« Au moins un point commun avec une star NBA »

C’est avec ravissement et attention que Gael Colson se plonge dans The Last Dance.

The Last Dance était le documentaire sportif le plus attendu. Une plongée au coeur de la dernière saison des Bulls de Michael Jordan. Comme de nombreux amateurs de basket, Gael Colson n’en loupe pas une miette. « Ce documentaire donne des frissons, surtout quand on entend l’intro des Bulls en voyant MJ » sourit Gael. « Ce qui m’impressionne le plus, c’est la soif de Jordan de n’être jamais « arrêtable ». Il veut vraiment être le meilleur et on peut également observer à quel point certains joueurs à ses côtés peuvent le rendre meilleur. »

Les épisodes quatre et cinq reviennent notamment sur la rivalité entre Chicago et Detroit. « Les Bad Boys étaient l’exemple type de « no easy basket » que j’aime » précise le futur joueur de Liège Basket. « Ce que j’ai aimé dans l’épisode 3, c’est de voir Dennis Rodman demander deux jours de congé à Phil Jackson pour aller se ressourcer à… Vegas! J’ai au moins un point commun avec une star NBA (rires)!« 

« Bauerman, Vandenbosch et Casteels puaient la passion! »

Figure emblématique du basket belge et auteur d’une belle première saison à la tête de Neuchâtel, Daniel Goethals se livre à Liège & Basketball. Entretien.

Daniel, en tant que joueur, qu’appréciais-tu dans le basketball? 

Le jeu. Dans tous les sports auxquels j’ai pris part, j’ai toujours été passionné par le jeu et la compétition. Et encore maintenant, que ce soit au golf ou dans une partie de Uno avec les enfants, je joue pour gagner et dominer! 

Quels sont tes meilleurs souvenirs en tant que joueur? 

Il y en a beaucoup, mais je vais choisir mes années en équipe nationale. Représenter son pays est quand même quelque chose d’honorifique et, surtout, il y a peu de places. 

Lorsque tu étais joueur, t’imaginais-tu devenir coach? 

Honnêtement, non, mais dans tous les sports que j’ai pu faire, j’ai toujours été dans l’analyse et la mise en place. Parfois même en étant incompris par mes équipiers ou mes coaches.

Daniel a porté les couleurs d’Ostende pendant quatre saisons. Crédit vidéo: RTBF

Quels coachs t’ont marqué durant ta carrière?  

Dirk Bauerman à Ostende, Tony Vandenbosch en équipe nationale et Louis Casteels à Colfontaine. Les trois puaient la passion! Et chacun à leur façon.

Qu’est-ce qui te plait dans le coaching? 

La pression, le management et la compétition. J’aime aussi la capacité à pouvoir changer le cours d’un match sur des décisions. 

Quelles sont, selon toi, les qualités indispensables pour faire un bon entraineur? 

C’est difficile de parler du métier que l’on fait, mais je dirais que le management est devenu très important. L’honnêteté, pour moi, finira toujours par l’emporter sur le long terme.

Quels sont tes meilleurs souvenirs en tant qu’entraineur? 

Là aussi il y en a déjà quelques uns. Puisqu’il faut choisir, j’opte pour les médailles avec les équipes nationales, ma dernière saison à Willebroek, mon titre de champion avec Waregem et mes deux titres de coach de l’année, un chez les femmes et l’autre chez les hommes…. 

« Mon épouse a été fantastique »

Tu as découvert le basket suisse cette année. En quoi est-il différent – s’il l’est – du basket belge? 

La différence principale est dans les infrastructures, nous jouissons de plus de possibilités en Belgique.  Pour le niveau de la compétition, selon moi, le top 3 Suisse devrait pouvoir jouer derrière les grosses équipes belges du top 5. Mais il faut savoir que les clubs suisses jouent avec maximum trois étrangers sur le terrain, ce qui donne une difficulté à comparer. 

Comment juges-tu la saison que tu viens de passer avec Neuchâtel? Quel bilan tires-tu de cette première expérience à l’étranger? 

Malgré la fin de saison chaotique avec les conditions sanitaires, je pense que nous pouvons être satisfaits du travail et des progrès, tant des joueurs que de l’équipe. Notre objectif est de concourir dans deux ans pour un titre, nous sommes dans notre plan de marche, mais, pour le futur, tout dépendra des dégâts financiers liés au Covid19…. Plus personnellement, j’ai vraiment pris beaucoup de plaisir à travailler dans un nouvel environnement. Certes, il a fallu s’adapter vis-à-vis de ma vie privée, mais je pense que mon épouse, les enfants et moi-même avons trouvé notre équilibre. Mon épouse a été fantastique dans son soutien et dans ses efforts pour minimiser nos séparations, quitte à parfois avoir un agenda démentiel entre mère de trois enfants, des responsabilités importantes professionnellement et le soutien mental et physique de son mari! Pour moi, ce fut plus facile car à Neuchâtel, c’est boulot, repas, dodo…

Quelles sont tes envies pour la suite de ta carrière et notamment pour ta deuxième saison dans le championnat helvétique? 

Pour la continuité à Neuchâtel, j’espère pouvoir continuer ce qui a été entrepris l’an dernier. Nous avons réussi à conserver le noyau dur de nos joueurs suisses et j’espère pouvoir recruter mes étrangers afin de pouvoir à nouveau titiller Fribourg et Genève! Pour ce qui est de la suite de ma carrière, je me veux extrêmement ambitieux, mais je suis engagé dans un projet qui me semble être parfait pour le développement d’un coach. Nous allons jouer pour des titres dans une ou deux saisons et nous avons tous l’occasion de nous montrer sous notre meilleur jour. L’avenir est difficile à prévoir et je préfère profiter du moment présent que de commencer à faire des plans sur la comète! 

Bratanovic à Ostende, Desiron à Limburg

Haris Bratanovic revient en Belgique et rejoint Ostende où il remplacera Yannick Desiron.

La saison prochaine, Sacha Massot pourra compter sur Yannick Desiron pour muscler la raquette de Limburg. Le pivot a montré de très bonnes choses cette saison à Ostende, notamment en Coupe d’Europe, même si sa tendance à prendre rapidement des fautes semblait quelque peu le pénaliser.

Pour le remplacer – numériquement du moins – dans la peinture, les Ostendais ont jeté leur dévolu sur le grand (2,09 mètres) espoir belge Haris Bratanovic. Le jeune intérieur n’a jamais réellement percé à Barcelone et revient ainsi en Belgique.

Un seul Belge à la draft NBA

Joël Ekamba est le seul joueur belge inscrit à la draft NBA.

Le guard de 19 ans passé par Mons-Hainaut évoluait cette saison avec les Espoirs de Limoges avec lesquels il compilait 13 points, 3 rebonds et 2 passes. Il a jusqu’au 15 juin pour retirer son nom de la draft.

Où a été prise cette photo ?

On aura bel et bien droit à un championnat de R1… XXL, mais orphelin de playoffs. A l’initiative de l’ancien assistant de Thibaut Petit, on assiste à une grande première au Luxembourg pendant que Pierre-Antoine Gillet poursuivra avec le même coach à Fuenlabrada. Et la photo-mystère revient en périphérie liégeoise : ce sont les infos d’EMCE.

Officiel : une 1ère Régionale à 18 et sans playoffs !

Comme on pouvait le prévoir, l’Assemblée Générale de l’AWBB (par vidéoconférence) a ratifié le projet d’une future R1 à 18 participants. Désormais, on en sait davantage : la phase 1 (3 poules de 6 équipes du 06/09 au 22/11) regroupera les formations en fonction de leur proximité géographique et non par tirage au sort. La phase 2 (2 groupes de 9 phalanges, du 06/12 au 25/04) mettra aux prises les antagonistes classés aux places paires de la phase 1 d’un côté et impaires de l’autre. Les vainqueurs de chaque poule s’affronteront (deux manches gagnantes) pour désigner le champion de R1. Ceci dit, les deux finalistes monteront néanmoins en TDM2. Vu cette réglementation et sa longueur dans le temps, il n’y aura plus de playoffs. Pas vraiment du goût des coaches, ni des trésoriers… Enfin, on devrait revenir à un championnat à 14 dès 2021/2022.

Quid de Serge Crevecoeur et de Pascal Meurs ?

Même s’il semble tenir la corde, Serge Crevecoeur est toujours assis entre deux chaises à Gravelines (Jeep Elite). Le Bruxellois a clairement laissé entendre qu’il désirait poursuivre chez les « Maritimes ». Si les décideurs du cru envisagent cette option, ils doivent d’abord régler le cas d’Eric Bartecheky, le prédécesseur de notre compatriote. Il s’appuie sur un salaire confortable et, surtout, sur un contrat portant encore sur une saison (avec option pour la suivante). Le tout avec un budget revu à la baisse de 30%. Quant à Pascal Meurs, il va de l’avant au Luxembourg. Sous l’impulsion de l’ancien assistant de Thibaut Petit, on assiste à une grande première là-bas. C’est ainsi que le Sparta Bertrange disposera d’un staff professionnel de trois techniciens. A savoir, le Limbourgeois comme T1 ; Christian Wulff, son adjoint venant de faire des miracles aux Musel Pikes ; et de Thorsten Freiheit, en tant que directeur technique. Rien que ça !

Etranger : même coach pour Gillet et même club pour Heath

A ce niveau, on fait sans conteste dans la continuité. Pour preuve, Pierre-Antoine Gillet ne changera pas d’entraîneur à Fuenlabrada. Le club de la périphérie madrilène a ainsi confirmé Paca Garcia pour un exercice supplémentaire. Rien ne change, non plus, au Japon pour Jordan Heath (29 a, 2,08 m). L’ancien pivot de Willebroek, Limburg et Charleroi (15/16) défendra toujours les couleurs des Kawasaki Brave Thunders dès la prochaine reprise du championnat nippon. Reste à savoir quand ?

Terrains extérieurs : la Chartreuse n’est pas loin…

Immense coup de chapeau aux rares qui ont reconnu, avant-hier, l’endroit où se trouvait l’ancien terrain extérieur de Lincent. Pour le cliché-mystère du jour, le degré de difficulté est beaucoup moins élevé. En effet, vous êtes nombreux à avoir tapé le ballon aux anneaux locaux. Au cas où un indice serait cependant indispensable, le voici : nous sommes sur les hauteurs de la Chartreuse…

Michel CHRISTIANE

« Shaq a même écrit une fiche de lecture! »

Phil Jackson était connu pour ses méthodes originales.

Phil Jackson était connu pour ses méthodes originales: yoga, philosophie indienne et lecture(s), notamment. « Pendant le premier long road trip, Phil a distribué à chaque joueur un livre spécifiquement choisi pour lui. Certains se plongeaient dedans avec enthousiasme, mais d’autres le mettaient dans un coin et levaient les yeux au ciel. Une fois Shaq a même écrit une fiche de lecture ! Phil aimait cultiver la curiosité intellectuelle de ses joueurs, il voulait qu’ils aient un esprit ouvert, qu’ils recherchent de nouvelles expériences, qu’ils posent des questions et qu’ils ne considèrent jamais quelque chose comme étant ennuyeux avant de lui avoir donné une chance. Quand Phil jouait pour les Knicks, son coéquipier Bill Bradley a attisé sa curiosité en l’emmenant à des événements culturels ou dans des musées, dans chaque ville qu’ils visitaient » raconte Jeannie Buss. « Je regardais Phil peaufiner sa liste jusqu’au moment où il savait ce qu’il voulait donner à chaque joueur. Ça me rendait triste si j’entendais un joueur blaguer sur le sujet, car je ne voulais pas que cela blesse Phil. J’ai partagé avec lui ce que je ressentais et je lui ai demandé si cela le dérangeait. Sa réponse m’a sidérée. Il a dit : ‘Non, ça ne me dérange pas. S’ils posent le bouquin sur une étagère et qu’il reste là pendant 10 ans ce n’est pas grave, car il finiront par le lire un jour et le message sera délivré. Il n’y a pas de délai prédéfini pour apprendre (quelque chose à quelqu’un). Phil ne coache pas un joueur pour une saison, il le coache pour sa vie entière. C’est pour ça que c’est un grand coach mais aussi l’une des meilleures personnes que je connaisse. Il conseille d’anciens joueurs et prend le temps d’écouter et d’encourager. Ces dernières années, Kobe lui avait demandé de lui envoyer des livres. Kobe aimait tellement coacher Gigi et ses coéquipières qu’il a invité Phil à venir les voir à la Mamba Academy. J’ai inclus (dans ce post) une photo de l’une de leurs premières visites en janvier. Phil et Kobe, le lien élève/professeur sera toujours là. »

« Plein d’espoirs pour la prochaine saison »

Après avoir contribué aux belles années de l’Etoile, Peter Tandler viendra renforcer la raquette d’Henri-Chapelle.

Nouveau défi pour Peter Tandler. Après avoir occupé la raquette de l’Etoile, le massif pivot a décidé de rejoindre Henri-Chapelle. « Je suis très content de ce choix. J’habite à sept minutes de la salle et je vais pouvoir jouer avec un très bon ami à moi: Jean-François Schills » sourit-il.

Les Capellois se sont sérieusement renforcés et pourront légitimement nourrir des ambitions la saison prochaine. « Nous aurons une très belle équipe » nous confirme Peter. « Après les discussions que j’ai eues avec le coach Fred Ledain et le Président, je suis plein d’espoirs pour la prochaine saison même si je sais qu’il y aura de très bonnes équipes en P2, notamment Stavelot et la Vaillante. Avec un peu de chance dans l’élaboration des séries, nous pourrions nous retrouver avec beaucoup d’amis sur le terrain.« 

« Le « buzzer beater » d’Andy Luparello! »

A l’issue du référendum des clubs, Verviers fut condamné à la bascule en deuxième provinciale. Benjamin Mahiat revient sur la saison des Collégiens. Interview.

Benjamin, quel bilan fais-tu de cette saison?

Ce ne fut pas une saison facile. Nous avions mis énormément d’espoirs dans cette équipe. Mais, dès le début, nous avons eu beaucoup de mal à prendre notre première victoire. Cela ne nous a pas empêché de construire une parfaite entente au sein de l’effectif. Malheureusement, nous avons subi des changements de coachs mais, là encore, cela n’a pas affecté notre motivation et notre désir de rester soudés – malgré le manque désagréable de victoires. C’est avec déception toutefois que notre objectif est rapidement devenu le maintien et c’est pour cela – afin de décrocher davantage de victoires – que le club a décidé de faire redescendre des joueurs évoluant en D3.

Un maintien dont vous avez été privés finalement sur tapis vert.

Nous pensions vraiment faire une bonne saison. Nous retrouver en fond de classement est forcément décevant. C’est d’autant plus frustrant de devoir directement descendre en P2 à cause de l’arrêt de la saison.

Vous quitterez donc la P1. Qu’as-tu pensé de ce championnat?

La bataille pour le maintien était très serrée, nous étions en danger tous les week-ends, au coude à coude avec quelques équipes. De manière générale, tous les matchs étaient prenables et chaque semaine réservait son lot de surprises.

Buzzer beater!

A titre individuel, comment juges-tu tes prestations et ton évolution?

J’ai continué à apprendre à chaque rencontre. Les coachs m’ont fait confiance et m’ont donné des minutes. J’ai fait de mon mieux pour les rentabiliser. J’ai pu m’épanouir dans un effectif dans lequel je me suis bien senti.

Quels furent les moments forts de cette campagne 2019-2020?

Sans doute le « buzzer beater » d’Andy Luparello contre Bellaire. C’est le genre de moment qui ne s’oublie pas! Non seulement nous avions ainsi arraché une victoire importante – capitale même vu notre situation – mais la manière était simplement phénoménale. A titre personnel, j’ai aussi eu l’opportunité de disputer un match en D3, ce qui fut une très bonne expérience.

Qu’as-tu particulièrement apprécié?

Nous avions une relativement bonne ambiance dans l’équipe, entre les très jeunes et les moins jeunes. J’ai eu l’occasion de jouer avec des joueurs que je regardais avec admiration depuis les gradins il y a encore quelques années.

Quels sont tes regrets?

J’espérais véritablement obtenir de meilleurs résultats collectifs. Notre descente en P2 me reste inévitablement en travers de la gorge, surtout de cette façon. Nous n’avons rien lâché jusqu’à cette triste annonce. Une autre déception fut notre parcours en Coupe juniors AWBB qui s’est terminé en demi-finale sur un match à sens unique. Nous n’étions pas les favoris de cette rencontre mais nous aurions pu mieux jouer.

« Dans le bas de classement, c’était la folie »

Sébastien Voets revient sur la saison mouvementée des Sang et Marine en première provinciale.

Plusieurs changements de coachs, la suspension de Benoit Bouché, le manque de taille à l’intérieur et une lutte pour le maintien qui faisait rage, la saison de Sainte Walburge en P1 fut mouvementée. Sébastien Voets se penche sur les différents aspects de cette campagne 2019-2020.

Sur la saison de Sainte Walburge:

« Ce fut une saison mouvementée pour nous, surtout au début avec trois changements de coachs et des problèmes réguliers d’absences, notamment de nos pivots. Cela a obligé Pascal Goffin à jouer small avec Louis Collet et moi à l’intérieur. A cause de cela, nos résultats n’ont pas été à la hauteur de nos attentes. »

Sur le classement obtenu:

« Nous visions le maintien et, bien que cela ne soit pas forcément avec la manière, l’objectif est rempli. Je pense toutefois que nous ne terminons pas à notre place au classement au regard de la qualité de certains joueurs de l’équipe. Mais cela s’explique par les péripéties vécues cette saison. »

Sur ses propres prestations:

« J’ai essayé d’apporter tout ce que je pouvais apporter à l’équipe. Nous avons perdu notre capitaine Benoit Bouché et mon acolyte Jimmy Kamel, j’ai dû reprendre le rôle de capitaine et et j’ai essayé de m’acquitter au mieux de ma tâche. Sur le terrain, j’ai manqué d’apport offensif, c’est un aspect de mon jeu que j’aimerai mieux exploiter à l’avenir. »

Sur la P1:

« C’est un championnat très intéressant et où la compétition est présente à chaque match. Nous avons encore pu le constater cette année. Dans le bas de classement, c’était la folie, chaque match comptait. »

Sur les moments marquants de cette campagne 2019-2020:

« L’arrivée de Pascal Goffin nous a vraiment fait du bien, aussi bien sur le plan mental que sur le plan basket. Encore merci à lui pour ça. La suspension de Benoit Bouché et la blessure de Jimmy Kamel furent aussi prépondérants dans notre saison. »

Sur les points positifs:

« Malgré la saison compliquée, j’ai passé de super moments avec les membre de la team. Le duo Louis Collet/Clément De Liamchine a permis de bons délires à l’entrainement, les joueurs comme François Remacle – notre philosophe – et Quentin Fassotte – « bip bip » – ou le petit jeune talentueux Ugo Jacoby ainsi que notre coach Pascal Goffin et tous les autres ont vraiment contribué à la bonne ambiance du groupe. »

Sur ses regrets:

« Je n’en ai aucun. Le basket est un sport dans lequel je prends les hauts et les bas. Place à la prochaine saison et je souhaite le meilleur à ceux qui prennent d’autres voies. »