C’est une seconde victoire qu’ont remporté les Calidifontains à LAAJ, 53-85. Mike Jaspart fait le point sur la situation et l’évolution de sa formation avant un gros match contre Nivelles. Entretien.
Mike, comment s’est passé votre match à Atlas ?
Les gars ont très bien démarré la partie avec concentration, intensité et collectif. Pour la première fois de la saison, nous avons pu garder une certaine constance dans notre jeu qui nous a permis de remporter tous les quart-temps. La bonne nouvelle réside dans le fait que nos joueurs de retour de blessure(s) reviennent bien dans le coup et furent efficaces. Nous pouvons dès à présent compter à 100% sur eux pour les matchs à venir.
Selon toi, qu’est-ce qui vous a permis de l’emporter 53-85 chez les Brasseurs ?
Notre collectif. Tant offensivement que défensivement, les joueurs sont en progression. Ils communiquent mieux en défense et commencent à trouver des solutions en attaque. Chacun peut apporter des deux côtés du terrain. A Jupille, ils m’ont prouvé que je pouvais compter sur chacun d’eux.
Comment juges-tu votre évolution et votre début de championnat en R2A ?
Le début de saison fut compliqué. La reprise du championnat eut lieu plus tôt que prévu et nous avions joué le premier match contre le le Fresh Air à huit. Nous avions été battus d’un plus plus de dix points mais avions perdu deux autres joueurs alors que nous nous déplacions deux jours plus tard à Kain. Nous y avions enregistré une grosse défaite contre une équipe qui nous est largement supérieure mais les gars ont continué de s’entrainer correctement et de faire le dos rond pour aboutir à une belle victoire à domicile contre Haneffe. Nous avions perdu la semaine suivante à Braine alors que nous menions de trois unités à la pause et que nous avions montré de belles choses. Le collectif et la lucidité nous avaient manqué face à l’agressivité adverse en seconde mi-temps. Et samedi dernier, nous avons remporté une belle victoire à Jupille. Le groupe progresse bien mais nous sommes encore loin de notre plein potentiel. Laissons nous encore un peu de temps pour trouver un collectif plus constant et une mentalité de « tueurs ».
