Mitchell et Marnegrave s’illustrent mais Ostende était trop fort pour Limburg

Privés de Nelson et Knapke, les Limbourgeois s’en sont remis à Mitchell au scoring et à Marnegrave pour tout le reste mais les Ostendais, particulièrement adroits et collectifs, étaient tout simplement trop forts.

Si les Limbourgeois croyaient en leurs chances d’égaliser ce vendredi, ils étaient toutefois privés de Nelson et de Knapke. De quoi considérablement affaiblir les troupes de Sacha Massot face à une équipe d’Ostende où seul Olivier Troisfontaines manquait à l’appel.

Après dix minutes équilibrées, l’écart était minime 17-21. Mais le scénario du game 1 semblait se répéter et le collectif (29 passes décisives !) ostendais, profitant d’une belle adresse (près de 60% aux tirs dont 50% derrière l’arc), faisait merveille. Djordjevic (10 points, 9 assists et 3 rebonds) distribuait les caviars, Gillet (7 points, 6 rebonds et 5 passes) était partout et Van Der Vuurst (15 points à 5 sur 8 de loin) enfilait les perles. Chez les locaux, Ajay Mitchell (14 points, 4 rebonds, 2 passes et 2 steals) se mettaient en évidence tandis que Niels Marnegrave, pour son dernier match en carrière, faisait du Niels Marnegrave: 5 points, 6 rebonds et 7 passes. A la pause, c’était 40-51.

Au retour des vestiaires, les Limbourgeois souffraient terriblement face à la défense des champions en titre. Schwartz (13 points et 3 passes) et Sylla (14 points, 7 rebonds et 3 passes) ne se faisaient pas prier pour enfoncer les locaux et l’écart explosait. A la demi-heure, c’était 47-76. Le dernier quart équilibré et défensif ne changeait rien et Ostende s’imposait 60-87, rejoignant ainsi la finale des Playoffs pour la dixième fois d’affilée.

Quant à Limburg, malgré cette élimination en deux manches sèches en demi-finale, cette saison est une franche réussite sur lequel le club doit s’appuyer pour le futur.

Crédit photo: Philippe Collin

« Les planches vont un peu souffrir le premier mois »

C’est avec un réel plaisir que Martin Wintgens a retrouvé ses Bobelins et le chemin de l’entrainement. Interview.

Martin, comment était-ce de pouvoir reprendre, en extérieur, le chemin de l’entrainement ?

Oh que c’était chouette ! Déjà de retoucher le ballon et de recommencer un sport que j’adore mais encore plus de retrouver mon équipe. Tous ces gars m’avaient manqué. Avec les bulles et les restrictions sanitaires, nous n’avions pas souvent l’occasion de nous voir alors nous retrouver fait un bien fou, tout comme de découvrir les nouvelles têtes de l’équipe.

Les sensations reviennent-elles vite ?

Niveau basket pur, je ne me fais pas trop de soucis, ça reviendra ! Les planches vont un peu souffrir le premier mois et puis nous retrouverons tout doucement nos aptitudes (rires). L’aspect physique est celui qui me préoccupe le plus. Je me suis un peu entretenu durant cette longue pause mais une fois les températures à la baisse et la pluie incessante, il m’était difficile de trouver de la motivation en rentrant du boulot car je n’aime vraiment pas aller courir (rires). Depuis un mois, le tennis a repris et désormais le basket aussi, je pense que la forme va monter crescendo. Il nous reste trois mois pour revenir au top et je crois qu’ils seront bien nécessaires pour éviter au maximum les blessures.

Qu’est-ce qui t’a le plus manqué au cours de cette période inédite ?

Bien que le basket m’ait beaucoup manqué, il n’y a rien à faire, c’est surtout ce groupe qui m’a manqué. Etre ensemble à rigoler, à discuter et à nous chamailler: tout cela me manquait. Nous sommes maintenant repartis avec, je l’espère, plus aucun arrêt !

Crédit photo: Charnikon Prod

« Un match difficile nous attend à la Lotto Arena »

Sous la supervision d’un trio arbitral liégeois, les Montois s’attendent à un game 2 ardu chez des Anversois qui voudront à tout prix arracher la belle.

Jeudi, après dix minutes équilibrées, les Renards ont serré la vis en défense en défense pour étouffer les Anversois et construire une victoire méritée, 75-64. « La mentalité et l’intensité étaient au rendez-vous, à l’image de notre saison jusqu’ici. Les gars ont bien appliqué le plan de jeu désiré et on a pu contrôler une grosse partie du match. Il faudra conserver ce niveau samedi car un match difficile nous attend à la Lotto Arena. La défense sera encore la clé » déclarait Bosnic à la DH.

Du côté des Giants, l’analyse est forcément moins positive. La meilleure attaque du championnat a calé face au rideau de fer montois et hormis Dudzinski, les individualités anversoises n’ont guère pesé sur ce game 1. Dominés au rebond (49 à 34) et maladroits, les Anversois ne purent mettre en place leur jeu rapide et ont manqué tout à la fois de collectif et d’inspiration en zone offensive. Sans réelle pression depuis la prolongation du staff, les métropolitains voudront tout de même arracher une belle dans une série que les observateurs promettaient plus disputée.

Cette rencontre potentiellement décisive sera arbitrée par un trio liégeois: Renaud Geller, élu trois fois meilleur arbitre de la compétition, Martin Van Hoye, arbitre européen et Pierre Gillis.

Crédit photo: Philippe Collin

Noah Fogang: la confirmation d’un futur grand

Si la saison du Spirou s’est conclue en eau-de-boudin face à des Ostendais tout simplement trop forts, Noah Fogang en a profité pour crever l’écran et confirmer son tout grand potentiel.

Au Dôme de Charleroi, Ostende a livré une excellente prestation pour s’imposer dans les grandes largeurs, 51-85. « Je suis très content de cette victoire » souriait Olivier Troisfontaines, actuellement sur la touche pour une entorse à la cheville. « Mes coéquipiers vont ainsi pouvoir se reposer davantage que nos futurs adversaires. Nous avons montré directement que nous voulions finir la série ce vendredi. En première mi-temps, nous avons bien géré défensivement les Carolos. Au retour des vestiaires, il y a eu un petit relâchement car nous avions beaucoup d’avance. Cela ne devrait évidemment pas arriver mais, malheureusement, cela arrive toujours dans ces cas-là. Après, nous avons resserré les boulons et nous sommes repartis pour gagner facilement. C’est encourageant, toute l’équipe avait besoin de reprendre du rythme. »

La première période fut particulièrement délicate pour les jeunes Carolos. « C’est dommage de terminer comme ça mais pour moi, c’est une saison très positiveLes gars se sont améliorés tout au long de la saison, ils ont travaillé dur et ils étaient content de bosser ensemble. Finalement, c’est une saison positive car on va dans la bonne direction et nous avons l’intention de revenir plus fort la saison prochaine » analysait Sam Rotsaert pour la DH.

Au cours de cette première mi-temps, seul Noah Fogang – 14 des 19 points du Spirou – paru surnager face aux nonuples champions en titre. Au final, l’ancien pensionnaire du CFWB termina avec une très belle partition: 24 points et 4 rebonds pour 21 d’évaluation. Une confirmation du talent du jeune ailier qui est monté en régime au fil des matchs et a tourné cette saison à 6 points, 2 rebonds et 1 passe en vingt minutes de moyenne.

« Ma saison se passe très bien. J’apprends beaucoup et je me sens très bien dans ce groupe » nous confiait récemment Noah Fogang« Vivre de ma passion et pouvoir m’y consacrer à 100% est génial. Et c’est super de pouvoir utiliser le maximum de mon temps pour progresser. »

Avec ce qu’il a montré lors de ces Playoffs, nul doute que ce beau bébé (203 centimètres et 95 kilos) fait partie des fondations sur lesquelles Charleroi peut bâtir son avenir.

Une première laborieuse mais victorieuse

Sans Julie Allemand et Kim Mestdagh, les Belgian Cats ont parfois un peu balbutié leur basket mais ont réussi à émerger pour s’imposer de justesse contre la Serbie, 64-63.

Tandis que Kim Mestdagh et Julie Allemand étaient dans les gradins, Julie Vanloo et Emma Meesseman étaient titularisées. L’intérieure belge se mettait rapidement en évidence avant que Billie Massey ne fasse onze partout après cinq minutes de jeu. S’en suivaient alors plusieurs minutes durant lesquelles les Cats ne parvenaient plus à scorer. C’était finalement Ann Wauters, depuis la ligne de réparation, qui débloquait le compteur des Belges avant que Laure Résimont ne plante un triple pour faire 16-24.

Julie Vanloo débutait le second quart pour une bombe, 19-27. A peine revenue au jeu, Meesseman scorait, imitée par Wauters après un rebond offensif et puis par Résimont en pénétration. Les Cats étaient à peine revenues à 25-30 que les Serbes leur infligeaient un 0-5 qui forçait le sélectionneur à prendre temps-mort durant lequel, en substance, il soulignait que ses protégées dribblaient trop et perdaient trop de ballons. Il fallait toutefois attendre la toute fin de première période pour que nos compatriotes recollent davantage à des Serbes séduisantes et précises à distances. Après un alley-oop de Nauwelaers, Raman scorait derrière la ligne de réparation et puis des 6,75 mètres et les deux équipes rejoignaient les vestiaires sur le score de 37-43.

Après être revenues à 43-46, les Belges ne faisaient plus mouche et voyaient les Serbes – qui galvaudaient aussi pourtant – repartir à 40-49. Un contre de Massey réjouissait le banc local avant que Delaere, en pénétration, puis Raman, en contre-attaque, ne ramènent la Belgique à 44-49. Nauwelaers enchainait ensuite un joli numéro balle en main et plantait une bombe et puis Emma Meesseman égalisait en transition. C’était 49 partout à la demi-heure.

Ann Wauters faisait parler son expérience au rebond offensif et Emma Meesseman inscrivait un joli lay-back avant que Laure Résimont, deux fois oubliée derrière l’arc, ne fasse mouche pour placer la Belgique aux commandes, 57-53. Les Serbes pliaient mais ne rompaient pas et profitaient d’une nouvelle balle perdue des locales pour repasser devant, 57-58 à l’entrée du money time. Après un festival d’approximations, Meesseman redonnait l’avance à la Belgique, 60-58, grâce à un 2+1 puis, idéalement servie, faisait 62-58 forçant le temps-mort de la coach serbe. Au sortir de celui-ci, les Serbes plantait cinq points consécutivement pour faire 62-63. Les Cats frôlaient le K.O. après une perte de balle de Vanloo mais, heureusement, les Serbes se loupaient en contre-attaque. Après plusieurs ratés de loin, la Belgique optait pour une autre stratégie et Delaere, sous l’anneau, remettait nos compatriotes devant, 64-63. Sur la dernière défense, les Belges forçaient les Serbes à dépasser l’horloge et pouvaient savourer une première laborieuse mais victorieuse.

Holon s’impose à Gilboa Galil dans le match pour la deuxième place !

Avec sa nouvelle recrue Michal Sokolowski déjà productive mais toujours sans Maxime De Zeeuw, Hapoel Holon a dominé Eilat mardi avant de s’imposer jeudi dans le match pour la deuxième place à Hapoel Gilboa Galil.

Contre Eilat, Holon était toujours privé de Maxime De Zeeuw qui soigne une petite déchirure au mollet mais pouvait compter sur son nouveau renfort Michal Sokolowski déjà performant avec 22 points, 3 rebonds et 3 passes. Les locaux, très adroits derrière l’arc (15 sur 34) profitaient des dix premières minutes pour prendre dix points d’avance, 30–20. Les visiteurs réduisaient ensuite un peu l’écart et, à la pause, le marquoir affichait 53-49. A la reprise, Holon reprenait sa marche en avant pour faire 76-69 à la demi-heure et puis 104-93 au coup de sifflet final.

Jeudi, Holon, toujours sans Max De Zeeuw, se rendait à Hapoel Gilboa Galil pour le match pour la deuxième place. Ces deux formations présentaient un bilan quasiment identique, les locaux comptant une victoire supplémentaire et un match de plus que Maxime De Zeeuw et ses coéquipiers. Et après une belle bagarre, Harris (21 points et 6 passes) et les visiteurs émergeaient pour l’emporter 83-88 et devenir le dauphin du Maccabi Tel-Aviv à quelques jours du début des Playoffs.

Crédit photo: Hapoël Holon

« Shengelia-am-Rhein »

La grand-messe de l’EuroLigue se tiendra aujourd’hui et dimanche à quelques bornes de notre frontière et verra s’affronter de vieilles connaissances. Pas de sacre pour Jean-Marc Jaumin et ses bataves de Den Bosch alors que d’anciennes Brainoises assurent leurs arrières. Ce sont les infos d’EMCE.

EuroLigue : quatre anciens de notre D1 au « Final Four » de Cologne

Sur les quatre équipes concernées, en fin de semaine, par le Final Four colonais de l’EuroLigue, trois d’entre elles aligneront des éléments ayant déjà transité par chez nous. A commencer par Tornike Shengelia (29 ans, CSKA Moscou, photo) dont l’ombre taciturne place toujours sur le Paire depuis l’exercice 10/11. Quant à Rodrigue Beaubois (33 ans, Efes Istanbul), il n’a pas laissé un souvenir impérissable aux supporters du Spirou Charleroi, en 2014. Milan, de son côté, aligne un duo ayant fréquenté les Giants d’Anvers à des périodes différentes : Michael Roll (34 ans, en 11/12) ainsi que Kevin Punter (27 ans, Métropolitain en 2017).

Playoffs venus d’ailleurs : Bamberg, Den Bosch et Jaumin en vacances

Hier, sur le coup de 22 heures, Den Bosch et Bamberg savaient s’ils étaient en vacances ou s’ils poursuivaient l’aventure. Aux Pays-Bas, les troupes de Jean-Marc Jaumin se devaient de l’emporter à Leiden. Elles démarraient pied au plancher (9-20), mais étaient vite rejointes (49-43, 20e) par un « ZZ » local réglant l’addition à 90-74. C’est le 4e titre de l’ancien club de Paul Vervaeck. En Allemagne, Bamberg et ses « Belgicains » avaient également intérêt à imposer leurs vues dans l’antre de Ludwigsburg lors d’un match couperet. On était loin du compte avec une formation du cru ayant fait le plus dur à la demi-heure (76-52) et l’emportant 95-73. En ½ finales, Ludwigsburg se coltinera le Bayern Munich.

Etranger : quand d’anciennes Brainoises se recasent ou rempilent…

Elle a fait le bonheur des « Rongeuses » durant trois saisons avant de mettre le cap sur Valence. Celeste Trahan-Davis (35 a, 1,86 m) a d’ailleurs décidé de prolonger son séjour en Andalousie d’une année supplémentaire. Elle qui avait découvert le Vieux Continent à… Dudelange. Renata Brelinova (31 a, 1,90 m), une autre ancienne Brainoise (16/17), quitte Brno dans sa République Tchèque natale pour rejoindre Kayseri (D1 turque). En hommes, AJ Slaughter (33 a, 1,91 m, ex-Gran Canaria) s’en va rentabiliser ses talents au Koweït. L’artilleur US – ayant obtenu la naturalisation polonaise – avait joué à Mons en 11/12.

La télé crève l’écran

Vendredi : Cats – Serbie (17 h, Eén), Cska Moscou – Efes Istanbul (18 h, VOOsport World 1), Limburg – Ostende (20 h 20, VOOsport World 4), Barcelone – Milan (21 h, VOOsport World 1) ; samedi : Boston – Celtics (2 h 30, Eleven Sports 2), Anvers – Mons (20 h 20, VOOsport World 4), Portland – Denver (22 h, Eleven Sports 2) ; dimanche : belle éventuelle à Ostende (15 h, VOOsport World 4), finale Euroligue (20 h 30, VOOsport World), Lakers – Suns (21 h 30, Eleven Sports 2).

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Euroleague

« L’intérêt des équipes NBA est énorme »

Le longiligne Vrenz Bleijenbergh d’Anvers pourrait bien rejoindre la NBA cet été.

Vrenz Bleijenbergh n’a jamais caché son ambition de rejoindre la NBA. La « Rising Star » de cette dernière saison a pris une autre dimension cette année, devenant l’un des piliers d’Anvers même si, parfois, il s’entête un peu trop à artiller de loin, comme ce fut le cas ce jeudi à Mons. Toutefois, très grand et versatile, capable de jouer aussi bien à la distribution qu’a l’aile, de scorer ou de créer du jeu, le jeune Anversois suscite un sérieux intérêt des scouts NBA.

« Les chances que je soit drafté sont réelles » a déclaré Vrenz Bleijenbergh à het Laatste Nieuws dans des propos rapportés par Basket 360. « L’intérêt des équipes NBA est énorme. Elles demandent toutes sortes d’informations: quel type de joueur je suis, comment suis-je en tant que coéquipier, des informations sur ma situation familiale. Plusieurs équipes ont envoyé des scouts en Belgique ces derniers mois. Cela signifie que l’intérêt est concret. »

Un processus classique à plusieurs semaines de la draft. « Les scouts de la NBA ne m’ont pas parlé (ndlr: c’est interdit par le règlement). Mais à peu près tout le monde autour de moi a été contacté. Le manager Guy Muya, l’entraîneur Christophe Beghin et le kiné du club Koen Embrechts. D’anciens coéquipiers comme Hans Vanwijn. Steve Ibens, mon entraîneur avec les équipes nationales de jeunes et maintenant commentateur NBA pour Eleven. Ces clubs veulent vraiment tout savoir sur toi. Cela va au-delà de ce que vous pouvez imaginer » assure Bleijenbergh « Ces derniers mois, tout a pris de l’ampleur. L’intérêt est énorme et continue de venir de tous les côtés. Boston et Milwaukee me suivent depuis des années. New York et Orlando montrent maintenant un énorme intérêt. Moi-même, je ne peux pas entrer en contact avec ces équipes. Tout passe par mon manager. Je me concentre maintenant sur les play-offs avec les Giants d’Anvers. » Et nul doute qu’une grosse prestation de Bleijenbergh dimanche à la Lotto Arena le rapprocherait encore davantage de son rêve ultime !

Campazzo frôle le triple-double et Denver récupère l’avantage du terrain

Damian Lillard et Nikola Jokic encore monstrueux, Facundo Campazzo proche du triple-double et les Nuggets qui récupèrent l’avantage du terrain: les enseignements de la victoire de Denver à Portland.

A un partout, la série déménageait dans l’Oregon mais cela n’empêchait pas Lillard (37 points) et Jokic (36 points, 10 rebonds et 5 passes) de continuer leur formidable duel. En l’absence de Murray, Rivers (21 points) fut précieux tandis que Facundo Campazzo (11 points, 8 rebonds et 8 passes) frôlait le triple-double pour permettre au Nuggets de l’emporter 115-120 et de récupérer l’avantage du terrain.

Crédit photo: FIBA

Julius Randle est élu MIP

Julius Randle est le MIP 2021.

Si D-Rose a terminé troisième à l’élection du Meilleur Sixième Homme, Julis Randle, devenu All Star cette année, a lui remporté le trophée de MIP. Le power forward est passé 19.5 points, 9.7 rebonds et 3.1 passes de moyenne en 2019/20, à 24.1 points, 10.2 rebonds et 6.0 passes de moyenne en 2020/21 tout en ramenant les Knicks, quatrièmes à l’Est, en Playoffs. Il devance assez largement Jerami Grant et Michael Porter Jr.