Le Top 3 de Vince Carter

Vince Carter livre son Top 3 de l’Histoire.

Jordan, Kobe Bryant et LeBron James. C’est, dans cet ordre, le Top 3 des meilleurs joueurs de l’Histoire selon Vince Carter. « « LeBron a encore une opportunité de passer Kobe selon ce qu’il fera d’ici la fin de sa carrière », prévient Vince Carter. « S’il retourne encore en finales, il faudra lui donner du crédit. 10 finales jouées ? C’est fou. Donc je dis aux gens d’attendre. Attendons que chacun finisse sa carrière et là on pourra faire un débat. »

« Nous voici tous en R1… »

Tom Ventat d’Esneux et Jérôme Jacquemin de Sprimont réagissent aux nouvelles séries de TDM2.

En apprenant que les séries de TDM2 était finalement scindées entre Flamands et Wallons, la réaction de Jérôme Jacquemin fut sans équivoque. « Nous voici tous en R1… J’espère vraiment que les clubs ne se laisseront pas faire. Si cela reste comme ça, c’est le basket qui est perdant !« , s’exclame le nouvel entraineur de Sprimont.

Un constat partagé par Tom Ventat qui évolue en double affiliation à Esneux et Saint-Louis. « Cela fait deux ou trois ans que la BVL parle d’un R0. Les clubs flamands y seront habilement arrivés si l’AWBB se laisse faire » rappelle le jeune meneur. « Il y a déjà un écart entre le Nord et le Sud, là le fossé risque de se creuser encore davantage. Cependant, je ne crois pas que ce sont encore les séries définitives. Les clubs vont réclamer et, encore une fois, nous trouverons une solution pour revenir au point de départ. »

Le début d’une nouvelle saga?

« Plus d’arrêts pompes »

Parmi les équipes qui subissent de plein fouet le remaniement des séries de TDM2, Tongres et ses Liégeois figurent en pôle position. Yoann Hertay réagit à ce retournement de situation.

Yoann, que penses-tu de la décision de scinder la TDM2 avec les Flamands d’un côté et les Wallons et Bruxellois de l’autre?

Je trouve que c’est du grand n’importe quoi. On ne peut plus appeler ça des séries nationales. Même si cela n’est qu’à courte durée, c’est vraiment dommage que les séries soient changées de la sorte.

Quelles conséquences peut-il avoir pour vous?

Pour nous, cela signifie beaucoup plus de trajets mais bon, cela peut se transformer en « arrêts pompes » sur le retour, c’est peut-être le seul point positif à cette modification des séries.

Pour toi et les nombreux Liégeois de ton équipe, il n’y aura pas de match contre des équipes de notre Province.

C’est vraiment triste. En tant que Liégeois, c’est ce que nous aimions dans cette division: revenir jouer en terre liégeoise avec notre équipe.

Cela signifie-t-il aussi que le niveau de votre série sera plus élevé?

Je n’en ai aucune idée car il y a de nombreuses équipes dont je ne connais pas du tout le roster. Nous en saurons plus d’ici quelques mois.

Crédit photo: Philippe Collin

« C’est triste et peut-être le début de la fin »

La TDM2 devient une super régionale.

C’est L’Avenir qui dévoilait dès hier soir l’information: les séries de TDM2 intialement prévues passent aux oubliettes et la division 3 devient une sorte de super régionale avec une série uniquement composée des clubs flamands et une autre uniquement composée des clubs wallons et bruxellois.

Dans un mail que nous a fait suivre un club liégeois, Jean-Pierre Delchef, Président de l’AWBB, explique les raisons de cette décision. « Après avoir essuyé des  refus de Basketvlaanderen  portant sur nos 2 propositions successives, le conseil d’administration de Basketball Belgium s’est penché sur la question ce 26 mai 2020 » peut-on lire. « Au terme de l’examen de la question, il a été décidé de composer les séries TDM2  comme suit :
une série comptant tous les clubs de  l’AWBB et une série comptant tous les clubs de Basket Vlaanderen. Cette option n’est valable que la saison 2020-2021 et ne constitue en aucun cas une .prise de position définitive pour l’avenir.
« 

Concrètement, Neufchâteau, Belgrade, Gembloux, Comblain, Esneux, Ninane, Pepinster, Spa, Sprimont, Anderlecht, Nivelles, Royal IV, Woluwe s’affronteront la saison prochaine. « Je trouve ça triste » nous confie Marc Hawley dont le club de Neufchâteau – qui se trouvait initialement dans une série sans aucune formation liégeoise – avait introduit un recours pour rééquilibrer les poules. Sans imaginer la solution extrême qui serait privilégiée. « Pourquoi les deux côtés linguistiques devraient-ils être scindés? Nous n’avons jamais fonctionné ainsi. Pourquoi maintenant?« , s’interroge le mentor des Chestrolais. « C’est le début de la fin » ajoute-t-il à moitié sérieux.

Sans les formations flamandes, nos représentants – qui ont par ailleurs fort bien recruté, Matisse et Bernard arrivant à Comblain, Delsaute à Pepinster et un quatuor liégeois à Sprimont notamment – devront se montrer particulièrement ambitieux. Un champion de TDM2 liégeois la saison prochaine? Cela devient une hypothèse crédible.

A découvrir ici: la réaction de Yoann Hertay.

« De belles saisons partagées avec J-F Hanesse »

Profitant des températures estivales, Marine Minguet a pu effectuer ses premiers paniers depuis la lourde blessure dont elle fut victime en début de saison. L’intérieur d’Alleur a savouré ce moment et est très motivée pour la nouveau chapitre qui s’ouvrira pour son équipe dont Kevin Reyserhove sera désormais l’entraineur.

Dimanche 24 mai, profitant du soleil, Marine Minguet est allée faire quelques paniers sur le terrain extérieur jouxtant la salle du BC Alleur. « C’était la première fois que je retouchais un ballon sans limite. Ce n’était que du shoot, chacun avec son ballon et sans opposition, mais cela m’a permis de regoûter un peu au basket cela fait beaucoup de bien » savoure celle qui avait été opérée en octobre 2019. « Je n’ai ressenti aucune appréhension mais je n’ai aucune idée de comment je réagirai avec de l’opposition. Je pense qu’avec mes coéquipières à l’entrainement, cela ira, mais avec de vraies adversaires, cela sera certainement différent.« 

Marine ne boude toutefois pas son plaisir, sa blessure n’est plus qu’un vilain souvenir. « Je cours comme avant – si pas plus – et je n’ai aucune gêne. Il faudra par contre que j’y aille progressivement pour reprendre confiance petit à petit » continue l’intérieure. « Vu la situation sanitaire, il est assez difficile de se projeter mais j’espère que la reprise ne sera pas retardée même si l’important reste de recommencer les meilleures conditions possible pour tous.« 

Découvrir le Kevin « sérieux »

Plus que quiconque, Marine s’impatiente tout de même. « Après un an sans jouer, le basket me manque beaucoup » reconnait-elle. « J’ai vraiment hâte de retourner sur le terrain. Le basket apporte aussi beaucoup de contacts sociaux dont nous sommes privés actuellement et qui rend la situation d’autant plus difficile à vivre. »

La saison prochaine marquera le début d’un nouveau chapitre pour les Alleuroises, Kevin Reyserhove succédant à Jean-François Hanesse. « Je ne le connais pas du tout comme entraineur mais changer de coach peut apporter un renouveau et une nouvelle dynamique à notre groupe » ose Marine. « Je l’espère en tout cas. Nous partons déjà sur une bonne base avec une équipe soudée grâce à Jean-François, notre ancien coach, avec qui nous avons partagé de très belles saisons, notamment une superbe montée en R1. » Et de conclure: « Ce qui est certain, c’est que je ne suis pas inquiète pour l’ambiance. Kevin nous a déjà montré qu’il sait faire la fête – surtout le vendredi! Il ne nous reste plus maintenant qu’à découvrir le Kevin « sérieux » (rires).

« Les Américains apportaient une mentalité différente »

Liège & Basketball vous emmène à la découverte de Thibault Lété, jeune talent ambitieux passé par SFX, Ixelles et Europe Basketball Academy à Barcelone. Entretien.

Thibault, peux-tu nous retracer ton parcours basket?

J’ai commencé le basket à l’âge de sept ans à SFX/Saint-Michel et j’y suis resté jusqu’à mes dix-sept ans. SFX est un très bon club pour le développement des jeunes et j’ai eu la chance d’y jouer avec de très bons amis. Ensuite, je suis parti une saison à Ixelles pour évoluer en R2. J’ai beaucoup appris cette année-là au sein d’une équipe individuellement très bonne. Malheureusement, collectivement, nous n’étions pas suffisamment bons et nous n’avons pas pu atteindre notre but: le titre. Cette année, je suis parti à Europe Basketball Academy à Barcelone avec pour objectif d’aller jouer dans le championnat universitaire américain l’année prochaine.

Une chouette aventure que cette année à Barcelone.

Oui, c’est de loin l’année où j’ai le plus progressé avec trois entrainements par jour et un niveau vraiment compétitif puisque la plupart des joueurs là-bas sont des Américains qui viennent pour être professionnels en Europe. La pluparts de mes coéquipiers là-bas avaient vingt-deux ou vingt-trois ans mais certains étaient, comme moi, plus jeune. Nous vivions tous ensemble dans deux maisons. Malheureusement, l’aventure fut stoppée par l’apparition et la propagation du Covid-19.

Tu es un véritable mordu de basket. Qu’apprécies-tu dans ce sport?

C’est l’un des sports les plus complets. Il faut être athlétique, précis, avoir de l’endurance, de la force, un gros mental. Il faut aussi savoir se démarquer individuellement tout en rendant ses coéquipiers meilleurs car ce qui compte, c’est gagner.

Quel genre de joueur es-tu? Quelles sont tes points forts et ceux sur lesquels tu dois encore progresser?

Je suis un meneur intelligent qui lit très bien le jeu. Je finis très bien à l’anneau et je suis un bon shooteur. Je suis aussi très vocal et j’apporte beaucoup d’énergie. Mes forces résident également dans mon QI basket, mon utilisation du pick-and-roll ainsi que ma mentalité de battant. Par contre, ma détente et ma rapidité latérale peuvent être améliorées. Je travaille beaucoup sur mon physique en ce moment car c’est mon plus gros point faible.

Quels sont tes meilleurs souvenirs depuis que tu taquines la balle orange?

J’ai bien aimé ma dernière saison à SFX en U18. Nous nous entendions tous très bien et pratiquions un très beau jeu. Mais cette saison-là fut aussi frustrante en hommes. Cette saison, avant l’apparition du virus, fut aussi géniale. J’ai adoré pouvoir m’entrainer trois fois par jour et jouer avec des Américains qui apportaient une mentalité très différente.

Une belle brochette de talents

Quels enseignements tires-tu de cette expérience inédite?

Nous ne jouions pas dans une ligue mais nous avons réalisé quelques bons tournois. Individuellement, j’ai énormément progressé. Je suis très content du développement de mon corps, j’ai beaucoup gagné athlétiquement et physiquement. J’ai aussi beaucoup bossé sur mon tir et les résultats sont visibles. C’est juste dommage que j’ai eu quelques blessures en milieu de saison.

Quelles sont tes envies pour la prochaine saison?

Mon coach est toujours en contact avec des universités outre-Atlantique. Si une opportunité se présente, je la saisirais sans hésiter. Dans le cas contraire, je crois que je retournerais en Espagne et que je retenterais ma chance l’année suivante.

Vous êtes plusieurs membres de ta famille à jouer au basket, notamment on frère aîné Pierre Lété, meneur emblématique de La Spéciale Aywaille. Quels sont vos points communs?

J’ai trois frères qui ont tous joué au basket. Le plus grand point commun que nous avons, c’est que nous sommes tous les trois des gagnants. Pierre, comme moi, comprend bien le jeu et possède un bon QI basket.

Où a été prise cette photo ?

Stella Fouraki, la néo-pepine, s’apprête à découvrir une D1 belge très cosmopolite tandis que la photo-mystère sort des sentiers battus. Et pour conclure, on vous recommande la ville de naissance de l’Islandais Hermansson. Ce sont les infos d’EMCE.

Les insolites du mardi

L’Islandais Martin Hermansson (25 a, 1,91 m) a évolué près de chez nous. Et plus précisément à Reims. Il n’en demeure pas moins que sa ville de naissance vaut le détour (phonétique) : Höfuöborgarsvaeöiö. A répéter trois fois de suite ! Sûr que le frangin de l’ancien ostendais, Ryan Thompson (14/15), a la poisse cette saison. Jason (33 a, 2,11 m, ex-NBA) entamait ainsi la compétition à Sichuan en Chine où valait mieux ne pas se trouver en début d’année. De retour aux States, il signait à Saragosse en février. Il retraversait donc l’Atlantique, y disputait trois rencontres avant d’être contraint au chômage technique. En cause, un coronavirus qui n’arrête donc pas de le poursuivre…

Stella Fouraki (Pepinster) et toutes les autres…

Hier, nous vous informions de l’arrivée de Stella Fouraki (26 a, 1,88 m) à Pepinster. L’internationale grecque est passée par le Sporting Athènes avant de rafler le titre et la coupe avec l’Olympiacos. Elle rejoignait alors les Caledonia Prides, à Edimbourg. Elle était la meilleure marqueuse (13,4 pts) d’une formation écossaise terminant avant-dernière (3 sur 16) de la D1 britannique. Quant à notre élite féminine, elle continue de s’agiter dans tous les sens. On en veut pour preuve les venues de l’internationale irlandaise, Anna Kelly (23 a, 1,68 m), aux Ladies Charleroi et de la Croate, Ivana Tikvic (26 a, 1,94 m, ex-Olympiacos) à Braine.

Transferts : c’est bel et bien la fin du confinement

Il est clair que les agents ne chôment pas pour l’instant. Plusieurs transactions récentes concernent des éléments bien connus sous nos latitudes. Nikola Antic (61 ans, ex-assistant de Savo Vucevic à Charleroi de 03 à 05) signe pour deux exercices supplémentaires à Antibes (Pro B). L’Anglais, David Sainsbury (26 a, 2,03 m, Mons 16/17), débarque à Metz (N2). Stefan Ivanovic (34 a, 2,00 m, Pepin 12/13) rempile à Nyon (D1 suisse). Reste Trevor Thompson (25 a, 2,13 m, Anvers 18/19), qui pose ses valises aux Kangoeroes Malines en provenance de Lituanie.

Terrains extérieurs : « hors frontière » mais si proche aussi

Une fois n’est pas coutume, le cliché du jour n’a pas été pris « dans nos frontières ». Ceci dit, la localité en question jouxte notre province et pas mal de Liégeois ont évolué – ou évolue toujours – au sein de la formation locale. L’indispensable indice devrait lever une (bonne) partie du voile : ce club a compté trois internationaux et qui ont tous joué dans notre Principauté. Un d’entre eux y est même encore très actif…

Michel CHRISTIANE

« Comme une dispute avec une femme »

Les affrontements entre Jordan et Reggie Miller furent homériques.

Reggie Miller reste l’un des joueurs les plus clutchs de l’histoire et un fameux trash-talker. Deux caractéristiques qui s’appliquent également à Michael Jordan. Forcément, les duels entre les deux arrières valaient le détour. « Je ne détestais pas vraiment quelqu’un en particulier en NBA. Mais affronter Reggie Miller me rendait fou », écrivait MJ pour ESPN. « C’était comme une dispute avec une femme. Tout son jeu se repose sur le ‘flopping’. Il pèse à peine 84 kilos donc il faut faire attention à ne pas le toucher sinon il y a faute. En attaque, je le dégageais avec mes 98 kilos. Mais il n’arrêtait pas de mettre ses mains sur moi, comme une femme qui vous tient par la taille. Je voulais juste défoncer ses mains. Ça me rendait dingue. »

« Nous avons trouvé des arrangements »

Après un passage mitigé à Harimalia, Errol Koçur viendra renforcer la raquette de l’US Awans la saison prochaine.

« Nico Baudouin m’a contacté quand il a appris que j’arrêtais à Hermalle car cela ne me convenait plus de jouer le samedi soir et que j’ai un projet personnel » nous informe Errol Koçur. « Nous avons trouvé des arrangements et j’ai donc signé à US Awans. Je reste ainsi en deuxième provinciale. »

Un nouveau départ pour l’ancien pivot d’Ans dont le passage à Harimalia ne restera pas dans les annales, Errol ne parvenant guère à trouver – à l’instar de sa formation – la bonne carburation. « Connaître Nicolas et avoir déjà joué avec lui a pesé dans ma décision, comme le fait que la salle d’Awans soit près de chez moi. Mais c’est surtout le fait de ne plus jouer le samedi soir qui m’a convaincu. En plus, il y a des gars que je connais à l’US » précise le pivot à la mèche argentée. « Mes envies sont de m’amuser, taper la balle et mettre mon expérience au service de l’équipe. Et puis, wait and see…« 

« L’apprentissage du néerlandais dans la cafèt »

Olivier Macfly fait le bilan de sa seconde saison à la tête de l’équipe fanion de Tongres. Interview.

Olivier, que retiens-tu de cette saison?

Ce fut une saison positive. Nous avions plusieurs objectifs: être compétitifs à chaque match, garder cette belle ambiance de travail et terminer dans le Top 3. Missions réussies!

Vous terminez effectivement sur la troisième marche du podium. Celle que vous méritiez?

J’aurais bien aimé terminé que nous terminions deuxièmes, Kontich étant vraiment intouchable. Nous avons joué trois fois contre Geel – deux fois en championnat et une fois en Coupe – et avons perdu les trois matchs, c’est donc logique que la deuxième place revienne à cette équipe.

Quelle est ton opinion concernant cette TDM2B?

C’était une série très relevée. Chaque weekend comportait son lot de surprises. La série de la prochaine saison s’annonce d’ailleurs aussi captivante.

Comment évalues-tu ton coaching cette saison?

Ce n’est pas à moi de juger mes prestations. J’essaie de me donner à cent pour cent dans mon coaching, de trouver les bonnes solutions durant le match, de gérer le groupe et de donner de bons entrainements. Et, surtout, de faire des choses simples.

Quel fut le moment marquant de cette campagne?

C’est bien évidemment la crise du Covid-19 qui a stoppé la compétition. Le basket et son ensemble manquent à tout le monde je crois.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

Tous les déplacements avec Yo, Oli, Senna et Julien en voiture, les entrainements, les échanges avec mes joueurs, les moments après les matchs avec les supporters, l’apprentissage du néerlandais dans la cafétaria (rires). Tongres est un club gentleman, on s’y sent vraiment bien.

Nourris-tu certains regrets?

Aucun. Certes, nous avons perdu des matchs mais je pense qu’aucun joueur ne fait exprès de rater ou d’être moins bon. Il en va de même du coach et de l’assistant. Je ne suis pas le genre de gars à regretter, j’essaie de faire les choses pour un mieux.