« Hâte de rejouer avec mes ‘sosses' »

Aujourd’hui, Liège & Basketball est allé faire le point avec Charly Bernard, le point d’ancrage de Comblain en TDM2. Entretien.

Charly, comment vis-tu ce second confinement ?

Je le vis un peu comme tout le monde, je pense. Je suis un peu dans l’incompréhension de certaines mesures mais compréhensif pour que la contamination baisse au maximum et assez vite. La santé est plus qu’importante !

Te maintiens-tu en forme ?

Oui, il est important de me maintenir en forme car cela peut recommencer à tout moment et il faudra être prêt. Mais je ne le fais pas que pour le basket, c’est personnel avant tout.

Qu’est-ce qui te manque le plus ?

Tout ! La vie normale, en fait. Cela dépasse le sport et nous handicape tous. Mais, bien évidemment, ma team de Comblain me manque. J’ai hâte de pouvoir rejouer avec mes « sosses » (ndlr: expression de Charly signifiant « amis, petits loups, frères, amours ») (rires).

On évoque une reprise du championnat avec des séries de TDM2 scindées en D2. Qu’est-ce que cela t’inspire ?

Honnêtement, je n’ai pas d’avis sur le sujet. Cette saison est particulière et la restera jusqu’au bout. Personnellement, être autorisé à rejouer cette saison serait déjà super, alors peu importe qui se trouvera en face, ce sera la même chose.

« Pas prévu de proposer des formats alternatifs »

L’Euroleague ne compte pas modifier son calendrier malgré les rumeurs qui bruissaient à ce sujet.

L’Europe est confrontée à une importante seconde vague de Covid-19 et cela impacte inéluctablement les compétitions sportives. Pourtant, malgré les rumeurs qui bruissaient (une réunion devaitt avoir lieu jeudi dernier avec les représentants des clubs) à ce sujet, l’Euroleague n’envisage pas de modifier le format de sa compétition. « Dans le cadre de son activité régulière, Euroleague Basketball a régulièrement des conversations, des sessions de groupes de travail et des réunions avec de multiples parties prenantes. Afin d’éviter des spéculations inutiles, la vidéoconférence qui se tiendra cette semaine avec les ligues nationales a été convoquée dans le but de partager et de coordonner les informations entre les organisateurs de compétitions qui ont des équipes en 2020-21 en EuroLeague & EuroCup, en vue que tous nous puissions mieux planifier les semaines et les mois à venir. Il n’est pas prévu de présenter des formats de compétition alternatifs comme cela a été supposé ces derniers jours » a précisé à Eurohoops le Directeur des Opérations de la compétition reine.

Meesseman : « Elles vont le faire ! »

En l’absence, entre autres, de leur pièce-maîtresse, les Belges doivent passer un palier supplémentaire avec les jeunes sélectionnées. C’est une rareté : les Serbes font exceptionnellement confiance à une naturalisée ayant joué au… Grand-Duché. Pendant ce temps, l’ASVEL prend une nouvelle gamelle. Ce sont les infos d’EMCE.

Euro 2021 (1) : pour leurs débuts, les Cats face à deux « Namuroises »

C’est donc ce jeudi (19 h) que les Cats entameront leur campagne lusitanienne dans la salle d’Odivelas (photo), en périphérie lisboète. Grande absente du rendez-vous, Emma Meesseman se veut confiante : « C’est vrai que l’on aurait pu espérer un contexte plus favorable, mais il y a aussi des choses bien plus graves actuellement dans le monde. Même sans moi, les filles ont prouvé qu’elles possédaient un énorme potentiel. Elles vont le faire ! » A l’occasion de cette première rencontre, les Belges seront opposées à des Portugaises emmenées par Ines Viana (Namur) et Sofia Da Silva (ex-… Namur). Ricardo Vassconces, leur coach, la joue modeste : « Nous héritons d’emblée d’une grosse cylindrée mondiale. Ce match doit d’abord nous servir à préparer celui de samedi face à la Finlande. » Finnoises et Ukrainiennes s’affronteront, quant à elle, dès 16 heures. Sûr que Pierre Cornia sera devant son écran à l’heure du goûter…

Euro 2021 (2) : l’US Anderson, du Luxembourg à internationale serbe

Il y a de ces joueuses qui connaissent des destins peu communs. Yvonne Anderson (30 a, 1,70 m) est fait manifestement partie. Après ses études aux USA, elle débarque sur le Vieux Continent et, plus précisément, dans le modeste championnat du Grand-Duché. Soit, à l’Amicale Steinsel. Aujourd’hui, elle excelle à Venise (D1 ita) et s’apprête à effectuer ses débuts en tant qu’internationale serbe (vs Lituanie, 16 h). Un vrai tour de force quand on connait la frilosité de ce pays à enrôler des naturalisés. C’est simple : il n’y en a jamais eu du côté masculin.

Euroligue : un ancien Ostendais ridiculise l’ASVEL en perdition

Après leur succès surprise (86-88) à Vitoria, on se disait que les Lyonnais étaient enfin sur la bonne voie. Que nenni ! En effet, ils filaient ainsi, hier soir, à 21-17 (10e), mais finissaient par s’incliner sur le score de 68 à 89 face à l’Etoile Rouge de Belgrade. Autrement dit, les Rhodaniens (Bako 4 pts) se sont pris un 47-72 dans les gencives. Sans la moindre réaction sur le terrain, ni sur la touche. Si vous voyez ce que je veux dire… Dans les rangs adverses, l’ancien Ostendais (16/17), Corey Walden (20 pts), a pris un malin plaisir à ridiculiser une ASVEL signant un 1 sur 4 en Euroligue avant d’en découdre avec le Zénith St-Petersbourg de Will Thomas et Billy Baron.

La télé crève l’écran

Selon une (mauvaise) habitude, la Rtbf ignorera le duel des Cats de ce soir (19 h). La VRT, via Canvas, sera bel et bien sur la balle, elle. A 21 heures, on zappe sur VOOsport World 2 pour Barcelone – Fenerbahce.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Odivelas Basket Clube

Westbrook veut redevenir le patron

Russell Westbrook veut déjà quitter Houston pour redevenir le patron d’une franchise.

L’explosif meneur ne sera resté qu’une saison à Houston et cette pige ne restera pas dans les annales. Désireux de retrouver un statut de leader asbolu, Russell Westbrook aurait signifié à la direction des Rockets son envie de prendre le large. Avec encore un contrat de trois saisons pour 132 millions de dollars, l’ancien MVP de 32 ans ne sera pas facile à transférer, surtout après son dernier exercice en berne et tronqué par une blessure au genou. Selon différents médias américains, son nom circule du côté des Knicks et des Clippers.

Où en sont Isiah Thomas et Michael Jordan ?

Où en sont Isiah Thomas et Michael Jordan ?

Ils se sont livrés des bagarres homériques en Playoffs à l’Est à la fin des années 80 et leur rivalité et leur animosité a été fortement documentée (Jordan aurait même milité pour que le meneur des Pistons ne soit pas repris dans la Dream Team). Mais où en est la relation entre ces deux scoreurs de génie ?

Heavy.com a demandé à Thomas combien il exigerait pour enregistrer une émission en face à face avec MJ.  » Je n’ai pas besoin de ce chèque, et je ne suis pas comme ça. Donc il n’y aurait pas besoin de me payer quoi que ce soit. Et puis honnêtement avant ‘The Last Dance’ je ne savais même pas qu’on était brouillés. J’ai dîné avec lui, je l’ai vu en société… Et je ne savais pas que c’est ce qu’il ressentait à propos de moi. Je n’ai aucune rancune envers qui que ce soit et quand je parle des plus grands joueurs, je n’en parle que de ma perspective à moi. Ce n’est pas un tacle envers quiconque, c’est juste reconnaître que LeBron James est un grand joueur. C’est juste reconnaître Kareem Abdul-Jabbar Si les gens croient que j’essaie de tacler quelqu’un en parlant de ces deux-là, c’est qu’ils ont leurs propres intentions, qui ne sont pas les miennes. Mais écoutez, je n’ai peur de personne. J’accepterai de m’asseoir et de discuter avec n’importe qui, je ne suis pas quelqu’un qui marche avec peur ou haine. Donc comme je l’ai dit, je n’avais jamais su qu’il ressentait cela avant de regarder The Last Dance » a répondu Thomas.

Le meneur de poche en a profité pour se confier sur ce qu’il avait vu dans The Last Dance. « Je ne savais pas qu’il y avait autant de tumulte dans leur équipe. Avec ses coéquipiers, avec Jerry Krause… Je n’avais pas réalisé que c’était si chaotique. Je viens d’une époque où les Lakers étaient proches, les Celtics étaient proches, les 76ers étaient proches. Et nous les anciens des Pistons, on discute toujours via nos ‘chat groups’, on est toujours proches aujourd’hui. Même s’ils ont beaucoup gagné, quand je regarde The Last Dance, je n’ai pas l’impression qu’ils étaient aussi proches les uns des autres que nous l’étions. Je trouve ça fascinant, mais aussi unique qu’ils aient pu surmonter tout ça et gagner quand même » a-t-il assuré.

Julie Allemand en leader contre le Portugal

Julie Allemand endossera le costume de leader des Belgian Cats ce jeudi contre le Portugal.

Dans le cadre des qualifications pour le prochain Euro, les Belgian Cats sont actuellement aux abords de Lisbonne pour y disputer deux matchs. Avant d’affronter l’Ukraine samedi, nos compatriotes défieront le Portugal ce jeudi. Sans Emma Meesseman (positive au Covid-19), c’est Julie Allemand qui endossera le costume de leader de la sélection belge. En l’absence de la joueuse des Mystics, il est probable de voir Ann Wauters recevoir du temps de jeu pour stabiliser le secteur intérieur belge qui doit également composer sans Kyara Linskens. Elise Ramette et Becky Massey seront elles dans les gradins pour encourager leurs coéquipières.

Les douze Cats retenue pour disputer la rencontre: Julie Allemand,  Marjorie Carpréaux, Antonia Delaere, Serena-Lynn Geldof,  Billie Massey, Hanne Mestdagh, Kim Mestdagh, Heleen Nauwelaers, Jana Raman,  Laure Resimont, Julie Vanloo, Ann Wauters

Crédit photo: Indiana Fever

« Je ne veux pas terminer sur une blessure »

Dès le premier match de championnat, David Lamy se blessait grièvement. Mais hors de question pour l’intérieur de Waremme d’envisager la retraite.

Dès le premier match de championnat, David Lamy se blessait grièvement. « J’ai reçu un coup sur la tête en apprenant que c’était les croisés même si Sébastien Léonard m’avait prévenu » souffle l’expérimenté intérieur. « Désormais, je marche et je n’ai presque plus de douleurs, juste une gêne. Mon moral n’est pas mauvais mais je suis surtout frustré de ne pas pouvoir jouer cette saison. »

Un sentiment dont David va se servir. « Ma frustration va être utilisée pour me remettre sur pied. Je ne veux pas terminer le basket sur une blessure. Cela n’a jamais été dans ma mentalité et mon objectif est de me retaper au plus vite » assure le Wawa. « Je verrai pour la suite car je suis à l’académie de police. Mon temps libre sera plus difficile mais rien n’est impossible. Je vais procéder par étape. »

« C’est un façade »

Il n’y a pas qu’en Wallonie où le mélange des genres et les conflits d’intérêts provoquent l’émoi.

Mélange des genres, conflits d’intérêts, concurrence déloyale: des dérives qui se retrouvent malheureusement dans tous les pays et dans de nombreux secteurs. Si la Wallonie est coutumière de ce type de de comportements, la NBA peut l’être aussi.

Il y a quelque temps, Liège & Basketball vous parlait de Rich Paul, l’âmne danmée de LeBron James. Le principal acolyte du quadruple MVP occupe une position singulière et profite de son amitié avec James pour développer Klutch Sports, une agence de joueurs. Un mélange des genres qui ne plait pas à tout le monde et provoque aussi de sérieux dégâts, ainsi que le confie à The Athletic un agent désireux de conserver l’anonymat. « C’est un phénomène historique. Il fait une carrière incroyable » reconnait cet agent à propos de LeBron James. « Je pense qu’il est encore juste derrière Michael Jordan, mais c’est incroyable la façon dont il a évolué. Ce qu’il a fait et continue de faire c’est incroyable. Mais le négatif, et il n’y a qu’une chose, et tout le monde a peur de le dire, mais je n’ai pas peur de le dire, car c’est vrai. Puis tous ceux qui sont dans ce business le savent. La pire chose avec LeBron c’est la position de pouvoir dans laquelle il est avec Rich Paul, il a ce pouvoir dans l’espace médiatique. Il a sa compagnie Spring Hill et c’est super. Ils font des films et tous ces projets. C’est louable. J’aime ça. Mais ils se sont lancés dans le jeu des agents, et il est illégal pour un joueur, particulièrement si vous êtes en Californie, d’avoir une licence pour représenter des talents. »

Pour cet interlocuteur privilégié, la situation n’est pas saine. « Je sais que Rich Paul c’est une façade, en fait c’est LeBron qui recrute pour Rich Paul. C’est comme s’ils essayaient de contrôler la NBA comme ça se fait en AAU. Et en raison de son pouvoir et de ses prouesses, les jeunes joueurs sont séduits par LeBron James de la même façon que les gens étaient séduits par Michael Jordan et David Falk. Il est passé d’avoir Michael Jordan et quelques autres joueurs, à recruter les meilleurs joueurs en NBA, uniquement grâce à Jordan. Rob Pelinka avait du succès en tant qu’agent indépendant parce qu’il avait Kobe Bryant et que les joueurs l’idolâtraient. Donc le fait que LeBron recrute a donné du pouvoir à Rich Paul pour recruter les meilleurs joueurs, et je comprends, mais si vous faites des recherches, beaucoup de ces gars se sont fait entuber à cause de leur mauvaise gestion » assure-t-il. « Il y a au moins 5 ou 6 grosses victimes. Personne ne dit rien, et le syndicat des joueurs devraient prendre ses responsabilités parce qu’il représente tous les joueurs, pas seulement LeBron James. Comme c’est anonyme, j’espère que vous aurez le courage de relayer ça, parce que personne n’en parle, mais c’est la réalité des choses, et si vous demandiez à n’importe quel autre agent, il serait d’accord. »

Et d’avancer des exemples tout en précisant sa pensée. « Ils ont fait jouer leur influence pour KCP deux ou trois ans de suite parce qu’ils avaient ce pouvoir et ont forcé la main à l’équipe. Il y a Nerlens Noel. Il y a 4 ou 5 joueurs qui ont perdu des millions de dollars en raison de leur mauvaise gestion, mais personne n’a le courage de dénoncer ça, parce que tous les médias veulent avoir accès à LeBron James. Ils veulent avoir accès à AD » continue l’agent. « Ce qu’il a fait c’est qu’il a ramené le basket AAU en NBA, parce qu’il a la capacité de le faire puisque les jeunes joueurs l’idolâtrent. Je commence à entendre dire qu’ils ont peut-être trop de boulot. Parce que vous ne pouvez pas accorder les mêmes services à tous ces gars, quand tu es agent tu ne peux pas t’occuper d’autant de joueurs à ce niveau. Ben Simmons, Darius Garland. Tu peux les séduire, mais tu ne peux pas t’occuper de tous à ce niveau. Nerlens Noel. Norris Cole. Shabazz Muhammed. Ils ont perdu 80 millions de dollars à Detroit. Ce n’est pas des conneries. » Et de conclure: « C’est la seule déception que j’ai au sujet de LeBron, qu’il ait utilisé sa popularité pour influencer les jeunes joueurs afin de les séduire pour qu’ils signent avec Klutch Sports et que derrière ils ne s’occupent pas bien de tous. Ce sont les joueurs qui en souffrent, mais il n’y a pas de conséquences. Personne ne critique ce qu’ils font. Le syndicat des joueurs devrait rencontrer Rick Paul et lui dire : ‘Que s’est-il passé là ? Que s’est-il passé ici ?’ Ils représentent tous les joueurs. La cotisation est la même pour tous. Si Rich Paul était un avocat, il aurait été radié du barreau à 5 reprises. Mais comme LeBron est si puissant, ils n’ont pas à répondre de leurs actes. C’est le seul truc négatif avec LeBron. Tout le reste est super. C’est louable. J’aime ça. Mais le fait qu’il a poussé Rich Paul dans cette position et qu’ils profitent de ces joueurs naïfs, c’est tout à fait irresponsable. »

Le plaidoyer d’Ettore Messina

Ettore Messina, véritable légende du coaching, livre une lettre ouverte en forme de plaidoyer pour que les championnats domestiques aient la priorité sur les compétitions européennes.

« Chers amis du basket

Après de nombreuses réflexions, j’ai décidé d’envoyer un message à quiconque voudra me donner cinq minutes de son temps.

J’ai eu la chance de vivre une longue carrière dans le basket international: mes équipes ont concouru avec fierté et respect pour le jeu, sous la houlette de la FIBA, de l’Euroleague et de l’ULEB. Même avec des désaccords et des divergences parfois, j’ai toujours respecté le leadership et la vision de feu M. Stankovic et M. Baumann. Je suis fier d’être un ami de longue date de M. Portela et de M. Bertomeu, et j’ai eu l’honneur d’entraîner M. Van Den Spiegel, actuellement président de l’ULEB.

Nous vivons une période très sérieuse et difficile: les gouvernements de la plupart des pays européens ont pris des décisions centrées sur le confinement des communautés, ou des parties d’entre elles, pour protéger les gens du Covid. Chaque semaine, nous avons de plus en plus de joueurs ou d’entraîneurs ou de membres de club qui sont positifs aux tests, de plus en plus de matchs, dans chaque pays ou dans les compétitions internationales, sont reportés.

Les difficultés à voyager à l’étranger augmentent les graves problèmes de santé des équipes et des arbitres. Bientôt, il n’y aura plus de dates disponibles pour jouer les matches reportés. De plus en plus, les résultats sportifs dépendront de qui sera le plus chanceux, faisant face à moins d’infection dans son équipe, par rapport aux autres. Pour toutes ces raisons, et avec une grande humilité, en tant que passionné du jeu, je voudrais demander à nos dirigeants de prendre une minute, de mettre de côté les différentes opinions qui les ont séparés dans un passé récent et, pour le bien du basket et de ses fans, asseyez-vous à une table et ne partez pas tant qu’une solution commune n’a pas été trouvée.

Pour l’instant, le seul choix logique semble être de suspendre la compétition européenne et de permettre aux ligues nationales de terminer leur saison dans les quatre prochains mois car les déplacements dans le pays seront plus faciles. Après cela, peut-être à partir de mars ou avril, tous les tournois internationaux pourront être terminés, espérons-le, à temps pour se préparer aux Jeux olympiques. Et, peut-être, le COVID sera limité ou arrêté d’ici là.

Bien sûr, les télévisions et les sponsors devront participer mais une solidarité commune fondée par nos dirigeants les aidera sûrement à monter à bord.

La santé des participants et l’intégrité de la compétition sont les priorités, et nous serons toujours reconnaissants, en tant que fans, à nos dirigeants pour leurs décisions.

Avec beaucoup de respect,

Ettore Messine »

Crédit photo: Telenet Giants Anvers

« L’entraineur n’est qu’un soldat »

Il y a presqu’autant de façons d’appréhender le job d’entraineur qu’il y a de coachs.

Rima Kourtinaitis, revenu au Khimki Moscou en 2019 après une premier passage réussi entre 2011 et 2016, possède sa vision du job. « L’entraîneur n’est qu’un soldat, il va et vient. Alors cette fois, c’était à mon tour d’arriver au milieu de la bataille » définit le Lituanien sur le site de l’Euroleague.

N.B. : photo prétexte d’Arnaud Pinte, coach en dames dans la région hutoise.