Les Cats baissent pavillon face à la Chine

Les Cats se sont inclinées 74-62 contre la Chine et terminent deuxièmes de leur poule.

Les Cats débutaient bien la partie, malgré une contre-attaque facile ratée, avec plusieurs scoreuses différentes pour mener 6-10 puis 9-12 sur un beau mouvement collectif conclu par Emma Meesseman. La pierre angulaire des Cats plantait déjqà son douzième (!) point pour faire 13-16. Les rotations belges au jeu se montraient agressives et Jana Rama convertissait un difficile 2+1 avant que Julie Allemand ne plante un tir important en fin de possession, 17-21.

La meneuse liégeoise commençait le second quart par un triple, 17-24. Mais les Chinoises, adroites de loin et efficaces inside, recollaient à égalité, 27 partout, forçant un temps-mort belge. La Chine passait ensuite devant au score mais Emma Meesseman, en lay-back et sur un assist de Marjorie Carpréaux égalisait, avant de scorer ses dix-huitièmes points (à 8 sur 9 !) pour faire 32-33. La sortie de Meesseman coïncidait avec un petit passage à vide des Cats, menées 38-33 suite à une anti-sportive sifflée à Hanne Mestdagh, mais Julie Allemand trouvait parfaitement Raman pour réduire l’écart à 38-35 avant que Meesseman, revenue au jeu pour les vingts dernières secondes, ne fasse 38-37 aux lancers suite à une faute anti-sportive chinoise relativement légère.

De retour des vestiaires, Antonia Delaere enfilait une bombe pour faire 38-40 tandis qu’Emma Meesseman tenait la baraque face aux assauts chinois. Néanmoins, malgré une jolie pénétration de Delaere, les Chinoises prenaient le large avant qu’un panier de Raman ne scelle le score à 59-52 à la demi-heure.

Les Cats encaissaient à nouveau mais Julie Vanloo transperçait la défense adverse imitée ensuite par Kim Mestdagh à mi-distance avant de voler un ballon et de filer en contre-attaque pour ramener la Belgique à 61-58. La défense des Cats se faisait plus agressive et compensait un peu l’absence d’adresse de loin. Une belle action collective conclue par Julie Allemand faisait ensuite 65-60 à l’entrée du money-time. Une passe lumineuse de Linskens pour Kim Mestdagh permettait aux Cats d’encore y croire, 68-62, même si les Chinoises semblaient prendre l’ascendant et le confirmait au marquoir en s’imposant finalement de douze unités, 74-62.

Les Cats, parfois dépassées par l’adresse, la taille et l’agressivité offensive des Chinoises, ont laissé filer la victoire et terminent donc deuxième de leur poule. Offensivement, Emma Meesseman (24 points, 7 rebonds et 4 interceptions) fut parfois un peu trop seule malgré la prestation très correcte de Julie Allemand (12 points et 4 assists) – mais qui est encore capable de mieux – et les saillies de Delaere (5 point et 4 passes), Raman (7 points et 4 rebonds) et Kim Mestdagh (12 points mais à 6 sur 16 et 5 passes décisives).

Meesseman à 20 points, les Cats menées d’une petite unité

Malgré une incroyable Emma Meesseman, les Belgian Cats sont menées à la pause par la Chine, 38-37.

Les Cats débutaient bien la partie, malgré une contre-attaque facile ratée, avec plusieurs scoreuses différentes pour mener 6-10 puis 9-12 sur un beau mouvement collectif conclu par Emma Meesseman. La pierre angulaire des Cats plantait déjqà son douzième (!) point pour faire 13-16. Les rotations belges au jeu se montraient agressives et Jana Rama convertissait un difficile 2+1 avant que Julie Allemand ne plante un tir important en fin de possession, 17-21.

La meneuse liégeoise commençait le second quart par un triple, 17-24. Mais les Chinoises, adroites de loin et efficaces inside, recollaient à égalité, 27 partout, forçant un temps-mort belge. La Chine passait ensuite devant au score mais Emma Meesseman, en lay-back et sur un assist de Marjorie Carpréaux égalisait, avant de scorer ses dix-huitièmes points (à 8 sur 9 !) pour faire 32-33. La sortie de Meesseman coïncidait avec un petit passage à vide des Cats, menées 38-33 suite à une anti-sportive sifflée à Hanne Mestdagh, mais Julie Allemand trouvait parfaitement Raman pour réduire l’écart à 38-35 avant que Meesseman, revenue au jeu pour les vingts dernières secondes, ne fasse 38-37 aux lancers suite à une faute anti-sportive chinoise relativement légère.

Crédit photo: Belgian Cats

Nina, la Principautaire

On l’ignore parfois, mais notre récente médaille d’or est de St-Trond. Soit, une des anciennes bonnes villes de la… Principauté de Liège. En Cité ardente, justement, on s’interroge quant à l’avenir « basket » d’Emmanuella Mayombo tandis que les Côtiers sont de grands voyageurs. Ce sont les infos d’EMCE.

Jeux Olympiques : médaille orange et médaille citron tokyoïtes

Le + : comment pourrait-il échapper à Nina Derwael, notre (première ?) médaille d’or. Ce qui ne gâte rien, c’est que la pétillante Limbourgeoise s’exprime parfaitement en français. Il est vrai qu’elle est de St-Trond, donc principataire. Hier, Nina était la plus forte. Point… barre.

Le – : au boxeur français, Mourad Aziev, qui mécontent d’une décision arbitrale, a squatté le ring près de 45 minutes. Avec la bénédiction de son entraîneur et de sa fédération. Une première olympique dont on aurait aisément fait l’économie.

Keltern avec une ancienne Malinoise mais quid d’Emmanuella Mayombo ?

Le champion d’Allemagne pourra dorénavant s’appuyer sur les services de l’expérimentée, Agnieszka Skobel (32 a, 1,80 m). Jusqu’il y a peu, la puissante Polonaise prestait avec les Kangoeroes de Malines. Sur son site, Keltern présente son effectif actuel… où l’on ne trouve pas trace de « notre » Emmanuella Mayombo. Déjà l’été passé, la distributrice liégeoise s’était montrée fort hésitante à prolonger son bail outre-Rhin.

Ostendais actuels et anciens ont des fourmis dans les baskets

Après le départ de Michael Gilmore pour Mons (deux ans), c’est Mario Nakic qui fait ses valises. En effet, le Real le rappelle en Espagne où il pourrait rebondir à Andorre. Présent au littoral en 16/17, Corey Walden fait carrière en EuroLigue. Il quitte ainsi l’EtoileRouge de Belgrade pour le Bayern Munich. Quant au vétéran, Jason Rich (35 ans, Ostende en 2011), il débarque à Naples (Série A) en provenance de la D1 turque.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Team Belgium

Lonzo Ball aux Bulls, Kyle Lowry à Miami, Dragic aux Mavs ?

Ca commence à sérieusement s’agiter en NBA.

Les Pelicans ne semblent guère enclins à conserver Lonzo Ball (sauf à un tarif assez bas) et le meneur-passeur aurait déjà trouvé un pré-accord avec les Bulls pour un contrat de quatre ans et quatre-vingt millions de dollars.

New Orleans lorgnait sur Kyle Lowry pour assurer la distribution mais ce dernier serait tout proche de rejoindre la Floride (enfin y rester car les Raptors évoluaient à Tampa cette année). Selon « Woj » d’ESPN, un sign-and-trade qui enverrait Lowry au Heat en échange de Dragic serait sur le point d’aboutir. Dragic ne devrait lui pas se faire de vieux os au Canada et pourrait rejoindre son compatriote Doncic au Mavs.

Serbie, Japon ou France pour les Cats ?

Les Belgian Cats rencontreront-elles les championnes d’Europe, les Françaises ou les Japonaises au tour suivant ?

Dans un tournoi, le match le plus important est celui du quart de finale. En cas de victoire, c’est l’assurance de se battre jusqu’au bout pour une médaille. Pour les Cats, déjà qualifiées avant leur match contre la Chine (ce lundi à 10h20), ce sera soit la Serbie, soit la France, soit le Japon. Autrement dit, deux gros adversaires: les Serbes qui ont éliminé les Belges à l’Euro et les Françaises avec qui il existe une franche rivalité.

Nos compatriotes ne veulent toutefois pas calculer et préfèrent gagner ce lundi contre la Chine pour continuer à surfer sur leur bonne dynamique.

« Je ne vais pas lui dire de tirer, il sait le faire »

Avec la Slovénie, Luka Doncic est l’une des attractions des ces Jeux Olympiques. L’ancien Madrilène compte bien briller au Pays du Soleil Levant avant de revenir à Dallas pour encore franchir une étape sous la houlette de Jason Kidd.

Un sondage auprès de spécialistes FIBA fait de Luka Doncic le futur meilleur marqueur du tournoi olympique. Il est vrai que si la Slovénie veut aller loin dans la compétition, son jeune leader devra faire parler la foudre. Après les Jeux, Luka Doncic sera de retour à Dallas où il aura désormais Jason Kidd comme entraineur. L’ancien super meneur est déjà sous le charme de la pépite slovène.

« Luka est un joueur différent. Quand tu regardes ce gars de 22 ans, ce qu’il a déjà réalisé sur le début de sa carrière, c’est incroyable. Je ne vais pas lui dire de ne pas tirer . Il sait le faire (rires). Mon boulot, c’est de lui rendre le jeu plus facile. De lui apporter une meilleure compréhension du jeu, de savoir ensuite quand il faut impliquer ses partenaires, de devenir un meilleur leader. Car il est déjà un leader à 22 ans, mais il faut l’aider à se développer. Il faut donc l’aider dans tous les aspects du jeu. Avec un seul objectif, lui rendre la vie plus simple » a ainsi expliqué Jason Kidd.

Crédit photo: NBA

Un Belgian Lion à la Mons Arena !

Les Montois engagent l’intérieur Michael Gilmore pour deux saisons.

« Nous avons signé le joueur belgo-américain Michael GILMORE (26 ans – 2m08) pour deux saisons avec option. La poste 4-5 évoluait en NCAA avant d’entamer sa carrière professionnelle en 2019-20 à Phœnix Hagen (Pro A allemande). Gilmore a ensuite rejoint l’effectif de FILOU Oostende la saison passée, Champion 2020-21. Ses stats étaient de 4.6 points et 2.3 rebonds en 11 minutes de jeu. Nous sommes heureux de le compter dans notre effectif » annoncent les Renards sur les réseaux sociaux.

« Capelle, c’est mon club et j’espère une montée »

Finalement, Thibaut Remacle a décidé de repartir pour un tour en retournant à Henri-Chapelle, là où tout a commencé. Entretien.

Thibaut, tu nous avais confié vouloir faire un break niveau basket mais, finalement, tu seras bel et bien sur les parquets cette saison avec Henri-Chapelle.

Je vais probablement commencer un master HEC en cours du soir et je ne savais pas quand j’allais avoir cours mais Jean Thonus, mon petit de toujours, m’a forcé à reprendre du service (rires).

Qu’est-ce qui t’a motivé à réenfiler tes sneakers ?

Je connaissais l’équipe que possède la P2 de Capelle et j’ai déjà joué avec Benjamin Vieillevoye et Roland Delhaes à Capelle auparavant, cela m’a motivé aussi un peu. Et puis, j’aurai mon kop pour après les matchs avec Thomas Sushi et Loïc Sacré (rires).

A l’époque de la R1 d’Henri-Chapelle.

Quelles sont tes envies pour cette saison qui approche ?

J’ai envie de gagner un maximum de matchs et j’espère forcément une montée mais nous verrons match par match.

Est-ce une sorte de retour aux sources pour toi ?

Oui, Capelle c’est mon club. J’y ai joué quinze ans avant de partir quand l’équipe R1 fut scratchée. Nous allons essayer de jouer le haut du classement. Je suis motivé à l’idée de ce nouveau défi et je me réjouis de retourner, malgré mon jeune âge, dans le club où j’ai débuté le basket. C’est comme si je bouclais la boucle. Tout ça pour Jean Thonus, parce que je l’aime (rires).

« Elle sait comment gagner, c’est l’une des joueuses les plus convoitées au monde »

Actuellement, Emma Meesseman est tout simplement la meilleure joueuse du tournoi olympique. Et la Belgique comptera encore sur sa polyvalente intérieure ce lundi contre la Chine.

Avec29 points, 12 rebonds et 5,5 passes décisive de moyenne pour une évaluation absolument monstrueuse de 40, Emma Meesseman est tout simplement la meilleure joueuse du tournoi olympique pour sa première participation – et celle de la Belgique ! – malgré le florilège de superstars présentes. « Elle sait juste comment gagner » a déclaré Mike Thibault, le coach des Washington Mystics au Times. « Elle est si bonne, elle rend tout le monde meilleur autour d’elle. » Et d’ajouter: « C’est l’une des joueuses les plus convoitées au monde. »

Nouvelle preuve de l’excellence de la Belge, Nike a décidé de miser sur elle. « Nike va utiliser Emma pour la nouvelle campagne mondiale ‘Play New’ », a déclaré Lot Wielfaert, manager d’Emma Meesseman, au Times. « Seul un groupe restreint d’athlètes a été choisi pour cela. Pour Nike, l’histoire extrasportive de l’athlète est tout aussi importante. La semaine précédant le voyage d’Emma au Japon, un équipage de Nike de 40 personnes est venu à la salle de sport et à la maison familiale à Ypres pour enregistrer cette vidéo. La personne qui nous a approchés est la même personne qui a amené Luka Doncic à Nike. »

Les Cats compteront à nouveau sur l’épatante Meesseman pour briller face à la Chine et demeurer ainsi invaincues. « Nous connaissons un peu la Chine. Nous avons joué contre elle à quelques reprises en préparation il y a quelques années » soulignait Kyara Linskens au micro de Sporza dans des propos rapportés par basket 360. « Elles sont très physiques et aussi très forts. A tous les postes, elles sont plus grandes et plus fortes que nous, mais nous savons que nous pouvons gagner. »

Crédit photo: FIBA

Doncic frôle le triple-double, la Slovénie se paie l’Espagne

Dans le sillage d’un Luka Doncic au four et au moulin, la Slovénie s’est payée le scalp de l’Espagne.

Les Espagnols sont parvenus à limiter Doncic au scoring mais pas à l’empêcher de rayonner. Avec 12 points, 14 rebonds et 9 assists, le leader des Mavs a frôlé le triple-double tandis que les deux « Belgicains » Cebasek et Rupnik terminaient capots.

La partie fut disputée mais, au final, les Slovènes ont dompté l’Espagne d’un excellent Rubio (18 points et 9 passes), 95-87. La Slovénie termine donc en tête de son groupe.

Crédit photo: PP Photography Amateur