Ludo Lambermont fait le bilan

 

Passé par Pepinster et Ninane en senior, Ludo Lambermont s’épanouit désormais à Ypres en TDM1. Alors que 2017 touche à son terme, l’occasion était toute trouvée de se poser et de faire le bilan de l’année écoulée et de se projeter vers celle à venir.

 

Ludo, quel bilan tires-tu de l’année qui vient de s’écouler?

Un bilan positif. Avoir franchi un échelon sportif en signant à Ypres. ce qui représente aussi une étape personnelle puisque j’ai quitté Liège et habite seul pour la première fois. Là-bas, j’apprends tous les jours de mes coéquipiers, c’est enrichissant. Je retiens aussi la belle saison vécue à Pepinster. J’y ai retrouvé Jérôme Jacquemin et Zecevic que je connaissais en tant que supporter et avec qui j’ai toujours des contacts. J’ai retrouvé le plaisir de jouer. Avec mes anciens coéquipiers, nous nous disons souvent qu’on donnerait n’importe quoi pour revivre une telle saison.

Ton meilleur souvenir en 2017?

Il y en a de nombreux. Le plus récent, c’est notre belle victoire, avec Ypres, contre les leaders de TDM1, Oxaco Boechout. On l’a emporté dans les dernières secondes, une super sensation.

Un regret en 2017?

Clairement non.

Tes résolutions pour 2018?

Retrouver mon jeu et apporter le plus possible à l’équipe. Faire les Playoffs et se permettre de rêver du titre ou de la Coupe de Flandres. Justin Kohajda l’a gagnée la saison dernière et m’a dit que c’était extra-ordinaire. J’aimerais bien vivre ça car avec Pépin, nous n’avons jamais gagné nos finales.

Du coup, c’est quoi ton rêve pour l’année à venir?

Un titre de champion avec Ypres!

Et enfin, toi qui rêve de D1, comment as-tu vécu de redescendre en TDM2 et d’être maintenant en TDM1?

Pour moi, cela n’est pas un échec, et je ne l’ai jamais vécu comme tel. L’adage dit qu’il faut pouvoir reculer pour mieux sauter. Il s’agit juste d’une étape dans la carrière d’un sportif de haut niveau. Il faut passer par là, ne pas brûler les étapes et travailler dur. Pour moi, c’est un nouveau challenge qui m’aidera dans ma quête.