Roosen et De Leyn, les nouvelles recrues pépines

Tant pour sa TDW1 que pour sa TDM2, Pepinster accueillera de nouvelles têtes.

Pour sa TDW1, Pepinster s’est attaché les services de Léa Favre, une Suissesse qui évoluait à l’Université du Nevada ces deux dernières saisons où elle tournait à la moyenne appréciable de 11,9 points et 4,1 rebonds par match. Les Pépines accueilleront également Jienke De Leyn en provenance de Namur Capitale.

Pour sa TDM2, Pepinster a réussi le coup de force d’attirer Fred Delsaute qui y retrouvera Pascal Horrion qui fut son entraineur à Sprimont. L’emblématique cercle verviétois a également signé Frédéric Roosen, le pivot de Welkenraedt qui a terminé meilleur marqueur de P1 pour sa première saison dans l’élite.

Le club pépin brosse le portrait de De Leyn et Roosen ici.

« Nous avons changé le basket à jamais »

Draymond Green estime que les Splash Brothers et lui ont changé le basket à jamais.

Invité dans un podcast radio, Draymond Green s’est livré.

« Je pense que j’ai changé le basket avec l’aide de Steph Curry. Je pense que Steph Curry a changé le basket avec mon aide. Je pense que c’était une association bénie des Dieux. Puis il y a Klay Thompson qui est devenu un des deux meilleurs shooteurs du monde. Tous les trois nous avons changé le basket à jamais. Je n’aurais jamais pu imaginer ça dans mes rêves les plus fous » a-t-il déclaré. « C’est un tel énorme parcours. Et honnêtement quand tu le vis, tu n’apprécies pas vraiment ce que tu es en train de faire. Mais cette année j’ai pu prendre du recul sur ce run. Cette année j’ai eu le temps de prendre du recul et de réfléchir dans ma chambre d’hôtel en déplacement et de me dire que je viens de finir ce run avec la plus grande équipe de l’histoire à avoir mis les pieds sur un terrain de basket. Et j’ai eu un grand rôle là-dedans. Puis la NBA c’est quelque chose d’énorme, c’est quelque chose de très important dans le monde. Avec ce succès en NBA et faire partie de cette aventure si spéciale, ça signifie énormément pour moi. »

« Prends le plus gros chèque pour toi »

Gary Payton revient sur son arrivée aux Lakers où, avec Karl Malone, Shaq et Kobe, l’époque était aux « Fourmidables ».

Si Gary Payton est surtout connu pour ses années à Seattle et s’il a gagné un titre en fin de parcours avec le Heat, il a également porté la tunique gold and purple une saison, en 2003-2004. Une campagne qui a mené les Lakers en finale des Playoffs où ils se sont inclinés face aux Pistons de Larry Brown. Payton n’était pas le seul Hall of Famer à être venu prêter main forte à Shaq et Kobe cette année là, Karl Malone avait quitté l’Utah afin de donner vie aux « Fourmidables ». « Karl et moi avions prévu de jouer ensemble. Ça faisait deux All-Star Games qu’on en parlait. On savait qu’on ne resterait pas dans nos deux équipes respectives longtemps parce que nos propriétaires voulaient plutôt miser sur de jeunes joueurs. Donc il m’a toujours dit qu’on allait jouer ensemble » explique Payton. « On est devenu free agents et là d’un coup, Magic a commencé à nous appeler pour nous dire que les Lakers nous voulaient, nous voulaient, nous voulaient. Karl m’a appelé et m’a dit : ‘Tu sais que je veux aller à L.A. Je veux prendre le soleil. Je veux quitter ce froid, je veux quitter toute cette merde. Faisons-nous plaisir pour la fin de notre carrière et allons faire ce qu’on sait faire. On pourrait signer là-bas pour 2 ans, puis rempiler et terminer notre carrière là-bas, ce serait fun’. Il a dit : ‘Je prendrais moins d’argent, prends le plus gros chèque pour toi’. Et c’est ce qu’on a fait.« 

Mayombo sur le départ ?

L’attachante meneuse liégeoise se montre fort évasive sur le sujet. En attendant, son club allemand de Keltern pourra désormais compter sur les services d’une adjointe… bruxelloise. Celui qui a été le coach d’Alfonzo McKinnie (NBA) a, aussi, été l’assistant de Jean-Pierre Fransquet au Luxembourg. A lire ! Ce sont les infos d’EMCE.

Une T2 belge pour Emmanuella Mayombo à Keltern

L’info peut surprendre. Pourtant, elle a été officiellement confirmée, dimanche, par les dirigeants allemands : la Belge, Romina Ciappina (32 a, née à Etterbeek), sera l’assistante de Christophe Hergenröther à Keltern, le club ( ?) d’Emmanuella Mayombo (photo). Un head coach qui en salive d’avance : « Ma future adjointe possède une très grande expérience internationale et possède un QI basket très au-dessus de la moyenne. » Notre compatriote a évolué à Namur de 2005 à 2009 avant de s’expatrier à l’étranger. Voici quelques mois, elle se blessait gravement (ligaments croisés). D’où sa reconversion en cours…

Mais, la Liégeoise restera-t-elle en Allemagne ?

Ceci dit, on peut se demander si Emmanuella Mayombo défendra encore les intérêts de la formation d’outre-Rhin à la reprise ? La question mérite à l’évidence d’être posée si l’on s’en réfère à l’interview qu’elle accordait, ce week-end, au site « eurobasket.com ». Morceaux choisis : « Pour l’heure, je suis rentrée à la maison retrouver ma famille parmi laquelle, ma maman travaille dans un hôpital », ou encore, « Serai-je toujours à Keltern ? Peut-être un jour. On ne sait jamais, mais ce club restera pour toujours gravé dans mon cœur. »

Et diplomate avec ça, notre Principautaire…

Jean-Pierre Fransquet vu par l’ex-coach d’Alfonzo McKinnie (NBA)

Lors de son séjour aux « East Pirates » de Wasserbillig (G-D), Alfonzo McKinnie (Warriors puis Cavaliers) eut comme mentor Christophe Ney. Or, ce dernier sera le prochain entraîneur de Larochette et sa… cagnotte. Il est revenu récemment sur ses différentes expériences sur le petit banc : « J’ai longtemps été assistant et j’ai tenté de garder le meilleur de mes différentes collaborations. » A ce propos, il revient sur son parcours avec « notre » Jean-Pierre Fransquet qu’il doit avoir fréquenté au Nitia Bettembourg, en 08/09 : « J’ai souvent eu des difficultés à comprendre les états d’âme successifs du Belge. En revanche, j’ai toujours apprécié son approche perfectionniste de tous les domaines du coaching. Un exemple à suivre. » Tout est dit.

Pas mal de mouvements en coulisses

On a ainsi appris que Yannick Desiron (28 a, 2,08 m) s’apprêtait à effectuer le voyage retour entre Ostende et Limburg United. Un come-back qui ne devrait pas déplaire outre-mesure à Sacha Massot… Toujours « propriété » des Spirou Charleroi, l’interminable Michal Fusek (25 a, 2,20 m) rempile pour une saison supplémentaire à l’Inter Bratislava. Equipe avec laquelle, il est devenu champion de Slovaquie. Jolie promotion pour Tim Coleman (25 a, 1,95 m) qui a signé à l’Hapoel Tel-Aviv, habitué israélien de la Ligue des Champions. Lui qui vient de l’… Etzella Ettelbrück, juste à côté de Bastogne.

La télé crève l’écran

La fameuse série de Netflix consacrée à l’ultime exercice de Michael Jordan à Chicago fait coup double. D’une part, elle donne un éclairage inédit sur les coulisses de la ligue américaine et, de l’autre, elle a le don d’intéresser le grand public à notre discipline de prédilection. Vous avez droit, dès 9 heures ce matin, à un second épisode qui sera largement consacré à Scottie Pippen. Le dindon de la farce jusque-là…

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : TC Keltern

« Nous nous trouions contre les équipes mal classées »

Avec humilité et franchise, Alex Walewyns tire le bilan de la dernière saison de Belleflamme en TDM2.

Alex, quel bilan tires-tu de la saison écoulée?

Cette saison ne fut pas top du tout. Nous avons réussi à faire de gros matchs contre de grosse équipes mais nous nous trouions contre des équipes du bas de classement. Elle fut très longue. Nous nous attendions à avoir difficile mais nous pensions, en début de saison, pouvoir nous sauver. Cela s’est très vite révélé impossible après notre premier tour.

Qu’as-tu pensé de la TDM2B?

Notre série – comme celle de l’an passé – était très relevée. Toutefois, nous avons su accrocher presque toutes les équipes au moins une fois.

A titre personnel, comment juges-tu ta saison?

Personnellement, c’est une saison à oublier.

Quels furent les moments marquants de cette saison?

Il n’y en a pas vraiment, hormis que nous terminons sur une victoire. Ce n’était pas une saison facile, je me réjouis de reprendre l’année prochaine et retrouver l’envie de jouer au basket.

« Des coéquipiers avec qui je joue depuis une dizaine d’années »

Avec Bellaire, John Michel a réalisé une excellente première saison au sein de l’élite provinciale.

Promus en première provinciale, les Blue Rabbits ont fait mieux que se défendre, terminant en ordre utile pour les Playoffs. « Avec l’arrêt du championnat et le calcul effectué, je ne connais pas vraiment notre classement final. Mais nous ne nous étions pas forcément fixés un objectif chiffré » nous avoue John Michel. « Pour une première saison en P1, je pense que nous avons réalisé une belle campagne avec de bons matchs et parfois d’autres où nous nous sommes un peu relâchés. Tout dépendait de notre capacité à maintenir une bonne défense. »

Trois regrets toutefois pour John. « Nous aurions aimé aller un peu plus loin en Coupe de la Province » reconnait-il. « L’autre point regrettable est l’arrêt soudain du championnat. A cause de cela, nous n’avons pu réaliser nos « adieux » à nos coéquipiers – dont mon frère – qui quittent le navire. Nous aurions vraiment voulu les honorer comme il se doit. »

Après plusieurs saison en P2, les troupes de Gaël Colson ont pu se frotter à l’élite provinciale. « La P1 est vraiment d’un niveau assez sympa. Tout le monde a l’opportunité d’être vainqueur face aux autres équipes, ce qui nous ne retrouvions pas en P2. Chaque week-end, c’est un match compliqué qui t’attend et il n’est pas possible d’anticiper le résultat » souligne John. « Je suis assez contente de la saison que j’ai réalisée ainsi que de celle de mes coéquipiers. Nous nous sommes donnés à fond à chaque match et je crois que cela fut payant. »

Une première positive à cet échelon et de beaux souvenirs engrangés par les Blue Rabbits. « J’ai vraiment apprécié la découverte de la P1 qui est un championnat vraiment haletant. Cela nous a aussi permis d’affronter de nouvelles équipes » enchaine notre interlocuteur. « Si le moment fort de la saison restera l’arrêt prématuré de celle-ci suite à la situation sanitaire que nous traversons, je retiens également nos deux victoires contre l’Etoile – pour ce qui demeure notre petit derby (rires) – ainsi que l’annonce de l’arrêt de certains coéquipiers avec qui je joue depuis plus d’une dizaine d’années. »

« Je shoote tous les objets que j’ai sous la main »

A dix-huit ans, Logan Solot vient de boucler sa deuxième saison en seniors à Theux et portera les couleurs d’Aubel – en P2 – la saison prochaine. Liège & Basketball vous emmène à la découverte de ce shooteur redoutablement précis. Entretien.

Logan, peux-tu nous retracer ton parcours basket?

Il est assez atypique. Je suis dans les salles depuis tout petit car ma maman et ma marraine jouaient. Après avoir essayé plusieurs sports comme le foot et le judo, je suis revenu plus sérieusement vers le basket à l’âge de quinze ans.

Qu’apprécies-tu dans ce sport?

L’ambiance, l’esprit d’équipe, le jeu en lui-même.

Quel genre de joueur es-tu?

Je crois être avant tout un shooteur, même si des fois mon coach me demande un gros boulot en défense pour stopper un scoreur adverse ou le sortir de son match.

Tu es effectivement un super shooteur. C’est un aspect de ton jeu que tu bosses spécifiquement?

Au début non, mais dès que j’étais dans une salle, je shootais. A la maison, c’était pareil. Tous les objets que j’avais sous la main me servaient de ballon. Cela pouvait être un fruit, des chaussettes, une bouteille vide. Tout et n’importe quoi en fait (rires). Depuis la saison passée, je travaille réellement sur des points spécifiques car mon coach veut que je puisse me créer moi-même un espace de shoot malgré la pression défensive.

Du coup, c’est le shoot ton move préféré?

Cela pourrait mais ce serait trop facile (rires). Mon move favori, c’est le step-back. Suivi d’un shoot – forcément – ou d’un départ en pénétration suivant la réaction de mon défenseur.

As-tu des modèles qui t’inspirent?

Je ne suis pas spécialement fan d’un joueur même si j’ai une petite préférence pour Curry à cause de son shoot. Mais « Ced » (ndlr: Cédric Lemoine, son beau-père et coach) me casse la tête à me demander de surtout examiner tout le travail que le meneur des Warriors fait avant de tirer.

Justement, tu es coaché par ton bon-père. En quoi est-ce spécial?

Cela ne change strictement rien car il m’a appris à faire la part des choses. La maison et le terrain sont deux choses différentes même s’il m’engueule beaucoup plus fort sur un terrain qu’à la maison (rires).

« Evoluer en P2 est un beau challenge »

Quels sont tes meilleurs souvenirs liés à ce sport?

Un tournoi au Danemark en 2015 avec les U16 de Saint-Michel. Je ne jouais pas avec ce club mais comme mon beau-père allait pour coacher les U18 filles de Pepinster avec Antoine Braibant, je suis allé dépanner l’équipe qui manquait de joueurs. J’étais le plus jeune joueur mais, malgré cela, j’avais fait de bons matchs et il y avait une ambiance exceptionnelle.

A Theux, à dix-huit ans, après une première année en P4, tu viens de disputer ta seconde saison en seniors avec la P3. En quoi le jeu en seniors diffère-t-il de celui pratiqué en jeunes?

Le jeu en seniors est beaucoup plus physique et toutes les équipes ne misent pas sur la vitesse comme c’est souvent le cas en jeunes.

Comment juges-ton votre saison avec Theux?

La saison a été bonne et l’évolution de groupe a été flagrante au fil des matchs.

Tu as pris la décision d’aller à Aubel pour la prochaine saison. Pourquoi?

L’opportunité d’évoluer plus haut est un beau challenge. Avec Ced et ma mère, nous nous sommes mis à table pour discuter du projet proposé par Aubel et le choix fut vite fait car je sentais une réelle envie de ce club de travailler avec des jeunes. Par la suite, Ced a été contacté pour devenir le coach de l’équipe, j’étais donc certain d’avoir fait le bon choix.

Quelles sont tes envies pour la saison prochaine?

Je souhaite apprendre et progresser dans une ambiance qui s’annonce déjà exceptionnelle. J’aspire à faire mes preuves en P2 et nous verrons par le suite ce que l’avenir me réserve.

De chauffeur de bus à champion des Amériques avec les States

Les carnets du basketteur, saison 3! Pour cette chronique, coup d’éclairage sur l’étonnante trajectoire de Tom Copa.

D’accord, le personnage que je vais vous faire découvrir n’a rien à voir avec notre basket principautaire. Ceci dit, son histoire – en partie belge – vaut assurément le détour. Jugez plutôt…

« Même si j’ai fait mes études à Marquette, réputée pour son équipe de basket, je n’y ai jamais brillé. Raison pour laquelle, j’ai été chauffeur de bus scolaire l’hiver suivant l’université et devais me lever, tous les matins, à 4 h 30. Au début de l’été suivant, il s’est organisé un camp de basket près de chez moi. J’y ai participé à tout hasard et, à ma grande surprise, j’ai été recruté par l’Avanti Bruges », raconte l’aussi modeste qu’impressionnant Tom Copa (2,08 m, 126 kg).

L’« armoire normande » débarque ainsi dans la Venise du Nord en août 1988. Il est de suite sous le charme d’une ville pleine de surprises et de recoins : « Mon appartement se situait au centre dans un dédale de petites rues. Après mon premier entraînement, je m’y suis perdu et c’est la police qui m’a ramené à mon nouveau domicile… » A la « Groene Poorte », il allait enthousiasmer le public local : « L’accueil y a été extraordinaire et j’ai été étonné du nombre de personnes qui parlaient anglais. J’ai donné le meilleur et, à la longue, j’y étais surnommé le « Hulk blanc » par les supporters. Une expérience fantastique même si je ne gagnais que 1500 $ par mois. »

Au printemps ’90, Anvers et Malines lui font dès lors un pont d’or. Contre toute attente, il opte pour la (très) modeste formation de… Damme. « J’étais très attaché à la région et je recherchais, en priorité, une ambiance familiale. » Et d’y aller de cette autre anecdote : « En fin de saison, ma femme, en enceinte, me confie qu’elle préfèrerait retourner accoucher dans sa famille aux Etats-Unis. Pendant que nous sommes à la maternité, une infirmière m’indique que j’ai un appel urgent. Ce sont les Spurs qui me demandent de venir passer un test. En fait, c’est mon beau-père qui leur a renseigné mes statistiques européennes et glissé que j’étais justement de retour au pays. » C’est ainsi que le « petit » chauffeur de bus allait défendre les couleurs de San Antonio, une des plus huppées franchises de NBA. Plus fort encore : en ’93 se dispute, à Porto-Rico, le championnat des Amériques mettant aux prises l’ensemble des trois continents d’outre-Atlantique. Comme de bien entendu, les States décrochent la timbale avec, dans la sélection officielle étatsunienne, un certain… Tom Copa. « Après, j’ai encore loué mes services à Vitoria (Espagne) et Livourne (Italie)… avant d’y être à chaque fois coupé car j’avais trop d’ennuis physiques. »

Aujourd’hui âgé de 55 ans, il réside avec sa petite famille à Austin (Texas) et est vice-président de « Luminex Corporation », un important groupe industriel aux ramifications internationales. Pourtant, les polders flandriens ne sont jamais loin : « Nous adorons vraiment ce coin de Belgique et essayons d’y revenir le plus souvent possible. D’autre part, j’ai eu des coaches comme Larry Brown et même Gregg Popovich. Mais, le meilleur de tous était sans conteste le Brugeois, Werner Rotsaert. » Somptueux hommage à l’attachant paternel de Sam.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo: Baskonia Basket

Julie Lemmens jouera à Angleur

Angleur enregistre l’arrivée de Julie Lemmens qui dépassera, la saison prochaine, les 1000 matchs disputés au niveau national/régional.

A 39 ans, Julie Lemmens est toujours performante et évoluera encore en R1 la saison prochaine. Après des passages à Welkenraedt, Belleflamme, Herve-Battice, Prayon et Sainte-Walburge, elle s’est engagée avec le MOSA Angleur. Un renfort de choix pour Vincent Esposito qui perd Léa Cosentino, partie renforcer Herve-Battice.