« Les dix joueurs alignés ont amené leur pierre à l’édifice »

Belle victoire de la TDM2 de Ninane à Aarschoot, 66-76. La R2 a aussi brillé à Mons mais dû tout de même s’incliner 83-78 en prolongation. Jeudi, les troupes de Nico André iront à Spa pour y affronter des Bobelins victorieux à Sprimont tandis qu’il faudra attendre samedi pour voir les protégés de Mike Jaspart en action contre Belleflamme.

Ce week-end, la D3 du matricule 1200 s’est imposée 66-76 à Aarschot. « Une belle victoire chez un adversaire solide dans ses installations », souligne Nicolas André. « Notre esprit d’équipe a fait la différence avec les dix joueurs alignés qui ont amené leur pierre à l’édifice. »

Prestation héroïque de la R2 à Mons mais revers en prolongation – et avec les honneurs – 83-78. Place à deux derbies pour les Calidifontains. A Spa mercredi pour la TDM2 et contre Belleflamme samedi pour la R2.

« Bien partis pour sécuriser la troisième place »

A domicile, les Sucriers ont remporté contre Tilff le match entre les deux équipes pointées du doigts en début de saison comme favorites pour le titres, 75-71. Les Porais se sont ensuite rattrapés contre Angleur 63-57 alors que Nicolas Paulus et Wanze demeurent en embuscade pour briguer le championnat. Interview.

Nico, comment s’est passée la réception de Tilff ?

Le match fut assez lent, les absences des deux côtés se faisant ressentir. De plus, notre adversaire a joué zone pendant quarante minutes et cela nous a longtemps gêné, d’autant que nous avons shooté à un sur vingt-quatre derrière l’arc en première mi-temps. Heureusement, les Porais n’étaient pas non plus en réussite si bien que leur viatique à la mi-temps était loin d’être insurmontable : nous étions à moins sept.

Ce fut mieux en seconde période.

Oui, comme souvent, nous avons fait preuve de réalisme en seconde période. Nous avons rentré pas mal de shoots importants qui ont fait mal à l’adversaire et gérions de mieux en mieux nos attaques sur la zone de Tilff. Lentement, nous sommes revenus et passés devant pour ne rien lâcher en fin de match.

Comment expliques-tu cette nouvelle victoire ?

Comme souvent et c’est une de nos forces, nous avons pu nous reposer sur tout le monde. A tour de rôle, des joueurs apportent et poussent le collectif vers le haut. Dans cette rencontre, nos quelques shoots important auxquels les Porais n’ont pas toujours su répondre ont fait la différence.

Comment comptez-vous vivre cette dernière ligne droite ?

Nous sommes bien partis pour sécuriser la troisième place avec trois défaites de moins que le RBC Awans et Tilff qui sont les seuls qui peuvent encore nous embêter au classement. Cependant, notre calendrier est compliqué car nous devons encore affronter deux fois Awans, une fois Tilff et nous terminerons par Cointe. Nous allons prendre match après match pour assurer complètement la troisième place le plus rapidement possible. Et – qui sait ? – peut-être les Grenouilles commettront-elles un faux-pas et sentiront-elles de plus en plus près notre souffle dans leur dos jusqu’à ce dernier match de championnat qui s’annonce crucial – du moins si nous continuons d’engranger des victoires jusque là. A noter que nous devons aussi jouer Visé mais les Visétois vivent une saison très compliquée avec de nombreuses absences qui font que leurs résultats actuels ne sont pas du tout conformes à ceux qu’ils pourraient espérer au complet et motivés.

« Etre coachés par un tel Monsieur du basket est une énorme chance pour nous »

Quel suspens à Sainte Walburge où le Haut-Pré a réalisé une superbe remontée pour s’imposer en prolongation pour la première sur le banc du légendaire Giovanni Bozzi.

Les Sérésiens ne le cachaient pas : ce déplacement à RSW Liège Basket, concurrent direct pour le maintien, était crucial. Et Stéphane Grandry et ses partenaires ont réussi leur pari : arracher la victoire, 71-76 après prolongation, et revenir à hauteur des Sang et Marine au classement. « Une très belle victoire évidemment, surtout que nous comptions dix points de retard à quatre minutes de la fin », souligne l’emblématique scoreur du Haut-Pré. « Nous aurions pu baisser les bras mais notre mentalité et notre solidarité ont fait la différence. Personnellement, je pense que le choix tactique défensif à cinq minutes de la fin a fait tourner la partie en notre faveur et nous avons réussi à arracher la prolongation sur le buzzer. »

Une décision stratégique dont Giovanni Bozzi, qui vivait son premier match à la tête du Haut-Pré, n’est pas étranger. « Etre coachés par un tel monsieur du basket est une énorme chance pour nous. Nous avons juste à boire ses paroles et les appliquer sur le terrain », assure Stéphane. « Tout ne fut pas parfait à Liège – loin de là – mais nous avons vu une équipe très soudée et qui, dans l’ensemble, a respecté les consignes. » Et de conclure : « Certains nous enterraient il y a deux semaines mais le Haut-Pré est toujours bien là. Plus que sept finales ! »

« Ce petit supplément d’âme »

A Sprimont, Nicolas Franck et les Bobelins se sont imposés 76-81. Interview.

Nico, comment avez-vous abordé ce court déplacement à Sprimont ?

Avec Pierrick, nous avions coché la date de ce derby dans notre calendrier. Nous avions à coeur de réussir uen bonne prestation face à nos futures couleurs. Il nous restait deux objectifs principaux : ce match à Sprimont et le 3×3. C’est une vrai satisfaction d’avoir réalisé le deux sur deux.

Comment ce derby s’est-il déroulé ?

Nous avons plutôt bien commencé pour compter un peu moins de dix points d’avance au time. Ensuite, les Carriers ont durci leur défense et cela a vraiment perturbé notre organisation. Ils ont égalisé à l’entrée d’un money time âprement disputé. Nous avons réussi à faire la différence grâce à notre ancrage intérieur à ce moment-là qui a créé des espaces. Nous avons plutôt bien géré la dernière minute sans perdre un seul ballon.

Comment expliques-tu votre victoire ?

Nous avons gagné car nous avons joué avec plus de coeur et d’envie que ces dernières semaines. Ce n’est pas facile pour un compétiteur de s’entendre dire après le premier tiers de la saison que tous les matchs suivants compteront pour du beurre. Vendredi, il y avait ce petit supplément d’âme dans le derby pour aller chercher davantage de coeur et d’envie.

Comment allez-vous aborder cette fin de saison ?

Avec philosophie. Il est temps de profiter des derniers moments ensemble avant de tous partir vers d’autres horizons. Je suis heureux de revoir Bruno Dagnely sur le banc – j’ai retrouvé ses petits feedbacks et sa capacité à me dire ce dont j’ai exactement besoin pour rester dans mon match et concentré -, de jouer encore quelques matchs avec les potes parce qu’après tout, ce sont les moments vécus avec les personnes qui comptent que nous retiendrons.

Crédit photo : Charnikon Prod

Esneux fait peau neuve

La TDM2 de ESL United vient d’annoncer son futur effectif qui fera la part belle aux jeunes talents.

ESL United, c’est le nom issu de l’entente encore plus poussée entre Esneux et Saint-Louis. Toujours dirigée par l’inamovible Didier Longueville, la D3 esneutoise présentera un effectif totalement différent. Quentin Vanoost et Robin Lhoest sont les deux derniers rescapés alors que Kevin Snakers et Basile Dispa apporteront leur expérience du haut niveau et que les frères Giebens viendront densifier la raquette. Quentin Thielen, débarassé des ses soucis physiques, arrive à la distribution alors que les jeunes Castagne et De Sutter découvriront la nationale.

« Un Clément De Liamchine exceptionnel qui shootait du rond central »

Les Blue Rabbits ont dû batailler ferme pour venir à bout de l’Etoile Jupille portée par un exceptionnel Clément De Liamchine mais ont fini par l’emporter une nouvelle fois, 102-109. Ce mercredi, les protégés de Gaël Colson recevront Waremme avant d’aller à Alleur vendredi.

Après avoir encaissé 23 points de Clément De Liamchine vendredi, les Blue Rabbits voyaient le futur Comblinois leur coller 37 points dimanche aux Argilières ! « Encore une fois, nous sommes tombés sur un exceptionnel Clément qui shootait du rond central. Bravo à lui », souligne très sportivement Gaël Colson. « Nous avons continué de nous battre sur tout et la balle a très bien tourné avec cinq joueurs à plus de dix points et deux au dessus des vingt unités. »

Au final, Bellaire s’imposait à nouveau, 102-109. « C’était un week-end très important car l’air de de rien, comme j’en parlais aux joueurs, il faut gagner des matchs pour nous sauver », ajoute Gaël. « Nous allons tout faire pour gagner contre Waremme mercredi et continuer sur notre belle lancée. Nous nous devons de réagir par rapport au match aller. Je n’y avais pas reconnu mon équipe aussi bien sur le plan sportif qu’au niveau de la mentalité affichée. »

Ce mercredi, les Blue Rabbits espèrent épingler Waremme sur le tableau de chasse avant d’affronter Alleur vendredi pour tenter de venger leur élimination de la Coupe de la province.

Plan à trois wallon

Saison d’exception pour trois représentants de notre basket wallon chez nos voisins du sud avec, en prime, la découverte d’un oiseau rare de haut vol. Quant à Brunehaut, il devrait rejoindre nos Panthers au sein de l’élite dames. Enfin, coup d’œil dans le rétroviseur herstalien. Ce sont les infos d’EMCE.

La « passe de trois » wallonne au plus haut niveau luxembourgeois

Par galanterie, on débutera avec Fabienne Fuger qui, dès samedi en fin d’après-midi, qualifiait en quelque sorte les Conternoises (photo) pour les playoffs pour le titre. En quarts, celles-ci seront opposées à Gréngewald qu’elles ont battu ce week-end. En messieurs, le St-Vithois, Kevin Sarlette, accède aux demi-finales des playoffs. Avec l’Etzella Ettelbrück, il en découdra avec le vainqueur de Résidence – Amicale. Car, cette même Amicale, est parvenue à pousser Walferdange à la belle. Il faut dire que le Namurois, Etienne Louvrier, peut d’appuyer sur un joueur hors norme au Grand-Duché. A savoir, Jarvis Williams (29 a, 2,03 m) qui, à titre indicatif, a déjà évolué en D1 polonaise, hollandaise, lituanienne et italienne. A Crémone, il tournait ainsi à 12,4 points et 8,3 rebonds de moyenne. Splendide « passe à trois » wallonne, donc.

Le BBC Brunehaut dans les starting-blocks menant à la D1 féminine

Ce week-end, le BBC Brunehaut s’en allait infliger son premier revers à domicile (76-79) à Lara Gaspar et à Ganshoren à l’issue du choc de R1. Du coup, les Hennuyères sont en position de force et, à en croire leurs dirigeants, auraient obtenu de la fédération le feu vert pour une montée directe au sein de notre élite féminine. En effet, tant Ganshoren (1er) que Fleurus (2e) refuseraient une telle promotion. Réputées pour leur jeu physique, les troupes de Lorine Gobert devront cependant composer avec le départ de leur duo français Verchain-Thomazé. En sens inverse, on note l’arrivée de Vibe Bevernage (22 a, 1,70 m) en provenance de Laarne. Mais, savez-vous où se situe Brunehaut (8000 habitants) ? Au-delà de Tournai en direction de la France.

La pépite (herstalienne) du mardi

Les récentes finales provinciales à la Préalle fournissent l’occasion de revenir sur l’histoire du basket à Herstal. Comme souvent en périphérie liégeoise, on y recensait un club socialiste (l’Union) et un cercle catholique (Notre-Dame). Une réelle rivalité existait entre les deux. D’autant qu’ils jouèrent les premiers rôles, dans les années ’70, en 3e Nationale. Si les « Jaune et Noire » de Notre-Dame trouvaient refuge dans la cour de récré de l’institut du même nom, les « Unionistes » jouèrent longtemps juste à côté de la FN. Ceci dit, tant les équipiers de Jean Snyders que ceux de Paul Clockers durent mettre de l’eau dans leur vin – de messe, pour certains – quand ils durent cohabiter à La Ruche, en plein centre-ville. Faut-il préciser que les « Rouges » de l’Union étaient puissamment soutenus par la majorité (absolue) en place depuis des décennies ? A ce propos, un ancien joueur de N-D (merci Jacques) me confiait cette singularité : « On peut vraiment dire qu’il y avait deux poids, deux mesures. Les années où l’Union était championne, elle était reçue en grandes pompes par l’Administration Communale. Quand nous en faisions de même, une réception était aussi prévue à notre attention, mais nous devions amener les… boissons ». Santé, camarade !

La télé crève l’écran

Double ration cette semaine en Euroligue avec, dès ce mardi, Milan – Munich (20 h 30) sur VOOsport World 1 alors que Philadelphie et Milwaukee s’affronteront sur Eleven Sports 2 à 1 heures.

Michel Christiane

Crédit photo : AB Contern

« Nous n’allons pas en Playoffs pour faire de la figuration »

Jean-Pierre Darmont prolonge encore un peu le plaisir suite à la large victoire obtenue à Ans qui qualifie les Haricots pour les Playoffs. Interview.

Jean-Pierre, le derby à Ans ne fut finalement pas le dernier match de ta carrière puisque vous vous êtes largement imposés, 60-102.

Effectivement, nous prolongeons l’aventure encore pour quelques matchs de Playoffs et j’en suis heureux. Je vais faire le maximum pour terminer à fond.

Comment t’étais-tu préparé pour cette rencontre ?

Je me suis préparé comme si c’était mon dernier match. Toute ma petite famille était venue me supporter. Ce fut un beau dimanche, surtout avec cette victoire et la qualification pour les Playoffs qui sauve un petit peu notre saison.

Comment allez-vous aborder ces Playoffs.

Normalement, nous sommes deuxièmes et auront l’avantage du terrain. Notre équipe est capable de tout et j’espère réussir de belles choses en Playoffs car nous n’y allons pas pour faire de la figuration. Nous avons hâte de montrer qui nous sommes vraiment et, avec les joueurs présents dans l’équipe, nous serons peut-être plus performants en Playoffs qu’en saison régulière. En tout cas, ce ne sera pas une partie de plaisir de venir jouer à Belleflamme car nous serons prêts à en découdre contre n’importe qui.

« Une vague rouge dans les gradins, j’assume certains mauvais choix tactiques »

En finale de la Coupe, les Métallos de Thierry Dario ont craqué en seconde partie. Le coach de Flémalle revient sur ce premier rendez-vous manqué – sur le terrain du moins – alors que Grâce-Hollogne et l’Alliance devront en découvre deux fois en championnat pour l’obtention du titre en P3C.

Samedi, La Préalle était bondée pour la finale de Coupe opposant Buffalos et Métallos. « Nous avons joué contre une équipe de Grâce-Hollogne des grands soirs. Tout réussissait à nos adversaires et nous avons tenu le choc en première mi-temps grâce à notre jeu intérieur qui leur a posé des soucis de fautes », commence Thiery Dario. « Nous sommes revenus à cinq points à deux minutes de la fin de la première période mais deux shoots forcés nous font encaisser deux contre-attaques qui nous rejettent à onze longueurs à la pause. »

Rien n’était encore décidé à ce moment-là. « Nous devions reprendre la seconde période le couteau entre les dents mais nous n’avions plus qu’un cure-dents (rires). Sans plus aucun jeu intérieur, un seul triple converti en dix tentatives, des fautes inutiles en défense avec chaque fois le « and one »… Seuls deux ou trois joueurs ont essayé de se battre mais en vain », continue l’emblématique coach de Flémalle qui n’hésite pas à endosser sa part de responsabilité. « Attention, tactiquement j’assume aussi de mauvais choix ! Nous sommes une équipe et le manque de réussite n’explique pas tout. Comme je l’ai expliqué au club et aux supporters : je suis le premier responsable. »

Si le résultat ne fut pas celui escompté, Flémalle peut toutefois retirer du positif de cette finale. « Nous avons gagné une partie importante avec la solidarité et la mobilisation pour le club. Nous avons assisté à une vague rouge dans les gradins et nos supporters ne cessèrent jamais de nous encourager. J’en avais les larmes aux yeux », poursuit Thierry. « Nous avons pu ensuite faire la fête avec Grâce-Hollogne mais à la cafétéria de Flémalle. Cela montre à quel point nous sommes heureux pour les Buffalos et, surtout, respectueux de leur victoire alors que Julien Wéry – que j’avais oublié de citer dans la presse la dernière fois (rires) – a réalisé un super match. »

Les Flémallois doivent désormais reporter toute leur attention sur le championnat où ils devront en découdre deux fois avec les Buffalos pour l’obtention du titre en P3C. « Nous avons pu constater nos problèmes lors de cette finale et les choses à travailler. Nous ne sommes pas dupes et nous savons où nous en sommes mais c’est la première et la dernière fois que je me prends quarante points dans les gencives. C’est la première fois que cela m’arrivait depuis que je joue et coache au basket et, bizarrement, je suis fâché », conclut Thierry.

« C’est le talent qui parle ! »

C’est une recette pour le moins particulière qu’ont décidé d’appliquer les Comblinois pour assurer leur maintien en P2A : pas d’entrainement et des victoires à la pelle. Le Mailleux ira à Harimalia ce mardi pour poursuivre sa superbe série.

Les stackanovistes de l’entrainement en auront pour leur frais : à Comblain, c’est congé chaque semaine. « Nous ne nous entrainons plus depuis fin décembre », nous informe Christophe Lambion. « Nous avions bien analysé notre premier tour et force était de constater que nous craquions en deuxième mi-temps…. par manque de fraîcheur ! Nous avons consulté notre préparateur physique (rires) et contrairement aux autres qui auraient redoublé d’entrainement(s), il a choisi de nous conserver frais pour le samedi. Du coup, nous sommes au top ! »

Evidemment, c’est une boutade mais avec un fond de vérité : les Comblinois sont au repos en semaine depuis depuis le mois de décembre. « C’est parti d’une promesse faite avant le match contre Hannut: si on gagne ce soir, congé mercredi », rigole le pivot local. « Et depuis, nous sommes très forts (rires). »

Si la méthode a de quoi surprendre, les résultats parlent d’eux-mêmes puisque le Mailleux est pratiquement assuré de son maintien avec huit victoires dont les deux dernières contre Verlaine 76-57 et Awans 86-72. « Cette remontée au classement fait vraiment plaisir même si certains doutaient de nous. Nous pourrons quitter le club sur une bonne note avec plein de bons souvenirs », sourit « Tof ». « Nous jouons particulièrement bien pour le moment, le jeu est fluide et ça défend derrière. Nous prenons tous du plaisir alors que Durante et Vandeghen sont très performants. Nous pouvons même nous permettre de jouer sans coach (rires), Thomas Doneux ayant été exclu début du troisième quart contre Awans. » Et de conclure avant de se rendre ce mardi à Harimalia: « Même lorsque nous étions derniers, je n’ai jamais douté des qualités du groupe. Il y a clairement du basket dans cette équipe et l’ambiance est toujours restée bonne. »