« Nous voyons vers où nous allons avec du travail »

Si les Disonnais se sont inclinés à Andenne avec, malheureusement, déjà une blessure pour Cédric Petit, le coach andrimontois se montre satisfait et positif avant d’affronter Beez vendredi.

« La reprise a lieu très tôt avec toujours des joueurs en vacances », note Didier Franceschi, tout de même satisfait de ce qu’il a vu dimanche à Andenne. « Une bonne et encourageante prestation alors que nous nous déplaçions à sept et peu d’entrainements dans les jambes pour affronter des Oursons au complet. »

Seules ombres au tableau : la défaite et, surtout, la blessure de Cédric Petit, victime d’une fracture de l’orteil. « Les locaux nous ont vaincus sur la longueur du match mais je suis satisfait de la prestation et de la détermination de mes joueurs », souligne le coach disonnais. « Nous devrions récupérer des joueurs pour affronter Beez vendredi. Nous voyons vers où nous allons avec du travail et c’est de bon augure. »

« Damien Deblond nous réserve des entrainements bien poussés »

Nathan Servais et La Villersoise reprenaient le collier dimanche à Nivelles. Interview.

Nathan, comment s’est déroulé votre premier match de Coupe AWBB dimanche à Nivelles ?

Nous nous sommes inclinés là-bas. Avec un seul entrainement dans les jambes et une nouvelle équipe, cela n’a pas été évident. Il faut souligner que les Nivellois étaient déjà bien prêts avec quelques semaines de « practice » et un coach pro grec.

Cependant, tout n’est pas à jeter.

Que du contraire. Le groupe est déjà très motivé à travailler avec trois entrainements par semaine, ce qui est le plus important. Damien Deblond nous réserve des entrainements bien poussés afin d’arriver prêts pour le début de saison.

« Jouer sur nos qualités »

Reprise positive pour la jeune R2 de Maxime Clavier qui affrontera Bellaire ce mercredi en Coupe AWBB.

Maxime, comment s’est déroulée la reprise avec ta jeune R2 de Belleflamme ?

Nous avons eu un stage de quatre heures samedi pour revoir tous les systèmes de jeu. Hormis Johnson Matumuini qui vit en Allemagne et un pivot qui doit aussi nous rejoindre d’ici quelques jours, le groupe était au complet et appliqué. Il y avait pas mal d’intensité, les jeunes veulent prouver qu’ils méritent cette chance d’évoluer à ce niveau. Après le stage, nous avons affronté une équipe hybride de Sainte Wal’. Nous avons montré de bonnes choses en première mi-temps, moins en seconde. Pour nous, cette reprise est positive.

Comment allez-vous aborder votre match de Coupe AWBB contre Bellaire ce mercredi ?

Sur papier, c’est une R2 contre une P1 mais dans la réalité, nous savons que nous ne sommes pas vraiment une R2 et que Bellaire est une top P1. Ce sera compliqué pour nous mais ces matchs-là sont du bonus pour nous et doivent nous aider à engranger un maximum de rythme et de minutes pour être prêts pour le début du championnat. Contre les Blue Rabbits, nous devrons jouer sur nos qualités : vitesse et pression défensive. Ce sera également le cas le week-end contre Ensival alors qu’il faudra aussi voir comment gérer la fatigue et les petits bobos qui apparaissent déjà.

Victoire en overtime pour Chi-Town

Chicago est sorti vainqueur – en prolongation ! – du gros match contre Connecticut, 92-95.

Chez le Sun, Chicago a pu s’appuyer sur un cinq majeur performant (cinq joueuses à dix points ou plus) dont Emma Meesseman (10 points, 3 rebonds et 5 passes) pour prendre un excellent départ et mener 17-27 après dix minutes. Les locales inversaient ensuite la tendance et viraient en tête d’une petite unité à la pause. La seconde mi-temps voyait un véritable chassé-croisé se dérouler entre les deux formations qui devaient en passer par une prolongation pour se départager. Dans celle-ci, d’un lay-up, Quigley offrait la victoire à Chi-Town, 92-95. Une rencontre dans laquelle Julie Allemand a compilé 5 points, 2 rebonds et 1 passe en 11 minutes et dans laquelle Courtney Vandersloot (16 points et 12 passes) s’est hissée sur le podium des meilleures passeuses de l’histoire de la WNBA.

Crédit photo : Chicago Sky

Bleijenbergh à Ostende ?

Vrenz Bleijenbergh de plus en proche des champions de Belgique.

Dans le nord du pays, la rumeur prend de l’ampleur. Elle prétend que le futur point de chute de Vrenz Bleijenbergh (21 a, 2,08 m) sera le Filou Ostende. Après Séville, l’Anversois a terminé la saison en G-League et a été entraîné tout cet été par Willy Steveniers, l’empereur de la Métropole. « J’ai plusieurs propositions dont une des Côtiers », admet le principal intéressé, « Mais, certaines formations étrangères m’offrent le double. Ce qui ne constitue cependant pas ma priorité. Vous serez fixés dès cette semaine. » Ca tombe bien car les responsables du littoral préviennent qu’ils dévoileront leurs nouveaux joueurs au tout début du mois d’août. Une simple coïncidence ?

M. C.

Rififi à Willebroek !

Imaginez un club qui décide de quitter une salle pour une autre beaucoup plus grande. Mais, celle-ci n’obtient pas le feu vert européen de la FIBA qui, dès lors, l’oblige de retourner dans ses installations initiales. Comprendra qui pourra ! Certainement pas le « vrai » cercle local. Ce sont les infos d’EMCE.

FIBA : non au Winketkaai, mais oui au « Schalk » nettement plus… petit ( ?)

On le sait, les Kangoeroes seront présents tant en dames qu’en hommes sur la scène européenne. Le mythique Winketkaai a été inspecté par les instances de la FIBA qui l’ont rejeté le jugeant inapte pour de telles compétions. Raison pour laquelle, les formations du cru réintégreront le « Schalk » (photo) de Willebroek pour un total (minimum) de dix rencontres. Faut-il rappeler que les Anversois avaient déserté cette même salle la jugeant trop exiguë pour déménager dans un Winketkaai plus spacieux. Bref, on croit marcher sur la tête. L’affaire ne s’arrête pas là car le « Schalk », toujours, est le centre névralgique du BBC Willebroek. Un cercle de TDM2 qui a appris la nouvelle, via la presse et n’en a pas été officiellement mis au courant. D’où son communiqué se passant de commentaires. Morceaux choisis : « Nous regrettons de ne pas avoir été prévenus ni par la municipalité, ni par le club concerné », « Nous sommes chez nous et il est hors de question que nous aménagions nos horaires », « N’oubliez pas que les Kangoeroes n’ont pas hésité à quitter Willebroek pour Malines et peuvent y revenir sans problème avec la bénédiction des autorités communales », et de conclure, « Honteux ! ».

Vrenz Bleijenbergh de plus en proche des champions de Belgique

Dans le nord du pays, la rumeur prend de l’ampleur. Elle prétend que le futur point de chute de Vrenz Bleijenbergh (21 a, 2,08 m) sera le Filou Ostende. Après Séville, l’Anversois a terminé la saison en G-League et a été entraîné tout cet été par Willy Steveniers, l’empereur de la Métropole. « J’ai plusieurs propositions dont une des Côtiers », admet le principal intéressé, « Mais, certaines formations étrangères m’offrent le double. Ce qui ne constitue cependant pas ma priorité. Vous serez fixés dès cette semaine. » Ca tombe bien car les responsables du littoral préviennent qu’ils dévoileront leurs nouveaux joueurs au tout début du mois d’août. Une simple coïncidence ?

Retraite (sans doute) dorée au Japon pour McLean, ex-Louvain et Ostende

L’air de rien, le gaillard accuse quand même 34 printemps (pour 203 centimètres sous la toise). C’est chez nous que Jamel McLean débuta sa carrière européenne voici une dizaine d’années. Soit, à Louvain 11/12 et à Ostende 12/13. Cet été, il quitte Francfort et donc la 1.Bundesliga pour s’envoler vers un début de retraite (sans doute) doré à Kumamoto, au sein de l’antichambre nippone.

Michel Christiane

Crédit photo : Stad Willebroek

« AND1 : du courage, de la passion, de la persévérance et un amour indéfectible pour le basket »

Ceux qui avaient 15 ans à la fin des années 90 et au début des années 2000 ont assisté au phénomène culturel et sportif AND1. Netflix sortira prochainement un documentaire sur l’ascension puis la chute de cette entreprise iconique.

Disons le tout de suite, AND1 fut bien plus qu’un simple équipementier de basketball. La marque fondée en 1993 par trois amis fraîchement émoulus de l’unif contribua à populariser à grande échelle le streetball et la « playgroung attitude » grâce à ses « AND1 Mixtape Tour ». Un véritable phénomène amplifié par Youtube, la plateforme de vidéos débutant elle aussi son ascension.

Un phénomène de société sur lequel s’est penché Netflix avec la sortie prochaine d’un documentaire intitulé Untold : The Rise and Fall of AND1 et qui excite déjà les passionnés. « Ce n’est pas seulement l’histoire de légendes du streetball qui ont lancé un mouvement, changé la culture et qui ont réalisé leur rêve d’être payés pour jouer au basket alors que pratiquement tout le monde les a exclus. C’est aussi l’histoire de gens ordinaires à travers monde entier qui, grâce à AND1, ont enfin eu accès au pandémonium du basket-ball hyper technique et hyper intense »a déclaré Kevin Wilson, le réalisateur de ce docu, dans un communiqué.

Le film sera disponible sur Netflix le 23 août prochain.

Le 5 all time Eurobasket de Pau Gasol

Pau Gasol est peut-être le meilleur joueur FIBA de l’histoire. Pourtant, le double champion NBA ne s’inclut pas dans le cinq majeur idéal et historique du basket européen.

Pau Gasol a tout gagné des deux côtés de l’Atlantique et est peut-être le meilleur joueur européen en sélection nationale. Néanmoins, avec beaucoup d’humilité, l’Espagnol ne se place pas dans le cinq majeur « all time ». En effet, à son poste, Pau a opté pour son confrère Dirk Nowitzki qui formerait une super raquette avec Arvydas Sabonis. Toni Kukoc aka la Panthère Rose s’occuperait du poste 3 tandis que les postes arrières verraient Nick Galis et le petit Mozart Drazen Petrovic enchainer les cartons. Offensivement, cette équipe pourrait difficilement être mieux armée. Défensivement par contre, ça risquerait de coincer contre des adversaires trop athlétiques.

Source et photo : My All-Star Five: Pau Gasol plonge dans une gamme EuroBasket de tous les temps – FIBA EuroBasket 2022 – FIBA.basketball

« L’ambiance est toujours au beau fixe »

C’est par une victoire 52-68 à l’Alliance Arlon en Coupe AWBB que Simon Lambert et Hannut ont débuté leur saison.

Simon, qu’a donné votre premier match de la saison à l’Alliance Arlon ?

Nous avons gagné 52-68. Ce fut une bonne rencontre pour une reprise, sans Declercq et Goffin. Toute l’équipe a su mettre une intensité positive dans ce match même si l’équipe en face n’était pas fantastique.

Que peux-tu déjà retenir de cette première sortie ?

Nous avons bien joué défensivement en équipe. Offensivement, forcément, il y a encore du boulot avec beaucoup de balles perdues et une réussite approximative. Mais c’est de bon augure pour la suite et pour le groupe dans lequel l’ambiance est toujours au beau fixe.

« Découvrir une nouvelle région de France avec ses traditions et sa gastronomie »

Présent lors de l’avant-dernière étape du Tour de France conclue par une victoire de Wout Van Aert, un groupe de Liégeois a savouré l’expérience.

« En gros, c’était une super journée », s’exclame Nicolas Gustin, joueur à l’Union Huy. « C’est la troisième fois que nous nous rendons sur une étape. Cela nous permet de découvrir à chaque fois une nouvelle région de France avec ses traditions et sa gastronomie tout en vivant notre passion pour le cyclisme. »

Cette fois, les joyeux drilles sont allés encourager les forçats de la route à Cahors et à Rocamadour. « Nous allons à chaque fois aux chronos car ainsi nous pouvons apprécier indivuellement et plus longtemps les coureurs », me précise le fringant Hutois. « Nous restons chaque fois trois ou quatre jours sur place pour pouvoir planifier des sorties et des visites. « 

Pour l’occasion, cette bande de copains était positionnée dès six heures du matin car le « col » était ensuite fermé et devait se monter à pied. « Nous sommes toujours équipés d’une tonnelle, d’un barbecue et de baffles », nous précise Nicolas. « C’est toujours fou de voir la vitesse à laquelle passent nos champions. L’ambiance est toujours au top et – cocorico ! – pour la seconde année, c’est l’extraterreste Wout Van Aert qui gagne ! »

Sur cette étape, Nicolas et ses amis ont partagé un bon moment avec un groupe de copains venus de Huy et Wanze. Ces derniers avaient eu l’idée originale de confectionner des T-shirts reprenant les plus célèbres expressions et jeux de mots utilisés par Rodrigo Beenkens lors des retransmissons de la Grande Boucle. Un clin d’oeil que le plus apprécié des journalistes sportifs de la RTBF et véritable bible du cyclisme a apprécié, partageant même la rencontre avec ses aficionados sur les réseaux sociaux.

Une escapade franchouillarde et un millésime 2022 que Nico et ses potes ne sont pas prêts d’oublier !