Pas d’Europe pour Petit-Allemand !

Très mauvaise nouvelle pour l’Alleuroise et le Waremmien qui devrons se contenter de l’Hexagone comme unique terrain de jeu en 2020/2021. En Espagne, le grand Real est dans les cordes tandis que l’on connaitra le champion d’Allemagne dès dimanche. A la découverte de l’Emul, l’ancien club de Sclessin. Ce sont les infos d’EMCE.

Lattes/Montpellier renonce à l’Euroligue

L’annonce a fait l’effet d’une bombe : le BLMA ne participera pas, la saison prochaine, à l’Euroligue. Ni à tout autre compétition continentale. Le président Manna explique cette décision par des raisons financières dues à la récente pandémie. Et à ses conséquences budgétaires. Selon lui, la mesure ne serait que momentanée. D’où question : Julie Allemand aurait-elle rejoint Thibaut Petit dans l’Hérault si elle avait été au courant d’un pareil renoncement de dernière minute ?

Final 10 (All) : Ludwigsburg et l’Alba Berlin pour le sacre

Si on s’en réfère au palmarès, l’Alba possèdera l’avantage de l’expérience. En effet, les Berlinois chasseront après leur 9e titre et leurs rivaux pour leur… premier. Les chiffres de l’actuelle saison ne vont cependant pas dans le même sens. C’est ainsi que Ludwigsburg a terminé le dernier championnat en date à la 2e place tandis que l’Alba devait se contenter d’un modeste top 4. Sans oublier que la révélation de l’exercice en cours vient de se payer le scalp du Bayer Munich et a une sacrée réputation de « giant killer » à défendre. A épingler encore que les protagonistes se sont affrontés au cours de ce « Turnier » avec un succès (97-89) de Berlin à la clé. Tout est en place pour une finale en deux actes : aujourd’hui à 20 h 30 et dimanche à 15 heures.

Fase Final (Esp) : stressant « quitte ou double » pour le Real

Les demi-finalistes du groupe A sont désormais connus. Les heureux élus seront le Barça et Vitoria. Des Basques qui ont d’ailleurs préservés Shengelia en vue des tâches à venir. Nouvel échec pour Bilbao (Serron 6) face à Malaga : 65-78. Dans l’autre poule, le suspense atteint son paroxysme en ce qui concerne le Real. S’ils désirent se qualifier pour le prochain tour de la compétition espagnole, les Madrilènes doivent d’abord tabler un faux-pas de Valence face à Gran Canaria (ou Van Rossom contre le duo Cook-Lecomte) puis s’imposer obligatoirement au détriment de Saragosse. Fort simple et très compliqué à la fois !

Terrains extérieurs : à Sclessin, mais pas au Standard

Difficile d’imaginer qu’il y eut un club dans les environs (presque) immédiats du Standard de Liège. Il exista effectivement, dans les années ’70 et ’80, une formation de basket sur le territoire de Sclessin. C’est ainsi que l’Emul évoluait dans les plus modestes séries de provinciales et sur un terrain tracé sur une place Ferrer se transformant vite en « savonnette » en cas de pluie. Reste à savoir si elle, aussi, jouait en « rouge et blanc » ?

La télé crève l’écran

VOOsport World 3 vous fixe quatre rendez-vous pendant ce week-end. Vendredi : Valence – Gran Canaria (18 h 30, Stéphane Druart) et Real Madrid – Saragosse (21 h 30, Pierre Vandersmissen). Dimanche, les demi-finales par élimination directe à 17 et 20 heures.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : BLMA

« Il y en a beaucoup qui méritent des postes plus élevés »

Pour Masai Ujiri, il faut davantage de diversité aux postes clés des franchises sportives.

Pour lutter contre les inégalités, il faudrait déjà davantage de diversité aux postes clés selon Masai Ujiri. « Je m’interroge vraiment et je pense que, dans le sport en général, nous devons vraiment nous pencher là-dessus, et à différentes échelles. Il ne s’agit pas seulement d’engager quelqu’un pour veiller à la diversité et à l’intégration, nous avons aussi besoin de plus de personnes issues des minorités et de plus de personnes noires à des postes plus élevés. Et il y en a beaucoup qui méritent des postes plus élevés, si nous regardons bien » a développé le GM des Raptors avant d’expliquer pourquoi il n’y a pas plus d’Afro-Américains à des postes à responsabilités. « J’ai l’impression qu’ils pensent que les personnes issues des minorités ne peuvent pas [occuper des fonctions stratégiques]. Avons-nous des personnes noires dans le secteur des données analytiques ? Combien d’assistants GM [noirs] avons-nous ? […] L’une des perceptions [qui existe], c’est d’aller chercher un assistant coach noir qui puisse parler aux joueurs. C’est le gars du relationnel. Le mec symbolique… Et faites-moi confiance, cela existe, [je le vois de l’intérieur]. Je suis moi-même fautif. Nous devons en assumer la responsabilité.« 

« Etre là et être unis »

Danny Green veut que les Lakers soient au complet à Orlando mais insiste sur la nécessité de continuer la lutte contre les inégalités.

Pour Danny Green, pas besoin de boycotter la reprise de la saison pour lutter efficacement contre les inégalités.Je pense qu’on peut utiliser la plate-forme à notre avantage et le renforcer. J’insiste, j’entends les deux parties. Mais je pense que nous pouvons le faire facilement, et je pense qu’avec les médias sociaux et toutes les plateformes actuelles et les gens qui nous regardent, ils seront encore plus à l’écoute quand nous serons là-bas »  » a-t-il déclaré dans le podcast de Caron Butler avant d’affirmer que les joueurs étaient unis. « Les médias essaient de suivre tous les contenus partagés par les gens, toutes les conférences sur Zoom, tous les podcats, tous les articles et de voir qui fait quoi. Lorsque les matches reprendront, ils n’auront plus besoin de le faire. Ils pourront regarder la télévision et écouter exactement ce qu’on dira, et écouter exactement quelles sont nos passions. Il y aura des caméras partout à Orlando, ils verront exactement ce qu’on veut et ce qu’on fait. Je pense donc que c’est un avantage pour nous d’aller là-bas et d’utiliser cette plateforme pour maintenir ce mouvement en vie. De toute façon, nous pouvons prendre position, et cela en dira beaucoup, mais je ne crois pas qu’on puisse imaginer l’impact qu’aura cette plateforme sans jouer.« 

Alors que Bradley a déjà déclaré forfait et queHoward semble réticent à rejoindre Orlando, Green assure que les Lakers sont soudés et explique en quoi la reprise de la saison pourra permettre de faire avancer la cause pour laquelle milite de nombreux joueurs NBA. L’arrière des Lakers prenait Bradley en exemple quelques jours avant que ce dernier ne renonce. « S’il va à Orlando, il fera des interviews. S’il réalise un grand match ou un gros quart-temps, il parlera aux médias. Et même s’il ne réalise pas un grand match, il parlera aussi aux médias. Après les matches, ils l’écouteront parler des manifestations, de l’injustice sociale, du mouvement… Pour des gars qui ne sont pas présents sur les réseaux sociaux, ou qui sont peu suivis, c’est mieux pour le tout le monde d’être là et d’être unis » avance Danny Green. « J’entends la position des gars qui parlent de prendre position en ce moment. Collectivement, nous le pensons tous. Je pense simplement qu’il y a trop de choses qui fuitent avant qu’on puisse avancer de manière unie. On donne l’impression d’être divisés, mais je pense que nous sommes tous sur la même longueur d’onde. On aura plusieurs visioconférences. Nous avons une réunion avec les Lakers cette semaine, et j’espère une autre réunion avec la NBA. J’espère qu’il n’y aura pas d’autres médias dans ces réunions, où les choses fuitent avant qu’on puisse avancer ensemble et que nous décidions comment nous allons procéder. Que nous allions ou pas à Orlando, nous devons avancer de manière unifiée. »

« James Harden a les capacités pour être champion »

Olajuwon voit des similitudes entre James Harden et Jordan et Chamberlain.

Quand Michael Jordan a pris sa première retraite, Hakeem Olajuwon est devenu le taulier de la ligue et a raflé deux bagues avec Houston. Le pivot aux moves létaux estime qu’il existe des similitudes entre le nouveau franchise player des Rockets et Jordan. « Est-ce que James Harden est du calibre des joueurs qui gagnent des titres ? Bien sûr, il n’y a aucun doute là-dessus. Il est extrêmement difficile de porter sur ses épaules une équipe lorsque l’on joue à son poste. Regardez ses statistiques… C’est du niveau de Michael Jordan ou de Wilt Chamberlain. Pour cette époque, ce qu’il fait est incroyable » explique-t-il. « James Harden a les capacités pour être champion, ce n’est qu’une question de temps. Il est tellement complet… C’est un gagnant. Je pense qu’avec Russell Westbrook et du renfort, ils seront capables d’aller loin en playoffs. Il lui fallait quelqu’un capable de lui permettre de recharger les batteries. Westbrook amène ça. »

« Des entrainements centrés sur la technique »

Le jeune Edouard Duperroy a renoué avec l’entrainement au sein de sa nouvelle équipe de Liège Basket.

Venu du CFWB, Edouard Duperroy évoluera pour la première fois en division un la saison prochaine sous les couleurs de Liège Basket. Avec la majorité de ses coéquipiers, le jeune Hesbignon a renoué avec l’entrainement au Pôle Ballons de Waremme, une salle dans laquelle il évoluera la saison prochaine avec la R1 des Wawas. « La reprise des entrainements se passe très bien, cela fait vraiment plaisir de pouvoir retoucher le ballon » nous confie-t-il. « C’est difficile de s’entraîner en respectant les mesures sanitaires car l’opposition manque vraiment mais cela permet aussi de bosser d’une autre manière et d’être plus centré sur sa technique personnelle. » Et de conclure: « En tout cas, l’ambiance au sein du groupe est assez chouette. »

« Il sera au Hall of Fame »

Anthony Davis est-il le nouveau Kevin Garnett?

C’est ce que semble penser Kedrick Perkins. « J’adore Metta World Peace, c’est mon pote, mais on ne peut pas faire de comparaison avec Anthony Davis. C’est un profil qu’on n’a jamais vu avant. Il est unique et c’est un talent qu’on ne voit qu’une fois par génération. Le gars qui lui ressemble le plus, c’est Kevin Garnett. Ils sont tous les deux très polyvalents, ils peuvent dribbler, passer la balle, contrer des tirs, défendre en switchant des postes 1 à 5, prennent plein de rebonds… Il n’y a pas de limite dans leur jeu. Ils peuvent aussi prendre des trois points et ont des moves au poste. Mais AD est quand même unique. Il sera au Hall of Fame. Il est déjà sur le point de pouvoir y entrer. Le ciel est la limite pour lui. Il n’a que 27 ans, et va encore progresser. Il commence à seulement à entrer dans son prime, et c’est le plus effrayant avec lui. Comment pourrait-il ne pas être au Hall of Fame avec les stats qu’il va poser et tout ce qui lui reste à faire ? » a ainsi déclaré l’ancien pivot des Celtics.

Bradley forfait, JR Smith en renfort?

Les Lakers réfléchissent à la meilleure manière de compenser le forfait d’Avery Bradley.

Avery Bradley renonce à reprendre le basket cette saison. L’arrière préfère rester auprès de sa famille. Son forfait est une tuile pour les Lakers – en attendant celui de Dwight Howard – et la franchise californienne envisage de signer JR Smith pour étoffer son roster.

« De la liberté en double distri avec Nicolas Linden »

Encore ultra-compétitifs cette année, Antoine Van Kerkhoven et Union Liège terminent sur le podium de la P3C. Entretien.

Antoine, que faut-il retenir de cette saison?

Elle s’est très bien déroulée. Nous avons eu quelques blessés mais le groupe suivait grâce à son envie. C’est assez plaisant de jouer dans une équipe qui ne baisse pas les bras et qui se bat sur tous les ballons.

Vous terminez sur le podium, une position que vous visiez au début des hostilités?

Notre but était de faire mieux que la saison précédente et, donc, de finir dans le trio de tête. Nous y sommes et je pense que nous y avons notre place avec Alleur et Grâce-Hollogne même si Montegnée revenait en boulet de canon.

Qu’as-tu pensé du niveau de jeu pratiqué en P3C?

C’est assez difficile de juger le niveau d’une série. Mais vu le classement « final » assez serré, nous pouvons affirmer qu’il y avait de l’enjeu chaque semaine. C’est plutôt plaisant et nous sommes fiers d’avoir déjoué certains pronostics.

Comment juges-tu tes prestations?

Je me suis bien senti, j’ai pris du plaisir. Ma force a toujours été la combativité et tant que je serais content de moi par rapport à cela, je considérerais ma saison comme réussie. La liberté que me donne Sébastien Dethioux avec Nicolas Linden est très sympa.

Quels furent les moments marquants de cette campagne 2019-2020?

Le premier fut, malheureusement, la grosse blessure de mon ami Gabi à Aywaille. Nous n’avions, de base, déjà pas beaucoup de joueurs et cela nous a bien handicapés au premier tour sur le poste 4. Le second, positif cette fois, ce fut la victoire à Grâce-Hollogne qui nous a remis dans la course. C’est dommage de finir ainsi mais je préfère voir Alleur monter que le championnat gelé.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

L’ambiance dans le club. Avec deux équipes qui s’entrainent ensemble et qui jouent les premiers rôles pendant toute la saison, forcément, cela aide.

As-tu des regrets?

Le seul que j’ai est de ne pas avoir joué Alleur le quinze mars. J’étais assez dégoûté. Avec une victoire ou pas à la fin, peu importe, ce sont des tels matchs que j’affectionne. Idem pour Braives, nous attendions les Giants.

« Ces mois sans basket sont longs »

Avant de rejoindre Haneffe, Loic Franken revient sur son expérience au Haut-Pré et sa découverte de la régionale.

Cette saison fut celle des premières pour Loic Franken: première année au Haut-Pré et première expérience en régionale. « J’ai été agréablement surpris par le niveau de jeu. Le niveau était relevé, pas mal d’équipes alignaient de très bons joueurs. Dans l’ensemble, chaque équipe possédait un très bon noyau de joueurs, cela donnait beaucoup d’intensité aux matchs » souligne le pivot. « Personnellement, ce fut très positif et je suis assez satisfait de mes prestations.« 

Collectivement par contre, le Haut-Pré ne fut guère à la fête. « Ce ne fut pas grandiose au niveau des résultats. Monter d’une division avec une équipe dans laquelle beaucoup de joueurs ne se connaissaient pas n’a pas simplifié notre mission » reconnait le futur Templier. « Nous savions que cela allait être compliqué mais nous espérions nous maintenir. L’esprit d’équipe était toutefois bon et c’est dommage de n’avoir pu finir la saison pour livrer encore quelques bonnes prestations.« 

Ougrée a souvent manqué de régularité. « Dommage de n’avoir pas produit plus souvent le jeu dont nous étions capables et de n’avoir pas décroché le maintien » déplore Loïc. « Mais j’ai apprécié les rencontres dans l’équipe et le niveau de jeu différent. Comme c’était une première expérience, j’ai toujours essayé de donner le maximum pour l’équipe. » Et de conclure: « Ces mois sans basket sont longs.« 

« Le club s’est donné les moyens de ses ambitions »

John Collard revient sur la saison livrée par Oupeye en troisième provinciale et évoque les renforts du groupe qui sera sans nul doute très ambitieux pour le nouveau championnat qui se profile à l’horizon. Entretien.

John, quel bilan fais-tu de votre saison?

Elle fut bonne sans être extraordinaire. Nous avons eu trop de blessures et d’absences pour faire mieux. Nous avons terminé au milieu du classement et, au vu des circonstances, nous sommes à notre place. Au complet toute la saison, nous aurions sans doute terminé dans le Top 3.

Qu’as-tu pensé de cette P3C?

La série était très relevée, sans doute la plus forte des trois de P3. Quand je vois qu’une équipe comme Harimalia a terminé dans le haut du classement (ndlr: dans la P3B) alors que nous avions gagné de presque vingt points en étant incomplets, je me dis que nous aurions pu faire mieux dans une autre série. Des équipes comme Alleur ou Union Liège étaient clairement au-dessus de nous cette année et méritaient de monter. Ce sera le cas pour Alleur, dommage que ce ne soit pas le cas pour la formation de Sébastien Dethioux, une équipe qui ne nous a clairement pas convenu.

Tu as signé quelques cartons. Es-tu satisfait de tes prestations pour ton retour sur les parquets?

Je préfère davantage mettre en avant nos performances collectives, surtout lorsque nous n’étions que six ou sept pour défendre nos chances. Nos victoires à Hamoir et contre Sprimont furent acquises au caractères, elles faisaient plaisir. Mais si je dois retenir un match, c’est celui contre Sprimont lors duquel, à presque 37 ans, je me suis surpris physiquement et au niveau de mon jeu en scorant 37 pions malgré une grosse défense de Lionel Dechêne qui m’avait bien ennuyé (rires).

Quels furent les moments marquants de cette campagne?

Les cinquièmes quart-temps et la formidable ambiance qui règne à Oupeye. Nous gagnions ou nous perdions mais nous le faisions en équipe. Nous étions toujours ensemble, peu importe le résultat. Nous tirions tous dans le même sens et il n’y a jamais eu d’embrouille. J’ai adoré cet esprit d’équipe.

Qu’as-tu particulièrement apprécié?

La manière dont j’ai été accueilli. Je ne connaissais que trois joueurs de l’équipe – Pachen, Denis et Bei – et le coach mais tout le monde m’a de suite mis à l’aise. Je débarquais après un an d’arrêt et mes prestations ne furent pas transcendantes au départ mais tout le groupe a continué à m’encourager et mes sensations sont revenues petit à petit.

Nourris-tu certains regrets?

Oui, j’en ai plusieurs. Tout d’abord tous ces matchs disputés sans jamais être au complet. Cela a clairement nui à nos résultats. Nos défaites contre Alleur – alors que nous menions de vingt points après le premier quart avant de nous écrouler – ainsi qu’à Montegnée – à quatre pour nous échauffer – et à Grâce-Hollogne – un revers sur le fil avec une mauvaise gestion des derniers instants – demeurent difficile à accepter. Cela reste toutefois du basket mais, quand on a des ambitions en début d’exercice, c’est difficile à avaler.

En parlant d’ambitions, vous serez sacrément renforcés pour débuter la saison 2020-2021.

En effet, le club s’est donné les moyens de ses ambitions. Nous serons six rescapés du la saison qui vient de s’achever: Denis Collette, Michael Pachen, Michael Denis, Quentin Soyeur, Régis Demoulin qui nous reviendra après une saison quasi blanche et moi. Greg Bastings revient au club après un an d’arrêt et Mbaye Sarr arrive en provenance de la P1 d’Andrimont. Nous attendons également la réponse d’un meneur d’expérience. Nous viserons le haut du classement. .

Vous aurez également un nouvel entraineur.

Thierry Carton, qui coachait la P1 de Welkenraedt et qui est une personne que j’apprécie énormément sera en effet notre nouvel entraineur. J’avais vraiment envie de rejouer sous ses ordres. Je l’ai eu deux ans à Welkenraedt et ce furent mes deux plus belles saisons au niveau basket.