute a surpassé cette marque en inscrivants 40 points contre Sprimont.

Face à son ancien club, celui qui a aussi fait le bonheur de Belleflamme et Ninane, a livré une prestation magistrale. Sur le terrain durant la totalité de la rencontre, il a livré une performance dantesque!

Si, comme il nous l’avait confié après la rencontre,  « avec l’âge, le physique n’est plus tout à fait le même », cela ne semblait pas sauter aux yeux lors de ce derby, remporté 81 à 90 par Spa.  Intenable, tant à distance qu’en pénétration, impressionnant de facilité et littéralement au four et au moulin, Fred a éclaboussé la rencontre de sa classe et offert un véritable récital pour un match royal de l’ailier spadois qui restera gravé dans les mémoires.

 

 

Thomas Doneux quittera Spa en fin de saison

 

Cette première partie de championnat fut aussi marquée par l’annonce du départ de Thomas Doneux à la fin de l’exercice en cours. Une nouvelle qui tombe tôt dans la saison, comme à Sprimont où le départ de Pascal Horrion en fin de saison a déjà été entériné, mais qui ne change pas les ambitions du club de la Cité Thermale: tâcher de gagner chaque rencontre  à venir. L’entraineur spadois, à la tête de sa formation depuis plusieurs saisons déjà, sera remplacé par l’actuel coach de la P1, Bruno Dagnely.

Spa reprendra le collier le samedi 13 janvier en se rendant à Fera Bornem. Une rencontre à priori déséquilibrée face au dernier de la série et une victoire qui semble promise aux Spadois qui pourraient, le cas échéant, rendre un excellent service à Sainte Walburge, actuellement à égalité avec Bornem.

En route pour 2018!

 

« Les bonnes résolutions ne gagnent pas à être différée. » (Jules Romain)

 

2017 vient de s’achever, une nouvelle année débute et, avec elle, les promesses de douze mois que nous souhaitons pétillants et enthousiasmants à chacun. Le moment est également propice à établir un premier bilan de ces quelques mois écoulés et de s’engager à définir, comme le veut l’usage, les bonnes résolutions pour 2018.

Après deux mois d’existence, nous sommes ravis de constater que les articles de Liège & Basketball ont été consultés plus de 100 000 fois. Ces premiers chiffres, s’ils sont satisfaisants et encourageants, nous engagent à une responsabilité: celle de continuer à oeuvrer pour offrir un contenu qualitatif et représentant le basket liégeois dans son ensemble, de nos joueurs vedettes à l’étranger aux passionnés qui évoluent en provinciale, des dames comme des hommes, et de toutes les personnes aidant, à leur manière, à la bonne marche du basketball en Province de Liège.

Nous avons été particulièrement touchés par les marques de sympathie et les encouragements, nombreux, ainsi que par les critiques, isolées. Tout cela nous sert, au quotidien, à nous améliorer pour que le contenu que propose Liège & Basketball soit, sans cesse, le plus fourni, le plus juste, le plus intéressant, le plus pertinent et le plus complet possible.

Nous ne prétendons pas encore être parfaits, ni parvenir encore à couvrir autant que nous le souhaitons l’actualité du basket liégeois, mais nous essayons, jour après jour, de remettre le coeur à l’ouvrage et de nous investir entièrement, avec sérieux, éthique et enthousiasme, pour permettre à Liège & Basketball de grandir et, surtout, d’offrir le plus d’informations possible à tous les amateurs de la balle orange.

Le basket liégeois est riche de tous ses pratiquants, bénévoles, arbitres, comitards, supporters et sympathisants qui lui permettent de se distinguer de celui de toutes les autres régions de Belgique et lui offrent une saveur et un ADN si particulier et que nous chérissons tous. Ne ne pouvons qu’apprécier toutes les initiatives mises en place par les clubs, associations et passionnés pour tenter de (re)dynamiser au mieux notre merveilleux sport.

Pour l’année à venir, nous souhaitons des victoires à tous nos clubs. Du plaisir, du fair-play, de l’enthousiasme et de la convivialité sur les terrains et autour. Que chacun, à son niveau, continue de s’épanouir en pratiquant ou en suivant ce superbe sport qui est le nôtre, et que toutes nos formations continuent de nous épater. La santé pour tous ainsi que de la joie à pratiquer et suivre ce magnifique « jeu de basketball ».*

Liège & Basketball  vous souhaite une excellente année 2018 et vous donne rendez-vous dès demain pour redémarrer la deuxième partie de saison, que nous espérons pleine de rebondissements et d’accomplissements.

Vive le basketball et vive le basket liégeois!

 

 

 

* NB: C’est Michael Jordan himself qui avait l’habitude de parler de son sport sous cette dénomination, « le jeu de basketball ».