Pau Gasol de retour à Barcelone?

Pau Gasol va-t-il se laisser tenter par un retour à Barcelone?

Pau Gasol approche tout doucement du crépuscule de sa carrière. Actuellement libre de tout contrat, l’intérieur espagnol n’a plus rien à prouver et cherche un dernier challenge motivant. Celui-ci pourrait peut-être se trouver dans son club de coeur, Barcelone. L’institution catalane fait le forcing pour convaincre le grand frère de Marc de revenir au pays.

Si la priorité du double champion NBA reste de tenter une dernière pige aux USA, le recrutement clinquant du Barça pourrait peser dans la balance. Nikola Mirotic et Alex Abrines ont eux aussi délaissé les States pour revenir au bercail, sans parler des Américains Brandon Davies et Cory Higgins.

Nando De Colo zappe la NBA et rejoint le Fenerbahce

Alors qu’il avait annoncé vouloir retenter sa chance outre-Atlantique, Nando De Colo évoluera finalement en Turquie.

Ayant tout gagné avec le CSKA Moscou, Nando De Colo avait annoncé vouloir retenter l’aventure en NBA. Ce ne sera finalement pas le cas, l’arrière français ayant décidé de rejoindre Fenerbahce selon Eurohoops.

Le club turc aurait signé De Colo – qui à 32 ans fait sans doute une croix définitive sur la NBA – pour plusieurs saisons afin de conserver des objectifs très élevés, après avoir atteint cinq fois de suite le Final Four de l’Euroleague, pour un titre en 2017.

« Un vrai enfer en famille nous attend! »

En pleine préparation d’un marathon d’obstacles, Mika Berger nous parle de ses vacances.

Mika, c’est quoi des vacances idéales pour toi?

C’est celles passées entre amis autour de bons barbecues et de quelques verres (rires).

Ton meilleur souvenir de vacances?

Celles passées aux Etats-Unis en 2006 avec des amis à l’époque où je jouais à Sainte Walburge.

Le lieu qui t’a le plus marqué?

Deux endroits en fait. Le plus grand parc aquatique du monsde aux USA – la démesure à l’américaine – et la photo devant la statue de Michael Jordan. Pour un basketteur, ça reste un grand moment!

Ta pire expérience en vacances?

En vacances d’hiver, notre car a glissé le long d’une rambarde avec le vide à côté. Nous fûmes obligés de sortir par la porte du chauffeur et de marcher cinq kilomètres en pleine nuit dans le froid jusqu’à à un hôtel.

Durant cette période estivale, tu taquines un peu la balle?

Oui, je vais taper la balle quand j’en ai l’occasion. Ca fait toujours du bien de ne pas perdre le contact avec le cuir. Mais cette intersaison revêt un autre objectif… Je prépare un marathon d’obstacles. 42 kilomètres et plus de 100 obstacles à franchir en compagnie de mon frère. Un vrai enfer en famille nous attend! (rires)

« Pas évident de jouer dans deux équipes »

Vincent Louis revient sur la saison vécue à Ensival, tant en P1 qu’en P2 et explique le choix posé pour le prochain championnat.

Vincent, que retiens-tu de ta saison?

J’ai passé une demi-saison difficile car je devais jouer dans deux équipes (ndlr: P1 et P2) et les horaires ne correspondaient pas toujours. Pour les entraineurs, ce n’était pas non plus évident de choisir quel match je devais jouer en priorité.

De quoi es-tu tout de même fier?

Ce dont je suis le plus fier, c’est de la troisième place acquise avec notre équipe P2 alors qu’après la trêve, nous nous sommes retrouvés à huit pour jouer – nous avions beaucoup de blessés – et que je ne venais plus m’entrainer avec cette équipe, me concentrant uniquement sur les entrainements P1.

Quel fut le moment fort de ton année?

Bien entendu, la finale de Coupe. Même si nous n’avons pas gagné, cela reste une belle expérience à vivre. Un match dans une ambiance de feu suivie d’une belle troisième mi-temps.

Des regrets?

Je regrette d’avoir voulu faire une saison supplémentaire à cheval entre deux équipes. Ce ne fut vraiment pas évident, j’aurais du faire un choix bien plus tôt et rester avec la « famille » P2.

« Chat échaudé craint l’eau froide » dit le proverbe. Du coup, tu as décidé de te consacrer à une seule équipe la saison prochaine…

Oui, j’ai préféré rester avec la P2 car je connais mes coéquipiers depuis de nombreuses années. Ce sont aussi des amis avec qui je passe beaucoup de temps et l’ambiance dans l’équipe est vraiment agréable. Rester en P1 ne me sert à rien car notre équipe fanion n’a pas pour objectif de monter. Du coup, autant rester avec mes copains.

« Je vais m’entrainer… entre deux apéros »

En cette période ensoleillée, Marc Braconnier nous parle de Luka Doncic, de Barcelone et de sa préparation estivale.

Marc, c’est quoi pour toi des vacances idéales?

En famille, au soleil et avec des endroits à visiter. Découvrir un pays reste vraiment une chouette expérience.

Quel est ton meilleur souvenir de vacances?

Le meilleur, c’est en famille mais le top c’était le dernier voyage organisé par ma femme pour mon anniversaire. Elle m’a offert un séjour à San Francisco avec, à la clé, un match Warriors-Mavs où Luka Doncic a brillé.

Ton lieu préféré?

Barcelone, sans hésitation. Je m’y suis rendu à plusieurs reprises, dont une fois à l’occasion de la Coupe du Monde de basket. La culture, l’architecture, la nourriture et la « chaleur » des autochtones: tout nous a séduit là-bas. C’est vraiment une ville qui m’a immédiatement plu.

Et ton pire souvenir de vacances?

Ma pire expérience a eu lieu en Tunisie, il y a déjà quelques années. Nous n’avions à l’époque que notre plus grand et nous nous sommes retrouvés avec une chambre qui donnait sur la discothèque. C’était impossible de dormir avant quatre du mat’. De plus, nous étions super éloignés du centre et, comble de malchance, nous avions perdu une valise en arrivant à l’aéroport. Bref, des vacances à oublier (rires).

Où pars-tu cette année?

Nous partons avec des amis proches dans le sud de la France. Et, par le plus grand des hasards, je serai dans le même camping et aux mêmes dates que Benjamin Mertens, mon ancien coéquipier à Sprimont. Je vais essayer de lui apprendre à shooter mais ce n’est pas gagné (rires).

Justement, tu continues à taper un peu la balle pendant les vacances?

Habituellement, je ne touche presque pas à un ballon, je vais juste un peu courir. Mais cet été, je dois retrouver des jambes donc je taperai la balle et j’irai courir. Enfin, je vais essayer entre deux apéros (rires).

« Je pense que notre équipe sera ultra-compétitive »

En ce début du mois de juillet, Liège & Basketball a discuté vacances avec Xavier Hubert. L’expérimenté renfort de la Vaillante Jupille en a profité pour évoquer sa nouvelle équipe. Entretien.

Xavier, c’est quoi pour toi des vacances idéales?

Au soleil et en famille pour pouvoir se poser et profiter. Cela comprend d’avoir le temps de jouer avec mes enfants, Lise qui a huit ans et Clément qui en a quatre, à la piscine ou sur le plage et de prendre de bons petits apéros avec ma chérie.

Quel est ton meilleur souvenir de vacances?

C’est difficile d’en choisir un donc je vais parler des trois meilleurs. En premier, notre voyage de noces en Grèce, il y a neuf ans, dans un magnifique hôtel au bord de la mer. Ensuite, à Mandelieu-la-Napoule, près de Cannes, où nous avons tout de suite accroché avec les proprio, notamment grâce aux filles qui avaient pratiquement le même âge et jouaient ensemble et à la Coupe du Monde. Nous les avons reçus en décembre et nous retournons chez eux cet été. Enfin, un city trip entre amis, à six, avec Christophe Henri qui vient jouer avec moi à La Vaillante la saison prochaine et Anthony Lemoine – mon ami de toujours qui est le parrain de Clément – qui nous a montré ses indéniables talents de photographe. Nous avons découvert Lisbonne et c’est splendide.

Et ta pire expérience de vacances?

Le départ pour Lisbonne fut chaotique avec la navette qui trainait à venir, le supplément à payer à Ryanair qui n’était pas prévu et un besoin urgent suite aux quelques bières descendues pour lancer le séjour. J’étais à la limite et le steward ne voulait pas me laisser accéder aux toilettes (rires).

En vacances, tu tapes un peu la balle?

Je suis déjà allé deux fois à la « bulle » (ndlr: Fléron) pour du « 3×3 », courir une dizaine de kilomètres avec deux potes de Bellaire. Je suis également allé à vélo et avec David Di Giuseppe pour du shoot et du « un contre un ». En France, en général, je vais courir un jour sur deux en alternance avec Céline, tôt le matin à jeun, et je fais un peu d’aquabike. Je joue également au tennis avec mon beau-père dès que possible. Et puis, nous sommes allés faire un « cinq contre cinq » la semaine passée à la Vaillante. J’adore déjà cette team et je pense qu’elle sera ultra-compétitive. Je ne connais pas la P2 mais je veux bien cette équipe de Jupille telle quelle en première provinciale!

« Il y a toujours un ballon qui traine »

Pour Liège & Basketball, Laurent Caubergh donne sa définition des vacances idéales et se remémore quelques souvenirs. Interview.

Laurent, quelles sont, pour toi, les vacances idéales?

Ce n’est pas spécialement de partir en voyage.. Je profite des choses simples comme aller boire un verre en terrasse, voire mes amis et ma famille, des soirées. Ne pas travailler serait l’idéal bien sûr (rires), j’aime aussi aller taper le ballon avec les potes jusque pas d’heure… bref les petits plaisirs de l’existence.

Donc tu continues à taquiner la balle orange en vacances?

Oui bien sûr! J’essaie de prendre un peu de repos mais comment ne pas taquiner la balle en vacances (rires). Il y a toujours un ballon qui traine quelque part et puis c’est très agréable de pouvoir aller jouer avec les amis et peut-être de boire un verre après (rires).

Quel est ton meilleur souvenir de vacances?

Nous étions partis en famille dans les montagnes suisses. Nous partions pour une randonnée d’une journée, il faisait grand soleil lors du départ au matin. Quand nous sommes arrivés au chalet situé au point d’arrivée, il commençait à neiger alors que nous étions seulement vêtus de shorts et de t-shirts (rires). Nous sommes redescendu dans la neige et en glissant sur des parties glacées.

Quel endroit t’a laissé un souvenir impérissable?

J’hésite entre le silence des montagnes franco-suisses – pouvoir se promener pendant une journée en découvrant toujours de beaux paysages – et la Sicile (lors de mon voyage rheto) avec notamment la Vallée des Temples d’Agrigente, les belles petites plages et l’Etna.

Quel est ton pire souvenir de vacances?

Je n’ai pas vraiment de pire souvenir de vacances, juste le fait d’avoir une seconde session ou de travailler et de ne pas pouvoir profiter de partir.

Et où pars-tu cette année?

Cette année, je ne pars pas car je travaille non-stop jusque fin août donc peut-être après en hors-saison.

Que la montagne est belle!

Benjamin Mertens a fait sienne la chanson de Jean Ferrat: « La Montagne ». Liège & Basketball a discuté vacances avec le nouveau meneur de Ninane.

« Pour moi, les vacances idéales c’est réussir à concilier les sorties et activités entre potes avec des moments plus calmes et relaxants en famille » pose d’emblée Benjamin Mertens. « J’adore les vacances à la montagne, notamment dans le Valais, en Suisse, où je vais régulièrement skier avec ma famille.« 

Ce sont d’ailleurs aussi des séjours en haute altitude qui ont particulièrement marqué le nouveau meneur de Ninane. « J’ai énormément de bons souvenirs de vacances mais je pense que le meilleur reste cette semaine au ski avec mes potes; même si certains souvenirs de ces vacances restent très vagues » rigole Benja. « Et c’est aussi de vacances à la montagne avec mon ancien coéquipier et meilleur ami Cédric Goffart que je garde le souvenir le plus étrange. Nous nous étions retrouvés dans un stage assez spécial.« 

Cet été, Benjamin ira dans l’Hexagone. « Je pars dans le Sud de la France. Et en vacances, j’adore taper la balle de manière un peu plus décontractée avec des amis. » Rosé et (balle) orange, le cocktail idéal d’une intersaison réussie!

« Quelque chose d’unique s’est déroulé à Herve-Battice »

Au terme d’une saison splendide, Herve-Battice a décroché le titre de champion en deuxième régionale et obtenu de facto le droit de rejoindre l’échelon supérieur. Alain Denoël revient sur les dix derniers mois idylliques vécus par sa formation.

Alain, quel bilan dresses-tu de la campagne écoulée?

Au terme de cette saison, je ne peux qu’être satisfait du bilan de mon équipe: une saison régulière de très bonne facture avec la meilleure défense du championnat (ce qui était un objectif initial), un titre de champion acquis au terme d’un sans-faute en Playoffs, une demi-finale de Coupe AWBB, trois filles et moi-même sélectionnés au All Star Game. On peut dire qu’Herve-Battice a marqué de son empreinte le paysage féminin du basket wallon lors de cet exercice.

De quoi es-tu plus particulièrement fier?

Je suis très fier du mental et de la culture de la victoire que mon équipe a acquis au fur et à mesure de la saison. Cette capacité à renverser des montagnes même quand la cause semblait perdue en fait une team à part parmi toutes celles que j’ai coachées. Mais ce dont je suis le plus fier, c’est que mon équipe a fédéré tout un club autour d’elle. Il suffisait de voir la ferveur des équipes d’âges, des parents de jeunes, des autres équipes seniors du club, des sympathisants, de nos amis durant la saison et, surtout, durant les Playoffs pour comprendre que quelque chose d’unique s’est déroulé cette année du côté de Herve-Battice.

Des regrets tout de même?

Je regrette notre non-match en demi-finale de la Coupe AWBB. Le costume était trop grand pour beaucoup de filles mais si nous voyons le bon côté, c’est un match qui nous a permis de grandir dans notre saison.

Quels moments resteront gravés dans ta mémoires?

Pour moi il y deux moments au-dessus de tout cette saison.Tout d’abord et incontestablement, notre déplacement à Fleurus en saison régulière où deux cars et une dizaine de voitures ont fait le déplacement et où nous avons pris l’avantage psychologique sur notre meilleur ennemi de la saison. Ensuite, le match retour de la finale des Playoffs à domicile avec une salle pleine à craquer, des supporters en feu – merci aux hooligans – et mes joueuses qui choisissent ce moment pour livrer leur meilleure mi-temps de la saison avec une Bonvoisin prouvant qu’elle est la meilleure joueuse de la série!

Quels seront vos ambitions la saison prochaine?

J’espère vivre un championnat tranquille. Pour ce qui est de nos objectifs spécifiques, je garde ça pour les filles. Nous gagnerons sans doute beaucoup moins que cette année mais j’espère garder nos supporters unis grâce à une mentalité sans faille. Nos apports Slaviero et Hauglustaine nous amèneront un plus indéniable pour y arriver!

« Se détacher un maximum de sa vie habituelle »

Qui dit période estivale dit vacances. Un sujet que Liège & Basketball a évoqué avec Romain Hamaide.

Romain, c’est quoi, pour toi, des vacances idéales?

C’est de se détacher un maximum de sa vie habituelle et de son quotidien. Il faut profiter, rester avec sa famille, ses amis, sa copine…

Quel est ton meilleur souvenir de vacances?

Il n’y en a pas qu’un en particulier, mais un des meilleurs est le voyage aux USA que j’ai fait il y a deux ans avec tous mes meilleurs amis!

Et la pire expérience vécue en vacances?

Je n’en ai pas vraiment connue. Le moment plus ennuyant pendant les vacances, c’est lorsqu’il faut travailler comme étudiant pour se faire un peu d’argent! Mais il faut bien le faire (rires).

L’endroit que tu as visité qui t’a le plus marqué?

Les USA, à nouveau. J’avais toujours rêvé d’y aller et j’ai vraiment beaucoup aimé.

Où pars-tu cet été?

Je suis déjà parti une semaine en Turquie. Maintenant, je commence à bosser comme étudiant.

En vacances, tu tapes quand même un peu la balle?

Cela m’arrive d’aller un peu jouer avec des amis mais c’est assez rare. Je penche plutôt vers un gros repos basket pendant les vacances!