Avant même que l’AWBB ne douche les derniers espoirs des basketteurs, Jean-Pierre Darmont ne se berçait pas d’illusions et se projetait vers la prochaine saison même si la bonne « ambi » de Belleflamme et l’adrénaline de la compétition lui manquent. Interview.
Jean-Pierre, quel bilan dresses-tu de l’année écoulée ?
Comme beaucoup de monde je crois, j’avais hâte d’arriver en 2021. La situation commence vraiment à me peser et je me réjouis de pouvoir revivre comme avant et de pouvoir profiter de la vie.
Qu’espères-tu pour 2020 ?
Je pense qu’il ne faut rien espérer avant le début de l’été (ndlr: cet entretien eut lieu avant l’annonce de l’AWBB quant à la fin définitive de la saison 2020-2021), je croise juste les doigts pour que tout se remette en ordre d’ici là, que nous puissions reprendre le cours de nos vies et recommencer une saison complète, sans plusieurs arrêts inopinés, à partir d’août.
Qu’est-ce qui te manque le plus depuis que l’ABC Arena est fermée ?
Il y a deux choses qui me manquent énormément. La première, c’est vraiment l’adrénaline du match. Bien que l’âge commence à se faire sentir, j’ai toujours hâte d’arriver au match. La seconde, ce sont mes coéquipiers. J’ai vraiment hâte de retrouver mes équipiers autour d’un bon verre – ou plus (rires) – d’autant plus que l’ambiance dans notre équipe était vraiment excellente.
