Le mythique Mariandenne

En 1988, Andenne Basket et le RUS Mariembourg s’étaient associés pour aligner une équipe en première division nationale.

Cette équipe portait beau et Canal C lui consacre un chouette sujet à découvrir ici.

Crédit photo: PP Photography Amateur

Les Liégeois au sommet

Ce vendredi, beau duel de Liégeois en perspective avec le déplacement du Brussels à la côte belge.

Si Liège Basket n’a pas encore démarré son championnat, plusieurs Principautaires se sont déjà illustrés sur les parquets de D1. Ainsi, au Brussels, Louis Hazard se révèle comme la bonne surprise pour Ian Hanavan tandis que William Robeyns, quoiqu’encore un peu timide en attaque, fait désormais figure de valeur sûre.

A Ostende aussi les Liégeois portent beau. Olivier Troisfontaines est pratiquement inarrêtable et Pierre-Antoine Gillet stabilise la raquette des Côtiers et fait profiter sa formation de son adresse longue distance.

Ce vendredi, Ostende recevra le Brussels. A peine revenu de leur périple lituanien, Gjerja, Gillet et Mwema devront vite se reconcentrer sur le championnat pour résister à des Bruxellois qui sortent d’une prestation convaincante (en amical) à Limburg.

Limburg, justement, où évoluent Mitchell, Marnegrave et Mukubu se rendra à Mons samedi pour tenter de décrocher sa première victoire de « l’ère Massot ». Si Ajay Mitchell se montre aussi efficace que contre le Brussels, les Limbourgeois pourraient bien créer la surprise chez les Renards !

Dimanche, le Brussels accueillera son proche voisin: Malines. Robeyns et ses partenaires devront avoir digéré le déplacement à Ostende pour ne pas se faire surprendre par un Terry Deroover qui aura à cœur de briller dans sa ville. Dimanche, le Spirou – qui a acté ces derniers jours la retraite d’Axel Hervelle – se rendra à Anvers. Nul doute que face à son ancien club, Christophe Beghin aura préparé un plan de match aux petits oignons.

Crédit photo: BC Ostende

« En partie grâce à Liège si j’en suis là aujourd’hui »

C’est LA belle histoire de ce début de saison. Après une année à empiler les double-doubles au Country Hall, Justin Kohajda a tapé dans l’œil de Valladolid, en LEB Oro, et quitté Liège et la Belgique pour rejoindre l’Espagne. Entretien avec le pivot qui s’acclimate parfaitement à son nouvel environnement, sous la houlette du coach personnel de Serge Ibaka.

Justin, comment as-tu atterri à Valladolid alors que tu avais pourtant prolongé de deux ans ton contrat avec Liège Basket ?

Mes agents n’aimaient pas du tout la tournure que prenaient les choses à Liège pour mon développement et mon avenir personnel car Liège ne pouvait pas nous garantir de jouer en janvier. Compte-tenu de ce paramètre et, surtout, du chômage technique dans lequel je me trouvais, mes agents ont commencé à contacter d’autres équipes pour voir les possibilités qui s’offraient à nous. Valladolid avait justement – timing parfait ! – besoin d’un nouveau pivot pour remplacer Smits qui voulait partir.

Qu’est-ce qui t’a convaincu de signer avec Valladolid ?

Plusieurs raisons m’ont convaincu. Tout d’abord, le niveau du championnat est élevé et offre de meilleures visibilité dans toute l’Europe ! Ensuite, la présence du coach emblématique Hugo Lopez, notamment entraineur de l’équipe nationale suédoise, ancien assistant au Real Madrid et coach personnel d’un certain Serge Ibaka, a achevé de me convaincre. Avec une telle figure aux commandes, je ne pouvais tout simplement pas refuser. L’apprentissage aux côtés de quelqu’un comme lui va être enrichissant et fulgurant !

Pour quelle durée t’es-tu engagé avec le club espagnol et as-tu emmené ta compagne dans tes bagages ?

Je me suis lié avec Valladolid jusqu’à la fin de la saison 2020-2021. Pour l’instant, je suis seul. Mais je ne perds pas espoir de faire venir ma moitié, Clara, ici avec moi.

Es-tu un amateur du basket espagnol et de la compétition dans laquelle tu évolues désormais ?

Je m’y intéresse depuis peu, depuis la fin de saison 2019-2020 en fait. Mais je constate de plus en plus que cette ligue est vraiment intéressante pour mon développement.

Quelles sont tes envies pour ce nouveau défi ?

J’aspire à continuer à progresser, continuer de faire évoluer mon jeu et parvenir au plus haut niveau possible.

Quels souvenirs garderas-tu de ta dernière saison avec Liège ?

Je garde un super souvenir de cette saison. C’est en partie grâce à Liège si j’en suis là aujourd’hui, si j’ai pu autant jouer l’année passée, acquérir de l’expérience et prouver ma valeur. J’ai également passé – malgré des conditions parfois très difficiles – un moment inoubliable là-bas avec les coéquipiers et coachs qui sont devenus davantage que cela. J’y ai trouvé des amis !

Crédit photo: Philippe Collin

Quand « Max » fait le max…

Sûr que Maxime De Zeeuw s’est rassuré et a rassuré ses employeurs lors de son « maiden match » pour le compte de l’Hapoel Holon. Dans la foulée, on a retrouvé la trace de Dragan Tubak, un géant serbe qui squatta le Paire en 2012/2013. Pour terminer avec la semaine infernale de Marko Simonovic. Ce sont les infos d’EMCE.

Les débuts plus que réussis de De Zeeuw à l’Hapoel Holon

Le Braivois d’adoption (photo, sur la gauche) n’a pas tardé à s’adapter à son nouvel environnement israélien. Les jours derniers, l’Hapoel Holon était opposé à l’Ironi Nes-Ziona dans le cadre de la Ligue des Balkans. L’Ucclois d’origine était d’emblée aligné dans le 5 de départ, restait 17 minutes sur le terrain, signait un 5 sur 8 aux tirs, enfilait 13 points et gobait 4 rebonds. Le tout pour une victoire sur le score de 100 à 79 (55-42, à mi-parcours). Le curseur de difficulté sera revu à la hausse ce week-end lorsque Maxime et les siens se lanceront à l’assaut du Maccabi Haïfa emmené par Chris Dowe, l’ancien feu follet de Neder.

Dragan Tubak, l’ancien géant du Paire, rentabilise sa carrière au Bahreïn

C’est à l’occasion de l’exercice 12/13 que Dragan Tubak (33 ans) avait déroulé ses 216 centimètres dans la raquette du Paire. L’année suivante, il en faisait de même dans la « peinture » louvaniste. Désormais, le trentenaire a décidé de rentabiliser sa carrière dans le Golfe persique et plus précisément à l’Al Bahrain Club (D2). C’est signé : TJ Bray (ex-Brussels) portera bel et bien les couleurs de Saragosse où il fait l’objet d’un échange avec DJ Seeley qui prend, pour sa part, la direction du Bayern Munich.

La semaine infernale de Marko Simonovic, Côtier de l’époque

S’il loupe quelque peu son match d’Euroligue, ce soir, à Tel-Aviv, Marko Simonovic (34 a, 2,01 m) aura de très larges circonstances atténuantes à invoquer. Jugez plutôt : jeudi dernier, l’ex-Ostendais (2006) se produisait avec l’Etoile Rouge de Belgrade à Istanbul. Le lendemain, il sautait dans un avion, direction Helsinki, via une escale en Allemagne. Ce week-end, il défendait les couleurs de la Serbie lors de la « bulle » européenne d’Espoo. Il y était encore actif lundi contre la Finlande avant de s’envoler, le lendemain, d’Helsinki pour Francfort où l’attendait une halte de 8 heures. Ensuite, il redécollait en mettant le cap sur Tel-Aviv où il atterrissait dans la nuit de mardi à mercredi. Et, aujourd’hui, il se lancera à l’assaut du Maccabi. Vous avez dit « semaine infernale » ?

La télé crève l’écran

On reste en Euroligue où le duel entre le CSKA Moscou et l’Olympiacos sera retransmis sur VOOsport World 3 dès 18 heures.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Hapoel Holon

Trois Ball en NBA ?

Cela pourrait être le cas lors de la prochaine saison.

LaVar Ball est-il devin ? Le sulfureux paternel avait assuré que ses trois fistons brilleraient sous les spotlights de la grande ligue. Lonzo dirige l’attaque des Pelicans, LaMelo vient d’être drafté par les Hornets pour devenir le visage de la franchise, restait le gamin du milieu, LiAngelo, davantage connu pour ses frasques en Chine que pour son talent balle en main.

Toutefois, LiAngelo pourrait bel et bien porter un maillot NBA la saison prochaine. En effet, les Pistons viennent de lui proposer un contrat pour participer au camp d’entrainement de la franchise et potentiellement rejoindre l’effectif de Dwayne Casey ou l’équipe de G-League. De quoi encore davantage permettre à LaVar de se répandre en déclarations tapageuses.

Money money pour King James

Coquette prolongation de contrat pour LeBron James.

LBJ a prolongé avec les Lakers pour 85 millions de dollars sur deux ans. Il sera ainsi lié aux « Purple and Gold » jusqu’en 2023. Il aura alors 38 ans et pourra peut-être évoluer avec son fils.

Désormais, les Lakers vont s’activer à faire signer Anthony Davis avant de se concentrer sur le back-to-back.

New congressman in D.C., Kentucky connection @ Houston

Big trade entre les Rockets et les Wizards !

Russell Westbook voulait changer de crèmerie et John Wall n’était plus en odeur de sainteté à Washington (auprès du front office car son implication dans la communauté le rend très populaire chez les fans des Wizards). Du coup, les deux franchises ont décidé de s’échanger les deux meneurs. Houston récupère en sus un tour de draft.

Financièrement, cela ne va assainir ni les finances des Rockets, ni celles des Wizards. « Russ » et « Jean Mur » possèdent en effet tous les deux un contrat en or massif. Néanmoins, ces paris peuvent s’avérer payants.

Après deux longues saisons loin des terrains suite à de graves blessures, difficile de prédire le niveau de John Wall. Toutefois, si le meneur récupère ses facultés, cela peut être un apport considérable pour les Texans qui doivent encore plancher sur « l’affaire Harden ». Dans la ville de la NASA, Wall retrouvera DeMarcus Cousins – autre pari de la franchise – avec qui il avait brillé en NBA. La « Kentucky Connection » est de retour et les deux comparses devraient être heureux ensemble.

Avec Russell Westbrook, Washington récupère un leader apprécié de ses coéquipiers. L’ancien visage d’OKC y retrouvera Scott Brooks, son coach de l’époque. Il faudra voir comment la sauce prendra et comment Westbrook et Beal cohabiteront mais ça pourrait tout de même aider la franchise de la capitale à se classer en ordre utile pour les Playoffs.

Sept nations déjà qualifiées

La dernière fenêtre internationale a permis à sept pays de déjà composter leur ticket pour le prochain Euro.

Les heureux élus sont: la Croatie, la Bosnie, la Grèce, l’Espagne, la Slovénie, l’Ukraine et Israël. Les autres nations, dont la Belgique, devront attendre février et les prochaines rencontres de qualification pour être fixées sur leur sort.

Pour la Belgique, tous les voyants sont au vert. Un succès contre le Danemark ou la République Tchèque suffirait aux troupes de Dario Gjerja pour se qualifier. Le seul scénario qui pourrait priver les Belges de leur participation au prochain Euro serait une défaite de plus de 16 points contre le Danemark suivie d’un revers contre les Tchèques, tout cela couplé à deux victoires de la Lituanie.

« Le goût, c’est ce qui fait tout »

Fred Perin et Marvin Lizein sortent une nouvelle édition limitée de leur gin premium, Hundred Gin.

En mai dernier, nous vous relations l’aventure dans laquelle s’étaient lancés deux basketteurs liégeois, Fred Perin et Marvin Lizein. Les deux comparses avaient décidé de créer et de commercialiser leur propre gin. « Cela fait maintenant quelques années qu’avec mon meilleur ami, Marvin Lizein, nous nous disions que ce serait top de bosser ensemble sur un projet .Un soir de novembre 2019, alors que nous prenions l’apéro, l’idée de créer notre propre breuvage apéritif nous est venue. Nous étions déjà amateurs de bon gin à ce moment-là, nous avons donc mixé ces deux idées » nous avait raconté l’homme aux soixante-deux points.

Les deux Herbagers avaient sorti une première version limitée qui a rencontré un franc succès. « Nos bouteilles se sont super bien vendues ! », s’exclame Fred Perin. « Nous étions scotchés de voir la rapidité avec laquelle les gens ont passé commande. Il nous aura fallu seulement… dix jours pour écouler tout notre stock. »

Loin de s’arrêter en si bon chemin, les deux complices ont remis le métier sur l’ouvrage pour proposer une nouvelle version de leur gin premium, avec autant de succès. « C’était notre projet de proposer à nos clients un produit différent. Nous aimons goûter plusieurs choses, voilà pourquoi nous avions opté pour nos recettes à édition limitée. Ainsi, nous pouvons proposer de nouveaux goûts à chaque fois. La « découverte » est quelque chose qui nous tient vraiment à cœur » nous précise Fred. « Cela ne fait que quelques jours que notre site internet www.hundredgin.be est ouvert, et nous avons déjà vendu une grosse partie de notre nouvelle collection. »

Qu’est-ce qui diffère entre cette seconde bouteille de gin et la précurseur ? « Le goût, tout simplement. Et c’est ce qui fait tout » sourit l’Aubelois d’adoption. « La première recette – qui n’est plus disponible – était à base de vanille, pastèque, zeste de citron et concombre. Cette nouvelle recette est aux arôme de vanille, poire, orange sanguine et baies de genévrier. On a un bel équilibre en bouche, une certaine longueur. Cela permet de déguster un gin plus automnal et hivernal. L’étiquette a également été adaptée pour différencier nos deux produits. » Et d’ajouter: « Nous conseillons ce gin avec un tonic neutre, poivre rose ou méditerranéen. Les épices à ajouter dans le verre sont soit du poivre rose, soit un zeste d’orange. »

Avec un tel succès, impossible de ne pas penser à l’avenir pour les deux jeunes entrepreneurs. « Nous comptons sortir une édition illimitée dans le courant de l’année 2021 pour que nos clients puissent retrouver notre marque s’il le souhaitent. Cette version sera disponible chez certains cavistes, restaurants et bars lounge » nous informe Fred. « A côté de cela, nous sortirons toujours une édition limitée chaque année, avec une nouvelle recette à chaque fois. C’est notre concept principal et nous voulons le perpétuer pour proposer un produit premium et rare à nos clients. »

Informations pratiques: Les commandes se réalisent uniquement sur le site www.hundredgin.be. La bouteille est de 50cl, contient 40° d’alcool et est au prix de 39€. Fred et Marvin proposent un système de points collecte sur Sprimont ou sur Vottem, ou alors une livraison à domicile (via la poste) pour 5€ supplémentaire par bouteille.

Crédit photo: Laurine Broca

« J’ai prouvé quelque chose aux Etats-Unis »

Julie Allemand se confie à Game Time Activity dont elle est la marraine.

On ne la présente plus, ou presque ! Julie Allemand, leader de Montpellier, a brillé en NBA à Indiana pour sa saison rookie et est une des figures de proue des Belgian Cats.

L’ancienne meneuse d’Alleur est également la marraine de Game Time Activity et s’est confié à l’association au cours d’une interview vidéo.

Julie Allemand Interview by Gametime Activity – YouTube