« Un run and gun sorti d’une autre planète »

A l’aube de cette nouvelle saison, Rémy Collard analyse la précédente conclue par une belle deuxième place pour Comblain en TDM2.

Rémy, comment juges-tu votre dernière saison en TDM2 ?

Ce fut une très belle saison même si la frustration de finir à la deuxième place fut bien présente. Cependant, nous n’avons pas été gâtés avec les blessures de plusieurs joueurs cadres. Cela nous a clairement handicapés sur certains matchs.

Quels furent les moments forts de cette campagne 2021-2022 ?

Il y en eut plusieurs, à commencer par le match de Coupe de Belgique contre Ostende. Sans oublier toutes les troisièmes mi-temps ainsi que les team buildings que nous avons pu vivre.

Quels souvenirs garderas-tu ?

L’excellente saison réussie avec pas mal de nouveaux joueurs et ce style de jeu que Ludo Humblet a su nous apprendre. Un jeu atypique qui correspond tellement bien à cette belle équipe de Comblain avec un run and gun sorti d’une autre planète.

Quelles sont tes envies pour cette nouvelle saison qui débutera prochainement ?

L’objectif reste le même : la montée ainsi que de nombreuses fêtes en perspective. La différence par rapport à la saison passée, c’est que nous aurons déjà joué un an ensemble, nous aurons donc plus facile de nous trouver sur le terrain. Sans parler des nouveaux transferts qui, je n’en doute pas, n’auront aucun souci pour s’intégrer au groupe.

« Bien que nous soyons considérés comme un petit club, nous alignerons tout de même 26 équipes »

Grâce à un tour final rondement mené, Loïc Gachertz et Flémalle ont décroché la montée en P2, une division dans laquelle les Métallos comptent bien faire des ravages. Entretien.

Loïc, que peux-tu retenir de ce tour final conclu par une victoire nette et sans bavure contre Huy ?

L’attitude et l’envie de l’équipe étaient bien plus forte que lors du match précédent contre La Spéciale Aywaille. Nous voulions en finir et avec la manière pour faire la fête après.

Vous voilà en P2, est-ce un soulagement ?

Ce fut un soulagement que la saison soit – enfin (rires) – finie. Pour moi, cette montée est logique vu la saison réalisée et ce que l’équipe a montré tout au long de celle-ci. Maintenant, l’objectif sera la tête du classement en P2.

Ce club de Flémalle te colle à la peau ! Es-tu surpris par son évolution ?

Oui, j’ai commencé à Flémalle il y a onze ans en tant que coach en baby basket et petits paniers. De fil en aiguille, j’ai pris de plus en plus de responsabilités et mis en place le projet sportif proposé. Nous continuons sur notre ligne de conduite avec de nouvelles arrivées dans le staff sportif car même si nous sommes considérés comme un petit club, nous alignerons tout de même 26 équipes cette saison 2022-2023. En tant que joueur, cela fait cinq ans que je porte les couleurs de Flémalle, lorsque j’ai décidé de quitter le CP Awans en première régionale pour me centraliser dans un seul club et gagner davantage de temps avec ma famille.

Flémalle semble en plein renouveau, le ressens-tu ?

Evidemment, mes coéquipiers et moi-même sommes fiers et heureux, que cela soit de l’engouement de personnes extérieures au club et qui désirent s’y investir, de la montée de nos dames en P2 et de celle des hommes, de l’augmentation du nombre d’équipes chaque saison, de l’importance que nous prenons dans les championnats mais aussi et surtout de l’interaction entre les différentes équipes et de la collaboration de nos seniors avec nos équipes jeunes. Les jeunes viennent soutenir les équipes seniors et inversément, notamment lors des stages, entrainements et évènements du club. Le club est plus que satisfait de sa situation et se réjouit déjà de démarrer cette nouvelle saison pour continuer notre projet.

6 assists pour Allemand et 18 points pour Meesseman dans le topper contre Las Vegas

Malgré l’impact de Julie Allemand et Emma Meesseman, Chicago s’est incliné pour la deuxième fois d’affilée, 83-93, dans le choc contre Las Vegas.

Chicago n’a profité de la venue des Aces (2e au général) à Windy City pour renouer directement avec la victoire. Les locales ont subi la déferlante adverse dans le premier quart-temps pour se retrouver menées 14-33. Malgré l’impact d’Emma Meesseman (18 points, 4 rebonds et 3 passes) et de Julie Allemand (6 passes, 1 steal), les favorites pour le titre n’ont pas su inverser la tendance et se sont inclinées 83-93.

Malgré ce revers, le Sky conserve la première place du classement général avec une défaite de moins que Las Vegas et deux de moins que Connecticut.

Lambrecht en Lituanie

Tim franchira-t-il enfin un palier supplémentaire à l’étranger ? En attendant, les promues de Brunehaut accueillent une Sénégalaise en provenance du Paire tandis que l’on connait le second choix de l’ASVEL après Petit. A Troyes, une nouvelle présidente à peine âgée de… 23 ans. Ce sont les infos d’EMCE.

Le géant de Nieuport espère rebondir au sein du Nevezis Kedainiai

Fin de la semaine passée, Tim Lambrecht décidait de rompre le contrat le liant avec le Spirou Charleroi. Il opte désormais pour une expérience à l’étranger car il défendra les intérêts du Nevezis Kedainiai, avant-dernier du championnat lituanien (10e sur 11). Amusant, ce club se spécialise en quelque sorte dans les anciens Côtiers. Juste avant l’apport du géant de Nieuport, les Baltes étaient renforcés par Amar Sylla, à Ostende de 2019 à 2021.

A qui le Tour ? Kyrielle de clubs de basket à Troyes et environs…

Aujourd’hui, les coureuses prendront leur départ de Troyes, splendide cité à visiter et pas tellement éloignée de Paris. Au niveau basket, c’est plus la quantité que la qualité. On a ainsi recensé quatre clubs majeurs dans ce coin de l’Aube : le BS Troyes (R1), l’Energie Troyenne (R2, qui se revendique le club de la ville), et St-André les Vergers (N3 dames et hommes). Quant au cercle de pointe, il se dénomme le Sainte-Savine Basket qui vient de rétrograder en Nationale 2 féminine. Pour rebondir, une jeune présidente prend le relais. Inès Roulet est ainsi âgée de… 23 ans. Jusqu’au terme du championnat, l’équipe était coachée par Régis Racine (51 ans) qui fut international à trois reprises. Il prend désormais en charge les destinées sportives de Monaco Association Basket, une phalange de Ligue 2 dames sur laquelle nous devrons absolument revenir. Elle recèle, en effet, une « particularité » régionale…

Encore Pepine au printemps, Bineta NDoye rejoint le promu de Brunehaut

Trop rarement vue à son avantage au Paire la saison dernière malgré son éternelle bonne volonté, Bineta NDoye (28 a, 1,96 m) quitte les rives de la Hoëgne et atterrit à l’autre extrémité de la Wallonie. L’ancienne internationale sénégalaise s’est ainsi mise d’accord avec les décideurs de Brunehaut. Faut-il rappeler que ce club proche de Tournai accède à notre D1 dames ? Comme pour marquer le coup, les Hennuyères (renforcées par pas mal de Françaises) accueilleront les Kangoeroes de Malines en coupe de Belgique.

Etranger : Fall (ex-Louvain) à Levallois, pas Petit mais Gauthier à Lyon

Après avoir défendu avec une belle énergie la peinture louvaniste et anversoise de 2018 à 2021, le longiligne Ibrahim Fall Faye (25 a, 2,06 m) débarquait sur le rocher monégasque. Face à une très forte concurrence, il valait mieux qu’il déniche une équipe répondant mieux à ses envies de jouer. C’est dorénavant chose acquise puisque le Sénégalais rejoint les Metropolitans 92 de Levallois, en banlieue parisienne (3e au terme de la phase classique). Là-bas, il aura comme mentor un certain Vincent Collet. La piste « Petit » s’étant éteinte, l’ASVEL dames a trouvé un accord avec David Gauthier (42 ans). Le technicien français arrive en droite ligne d’Angers.

Michel Christiane

Crédit photo : Nevezis Kedainiai

« Une saison qui commencera à partir d’une feuille presque blanche »

L’Etoile Jupille reprendra prochainement la direction de l’entrainement avec un effectif profondément remanié.

Après une saison sous forme de montagnes russes, les dirigeants de l’Etoile Jupille ont profondément remanié leur effectif pour aborder cette nouvelle saison de P1 avec des ambitions de Playoffs. « Cette nouvelle saison commencera à partir d’une feuille presque blanche. Nous ne sommes que quatre à rester à l’Etoile : Niedziolka, Blanchy, Lamborelle et moi. Tout sera à remettre en place », confirme Tom Bass. « Michel Nihon nous a concocté un sérieux menu de préparation et nous avons déjà pu faire quelques séances tous ensemble au mois de juin, ce qui nous promet une meilleure saison que celle qui s’est achevée voici deux mois. L’objectif premier reste le même : acccrocher les Playoffs et retrouver du plaisir à jouer tous ensemble tout au long de la saison. »

R’vlà Niksa !

C’est désormais officiel, le club du « gourou du Paire » retrouve le gratin helvète après une longue attente. Le Namurois Louvrier connait les deux Américains qui renforceront ses champions grand-ducaux alors que l’on reste bien évidemment sous le charme du dernier Tour en date. Ce sont les infos d’EMCE.

Vevey : feu vert pour la D1 ! Les troupes de Bavcevic ont enfin leur licence pour le top suisse

Pour rappel, le club valaisan s’était retrouvé au 3e niveau suisse suite à quelques problèmes de gestion. En 2020/2021, le Vevey Riviera survolait les débats dans l’antichambre helvète et réintégrait ainsi l’élite de son pays. Du moins en principe car encore fallait-il qu’il obtienne une licence très espérée. Au bout d’un intenable suspense, la Ligue a enfin décerné le fameux sésame aux troupes de Niksa Bavecvic qui ne sont bien évidemment pas disposées à faire de la figuration pour leur comeback en LNA.

Deux renforts US pour Etienne Louvrier et ses champions luxembourgeois

Après une saison exceptionnelle, on savait qu’Etienne Louvrier prolongerait son bail à l’Amicale Steinsel. Le champion grand-ducal devait encore choisir ses deux renforts étrangers. Dans ce domaine, on aura droit à une paire d’outre-Atlantique constituée de Shawn Montague et d’Axel Reese. Si le premier (25 a, 1,98 m) arrive en provenance de Gira Athleta, à Malte, le second (23 a, 2,08 m) demeure sur une première expérience européenne en Hongrie. On l’aura compris, les dirigeants luxembourgeois ne sont pas parvenus à garder cette perle rare qu’était Jarvis Williams. Pour l’heure, il dispute un tournoi estival et rémunérateur aux USA avec les Golden Eagles de Marquette.

A qui le Tour ? A Reims, le « Champagne Basket » pétille moins

A Reims, le club local a fusionné avec celui de Châlons-en-Champagne en 2010. L’équipe coachée par Nikola Antic (ancien assistant-coach au Spirou) montait en D1 française en 2015 tout en jouant en alternance dans les deux villes. Malheureusement, elle n’a pu éviter la descente en Pro B au printemps dernier. Du coup, les dirigeants se sont fixé un objectif de trois ans pour réintégrer l’élite. Parmi les éléments ayant transité par-là, on recense notamment Billy Baron (ex-Charleroi), Tyrel Johnson (ex-Alost), Dominic Archie (ex-Ostende) et Jean Salumu… pas plus tard qu’en 21/22.

La pépite (française) du mardi

Comme ne pas s’extasier au terme d’une Grande Boucle aussi passionnante que réjouissante. En cause, une sportivité et une joie de rouler de tous les instants. Sans oublier un Wout Van Aert au sommet (actuel) de son art. Unique bémol, une formation Lotto pédalant avec constance dans la choucroute. A l’instar de son « très cher » directeur sportif !

Michel Christiane

Crédit photo : Vevey Riviera Basket

A qui le Tour (féminin) ?

A qui le Tour ? Wilfried Yegete, l’enfant du CS Meaux, passe à Limoges.

On profite du Tour féminin pour poursuivre notre périple hexagonal. Cap dès lors sur la banlieue parisienne où se niche le CS Meaux dont les dames se maintiennent en Régionale 1 du comité d’Ile de France. Il n’en demeure pas moins que Wilfried Yegeté (30 a, 2,08 m, photo) est sans conteste la figure de proue du cru. Fils d’un international de Centre-Afrique, il a porté successivement les couleurs de Pau, du Mans et vient de signer au CSP Limoges. Pour info, Meaux est situé à 55 bornes de Paris et compte 55.000 habitants. Soit, autant de Meldois et Meldoises dont le maire n’est autre que Jean-François Copé (LR).

M. C.

Quel Liège il y a vingt ans ?

Qui composait l’effectif du Country Hall il y a vingt ans d’ici ?

Comme vous le lirez, on y retrouve encore quelques têtes bien connues aujourd’hui… Herbert Baert (46 a) est parti ensuite à Bree, il est pharmacien ; Marc Hawley (47 a), faut-il vraiment présenter le plus Liégeois des Britanniques ?; Brian Heinle (45 a), capable du pire comme du meilleur, a joué à Huy et réside toujours en Belgique ; Bruno Kurzweg (44 a), un caractère qui a mis ses qualités au service de plusieurs clubs régionaux ; Mark McSwain (57 a), a évolué dans de nombreuses D1 belges et habite en banlieue bruxelloise ; Barry Mitchell (57 a), l’élément fort de la phalange, très banché… NCAA actuellement, David Purnelle(45 a), arrivé en provenance de Charleroi, aujourd’hui au Réveil ; Marc Schiltz (50 a), le toubib luxo (chef de service dans un hosto de la capitale) n’a pas oublié Yvan Fassotte ; Eric Van der Sluis (49 a), un Batave qui ne lâchait rien, passé par Pepinster ; et Boro Vucevic (63 a), un Monténégrin qui est le papa de Nikola (Chicago Bulls) présent donc dans les gradins angleurois car il avait 11 ans à l’époque.

Michel Christiane

Crédit photo : Philippe Collin

Les Lions contre l’Allemagne à Hasselt

On a retrouvé la compo de l’équipe qui prestait, voici deux décennies, sur les hauteurs angleuroises. Avec quelques surprises au programme… Comme un parfum de NBA, début août, à Hasselt avec la venue de l’équipe d’Allemagne. Pendant ce temps, on fait toujours le Tour. Ce sont les infos d’EMCE.

Qui composait l’effectif du Country Hall il y a vingt ans d’ici ?

Comme vous le lirez, on y retrouve encore quelques têtes bien connues aujourd’hui… Herbert Baert (46 a) est parti ensuite à Bree, il est pharmacien ; Marc Hawley (47 a), faut-il vraiment présenter le plus Liégeois des Britanniques ?; Brian Heinle (45 a), capable du pire comme du meilleur, a joué à Huy et réside toujours en Belgique ; Bruno Kurzweg (44 a), un caractère qui a mis ses qualités au service de plusieurs clubs régionaux ; Mark McSwain (57 a), a évolué dans de nombreuses D1 belges et habite en banlieue bruxelloise ; Barry Mitchell (57 a), l’élément fort de la phalange, très banché… NCAA actuellement, David Purnelle(45 a), arrivé en provenance de Charleroi, aujourd’hui au Réveil ; Marc Schiltz (50 a), le toubib luxo (chef de service dans un hosto de la capitale) n’a pas oublié Yvan Fassotte ; Eric Van der Sluis (49 a), un Batave qui ne lâchait rien, passé par Pepinster ; et Boro Vucevic (63 a), un Monténégrin qui est le papa de Nikola (Chicago Bulls) présent donc dans les gradins angleurois car il avait 11 ans à l’époque.

Superbe affiche, début août, à Hasselt avec la venue de l’Allemagne

Face à un calendrier particulièrement chargé, les Lions entameront leur préparation à l’Euro ’22 (du 1er au 18 septembre) en accueillant leurs homologues allemands. D’autant que ceux-ci devraient s’aligner avec plusieurs de leurs éléments présents en NBA alors que ce pays pointe en 11e position au classement mondial. En attendant, sans doute, mieux… Le rendez-vous est fixé au mercredi 10 août prochain, à 20 h 30, à l’Alverberg. Il y a déjà huit ans que notre équipe nationale n’avait plus joué à Hasselt. De quoi réjouir le Gouverneur de la province du Limbourg, cet ex-joueur de D1 belge…

Tim Lambrecht ne s’éternisera plus longtemps en bord de Sambre

Aussi talentueux que nonchalant, le jeune géant flandrien (24 a, 2,07 m) constitue une énigme pour la plupart des coaches qui l’ont fréquenté. Ayant mis à bout la patience de Gjergja à Ostende, on espérait qu’il rectifierait le tir à Charleroi. Ce fut trop rarement le cas. Du coup, Tim Lambrecht a décidé de ne pas prolonger son séjour dans le Hainaut. Décision aussitôt acceptée par la direction locale. Quel gâchis !

Dames : de Malines à Namur en transitant par Fribourg, en Suisse

Une énième arrivée au Winketkaai malinois, via la venue de la très prometteuse, Renée Denys (18 a, 1,72 m) en provenance de Lummen. Quant à l’Elfic Fribourg, le récent champion de Suisse, il s’est renforcé avec l’apport de l’Américaine, Courtney Range (27 a, 1,90 m), à Namur de 2020 à 2022. A propos du cercle saint-servaitois, il a confirmé le Portugais, José Aranjo, au coaching. Il sera assisté par Lionel Dorange qui faisait partie du staff des Spirou Ladies. Il prendra également en charge plusieurs formations de jeunes. On reste dans la capitale wallonne où la Croate, Klaudia Perisa (25 a, 1,80 m), séjourna début 2020 (7 matches dont Panthers et Pepin). Elle débarque à Courtrai en droite ligne de Trévise (D2 italienne). Elle déclarait à un journal de son pays : « La ligue belge est faible car il y a trois, quatre équipes assez bonnes, mais le reste ne vaut pas grand-chose. » Sans commentaire.

A qui le Tour ? Wilfried Yegete, l’enfant du CS Meaux, passe à Limoges

On profite du Tour féminin pour poursuivre notre périple hexagonal. Cap dès lors sur la banlieue parisienne où se niche le CS Meaux dont les dames se maintiennent en Régionale 1 du comité d’Ile de France. Il n’en demeure pas moins que Wilfried Yegeté (30 a, 2,08 m, photo) est sans conteste la figure de proue du cru. Fils d’un international de Centre-Afrique, il a porté successivement les couleurs de Pau, du Mans et vient de signer au CSP Limoges. Pour info, Meaux est situé à 55 bornes de Paris et compte 55.000 habitants. Soit, autant de Meldois et Meldoises dont le maire n’est autre que Jean-François Copé (LR).

Michel Christiane

Crédit photo : CS Meaux

« Mes quatre années à Aubel furent fantastiques »

Avant d’aller exporter ses talents à Henri-Chapelle et de retrouver l’élite provinciale, Fred Perin aka « L’homme aux 62 points » revient sur son expérience aubeloise.

Fred, comment évalues-tu cette dernière saison avec Aubel en P2 ?

Elle fut en dents-de-scie. Nous avons très mal débuté pour finir sur les chapeaux de roues. Ce qui nous a procuré un peu de frayeur mais nous avons géré en fin de saison.

Quels furent les moments forts de cette campagne 2021-2022 ?

Notre come-back de 13 points à cinq minutes de la fin contre Hannut, notre concurrent direct à ce moment-là de la saison. C’était une victoire à 9 points pour le maintien.

Que conserveras-tu comme souvenirs de tes années aubeloises ?

Mes quatre années à Aubel furent fantastiques. J’y ai rencontré des gens formidables, un staff incroyable, une vraie famille. Je me réjouis maintenant de venir y passer une « après-midi panaché » en regardant la P2 et la R2 – où mon frère a prolongé.

Quelles sont tes envies pour le nouveau défi que tu relèveras avec Henri-Chapelle qui fête son retour au sein de l’élite provinciale ?

Je retrouverai la P1 avec Henri-Chapelle et mon but sera de gagner un maximum de matchs. Nous aurons des gars expérimentés, toujours en forme malgré leur grand âge (rires). Il faudra donc en profiter pour aller chercher le Top 5. Et pourquoi pas aller loin en Coupe…