L’ancienne maison de Michael Jordan dans l’Illinois est sur Airbnb.
Vendu il y a peu pour 9,5 millions de dollars, l’ancienne demeure de Michael Jordan est désormais disponible à la location.
Pour profiter de cette maison qui comporte neuf chambres, un court de tennis, un terrai de golf, une bibliothèque et un terrain de basket, il faut compter sur environ 100 000 dollars la semaine.
Avant de partir vivre en Suisse, Julien Walravens revient sur la magnifique saison des Limbourgeois de Tongres en TDM2.
Julien, quel bilan fais-tu de cette saison 2024-2025 ?
Ce fut une super saison ! Nous avons terminé premiers de la phase régulière… Quoi de mieux ?
Qu’as-tu pensé de votre championnat de TDM2 ?
C’était un championnat où nous pouvions clairement observer la différence entre les équipes du top et celles du bas du tableau, mais avec des matchs super intenses pour terminer la saison à cette belle première place.
Quels furent les moments forts que tu as vécus cette année ?
Il y a les quelques victoires de plus de trente points mais surtout notre victoire à domicile contre Hasselt en récupérant notre déficit de points de la première manche des Playoffs.
La saison prochaine, tu n’évolueras plus sous le maillot de Tongres puisque tu pars en Suisse pour un an. Que peux-tu souhaiter à tes coéquipiers ?
J’espère que l’équipe terminera encore dans le Top 3… Mais je n’ai aucun doute, j’ai confiance en eux. Quant à moi, nous verrons bien ce que me réserve la Suisse.
Ajay Mitchell a montré la voie à suivre à ses coéquipiers pour entamer idéalement la Summer League de Las Vegas.
C’est en début de rencontre que les jeunes du Thunder ont su prendre une option sur la victoire. Menant 22-15 après douze minutes, les espoirs d’OKC, avec une rotation réduite à dix, ont réussi à conserver leur avance tout au long de la partie pour finalement s’imposer 90-81. Une première victoire pour lancer idéalement cette Summer League de Las Vegas.
Une rencontre dans laquelle Ajay Mitchell a de nouveau brillé, terminant meilleur marqueur de sa formation. Le Liégeois a inscrit 20 points à 6 sur 13 aux tirs, pris 5 rebonds, délivré 2 passes décisives, subtilisé 2 ballons et réussi 1 contre.
Dans le revers des Sparks face aux Lynx, Julie Vanloo a pris feu derrière l’arc pour signer une jolie prestation.
Nouveau revers pour les Sparks, vaincues à domicile par les Lynx 82-91. Un revers dans lequel Julie Allemand a compilé 7 points, 2 rebonds et 4 passes décisives en 23 minutes. Julie Vanloo a elle passé un peu moins de 17 minutes sur le parquet, le temps de prendre feu derrière l’arc. L’Ostendaise convertissait 5 triples en 7 tentatives, scorant ainsi 15 points pour aller avec ses 2 rebonds et ses 3 assists. Elle signait ainsi sa prestation la plus aboutie avec sa nouvelle franchise.
Pour la première fois de sa jeune carrière, le Liégeois Valentin Moniquet a vécu la parade du titre NBA à Oklahoma City devant 650 000 supporters.
Il y a quelques jours, deux Liégeois s’installaient sur le toit du monde : Ajay Mitchell et Valentin Moniquet. Le rookie et le préparateur physique du Thunder étaient, avec tous les membres de la franchise d’OKC, sacrés champions NBA au terme d’un ultime Game 7 contre les Pacers d’Indiana. Le Graal absolu pour Ajay Mitchell, qui disputait sa première saison avec le Thunder, et pour Valentin Moniquet qui officiait pour la seconde année dans l’état des tornades.
Un titre célébré lors de la traditionnelle parade réservée aux champions qui déambulent dans leur ville sous les acclamations de leurs fans. « La parade, c’était vraiment un truc de fou », s’exclame Valentin Moniquet impressionné par le nombre de supporters venus pour l’occasion : 650 000 visiteurs rassemblés sur un parcours d’environ 1,5 kilomètres. « Oklahoma City compte environ 900 000 habitants. A la grosse louche, c’est trois quarts des habitants qui sont venus fêter ce titre avec nous, en pleine semaine, en pleine journée. Cela montre bien l’engouement de cette ville envers la franchise. »
Un jour spécial qui restera gravé dans l’esprit du jeune Liégeois. « La joie des personnes présentes était palpable, qu’elles soient au premier rang ou tout derrière. Il n’y avait que de la bonne humeur », remarque-t-il aussi. « En outre, elles ont eu une attitude exemplaire, il n’y a eu aucun débordement. Peu importe les différences sociales et les problèmes de société, tout le monde était réuni dans le même état d’esprit. »
Un titre qui rassemble, au terme d’une saison historique. « Il n’y a que le sport qui peut ainsi réunir tout le monde dans un but commun et une joie partagée », assure Valentin. « Cela permet d’oublier un peu, le temps d’un instant de célébration, tout ce qui peut se passer ailleurs. Je suis convaincu qu’il n’y a que le sport qui peut ainsi créer de telles émotions, transcender les clivages et unir des gens différents. C’est quand même magique. »
Depuis, Valentin a atterri en Belgique. Il est notamment passé à Liège Atlas où, en tant qu’ancien élève du Sport-Etudes-Basket créé il y a plus de vingt ans par Yvan Fassotte, il est venu remettre le prix basket à la remise des diplômes des élèves de rhéto. « Je vais être off pendant trois semaines puis je recommencerai à travailler tout doucement, avec quelques voyages prévus. C’est chouette de pouvoir passer du temps en Belgique avec tous ceux qui nous ont soutenus durant ces Playoffs », conclut le champion NBA.
Devin Booker prolonge à Phoenix contre une énorme chèque.
Après une saison totalement loupée, les dirigeants des Suns ont décidé d’expédier Kevin Durant à Phoenix et envisage de négocier un buy-out avec Bradley Beal. La franchise de l’Arizona a décidé de reconstruire autour de Devin Booker et a pour cela prolongé Devin Booker au prix fort. L’arrière a paraphé une prolongation de contrat de deux ans et 145 millions de dollars afin de rester lié avec les Suns jusqu’en 2030. Lors des deux dernières saisons de ce contrat à 316 millions de dollars, Devin Booker touchera un salaire 72,5 millions de dollars, le plus conséquent jamais observé, devant celui de Shai Gilgeous-Alexander (71,3 millions de dollars).
Lors de cet Euro, Julie Vanloo a de nouveau prouvé son importance au sein du dispositif belge.
Avec le retour de Julie Allemand, Julie Vanloo a pu retrouver le rôle qu’elle affectionne tant : celui de feu-follet dans l’attaque des Cats. Que cela soit à (très) longue distance, en pénétration, à la création ou encore au rebond, Julie Vanloo s’est montrée précieuse dans la quête de ce second titre européen.
Si elle a manqué d’adresse (34% aux tirs dont 25% derrière l’arc) et d’un peu de régularité, Julie Vanloo a su compenser en trouvant idéalement ses partenaires sur le terrain. Moins dispendieuse (un peu moins de deux balles perdues) avec le cuir malgré un jeu toujours aussi spectaculaire, l’emblématique Belgian Cat boucle son Euro avec une jolie ligne de statistiques : 9,8 points, 4 rebonds et 5,3 assists. Huitième meilleure passeuse du tournoi, Julie Vanloo accompagne Kyara Linskens dans le All-Star Second Five de la compétition. Une juste récompense pour une joueuse indispensable et qui a le don de réussir des actions spectaculaires.
Après avoir été brutalement coupée par les Valkyries, la combo-guard a rapidement retrouvé de l’embauche et rejoint Julie Allemand dans la Cité des Anges pour défendre les couleurs des mythiques Sparks de Los Angeles.
Après avoir brillé en Belgique, Ismaël Bako avait poursuivi sa progression à l’ASVEL. Le pivot belge avait ensuite joué une saison à Manresa (10,3 points) en Espagne et une autre à la Virtus Bologne (6,1 points), en Italie, avant de partir en Russie, à l’Unics Kazan (9,4 points, 6,8 rebonds et 1,2 contre) où il évoluait depuis deux ans sans toutefois pouvoir disputer des compétitions européennes, le club russe étant sous le coup de sanction depuis le début du conflit face à l’Ukraine.
Bonne nouvelle : le Belgian Lion va retrouver l’Euroleague puisqu’il a choisi de rejoindre le Paris Basketball ! Auteur d’un doublé Coupe-championnat en 2021 avec les Lyonnais, Ismaël Bako va retrouver un championnat parfaitement taillé pour lui et une équipe championne en titre et ambitieuse.
Le meneur liégeois s’est à nouveau illustré à Salt Lake City.
Avec un bilan équilibré, les jeunes pousses du Thunder affrontaient celles du Jazz qui étaient alors invaincues. Dans le sillage d’un Ajay Mitchell auteur à nouveau d’une prestation très complète avec 19 points, 5 rebonds 8 assists et 2 steals en 26 minutes, le Thunder prenait l’avantage dans le premier quart-temps, 25-22. Les Mormons réagissaient ensuite, profitant de la maladresse de leurs adversaires pour passer devant à la pause, 36-39. Au retour des vestiaires, les locaux continuaient sur leur lancée pour faire le break, 57-73 à la demi-heure. Le meneur liégeois et ses coéquipiers poussaient pour revenir dans la dernière ligne droite mais échouaient d’un fifrelin, 82-86.
Julie Allemand a confirmé son statut de meneuse vedette au cours d’un Euro plus que réussi.
Comme elle avait manqué aux Cats aux JO de Paris ! Revenue dans le groupe pour cet Euro, Julie Allemand s’est montré déterminante. Régulière – aucun match à moins de 9 points – et efficace autant en pénétration que derrière l’arc, la meneuse liégeoise a parfaitement organisé le jeu belge et pris ses responsabilités, comme en finale ( (19 points, 4 rebonds, 2 assists et 2 interceptions)) où elle a marqué cinq points consécutifs dans la folle remontada belge.
Arrivée tard de WNBA et alors qu’elle avait subi une opération quatre mois plus tôt, Julie Allemand est montée en régime au fur et à mesure du tournoi jusqu’à finir en apothéose en finale. Sa présence a aussi permis de libérer Julie Vanloo de l’organisation stricte du jeu des Cats et au coach Mike Thibault d’aligner une formidable doublette sur les postes 1 et 2.
Un euro marqué par une second titre – historique ! – et que Julie Allemand boucle avec une ligne de statistiques très complète : 12,5 points, 4 rebonds et 4 assists. Grâce à ses prestations remarquées, la distributrice belge a été choisie pour figurer dans la All-Star Team de ce championnat d’Europe, en compagnie notamment d’Emma Meesseman.
Observateur attentif du parcours des Cats et présent à Athènes pour la finale face à l’Espagne, Raphaël Allemand n’en finit pas d’être étonné de la trajectoire de sa soeur. « Le niveau de ma soeur dans cette finale était incroyable ! Sortir un match pareil en finale, c’est immense ! Elle est sur le toit de l’Europe là« , commentait le frère de Julie Allemand. « Elle continue de progresser d’année en année, notamment dans sa gestion des grands moments. »
Point de répit pour la meneuse liégeoise qui est directement repartie outre-Atlantique pour rejoindre les Sparks de Los Angeles. Rejointe aux Sparks par Julie Vanloo, Julie Allemand tentera de décrocher les Playoffs avec sa franchise californienne.