« J’ai fait le tour de la question »

Pour Liège & Basketball, Arnaud Fabry revient sur sa décision de raccrocher les sneakers et évoque ses souvenirs de vacances.

Arnaud, en vacances, tu continues de taquiner un peu le ballon?

Ah non, ce n’est plus pour moi. Cette année, je vais taquiner un maximum l’apéro et les barbecues (rires). Pas de prépa, de jogging ou de shoots… Mais j’irai voir mes amis avec plaisir.

Pourquoi avoir décidé de raccrocher les baskets?

J’ai vraiment fait le tour de la question. Après autant d’années, je n’avais plus cette flamme indispensable pour poursuivre. J’ai envie d’avoir mes weekends de libre et de profiter un maximum. J’ai commencé le crossfit il y a cinq mois et retrouvé cette motivation qui me manquait. Je suis plus flexible au niveau des horaires… Mais on continuera de voir ma petite tête dans les salles de basket, comme supporter désormais (rires).

En ce début de mois de juillet, peux-tu nous définir tes vacances idéales?

Je n’ai pas de définition toute faite. Le mieux est de partir en famille pour profiter un maximum et décompresser et, ensuite, repartir entre amis. Et encore, selon le choix, tu auras des vacances calmes ou digne du Green Temple.

Quel est ton meilleur souvenir de vacances?

Difficile à dire. J’ai autant trouvé splendide le canyoning dans les Gorges du Verdon, que ma journée en bateau à Ibiza entre potes. Nous avions la mer pour nous… Chaque voyage est enrichissant à sa manière. Je pourrais aussi parler des sept années au tournoi « international » de basket à Beaune… C’est des vacances de trois jours mais impossible de tenir plus longtemps (rires).

Quel est l’endroit dans le monde que tu as visité et qui t’a laissé la plus forte impression?

J’ai eu un vrai coup de coeur pour Lisbonne. Ce fut vraiment une belle découverte et une ville pour laquelle j’ai un attachement spécial au niveau personnel.

Et quelle fut ta pire expérience en vacances?

En Egypte, sous quarante degrés, j’ai complètement brûlé aux chevilles et aux pieds. Très pratique pour porter des « clapettes » ou des chaussures… C’était atroce. Le jour d’après, je devais aller visiter une magnifique île. Arrivé sur place, j’ai loué un cabanon pour me cacher du soleil. Je n’ai rien vu de l’île (rires).

Cette année, où pars-tu en vacances?

Je vais en famille à Usez, un mix entre balades et farniente.

« J’ai toujours eu envie de fonder un club de basket »

Un nouveau club a vu le jour en région liégeoise, le Cristal Seraing. Renaud Leclercqs, Directeur Technique du nouveau matricule 2722, nous parle de ce projet ambitieux.

Ces dernières semaines ont vu la création de deux nouveaux clubs en Province de Liège. Le « White Tigers », club exclusivement féminin fondé par Antoine Braibant, et le Cristal Seraing lancé par Renaud Leclercqs. Une figure bien connue dans le microcosme du basket wallon et bruxellois. « Je suis dans le basket depuis l’âge de six ans. Après avoir fait ma formation au Haut-Pré et à Pepinster, j’ai joué en seniors en D2 et D3. En tant que coach, j’ai travaillé pendant cinq ans au sein d’Uccle Europe à bruxelles où j’ai créé et développé une structure en partant de presque rien. Cela fait désormais une année que je suis actif dans le basket féminin en tant que coach de la R2 de Ganshoren Dames Basket » nous résume Renaud qui sera le Directeur Technique de Cristal Seraing. « C’est moi qui insufflerai la philosophie sportive et définirai la politique d’apprentissage. La particularité est que je serai également présent dans le C.A. pour m’assurer que la formation reste au centre des préoccupations du club.« 

Mais comment l’idée de créer un nouveau matricule lui est-elle venue? « J’ai toujours eu envie de fonder un club de basket » nous apprend Renaud. « J’aime entreprendre. D’ailleurs, ma première fonction après ma carrière de joueur fut celle de Directeur technique. Après avoir vécu douze ans à Bruxelles, je suis revenu dans ma région et j’ai cherché un projet dans lequel m’investir. J’ai appris que Seraing n’avait plus de club, c’était une opportunité à saisir.« 

La nouveau matricule 2722 évoluera l’école de la Troque, dans les anciennes installations du BC Seraing, et a pour ambitions d’inscrire trois équipes (U8, U10 et U12) pour la prochaine saison. « Dans un premier temps, nous nous limitons aux équipes de mini-basket afin d’inculquer aux enfants notre philosophie et notre éthique de travail » nous précise Renaud. « Notre volonté à court terme est de redévelopper une activité basket à Seraing. Nous espérons pouvoir développer un programme de formation afin d’aider les joueurs dans leur apprentissage du basket et des valeurs collectives. »

Cristal Basket Seraing, qui jouera en noir et rouge, « veut développer les jeunes et les amener à leur plus haut niveau de performance« . « Mais, attention, nous ne serons pas qu’un club qui vise la performance, nous voulons aussi construire une option « basket pour tous » avec un encadrement et un suivi efficace » nuance son fondateur. Une bien belle initiative que Liège & Basketball ne manquera pas de saluer!

« Le club a respecté sa parole et ses engagements »

Avec un doublé Coupe/championnat, le bilan de Waremme est forcément idyllique. Mike de Keyser revient sur les dix derniers mois écoulés et évoque les dix prochains que les Wawas aborderont avec de vraies ambitions.

Mike, quel bilan dresses-tu de cette campagne écoulée?

Le bilan est plus que positif. Nos objectifs sont atteints avec ce doublé Coupe/championnat et une alchimie et une cohésion créées, ce qui n’était pas gagné d’avance. La saison fut un peu longue pour nous, surtout après la Coupe. A deux journées de la fin, quand nous fûmes officiellement champions, ce fut « dur dur » de garder le groupe « éveillé » et motivé alors qu’il ne restait plus d’enjeu.

De quoi es-tu particulièrement fier?

Je suis très fier de mes joueurs, surtout qu’ils se soient tous mis au service de l’équipe. Certes, Sacha était au-dessus du lot de par son talent et son expérience de « pro », mais lui a su aussi faire grandir le groupe et bonifier ses coéquipiers. Crois-en mon expérience, ce n’est pas toujours le cas avec des « pros » qui redescendent de catégories.

As-tu des regrets?

Le seul regret, c’est peut-être d’avoir échoué d’un point à Erpent en Coupe AWBB et de ne pas avoir pu aller plus loin dans la compétition. Mais bon, ce n’est que partie remise.

Quel fut, pour toi, le moment fort de cette saison?

La gain de la Coupe, une première pour moi et pour tout le groupe et, surtout une revanche pour le club qui avait échoué de peu la saison précédente.

Quelles seront vos ambitions la saison prochaine en R2?

Le titre en R2 sera clairement notre objectif prioritaire. Et nous nous fixerons un second objectif: remporter la Coupe AWBB. Le club a respecté sa parole et ses engagements par rapport au projet « vendu » il y a un an. L’objectif de la R1 est là et, avec les transferts réalisés, je pense que nous avons toutes les cartes en main pour y arriver. Cela dit, pour ma part, je ne cesse de répéter à mon équipe de toujours respecter l’adversaire et qu’une saison est longue, surtout la prochaine avec les Playoffs. Mais il faudrait vraiment une catastrophe pour ne pas atteindre notre but. J’espère aussi, la saison prochaine, ne plus avoir à devoir continuellement « m’excuser » auprès des adversaires, de certains coachs adverses et autres de faire jouer des anciens « pros » dans mon équipe…

« Nous étions littéralement chez nous! »

Un des premiers articles de Liège & Basketball avait été consacré à Emmanuel N’Sama et à sa passion des voyages. Presque deux ans plus tard, nous avons rediscuté vacances avec Manu. Interview.

Manu, pour toi, c’est quoi des vacances idéales?

Ce serait des vacances où, tu peux à la fois découvrir des choses – paysages, cultures, etc. – et où tu peux aussi t’amuser et faire des rencontres (rires). Forcément, s’il y a du soleil, c’est mieux (rires).

Quels sont tes meilleurs souvenirs de vacances?

J’en ai plein, que cela soit lors de city trips avec mes amis ou en hôtel « all in ». Un de mes meilleurs souvenirs de vacances reste avec Romain Pirson à La Nouvelle Orléans. Nous étions littéralement chez nous! Nous avons appris des jeux de cartes à boire à des étrangers de toutes les nations de l’auberge et nous sommes sortis tous ensemble après en étant les guides de la soirée. Je suis persuadé que Romain s’en souvient encore (rires).

Et le pire?

Sûrement à Orlando où nous fûmes déçus de la ville et, en plus, nous nous sommes faits dépouiller la carte de Romain suite à la malhonnêteté de l’hôtel et un peu par ma faute. Encore sorry Romain.

Quel est l’endroit que tu as visité qui t’a laissé la plus forte impression?

New Orleans, sans aucun doute. Une culture et une ambiance au top!

Où pars-tu cette année?

En Grèce et, « Inch’ Allah » au Monténégro.

En vacances, tu continues à taper un peu la balle.

Hormis aux Etats-Unis – parce que l’envie de se mesurer aux Ricains est quand même présente et c’est facile d’ailleurs (rires) -, je ne joue pas au basket. C’est déjà assez pendant l’année (rires).

Rejoindrez-vous la meute?

Fondé par deux basketteurs liégeois, Alpha Minds est le nouveau venu dans le monde du textile belge. Une marque éthique, écologique et défendant des valeurs positives. Rejoindrez-vous la meute ?

A la base d’Alpha Minds, on retrouve deux basketteurs liégeois, Théo Lierneux de Visé et Sébastien Streel d’Ans. « Nous nous sommes connus grâce au basket et sommes amis depuis dix ans » nous confie Théo. « Ce projet a germé dans nos têtes depuis quelques temps déjà, nous cherchions un projet commun à réaliser ensemble. »

C’est ainsi que les deux comparses décident de lancer Alpha Minds, une marque de vêtements « sportswear ». « Un style qui nous ressemble » précise le joueur de Visé. « Nous proposons actuellement une gamme de t-shirts, polos, sweatshirts et hoodies, pour hommes et femmes. Nos vêtements sont en coton bio et polyester recyclé. Le tissu est doux, les finitions exemplaires et notre fournisseur, qui importe les tissus du Bangladesh, bénéficie du label commerce équitable » ajoute Sébastien.

Une dimension sociale et écologique chère aux deux fondateurs d’Alpha Minds. « Nous nous considérons comme une marque éthique. Nous voulons lutter en faveur de l’écologie, permettre une prise de conscience. Le textile utilisé est entièrement organique, c’est une de nos ligne de conduite » nous explique Théo qui détaille davantage les valeurs prônées par Alpha Minds. « Notre logo représente un loup alpha. Au travers de celui-ci, nous voulons développer une communauté, un sentiment d’appartenance à une « meute ». Comme pour cet animal, nous défendons l’idée que nous sommes toujours plus forts ensemble que seul, que la force réside dans le collectif et qu’il faut constamment  chercher à se dépasser, à se tirer vers le haut. »

Un positionnement qui a séduit, les deux jeunes hommes étant désormais « incubés » au VenturLab. « Nous y bénéficions de conseils personnalisés d’un coach en entreprise ainsi que de professionnels de différents secteurs. Cela permet de créer des liens et des connections intéressants, d’avoir des recommandations pertinentes afin de favoriser le développement du projet » souligne Sébastien.

A moyen-long terme, les deux amis veulent s’étendre pour toucher un maximum de personnes et, pourquoi pas, ouvrir un magasin. Mais avant cela, très prochainement, il y aura le lancement du site internet Alpha Minds avec une plateforme d’achat. Dans le même temps, la marque devrait être disponible dans plusieurs commerces liégeois. « Cela permettra à nos acheteurs de tester le vêtement de façon physique » sourit Théo.

Des vêtements élégants, une démarche éthique et écologique, la défense et diffusion de valeurs positives : nul doute qu’Alpha Minds détient la clé du succès. A Liège & Basketball, nous sommes conquis. Et vous, rejoindrez-vous la meute ?

« C’est vraiment une bombe! »

Pour Liège & Basketball, Ludo Lambermont revient sur les derniers rebondissements de la free agency et s’avance sur la prochaine saison NBA.

Ludo, que penses-tu de cette double « bombe »: Kawhi Leonard et Paul George qui rejoignent les Lakers?

Wow! C’est vraiment une bombe et ça dès le réveil c’est énorme! La combinaison des deux peut vraiment faire mal s’ils arrivent à trouver comment jouer ensemble mais s’ils ont aussi des gars derrière eux ça peut vraiment le faire.

Du coup, les Clippers deviennent des favoris crédibles pour le titre?

Favoris au titre, je ne peux pas trop me prononcer car on sait qu’il y aura beaucoup de grosses teams la saison prochain. Cela va vraiment relancer tout le championnat, du moins à l’Ouest.

Que t’inspire la prochaine saison NBA?

La saison prochaine va être sympa à regarder à partir des Playoffs ou un peu avant ceux-ci je pense, et surtout à l’Ouest car il y’a vraiment un gros potentiel! Les places de qualification vont être chères, cela augure d’une impitoyable bataille… Sans oublier un très beau duel à LA entre les Lakers et les Clippers!

« La NBA a complètement changé de visage en 10 jours »

Le paysage de la NBA a complètement changé en dix jours, les arrivées de Kawhi Leonard et Paul George étant le point d’exclamation final de la folie ambiante.. Christophe Jacob de Braives et Chris Francot de Pepinster débriefent cette free agency historique.

Ce samedi, la NBA a tremblé: Kawhi Leonard et Paul George deviennent des Clippers. « Un duo de feu en perspective!« , s’exclame Chris Francot. « Personne ne s’y attendait, c’est un truc de fou.« 

Une arrivée également commentée par Christophe Jacob, emblématique pivot des Giants Braives. « Etant un fan invétéré des Spurs, je n’avais pas compris que Leonard quitte San Antonio après avoir été champion pour une histoire mystérieuse de blessure » rappelle-t-il. « Avec Paul George en plus et Patrick Beverley dans le 5 de départ, les Clippers vont faire mal en défense. Selon moi, l’autre franchise de LA va clairement jouer pour le titre et les derbies face aux Lakers devraient être passionnants.« 

Une opinion tempérée par Chris Francot. « Ces deux renforts constituent un plus indéniable pour les Clippers. De là à les donner favoris: non. D’autres teams se sont construites ou renforcées. Entre Brooklyn, les Lakers, Philly ou même New Orleans – et j’en oublie – il m’est impossible de donner un réel favori surtout que Golden State s’est déforcé.Cela va encore donner un championnat plein de surprises et de rebondissements.. tout ce qu’on aime!« , sourit le shooteur pépin laissant le mot de la fin à Christophe Jacob. « La NBA a complètement changé de visage en dix jours de free agency » résume l’expérimenté intérieur.

A qui le Tour ? Aujourd’hui, une échappée à… Bruxelles

Notre capitale abrite trois des plus anciens clubs du royaume.

A l’occasion du Tour de France, nous vous ferons découvrir la face « basketballistique » un peu méconnue de la ville-départ et/ou de la ville-arrivée du jour. On démarre, donc, par Bruxelles. Ainsi, savez-vous que notre capitale abrite les trois plus anciens clubs francophones du Royaume ? A commencer par le CRBB The Runners (matricule 5) qui a été fondé par le cercle d’athlétisme de l’Union St-Gilloise, en 1929. Les « Jaune et Bleu », évidemment, du président Dumon évoluent à l’école Pierre Paulus de St-Gilles. Vient ensuite La Cordiale Irish St-Josse (matricule 8) dont le camp de base situe à la salle Guy Cudell où s’est disputé un célèbre « Challenge » à la fin du… XXème siècle. Le trio est complété par le Royal Anciens 13 BC (matricule 17), locataire de la salle Docteur Beudin, à Molenbeek.

Michel CHRISTIANE

« Aujourd’hui, on en rigole »

Sancerre, Bermudes, Espagne, New York… Liège & Basketball a discuté vacances avec Julien Van Roy, le nouveau renfort de La Spéciale Aywaille. Interview.

Julien, c’est quoi pour toi des vacances idéales?

Mes vacances idéales, c’est avec mes enfants. Mais ce n’est pas toujours reposant (rires). Sinon, chaque année, nous partons entre amis à Sancerre et là, c’est très festif ou comme l’année dernière en Grèce pour le mariage de Lionel Moreira.

Quel reste ton meilleur souvenir de vacances?

J’en ai plein… Mais mes séjours dans ma famille à New York et les nombreux voyages dans le sud de l’Espagne avec les enfants et la famille occupent une place à part.

Quel est le lieu qui t’a le plus marqué?

Le plus impressionnant, c’est les Bermudes. C’est dingue, comme sur les photos.

Quelle fut ta pire expérience de vacances?

Ce n’était pas au soleil mais au ski. Accident de car pour y aller et, une fois sur place, pas de chambre prévue et notre matériel de ski avait été volé. Mais le lendemain tout était okay et, aujourd’hui, nous en rigolons.

Où pars-tu cette année?

Toujours un petit trip entre amis, jeunes et anciens, à Sancerre, un last minute avec mes enfants pour lequel je laisserai Nola choisir la destination et probablement quelques city trips car, avec ma nouvelle fonction, je ne savais pas planifier cet été.

En vacances, tu continues à taper un peu la balle?

J’ai taquiné une seule fois la balle pour un match de gala pour la fin de carrière de Jérôme Louwette mais, hormis cela, c’est repos. Les entrainements ne me manquent pas trop mais bien la compétition. Je me réjouis d’intégrer ma nouvelle équipe et revoir mes potes même si je les vois déjà beaucoup… mais aux apéros, pas sur un terrain (rires).

« Pouvoir enfin connaitre une saison sans blessure »

Sur la touche toute l’année, Guillaume Reynders a eu le bonheur de voir ses coéquipiers de Belleflamme assurer leur maintien au sein de l’élite provinciale. Entretien.

Guillaume, quel bilan dresses-tu de la saison écoulée?

Elle fut difficile d’un point de vue personnel, surtout que l’équipe a finalement réussi à se sauver. Je me suis lourdement blessé au genou (rupture du LCA, déchirure du ménisque) lors d’un de nos matchs de préparation. Cela fut donc une saison blanche pour moi. Mon plus regret restera de n’avoir pu aider mes « frères » lors des moments difficiles.

De quoi es-tu particulièrement fier?

Fier de l’équipe qui a su rester soudée malgré les difficultés pour atteindre l’objectif du maintien. Jordan Bawin nous a bien aidé à y arriver lorsqu’il a repris l’équipe après le départ de Bernard Deplus. Il a vraiment su amener l’énergie dont les gars avaient besoin.

Quel fut, selon toi, le moment fort de cette saison?

Le moment fort que je retiens le plus est notre victoire à Alleur, qui a validé à 95% le maintien. Face à une formation en pleine forme, l’équipe a su faire un match complet, et la troisième mi-temps qui a suivi a été incroyable. D’ailleurs, merci à Alleur pour l’ambiance et encore désolé pour le micro…

Quels seront vos objectifs la saison prochaine?

L’objectif de départ sera le maintien et nous verrons au fur et à mesure de la saison. Personnellement, j’espère pouvoir enfin connaitre une saison sans blessure et parvenir à revenir plus fort de cette année blanche.