« Nous visions le Top 3 »

Au moment où le Covid-19 signait la fin de la saison, Xavier Hubert et la Vaillante Jupille étaient loin de leurs ambitions initiales.

« Nous visions » le Top 3″ rappelle Xavier Hubert. « Notre saison fut décevante car nous avions un effectif assez intéressant sur papier mais la réalité du terrain n’est pas la même. Nous avons réalisé un très mauvais début de championnat avec plusieurs défaites de quelques points contre de très bons jeunes – Alleur, Saint-Louis et Cointe. Notre victoire volée à Wanze en Coupe nous a également fait beaucoup de mal.« 

Lorsque la saison fut stoppée nette pour des raisons sanitaires, les Jupillois présentaient un bilan déficitaire en P2B. « Le niveau de notre série m’a agréablement surpris. Certains équipes étaient à mes yeux plus fortes que plusieurs P1 en 2017 et 2018, mes deux années passées au sein de l’élite provinciale » souligne l’ancien Aubelois. « Je me sentais bien cette saison et j’ai pas mal apporté à certaines rencontres mais plusieurs blessures m’ont gêné longtemps. Je me prépare pour la prochaine campagne. » Et de conclure: « Nos belles victoires contre Tilff, Wanze ainsi qu’à Awans et Harimalia furent de bons moments, tout comme les belles fêtes avec un chouette groupe. »

« Linehan nous en faisait voir à l’entrainement »

A Hartford Univeristy, Romain Boxus a eu la chance de pouvoir travailler avec celui que Kobe Bryant himself considérait comme le plus dur défenseur à qui il a eu affaire au cours de sa carrière: John Linehan.

« J’ai eu la chance d’avoir beaucoup de sessions individuelles avec de bons coachs comme John Linehan – surnommé « Le virus » en France – pour développer ma technique » nous confiait Romain Boxus début avril. « Il nous en faisait voir à l’entrainement. Il possède toujours le record de steals en NCAA. »

John Linehan a effectué la majeure partie de sa carrière en ProA, au Paris Basket Racing avant de passer par Stasbrourg, Nancy, Cholet et de revenir au SLUC pour boucler la boucle. Auteur de quelques brillantes saisons – notamment une saison à plus de quinze points par match et d’autres à plus de dix points – et détenteur un moment du record d’assists en Euroleague avec quinze caviars, c’est en défense que le double champion de France s’est particulièrement illustré. Un secteur dans lequel « Le Virus » brille depuis toujours.

« Dans ma ville, à Chester en Pennsylvanie, on est connu pour jouer vraiment dur en défense. Je crois que ma mentalité vient de là, alors que j’étais encore jeune. Le fait d’être petit aussi, j’ai toujours fait partie des joueurs les moins grands de ma catégorie, je me devais de faire quelque chose de différent des autres. J’étais très rapide par contre. On ne veut jamais se retrouver dans l’embarras sur un un terrain de basket et en ce qui me concerne, j’ai toujours eu cette volonté d’éteindre mon adversaire direct en l’empêchant de marquer. J’ai donc eu cette mentalité très tôt. Lorsque j’ai grandi et que j’ai commencé à jouer en AAU (Amateur Athletic Union, réservé aux joueurs âgés de 7 à 18 ans) avec Kobe Bryant et Richard Hamilton, j’ai compris qu’il n’y avait pas assez de ballons pour chacun d’entre nous sur un terrain de basket. Donc le seul moyen pour moi de me démarquer, c’était de me montrer sur l’aspect défensif. C’est parti de là, j’ai ensuite appris à être une vraie peste pour les adversaires, essayer d’arracher des ballons, casser la dynamique » explique ainsi « Le Virus » sur le site de la LNB. « 

Une phrase qui m’a suivie toute ma carrière

En effet, alors encore adolescent, Linehan s’était déjà forgé une solide réputation de docteur ès défense. Au point d’être considéré par Kobe Bryant himself comme l’adversaire le plus coriace à avoir défendu sur lui. « Ça va peut-être vous faire rire, mais c’est un gars qui s’appelle John Linehan » avait répondu le « Black Mamba » au journaliste Lars Anderson lorsque celui-ci lui avait demandé qui était le défenseur le plus dur qu’il ait jamais affronté. Un éloge qui avait rendu fier l’ancien meneur de la SIG. « Je n’arrivais pas à y croire, ça m’a fait me sentir tellement bienQue quelqu’un d’aussi bon que lui et au niveau auquel il évoluait à cette époque dise ça de toi, je peux vous dire que ça vous fait vous sentir plutôt bien. C’est une phrase qui m’a suivie toute ma carrière et ça m’a beaucoup aidé » avait-il réagi.

Linehan et Kobe se sont rencontrés plusieurs fois en étant plus jeunes et furent même coéquipiers sur le circuit AAU. En dernière année de High School, Chester – où évoluait Linehan – et Lower Marion – où brillait la future légende des Lakers – se sont affrontés. Et l’actuel assistant-coach de Hartford University a mené la vie dure au quintuple champion NBA. « Les équipes de nos lycées respectifs se sont affrontées à de nombreuses reprises. On jouait également contre et ensemble durant l’été, dans différentes ligues. Chacun de ces matchs était mémorable et c’est même lui qui a mis fin à ma carrière à Chester. On a perdu en prolongation le match qui nous permettait d’accéder au plateau final de l’État de Pennsylvanie. Et si je me souviens bien, il avait fini avec 39 points, 27 depuis la ligne de lancer-francs ! Je n’en ai jamais vu un autre comme lui. Il nous a laissés à tous un paquet de souvenirs mémorables » se souvient le distributeur de poche.

Une rencontre remportée 77-69 en overtime par Kobe – auteur d’un énorme dunk pour sceller la victoire de son lycée – et ses coéquipiers mais qui aurait pu bouleverser l’avenir du mythique numéro 24. « C’est ce match qui a fait penser à tout le monde que Kobe Bryant n’était pas encore prêt pour être un joueur NBA.Tout le monde disait qu’il n’arrivait pas à passer le milieu de terrain avec le ballon en main contre Chester » raconte l’ancien assistant-coach de Lower Marion. « Et je me rappelle leur dire à tous : Vous ne comprenez pas, John Linehan est plus rapide que n’importe quel meneur NBA!« 

Finalement, Kobe confirmera son énorme potentiel au plus haut niveau tandis que Linehan continuera d’être un défenseur d’élite avant de pousser Romain Boxus et ses coéquipiers à progresser grâce à d’excellentes sessions individuelles.

L’ancien leader du Paris Basket Racing n’hésite d’ailleurs pas à partager ses « trucs » pour performer en défense. « J’ai appris de la nécessité d’être aussi près que possible de la personne sur qui je défends, bien sûr, sans faire de faute. Personne n’aime avoir quelqu’un comme ça sur le dos. Mais le truc le plus important que j’ai appris, c’est de jouer avec les angles et comment pousser mon joueur à changer de direction. Je ne peux pas courir tout droit à côté de lui, je dois lui couper la route autant de fois que possible. C’est le seul moyen, d’une, d’arrêter son dribble, et, de deux, de maîtriser sa vitesse. Dès qu’il change de direction, le ballon est exposé et si je suis bien placé, ça fait autant d’opportunités pour moi de lui prendre. L’idée aussi, c’est d’utiliser les limites du terrain, les corners, pour mettre la pression et le piéger, presque à moi tout seul. Ça peut t’aider à mieux maîtriser un joueur. Ce sont des choses qui s’apprennent, comment rester proche d’un gars, travailler ses angles et savoir quand c’est le bon moment pour se jeter sur le ballon » explique-t-il au site de la LNB. « Il faut avoir l’état d’esprit nécessaire, le mental d’un guerrier. Si tu m’as vu jouer, tu as vu que je m’étais cassé le nez trois fois, j’ai perdu des dents, je me suis cassé des os, les poignets. C’est comme ça. Il faut être un guerrier, avoir la volonté de stopper le gars en face de toi, par tous les moyens possibles. L’idée que ton adversaire marque un panier doit t’être insupportable. Il n’est plus question de l’équipe, ça devient un combat personnel. L’équipe a pour objectif de gagner en essayant de contenir l’adversaire à un certain nombre de points marqués, mais personnellement, je ne veux pas que mon adversaire score, pas une seule fois. » Et nombreux furent ceux qui ont souffert face au meneur américain…

« Chaque club peut revoir ses ambitions à la hausse »

Une série de TDM2 uniquement wallonne peut-elle servir les ambitions de nos représentants?

« Je ne comprends pas trop cette décision mais c’est ainsi » réagit Jordan Maucourant à l’annonce des nouvelles séries de TDM2. « Je trouve cela dommage car jouer contre les formations flamandes est assez motivant. Sinon, il n’y aura guère de conséquences hormis que nous aurons des trajets similaires à une série régionale. »

Néanmoins, avec les ogres de Flandre cantonnés dans leur moitié de pays, les Liégeois peuvent sans doute être davantage ambitieux. « Avec cette décision, je pense que chaque club peut revoir ses ambitions à la hausse mais il ne faut absolument pas se dire que cela sera plus facile de gagner sans nos voisins du Nord » conclut le pétaradant Pepin.

« Je me languissais de rencontrer des amis sur le terrain »

Pour Gaëtan Hertay, la prochaine saison s’annonce inédite avec l’impact du Covid-19 et une division trois régionalisée. Le futur intérieur de Tongres fait le point pour Liège & Basketball. Entretien.

Gaetan, quelle est ton opinion concernant le retournement de situation en TDM2?

Je trouve cela dommage. J’espérais jouer beaucoup de « derbies » contre les équipes liégeoises. J’espère sincèrement que nos instances dirigeantes vont revenir sur cette décision et conserver les séries initiales. Ou alors mettre Tongres dans la série wallonne.

La série flamande s’annonce sacrément relevée!

Oui, nous risquons d’avoir une série assez forte. Mais je trouve vraiment dommage d’en arriver à séparer Flamands et Wallons pour cause de désaccords entre les fédérations.

Tu y vois tout même des points positifs?

Oui, celui d’avoir un Wallon à l’étage supérieur à la fin du prochain championnat. J’espère qu’il s’agira d’un Liégeois.

Pour toi, la prochaine saison sera tout à fait particulière.

Tout d’abord, il faudra voir quand le championnat va reprendre et comment il sera organisé. Nous ne sommes à l’abri de rien avec le Covid. Ensuite, je me languissais de rencontrer des amis sur le terrain. Ce sera la première saison que je ne rencontrerai aucun adversaire connu… Ce n’est plus un championnat national mais bien un championnat régional.

« Comme la restauration ou la culture, le sport est un univers qui rassemble »

Quand le basketball pourra-t-il reprendre ses droits? Un peu partout dans le monde, tant au plus haut niveau que chez les amateurs, cette question demeure (presque) insoluble.

Dans un entretien accordé au magazine Le Point depuis sa résidence dans l’Utah, Boris Diaw s’est penché sur la question du sport en cette période de pandémie mondialisée. « Le sport est un oublié du déconfinement. C’est évident, ce n’est pas quelque chose qui peut recommencer tout de suite. Comme la restauration ou la culture, le sport est un univers qui rassemble et, avec une telle crise sanitaire, cela paraît compliqué. Surtout les sports collectifs comme le basket. C’est du contact, beaucoup de contacts, et les joueurs ne peuvent s’affronter ou s’entraîner ensemble. J’ai bien peur que la reprise du sport soit la chose que l’on va repousser le plus. C’est d’autant plus triste pour les sports collectifs » a développé « Babac ».

Invité à réagir aux déclaration de la Ministre des Sport qui affirmait que « le sport n’est pas la priorité dans notre société« , Diaw a livré sa vision des choses. « Comparé à l’ouverture des magasins alimentaires, évidemment que cela n’est pas quelque chose d’essentiel, dans une période d’urgence sanitaire et de survie. Il n’empêche : le sport touche aussi au moral des Français. C’est un élément clé de notre santé. On l’a tous vu : qu’ont fait les gens de la seule heure de sortie qui leur était autorisée pendant le confinement ? Du footing. Cela reste un besoin essentiel certes secondaire, mais essentiel dans notre société » a-t-il assuré au Point.

Alors que la Bundesliga a repris ses droits en Allemagne, la NBA étudie l’hypothèse d’une reprise à huis-clos dans un lieu unique. « Cela apparaît très compliqué de reprendre. Le problème pour la NBA est financier, parce que l’arrêt impacte les droits télévisés, des pertes d’argent pour les joueurs et pour les clubs, qui font travailler de nombreuses personnes. Le championnat américain est une grosse multinationale qui marche, comme d’autres, sur des œufs : le risque financier ou le risque sanitaire ? La NBA, ce n’est pas que des jeunes joueurs en pleine forme. Ces derniers sont au contact d’arbitres, de dirigeants, de kinésithérapeutes, etc. Il suffirait d’un seul problème sanitaire pour ternir la réputation de la NBA. Et, là aussi, les conséquences seraient dramatiques » analyse Boris pour le média français.

« Qu’est-ce que LeBron a fait pour construire une organisation? »

Pour Paul Pierce, LeBron James ne fait pas partie du Top 5 des meilleurs joueurs de l’Histoire. Voilà pourquoi.

« Voilà pourquoi : et tout part de l’épisode 10 de The Last Dance lors duquel on voit Michael Jordan dire: je veux construire une organisation similaire aux Boston Celtics, aux Sixers, et et nous connaissons tous la tradition des Lakers. Tous les grands joueurs ont construit la tradition de leur franchise, Kareem (Abdul-Jabbar) et Magic (Johnson), et Kobe (Bryant) et Shaq ont perpétué cette tradition, 3 titres ensemble, 2 pour Kobe à lui seul. (Larry) Bird a perpétué la tradition avec les Boston Celtics en remportant 3 titres. (Michael) Jordan a démarré une tradition à Chicago, avec 6 titres. Les Spurs, avant que Duncan arrive, ils n’étaient même pas sur la carte. Il a construit cette organisation. Donc quand je regarde en arrière et que je parle de ces joueurs, qui sont dans le Top 5, ils ont construit une franchise ou perpétué la tradition, je me demande : Qu’est-ce que LeBron a fait pour construire une organisation ? Ces joueurs dont je parle, ils sont tous dans le Top 5 ou le Top 10. Bill Russell a construit la franchise de Boston, et on devrait lui donner bien plus de crédit qu’on ne le fait, on l’oublie très souvent dans la discussion. Écoutez les noms que je donne :  Kareem, Magic, Jordan, Tim Duncan, Kobe, Larry. Ces gars sont des joueurs du Top 10 qui ont, soit aidé à construire leur organisation ou soit perpétué la tradition. LeBron est allé assembler une équipe à Miami. Puis il est revenu à Cleveland pour assembler cette équipe. Puis il est allé aux Lakers, là où la tradition était encore là, et il va falloir être patient pour voir si elle va être perpétuée. Voilà mon argument » a développé Pierce pour ESPN.

Quelle était la différence entre Kobe et MJ?

Une bague, plusieurs titres de MVP et de MVP des Finals, de meilleur scoreur ou de meilleur défenseur de la ligue répondront certains. Rick Fox, ancien Tar Heel et coéquipier de Bryant, livre son opinion.

« Que vous le vouliez ou non, Mike était en compétition avec vous. Il ne pouvait pas rouler de Chapel Hill à Wilmington sans faire la course. Michael voulait tout gagner », raconte l’ancien champion NBA.

« Je pense que Kobe est surtout en compétition avec lui-même. Il se met au défi et se fixe des objectifs et il a juste besoin de gens autour de lui pour l’accompagner. Il pratique un sport individuel au sein d’un jeu d’équipe. Et il domine. Mais dès qu’il est sorti du terrain, il ne cherche plus à faire la compétition avec vous. Il était obsédé par les objectifs qu’il s’était fixé à 15 ou 16 ans. »

« Pour l’instant, nous voulons juste jouer »

Avec la nouvelle mouture des séries de TDM2, Comblain et Clément Matisse se positionnent encore davantage pour le titre.

Mardi soir, la décision de scinder les séries de TDM2 était prise. « Une décision assez inattendue et cela va faire assez bizarre pour nous. Néanmoins, il n’y aura pas beaucoup de changements pour nous à part les longs trajets » rigole Clément Matisse.

Déjà unanimement pointé parmi les candidats au titre lors de la parution des séries intiales, Comblain deviendrait-il, sans la présence des clubs flamands, le super favori? « Nous restons avec les mêmes objectifs. Nous serons ambitieux quand nous aurons le droit de rejouer au basket. Pour l’instant, nous voulons juste jouer » nous répond le futur ailier du Mailleux.

« Cela va être une série très ouverte » annonce Maxime André qui nourrit avec Belgrade des ambitions de Top 3. « Même si ca reste jeune, Comblain demeure le favori selon moi. »

« Illogique de régionaliser une division nationale »

Arrivé de Liège à Sprimont avec plusieurs coéquipiers, Louis Titeca ne sera pas dépaysé dans une TDM2 assez similaire à la R1 dans laquelle il évoluait cette saison. Interview.

Louis, t’attendais-tu à pareil dénouement concernant la TDM2?

Non, je suis surpris et déçu de la décision qui a été prise. Je trouve cela illogique de régionaliser une division nationale. Nous savions que les poules proposées ne convenaient pas à tout le monde mais la décision prise devait être la dernière envisageable, surtout pour une saison. C’est vraiment triste.

Quelles conséquences cela pourrait-il avoir?

Il n’y en aura pas vraiment au final, hormis des déplacements réduits qui arrangeront certains. Cela restera un championnat à vingt, trente rencontres j’imagine. Le seul changement est qu’il n’y aura pas vraiment de D3 nationale l’année prochaine et que c’est une première qui n’aurait jamais dû arriver.

Cela modifie-t-il vos ambitions?

Nous ne modifierons pas nos ambitions. Elles sont claires: arracher un maximum de victoires. Nous serons une nouvelle équipe qui, je l’espère, offrira un peu de surprise(s) à tout le monde.

Crédit photo: Philippe Collin

« La dernière association nationale des coachs belges »

Fondée en 1966, la BBCA – la dernière association nationale des coachs belges présidée par le Liégeois Jacques Delcomminette – sort une édition spéciale Coronavirus de son trimestriel « Rebound ».

Alors que la TDM2 est – provisoirement? – régionalisée pour la prochaine saison, il existe encore une forme d’unité dans le basket belge grâce, notamment, à l’Association Belge des Coachs de Basketball. « La BBCA a été fondée en 1966. Son Président actuel est Jacques Delcomminette, bien connu dans le paysage du basket liégeois » nous informe Benoit Volant. « Nous sommes la dernière association nationale regroupant les coachs belges du Nord et du Sud du pays. Notre mission est de soutenir les coachs de basket en organisant des clinics – en néerlandais et en français – deux fois par an et en éditant le magazine « Rebound » qui contient de nombreux conseils d’entrainement, des exercices et bien plus encore… Nous avons beaucoup d’autres projets pour le futur, notamment celui de créer une grande base de données d’exercices commune à tous les entraineurs. »

Suite à la pandémie, le clinic organisé par la BBCA et qui devait se tenir à Ougrée a dû être reporté. « Il y a de fortes chances que, lorsque la situation le permettra, il soit encore organisé dans la Province de Liège » nous précise Benoit. Par contre, le dernier numéro de « Rebound » vient de paraitre. »

« Ce magazine est publié quatre fois par an et contient des articles pratiques donnant des conseils d’entrainement, de drills mais aussi des notes de clinics auxquels nos membres ont participé et des systèmes tactiques » nous explique celui qui est l’éditeur responsable de « Rebound ». « Le dernier numéro est un numéro spécial Coronovirus avec des conseils d’un préparateur physique pour la reprise, de nombreux drills et des conseils pour préparer la prochaine saison.« 

Comment devenir membre de la BBCA? « Il suffit de se rendre sur notre site web et de remplir le formulaire d’adhésion (lien: https://belgianbasketballcoaches.be/fr/devenir-membre/) avec deux formules possibles: BBCA uniquement (20,00 € / an) ou combiné avec nos partenaires de la Vlaamse Basketball Association pour 5,00 € de plus (25,00 € / an) avec comme supplément accès au magazine « Overtime » (mensuel en néerlandais) » nous répond Benoit. « Tous les membres de la BBCA ont des réductions sur les clinics organisés et sur leurs commandes de clinics vidéo MP4. A savoir que toute personne voulant s’investir comme nous dans l’association – qui compte aussi un vice-Président, un trésorier et un secrétaire – est la bienvenue. Les renseignements se trouvent sur notre site web.« 



Le site de la BBCA: https://belgianbasketballcoaches.be/fr

Pour suivre l’actu de la BBCA sur Facebook: https://www.facebook.com/BBCA-Belgian-Basketball-Coaches-Association-451489314977664