« Un vrai défi d’affronter de puissants pivots chaque weekend »

     

L’occasion est belle pour Spa de profiter de la venue d’Aarschot ce samedi pour empocher une sixième victoire afin de passer les fêtes au chaud. Pierrick Van Den Brule évoque cette rencontre mais aussi sa lutte musclée « in the paint » avec Alija Kabangu le weekend dernier contre Ninane ainsi que ce passionnant championnat de TDM2A.

   

Pierrick, réception d’Aarschot ce samedi. Un match à prendre pour passer les fêtes au chaud?

Exactement! Finir le premier tour avec six victoire serait vraiment top pour une aussi jeune équipe que la nôtre. Je pense d’ailleurs que nous avons plus de chance de gagner chez nous ce samedi que le weekend prochain à De Pinte qui met trente points à tout le monde.

Que devrez-vous faire pour vaincre cette équipe mal classée mais capable de coups d’éclat?

Je ne connais guère cette formation mais, selon des sources concordantes, elle posséderait un pivot grand et costaud qui tient un rôle central ainsi qu’une ribambelle de shooteurs. Il faudra vraiment limiter cette équipe qui marque beaucoup chaque weekend et retrouver notre jeu en attaque, celui qui nous a permis de remporter cinq matchs d’affilée. Nous devrons également commencer le match pied au plancher, comme contre Ninane. Avec un peu plus de réussite et moins de pertes de balle, nous pouvons prendre ce match. 

Tu évoquais votre récente prestation contre Ninane. Une rencontre durant laquelle le duel entre Alija Kabangu et toi a attiré notre attention. Ca déménageait sévère « in the paint »! 

Chaque weekend est un nouveau défi, ce qui est génial dans cette division. Jouer Flagothier, Piette (ndlr: le golgoth de Neufchâteau), Mampuya ou Kabangu, c’est terrible. Ce sont des gars qui ont bien plus d’expérience que moi et cela me permet d’apprendre chaque weekend. Samedi dernier, contre Ninane, j’ai eu plus de difficultés de mes post-ups contre Kabangu qui est solide aussi. Il ne se laissait pas enfoncer (rires). J’ai donc dû faire autrement quand je jouais contre lui. C’est le genre de gars qui nous sort de notre zone de confort, c’est ainsi qu’on apprend.