« Cette série est parfois étrange »

   

Dans le derby entre Bellaire et Cointe, ce sont les locales qui l’ont largement emporté. Terence Gabriel revient sur la prestation réussie de ses ouailles.

    

Terence, que retenir de cette belle victoire?

Les filles furent impliquées et hargneuses durant toute la rencontre. Nous fûmes dominants dans l’envie et l’agressivité et déroutants offensivement. 

Sans parler de votre adresse!

Oui, nous avons planté onze triples et sur sept joueuses, j’en ai cinq au-delà des dix points. 

Dès lors, t’estimes-tu satisfait de votre prestation?

Oui. Mes filles ont respecté les consignes, tant devant que derrière et ce fut un réel plaisir de les coacher dans ce contexte. Pourvu que ça dure! 

S’agit-il là d’une victoire importante pour les Playoffs?

C’est surtout, à l’heure actuelle, une victoire importante pour le maintien! Cette série est parfois étrange et réserve encore quelques surprises. Nous ferons le bilan d’ici quelques semaines.

« Arnaud Porcu tient son match référence »

    

Après quelques soubresauts, Dison-Andrimont C s’est adjugé une victoire au buzzer, 73-74, à Harimalia pour reprendre sa marche en avant. Debriefing avec Thomas Rondoz.

      

Thomas, excellent résultat pour vous ce weekend à Harimalia…

Oui, une victoire qui fait du bien!

Comment s’est déroulée cette rencontre?

Le premier quart-temps fut très serré, Harimalia nous faisant mal en contre-attaque. Néanmoins, nous étions devant de quelques points mais notre adversaire a pris le dessus lors des dix minutes suivantes et nous étions menés de sept ou huit points à la pause. 

Avant une deuxième période singulière…

Oui, en deuxième mi-temps Romain Albert a planté six bombes. Il n’a rien raté le bougre! Et Arnaud Porcu tient son match référence. Il fut solide des deux côtés du terrain et s’est même permis d’inscrire un fade-away au buzzer pour nous offrir la victoire.

Cela s’est joué à vraiment pas grand chose?

Harimalia a mené une grosse partie du match avant que nous ne repassions devant à quelques minutes de la fin. Nos pivots avaient un rôle ingrat et n’ont guère touché de ballons mais sont restés dans le match. Toute l’équipe est vraiment restée soudée pendant l’intégralité de la rencontre, la motivation et l’ambiance étaient positives. 

Avant ce dernier play rondement exécuté…

Nous n’avons pas paniqué sur la dernière action alors qu’il nous restait cinq secondes et notre « capi » nous a offert la victoire.



Des Hutois plein de sang-froid

 

Tant la R2 que la P3 de Huy ont fait preuve de sang-froid dans les « matchs à six points » qui les attendaient ce weekend. De quoi respirer un peu mieux au sein du club mosan même si la situation demeure préoccupante.

    

La réception d’Aywaille, en queue de peloton en P3B, s’avérait cruciale pour Huy, bon dernier de la série. Pour croire au maintien, les locaux devaient l’emporter. Mission accomplie, 74-68. « Nous avons très mal démarré le match en étant rapidement mené de dix points » nous explique Nathan Lathouwers d’Aywaille. « La première mi-temps fut compliquée face à des Hutois insolents de réussite. En seconde période, remotivés, nous sommes parvenus à recoller au score mais les jeunes joueurs de R2 de Huy ont clairement fait la différence car nous n’arrivions pas à les stopper. Aidés par les grands espaces que nous laissions, nos adversaires avaient le champ libre pour allumer à distance. Nous nous sommes tout de même battus pour éviter une débâcle et limiter la casse à six unités de différence pour le match retour. » Une confrontation qui devrait s’avérer, à nouveau, décisive.

Avec cette seconde victoire de la saison, Huy recolle aux basques d’Aywaille, Pepinster et Eupen. Mais les deux premiers cités comptent un match de plus. Le maintien devrait se jouer entre ces quatre formations et Theux, qui ne compte qu’une victoire supplémentaire. « Nul doute que si les joueurs de R2 continuent à venir aider la P3 Hutoise, celle-ci se sauvera » prédit l’ailier aqualien.

    

Mission accomplie pour les troupes de Lio Bosco

   

En deuxième régionale, Huy a vaincu Neufchateau 72-65. Les Mosans ont rapidement pris le contrôle des opérations pour mener 38 à 31 à la pause. Emmené par un trio Machiroux/Bondue/Desiron auteur de 40 points, Huy accroissait encore son avance à la reprise pour mener 58-38 à la demi-heure. Les gars de Lio Bosco tenaient bon dans le dernier quart malgré la tentative de retour des Chestrolais et l’emportaient logiquement.

Cette victoire, la troisième, permet aux Hutois de distancer leur adversaire du weekend et de revenir à hauteur de Beez (mais avec un match de plus) à l’avant-dernière place du classement, à portée de fusil de Maffle et Erpent.

Waremme retombe dans ses travers

    

S’il est un titre que Waremme B peut remporter haut la main cette année, c’est bien celui de « champion de l’inconstance ». Soufflant le chaud et le froid depuis le début de saison, les Wawas sont passés à côté du derby à Hannut, s’inclinant 85-72. Inquiétant avant le quart de finale de ce soir contre Alleur C?

    

En déplacement à Hannut, promu en deuxième provinciale au terme d’un passionnant tour final, Waremme débutait bien la rencontre, malgré quelques soucis d’effectif. « En plus de Dierckx et Fiacre, toujours sur la touche, c’est au tour de Bareel d’être blessé, et sans doute pour longtemps. Une opération pourrait même être envisagée » soupire Nicolas Gerads. Néanmoins, les deux voisins étaient à égalité après dix minutes: 19 partout. Les dix suivantes étaient tout aussi équilibrées et les locaux ne menaient que d’une courte tête, 38-36, au moment de rentrer aux vestiaires.

Comme souvent en basketball, le troisième quart allait s’avérer décisif. La reprise était fatale aux Wawas qui laissaient les Hesbignons se détacher à 62-52 à la demi-heure. Le dernier acte était encore en faveur de De Liamchine (21 points) et de ses partenaires qui s’imposaient logiquement 85-72. « Même si nous sommes en train de manger notre pain noir, si nous n’améliorons pas notre envie, notre mentalité et si nous ne parvenons pas à nous serrer les coudes, cela sera compliqué » prévient l’entraineur visiteur. « Il est difficile de gagner un match en encaissant 85 points. Hannut a joué très intelligemment sur les forces du moment et en exploitant bien nos mauvaises rotations. Les Hesbignons nous ont surpassés dans tous les domaines.« 

     

Waremme versus Waremme en demi-finale?

   

Ce mercredi, en quart de finale de la Coupe provinciale, c’est un déplacement périlleux qui attend les Wawas qui doivent immédiatement se remettre en selle. Mais attention, si Alleur C était encore en quatrième provinciale, cette équipe impressionne depuis le début de saison, ne s’étant inclinée qu’à une seule reprise. « Nous ne partirons absolument pas favoris » reconnait, judicieusement, Nicolas Gerads. « Les All Blacks seront à domicile et dans une spirale positive, contrairement à nous qui devons, de plus, composer avec nos nombreux blessés.« 

Néanmoins, en cas de victoire, Waremme pourrait retrouver… Waremme (la P1) au tour suivant. « Cette carotte pourrait motiver les miens même si la team de Mike De Keyser devra d’abord se défaire de Bellaire pour ce qui ressemble fort à une finale avant la lettre » argue le mentor des Wawas. « Nous sortons d’un bon entrainement et devrons nous battre sur tous les ballons pour espérer rejoindre le dernier carré de cette compétition. »

   

Bc Hannut B – ABC Waremme B: 85-72

Score intermédiaire: 19-19/19-17/24-16/23-20

Hannut: De liamchine 21, Doigni 2, Dubois 0, Jabas 0, Mouillard 15, Fofana 8, Humblet 21, Merstrez 0, Plompteux 6, Dibenenedetto 4, Munten 8.

Waremme: Lambion 21, Parent 6, Collard 0, Braun 1, Pivato 4, Gueldre 3, Lamy 21, Bastin 0, Germay 10, Bonjean 2, Corvers 4.

« Le gros match du petit Nicolas »

    

Bien que particulièrement déforçée, la P2 du 4A Aywaille est allée chercher une belle victoire, 74-75, à Awans.

    

C’est dans des conditions délicates que se déplaçait le 4A Aywaille à Awans ce weekend. « Nous y sommes allés à six et demi et sans coach » nous précise Yorick Godin. « C’est Nicolas Grignet, blessé, qui a pris en main le coaching. »

Face à un solide adversaire, Aywaille a souffert mais n’a pas baissé les bras. « Nous avons compté jusqu’à dix-huit points de retard avant de revenir au score et de passer devant en toute fin de match » continue le pivot du 4A. Un joli hold-up, 74-75, pour des Aqualiens potentiellement deuxièmes au classement. « Une belle victoire avec une mention spéciale au Petit Nicolas (ndlr: Letesson) pour son gros match » conclut Yorick.

« Pourquoi ne pas figurer dans le haut du classement en fin de saison? »

    

A la tête de l’Avenir Jupille -qui reste sur deux victoires consécutives en P4B- depuis quelques semaines, Maxime Walravens explique les raisons qui l’ont poussé à devenir le coach de cette équipe, analyse les caractéristiques de sa formation et évoque les ambitions des Jupillois.

    

Maxime, comment es-tu devenu l’entraineur de l’Avenir Jupille?

J’ai repris l’équipe pour le troisième match de championnat. J’étais allé voir jouer Jupille contre Haut-Pré, un de mes anciens clubs. Je connais Manu N’Sama depuis l’école à Atlas et nous avons discuté de la possibilité que je coache cette équipe. Le mardi suivant, je suis allé donner entrainement et la sauce a bien pris.

Comment juges-tu ton équipe qui, rappelons-le, a participé au tour final la saison dernière?

Le groupe est assez complet. Nous avons du lourd à l’intérieur, nous pouvons jouer vite mais aussi jouer grand sur presque toutes les positions.

Quels sont vos objectifs?

Gagner le plus de matchs possible! Nous sommes passés pas loin par deux fois à domicile, avons perdu une rencontre en prolongation à Hermalle. La série est, selon moi, très homogène -hormis peut-être Modave qui, invaincu, est un cran au-dessus. Nous allons prendre match après match mais pourquoi ne pas figurer dans le haut du classement en fin d’année?


« Je laisse les paniers à Mathieu Balbourg »

   

Jérôme Niedziolka s’est prêté à l’exercice du Thé ou Café.

    

Jérôme, plutôt passe ou panier?

Plutôt passe ! Je laisse les paniers à Mathieu Balbourg (rires).

Attaque ou défense?

Défense, sans hésitation! Cela demande moins de talent.

Netflix ou cinoche?

Netflix la semaine, cinéma avec ma compagne quand l’emploi du temps le permet.

City trip ou vacances à la plage?

City trip en amoureux ou avec les potes, la plage avec la famille.

Burger ou pizza?

Ni l’un ni l autre, mais plutôt une crapuleuse grosse frite avec des brochettes Grizzly (rires).

LeBron ou Curry?

LeBron pour son travail quotidien

Anderlecht ou Standard?

Je suis un no foot, au grand dam de certains amis proches, mais étant liégeois … Standard.

Thé ou café?

Café , Latte Macchiato !

Un régal final pas banal

    

Retour sur la victoire des Lions au Portugal en compagnie des deux entraineurs.

       

Le site de l’AWBB nous propose de revenir sur la récente victoire des Lions au Portugal

Pourquoi s’en cacher ? Nous n’en menions pas large à moins d’un quart d’heure du coup de sifflet final quand les Portugais semblaient s’acheminer vers un succès confortable. A ce moment, le marquoir de la coquette salle d’Albufeira (Algarve) indiquait un 51-39 (26e) ne disant rien qui vaille.

Sans Gillet (blessé en Islande), mais avec un Van Rossom (17 p, 4r, 4a) à nouveau déterminant, les Lions entamaient alors un travail de sape progressif (56-50, à la demi-heure) et n’autorisaient plus aucune comparaison avec un adversaire où Fonseca (16p, 12r) tombait en panne sèche. Bref, l’ultime quart temps était à sens unique (4-20) et les nôtres de régler l’addition à 60-70 au terme d’un splendide retournement de situation.

Dans les rangs locaux – où l’on notait la présence d’Arnette Hallman dont le papa a joué à… Verviers -, on se montrait beau perdant. « Nous n’avons pas été capables de tenir la distance jusqu’au bout tout en oubliant, au préalable, de tuer le match », constate Mario Gomez, le coach lusitanien, « D’autre part, nos rivaux ont dominé le rebond offensif, ont obtenu beaucoup de secondes chances et nous leurs avons permis de reprendre confiance. Avec le résultat que l’on connait. » Plus calme qu’en championnat, Dario Gjergja observe : « Notre dernière séquence a été parfaite sur le plan défensif et nous nous avons été solidaires en attaque. Notre mauvaise entame de rencontre s’explique peut-être par la fatigue engendrée par deux déplacements lointains et par autant de matches à enjeu. J’ai donc demandé aux gars de rester patients et de revenir étape par étape dans le parcours. »

Grâce à cette nouvelle victoire, les Belges ont donc décroché leur ticket pour les (vraies) qualifications à l’Euro 2021. Celles-ci auront lieu, via quatre autres fenêtres internationales, du 25 novembre 2019 au 23 février 2021. Les 32 formations en compétition seront réparties en 8 groupes de 4 équipes. Les 24 meilleures d’entre elles prendront alors part au championnat d’Europe qui se déroulera en août 2021. Autrement dit, les Tabu, Tumba et autre Libert viseront une 5e participation consécutive au rendez-vous continental majeur. Pas mal pour un petit pays comme le nôtre !

  

Michel CHRISTIANE

Ninane et ses remontadas

    

Tant jeudi que vendredi, la jeune P3 de Ninane s’est illustrée par deux belles remontadas avec, au final, une victoire contre La Spéciale Aywaille et une défaite contre US Awans. Reportage.

    

Jeudi, Ninane accueillait La Spéciale Aywaille en match décalé de P3C. Une rencontre qui allait s’avérer d’excellente facture et palpitante devant un joli parterre de spectateurs. Il fallait un round d’observation aux deux formations pour rentrer dans la partie. Robin Horrion plantait huit unités ((19 au total) pour aider les visiteurs à tempérer les ardeurs locales alors que Pluys (5 points) convertissait un triple pour clore le quart-temps sur une égalité parfaite, 18 partout.

Les dix minutes suivantes étaient à l’avantage de Laval (11 unités), Lété (9 points dont deux triples) et de leurs partenaires. Grâce à du jeu rapide et une bonne circulation du ballon, les Aqualiens se détachaient au marquoir malgré la belle résistance offerte par  Vermierdt (15 pions au total) et ses coéquipiers. A la pause, le marquoir affichait 35-45.

Au retour des vestiaires, les deux équipes continuaient de plus belle. Les défenses étaient agressives mais l’adresse était également au rendez-vous (10 triples inscrits par les Calidifontains). Aywaille pliait face à la fougue locale mais ne rompait pas. A la demi-heure, c’était 54-63.

    

Un dernier quart-temps palpitant

    

Le dernier quart-temps allait s’avérer palpitant. Très vite, Lété était sifflé cinq -de nombreuses fautes furent sifflées durant cette partie, rendant le travail des acteurs particulièrement compliqué- et devait rejoindre le banc. Les Ninanais, magnifiques d’abnégation et de solidarité, recollaient au score et dépassaient les visiteurs. Après le troisième tir primé de Winkin, Koch (21 points au total), formidable de combativité enchainait 5 points consécutifs pour limiter les dégâts.

Alors que Ninane comptait 7 points d’avance à quelques minutes du terme, Moreau (9 points), replacé à la distribution, et Wey (8 unités) combinaient par trois fois pour ramener Aywaille à 85 partout. A 15 secondes du terme, Leduc (7 points dont 6 lancers) faisait 87-85 sur la ligne de réparation. A 7 secondes de la fin, après un temps-mort visiteur et une rentrée latérale en zone avant, Koch, idéalement placé sous l’anneau, marquait le panier de l’égalité, 87 partout. Les Calidifontains faisaient une rentrée rapide et balançaient un « avé maria » du milieu de terrain qui ne touchait pas sa cible. Toutefois, les arbitres décidaient d’annuler cette action pour revenir au temps-morts qu’avait demandé préalablement Nicolas André. 

Les Calidifontains bénéficiaient dès lors d’une rentrée en zone avant et de trois secondes pour jouer un dernier play. Sur celui-ci, les referees, décidaient de sanctionner Pierre Vandersanden pour une très légère faute de corps, empêchant du même coup les deux valeureuses formations de se départager en prolongation. Bodson (17 points) ne tremblait pas et inscrivait son premier lancer avant de, logiquement, rater le second. 88-87, les Ninanais exhultaient après cette magnifique remontada alors que les visiteurs étaient partagés entre déception et colère. C’est bien là la dure réalité du sport: il faut toujours un vainqueur. Si Ninane mérite amplement sa victoire au vu du superbe spectacle proposé, le véritable gagnant de cette rencontre fut le basket après une partie si passionnante.

    

La fatigue, élément clé

   

Peu de répit pour la jeune garde de Nicolas André qui remettait le couvert le lendemain en recevant US Awans, candidat avoué à la montée. Les dix premières minutes étaient en faveur des locaux qui se détachaient à 20-12. Le second quart se transformait en calvaire pour des Calidifontains sans doute émoussés par leurs efforts de la veille et qui ne parvenaient à inscrire que six maigres petits points.

A la reprise, mieux en place et revigorés, les locaux entamaient une nouvelle remontada pour réduire l’écart à quatre petites unités. Mais la débauche d’efforts consentis se révélait fatale pour Ninane qui devait finalement laisser filer les troupes d’Eric Herben qui s’imposaient 58-76.

« Surpris d’un match aussi disproportionné »

   

Ce devait être l’affiche de P2A: Ensival, troisième au classement, recevait la Vaillante Jupille, quatrième. Il n’en fut rien, les locaux infligeant une monumentale défaite, 108 à 38, aux Jupillois. Christian Randaxhe revient sur cette impressionnante domination.

    

Christian, que retenir de cette très large victoire contre la Vaillante?

Pas grand chose à retenir de ce match tant la différence était énorme. Notre adversaire a sous-performé et, de mon côté, j’ai pu faire tourner mon effectif, sans aucune baisse de régime. La seule chose positive de ce match, c’est la confiance que certains de mes joueurs ont pu retrouver. Je pense a Lejeune qui a compilé 17 points et 21 rebonds ou Detry qui a shooté à 4 sur 5 derrière la ligne des 6,75 mètres.

Comment expliques-tu un tel écart, rarissime en championnat?

La Vaillante compte plusieurs blessés, cinq apparemment, pour trois chez nous. Cela peut expliquer une partie de l’écart mais, évidemment, nous ne nous attendions pas à un match aussi disproportionné dans une rencontre entre le troisième et le quatrième au classement. Toutefois, nous avons très bien débuté sur la zone jupilloise en alternant jeu intérieur, shoots et pénétrations. Cela nous a logiquement facilité la tâche.