« J’oublie le reste et me mets dans ma bulle »

A Louvain, Romain Boxus a réalisé son match référence avec Liège et remporté sa première victoire comme basketteur pro. Interview.

Romain, quels sentiments t’ont traversé lorsque tu t’es présenté sur la ligne de réparation pour assurer la victoire de Liège à Louvain ?

Quand je suis aux lancers-francs, je me concentre juste sur le mouvement à effectuer. J’oublie le reste et me mets dans ma bulle. J’essaie simplement de me concentrer sur mon geste.

Et quelles émotions t’ont envahi au coup de sifflet final ?

C’était un vrai sentiment de bonheur, ma première victoire officielle en tant que pro. Cela me fait évidemment plaisir.

Ce premier succès peut-il vous servir de déclic ?

Gagner booste incontestablement le moral. Cela va nous propulser vers l’avant pour le travail qui s’annonce. Nous nous préparons pour la suite, étape par étape.

Selon toi, qu’est-ce qui vous a permis d’émerger chez les Bears ?

Je trouve que nous avons eu une bonne agressivité défensive et c’est ce qui nous a aidé à être dans le coup tout au long du match. Offensivement, le collectif était plus à l’honneur, les options furent davantage distribuées entre les joueurs. En jouant solidairement comme dimanche à Louvain, je pense que nous sommes capables de beaucoup plus de choses.

Ce fut aussi pour toi ton match référence offensivement avec Liège. Peut-on te qualifier de véritable « 3&D » pour les Liégeois ?

J’essaie juste d’être la meilleure version de moi-même et d’apporter ce dont nous avons besoin sur le terrain.

Bonus: les highlights de Romain Boxus sont à voir ici.

« J’aime la compétition, je déteste perdre »

Aujourd’hui, Liège & Basketball vous emmène à la découverte de Charles Kempeners, l’un des plus intrigants potentiels de notre Principauté. Entretien.

Charles, peux-tu me nous retracer ton parcours basket ?

J’ai commencé à l’âge de trois ans et demi à Cointe. Ensuite, je suis parti trois saisons à Ans avant de revenir chez les Grenouilles jusqu’à mes treize ans. J’ai alors rejoint Liège où j’ai joué avec la R1 ces deux dernières années. L’été dernier, j’ai opté pour la R2 de Liège Atlas avant de signer une double affiliation avec la D3 de Sprimont en début de saison.

Qu’apprécies-tu tout particulièrement dans ce sport ?

J’aime la compétition, je déteste perdre. Ressentir l’adrénaline d’avant-match est une des sensations que je préfère, avec celle de la victoire. Pouvoir savourer un succès en équipe est toujours plus plaisant que dans un sport individuel.

Quel genre de joueur es-tu ?

Ayant toujours été grand pour mon âge, j’ai une formation de joueur intérieur même si j’aimerais passer sur l’aile pour la suite de ma carrière. Je devais travailler à cela cette saison avant que le Covid ne fasse tout tomber à l’eau.

Quelles sont tes points forts et ceux qui nécessitent davantage ton attention ?

Mes principales qualités sont ma main gauche et mon physique. Pour mon gabarit, je suis plutôt rapide et agile, j’adore partir en contre-attaque, avec le ballon ou non. Ce que je dois le plus travailler, c’est ma main droite pour devenir plus imprévisible. Je dois également bosser sur ma défense en « un contre un » pour peser des deux côtés du terrain.

As-tu des modèles qui t’inspirent ?

Actuellement, mon joueur favori est James Harden. Mais si je devais choisir un modèle, ce serait Kevin Durant. Il est, pour moi, le joueur ultime en attaque. Il sait tout faire avec une facilité incroyable.

Quels sont tes meilleurs souvenirs liés à ton sport favori ?

Malheureusement, je n’ai jamais joué une finale ou un gros match de Playoffs. Evidemment, il y a des victoires qui marquent plus que d’autres ou des performances individuelles dont je me souviendrai longtemps. Mais les souvenirs qui resteront gravés dans ma mémoire sont davantage liés à des moments passés hors des terrains avec des coéquipiers et des amis que je n’aurais jamais rencontrés sans m’adonner au basket-ball.

« Devenir d’abord un vrai bon joueur de régionale »

Quelles sont tes ambitions dans ce sport ?

A la base, je joue au basket pour le plaisir. Mais je veux évidemment jouer le plus haut possible et atteindre mon plein potentiel pour ne pas éprouver de regrets. J’aspire d’abord à devenir un vrai bon joueur de régionale et, pourquoi pas, viser les catégories nationales par la suite…

Cette année, tu devais évoluer à LAAJ et Sprimont. Avec quels objectifs ?

A LAAJ, j’avais pour objectif de prendre un autre rôle qu’avec la R1 de Liège et devenir un joueur important et plus dominant en R2 tout en continuant ma formation en U21 où je voulais être dans la continuité de ma bonne saison précédente en U18. Avec Sprimont, ce ne devait être que du bonus. Rien que pouvoir m’entrainer une fois par semaine avec un très bon groupe de D3 comme celui-là ne pouvait qu’être bénéfique pour ma progression. Pouvoir monter juste quelques minutes sur le terrain de temps en temps m’aurait aussi apporté beaucoup d’expérience.

Comment as-tu accueilli la décision annulant toutes les compétitions pour cette saison 2020/2021 ?

Honnêtement, je pense que tout le monde s’y attendait un peu mais l’officialisation a quand même fait mal et je ne pense qu’à une chose: pouvoir remonter sur un terrain le plus vite possible car là, ça commence à faire un peu long.

Qu’est-ce qui te manque le plus depuis que le basket est interdit ?

D’abord, le simple fait de pratiquer mon sport me manque. Le fait de ne plus voir mes coéquipiers, coachs ou les membres des clubs me fait aussi penser qu’il faut vite réouvrir les salles de basket. Ce qui me manque également beaucoup, c’est de jouer un match, de sentir l’excitation qui précède la rencontre ainsi que la compétition.

Comment vis-tu ce second confinement ?

C’est un peu triste à dire mais après de longs mois de confinement, je suis presque devenu habitué à cette situation de crise. Il n’y a pas grand chose à faire hormis aller à l’école. Et c’est parfois très compliqué de trouver de la motivation pour étudier alors qu’on me prive de ma passion et de beaucoup d’autres choses. Nous n’avons plus vraiment de loisirs, malheureusement.

Quels sont tes envies pour l’année prochaine et la future saison ?

Concernant les études, j’ai des idées mais je n’ai pas encore vraiment fait mon choix. Pour la prochaine saison, j’espère tout d’abord que nous pourrons reprendre normalement. Si c’est le cas, j’aimerais continuer à travailler sur ma transition vers le poste 3 et continuer à progresser en général des deux côtés du terrain. Mais mon souhait principal est de retrouver la compétition et de pouvoir prendre du plaisir sur le terrain avec mes coéquipiers. Et pouvoir reprendre une vie « normale » le plus vite possible même si je sais que ce n’est pas pour tout de suite.

« Travailler dans la continuité »

Cette saison devait être celle d’un nouveau cycle pour Cointe. Le virus ayant empêché les Grenouilles new look de faire leurs armes, les voici reparties pour un tour.

Avec un tout nouvel effectif et un nouveau coach, Cointe devait entamer un nouveau cycle cette saison et débuter un nouveau chapitre de sa glorieuse histoire. Le virus a tout fichu par terre et les passionnés n’auront pu voir à l’oeuvre des Grenouilles que nous considérions comme la potentielle bonne surprise de la saison.

Heureusement, en ces temps moroses, certaines nouvelles font chaud au coeur. Ainsi, croisons les doigts, avec un an de retard, il sera possible de suivre l’effectif complémentaire assemblé par Julien Moray. « Le groupe est complet. Seul Valery Borger fait un pas de côté et sera remplacé par Simon Ferette qui revient de Libramont » nous précise le coach local. « Nous allons donc pouvoir travailler dans la continuité tout en apportant quelques corrections. »

Avec un noyau mélangeant habilement jeunesse et expérience, percussion et précision, Cointe devrait assurément défendre avec brio le basket liégeois en première régionale.

Connexion belge à Antibes

Daniel Goethals a décidé de quitter Neuchâtel avec effet immédiat pour relever un beau défi à Antibes.

A Neuchâtel, Daniel Goethals s’épanouissait et avait la confiance de ses dirigeants, de ses joueurs et des supporters. Mais il arrive parfois que certaines propositions soient impossibles à refuser et c’est ce qu’il vient de se produire pour l’ancien entraineur de Mons-Hainaut. « Par la présente, je désire vous annoncer mon départ du club de Union Neuchâtel basket avec effet immédiat. Il y a quelques jours à peine, j’ai reçu une opportunité pour rejoindre le prestigieux et historique club de l’Olympique d’Antibes, plus communément appelé les « Sharks » ! Nous tenons, mon épouse et moi-même à remercier les dirigeants, le comité, le staff, les joueurs, les bénévoles et les supporters de Neuchâtel qui nous ont permis de vivre une aventure sportive, mais surtout une aventure humaine qui restera gravée à jamais dans nos mémoires.Je désire remercier plus particulièrement le Président Andréa Siviero d’avoir accédé à ma requête de départ et ce, en milieu de saison. Je profite également pour remercier l’énorme opportunité qui m’est donnée par le club d’Antibes et son Président, Monsieur Freddy Tacheny! La challenge est de taille, mais j’ai déjà pu ressentir la motivation des personnes en place dans le club et l’envie commune de mener à bien ce projet !Le respect, le travail et la bonne humeur seront nos alliés les plus précieux ! Certains jugeront, vous connaissez mon nom, pas mon histoire… » informe Daniel Goethals au travers d’un communiqué.

La connexion belge a encore bien fonctionné pour Antibes qui, par le passé, a notamment compté Sacha Massot, Romain Boxus ou encore Savo Vucevic dans ses rangs.

Des montagnes russes dans les montagnes suisses

Au pays du gruyère et du chocolat, Daniel Goethals s’épanouit malgré un contexte sanitaire qui complique inévitablement la bonne tenue du championnat.

Géniale initiative de Télé Mons Borinage, partie rendre visite à Daniel Goethals à Neuchâtel. L’excellent coach belge y parle de la situation sanitaire qui complique le quotidien des clubs et sportifs « pros », de son épanouissement chez les Helvètes, de ses ambitions dans une ligue dont le niveau s’approche de celui de l’EuroMillions Basketball League et des particularités – obligation d’avoir en permanence deux joueurs locaux sur le terrain – de règlement à prendre en compte dans le coaching.

Un excellent reportage à découvrir ici.

Photo: souvenir de deux légendes !

La Belgique face à un défi historique

En Lituanie, les Belgian Lions ont non seulement l’opportunité de se qualifier pour leur cinquième EuroBasket consécutif mais aussi celle de terminer premiers du groupe pour s’assurer un tirage plus clément et rêver d’un quart de final lors de la prochaine compétition.

A Vilnius, l’enjeu est double pour les Belgian Lions: assurer la qualification pour le prochain EuroBasket mais aussi terminer premiers de leur poule afin de s’assurer un tirage au sort plus clément.

« Un tel scénario serait historique pour l’équipe nationale masculine. Cela nous éviterait par exemple de croiser des équipes comme l’Espagne et la France, ou d’autres vainqueurs de groupe dès le premier tour de l’Euro. Cela augmente automatiquement les chances de qualification pour le tour final » déclare Jacques Stas à la DH. « Il s’agira sans doute d’une compétition très relevée car l’événement a désormais lieu tous les quatre ans et non plus tous les deux ans comme auparavant. Chaque nation fera donc le maximum pour y figurer avec ses meilleurs éléments. Mais le but pour les Lions serait de réaliser le meilleur résultat de leur histoire dans cette compétition. Cela signifierait donc un top 8 avec une qualification pour les quarts de finale. »

Le moment semble être le bon pour que la Belgique performe à l’Euro. La jeune génération monte en régime, les anciens ont toujours du jus et les cadres semblent à leur apogée « Encore faut-il que tout le monde soit disponible au même moment. Mais de plus en plus de joueurs belges parviennent à s’illustrer favorablement au sein de championnats étrangers plus huppés et sont en forme actuellement. C’est un signe » assure ainsi le GM des Lions à la DH.

Ainsi, tant Sam Van Rossom (absent en Lituanie) avec Valence que Max De Zeeuw à Holon, Bako avec l’ASVEL, Lecomte avec Pau et Van Wijn avec Dijon, Obasohan avec Nymburk cartonnent en club. Sans oublier que Mwema n’a jamais semblé aussi fort à Ostende où Pierre-Antoine Gillet est un véritable métronome tandis qu’Ajay Mitchell épate pour sa saison rookie à Limburg et que Van Vliet jouera presque à domicile, lui qui brille avec son club lituanien. « Le championnat belge, dont le niveau a baissé ces dernières années, devient lui de plus en plus vite trop petit pour nos talents et c’est dommage. Je pense d’ailleurs que, dans le contexte actuel, il faudrait encore plus limiter le nombre de joueurs étrangers afin d’obliger les clubs à miser sur les Belges et quelques étrangers avec une vraie plus-value » conclut Stas, toujours pour la DH, dans la lignée des principes qu’il défend depuis longtemps.

Crédit photo: FIBA

« Un meneur avec un bel esprit de famille »

Finalement, Steve Tihon ne reprendra pas sa fabuleuse carrière avec les Blue Rabbits qui lui cherchent désormais un remplaçant.

Avant que le Covid-19 ne vienne tout ficher par terre, Steve Tihon devait être le distributeur de Bellaire pour un come-back qui réjouissait tous les passionnés de la balle orange. Malheureusement, cette année blanche aura eu raison des velléités de retour de l’ancien magicien de Fléron et Ninane. « Steve ne reprendra pas, surtout pour des raisons professionnelles. Nous le comprenons bien mais, franchement, cela nous attriste » nous confie Gaël Colson. « Le principal, c’est qu’il se sente bien et si c’est la meilleure solution pour lui, je suis content. »

Forcément, la formation de première provinciale doit lui trouver un remplaçant, ce qui ne sera pas chose aisée. « Nous cherchons un meneur avec un bel esprit de famille et qui vient pour se donner à fond dans l’esprit des Blue Rabbits qui voudront encore être compétitifs en P1 » explique celui qui dirigera encore Bellaire la saison prochaine.

Le fameux périple de Max de Zeeuw

Le Taulier des Belgian Lions a dû cravacher pour rejoindre notre équipe nationale à Vilnius.

La crise sanitaire mondiale a de multiples impacts et Max De Zeeuw en a fait les frais. En effet, comme le détaille Basketballbelgium, le Taulier des Lions a éprouvé de sérieuses difficultés à quitter le territoire israélien suite à la fermeture du trafic aérien international en Terre Sainte. Finalement, c’est grâce à… l’équipe nationale israélienne que Max a pu retrouver ses potes de l’équipe nationale. « En effet, j’ai pu quitter Tel Aviv avec l’équipe israëlienne. Ils avaient affrêté un jet privé pour la Pologne où ils disputent eux aussi cette semaine deux rencontre qualificatives à l’Euro. A notre arrivée à Katowice une voiture m’attendait pour une longue balade (800 km) vers Vilnius sur les routes enneigées. Après neuf bonnes heures de routes, je suis enfin arrivé à l’hôtel. Un voyage pas facile mais je suis surtout très heureux de pouvoir à nouveau rejoindre les Belgian Lions après un an sans en être » raconte à Basketballbelgium celui qui crève l’écran avec l’Hapoël Holon. « J’attends beaucoup de cette fenêtre. Les enjeux sont élevés et nous voulons absolument nous qualifier pour un cinquième Eurobasket d’affilée. Pour moi aussi qui ai fait partie de toute l’aventure, ca serait également le cinquième. Avec une bonne semaine d’entrainement nous aborderons le premier match de samedi en quête d’une qualification. »

Et si Max-la-menace est aussi chaud samedi contre le Danemark qu’il ne l’est avec son club de Tel-Aviv, nul doute que les Lions seront sur du velours pour valider leur ticket pour le prochain Euro.

Braine en champion

Le titre féminin se jouera-t-il encore entre Castors et Namuroises ? Plus que probable. C’est officiel : Ivica Skelin ne coachera plus Split tandis que Luc Smout rentre au bercail anversois. Reste James Washington qui, après avoir enflammé le Paire, s’apprête à prendre la direction de la D1 polonaise. Ce sont les infos d’EMCE.

D1 dames : Castors explose le SKW et Namur en promenade à Laarne

Deux rencontres étaient au menu d’hier soir. Dont le choc opposant Braine au SKW. Il n’y eut jamais match, ni photo tant les Brabançonnes (Kreslina 11 p, photo) dominèrent de la tête (44-27, 30e) et des épaules (55-42, 40e) leurs rivales anversoises (Becky Massey 18 p). Pendant ce temps, les Namuroises (O’Sullivan 19 p) n’eurent qu’à paraître (22-43, à la pause) pour aller imposer leurs vues (47-77) sur le parquet flandrien du Sporting Laarne. Bref, on semble à nouveau se diriger vers un fameux bras-de-fer wallon au sein de notre élite féminine. Ce dont personne ne se plaindra…

Ex-coaches pepins en mouvement : Smout retourne à Anvers, Skelin viré

Comme on le laissait deviner en tout début de semaine, l’infortuné Ivica Skelin (Pepin de 01 à 04, de 06 à 08 et en 10/11) n’a pas résisté à la défaite du KK Split en finale de la coupe de Croatie contre Zadar et vient de recevoir son « C4 ». Quant à ce vrai gentil de Luc Smout (Pepin de 05 à 07), il s’apprête à faire ses valises d’Ostende où il avait succédé à Sam Rotsaert. L’ancien employé d’Opel revient à nouveau à Anvers, son port d’attache, où il s’occupera de la coordination des jeunes avec Ivan De Vreught ainsi que des Giants 2, des Giants 3 et des U21 locaux. Ce n’est donc pas le boulot qui lui manquera dans la Métropole où il a signé jusqu’en 2024.

Un ex-Alostois remplacé par un ancien Pepin coaché à Split par… Skelin

Il y a de ces coïncidences. En début de semaine, Anwil (D1 pol) se séparait de Rotnei Clarke (31 a, 1,83 m) ayant transité par Alost en 15/16 et rebondissant directement à San Severo (4e sur 14 en D2 ita). En Pologne, l’Américain cédait ainsi le relais à son compatriote, James Washington (34 a, 1,82), qui avait débarqué au Paire le 1er avril 2014 afin d’y terminer la saison en cours. Et ce, sous les ordres de Julien Marnegrave. Pour être tout à fait complet, on ajoutera que le meneur US avait distribué le jeu, l’an passé, du KK Split drivé par Ivica Skelin. La boucle est bouclée.

Quand des Américains de Limburg se replacent en Allemagne et Israël

Autre coïncidence : deux anciens US de Limburg United ont retrouvé, de concert, de l’embauche dans la journée d’hier. C’est notamment le cas de James Wilson-Frame (24 a, 1,96 m, LU 19/20) qui défendra désormais les intérêts de Crailsheim (2e sur 18 en 1.Bundesliga). Stanton Kidd (28 a, 2,02 m, LU 15/16), de son côté, évoluait jusqu’à présent à Orman (dernier en D1 turque) avant que n’arrive la proposition de l’Hapoel Jérusalem (4e sur 13 en Winners League israélienne). Faut-il préciser son choix ?

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : FIBA

Trae Young en claque 40 à BeanTown !

Le meneur d’Atlanta s’est approprié le TD Garden le temps d’une nuit.

Trae Young fait déjà partie des superstars de la ligue. Face à Jayson Tatum (35 points, 6 rebonds et 6 passes), lui aussi l’un des nouveaux visages de la ligue, le meneur au physique lambda a cartonné: 40 points à 70% aux tirs et 8 passes.

Avec l’apport de Capela (24 points et 13 rebonds) et Collins (20 pions), les Hawks ont dicté leur loi à des Celtics qui soufflent beaucoup trop le chaud et le froid ces derniers temps.

https://www.youtube.com/watch?v=Ae13hMzNOLQ