L’Euro masculin 2021 à 80 kilomètres de la frontière belge

L’Euro 2021 sera conjointement organisé par quatre pays.

Lundi après-midi, la FIBA a décidé que le prochain Euro masculin de 2021 aurait lieu dans quatre pays. A savoir, l’Allemagne, la République Tchèque, la Géorgie et l’Italie. Si la phase finale de la compétition continentale se disputera à Berlin, une des poules qualificatives trouvera refuge à Cologne. Soit, à peine 80 bornes de la frontière belge ou à une petite heure de route d’Eupen. Rendez-vous en septembre de cette année-là…

Michel CHRISTIANE

« On ne peut pas plaire à tout le monde »

Freddy Derda, remplacé pour la prochaine saison par Sacha Evrard, revient sur la campagné écoulée avec la P3 des Carriers et évoque son nouveau défi à Belleflamme.

Freddy, tu ne seras plus l’entraineur de la P3 de Sprimont la saison prochaine mais tu poursuivras ta « carrière » de coach ailleurs.

En effet, Sacha Evrard me remplace à la tête de la P3 sprimontoise pour la saison à venir. Je pensais vraiment – enfin diront certains – mettre un terme à mes activités sportives. Et bien non, pas encore! Je poursuivrai à Belleflamme avec la P4F du club qui est proche de mon domicile: moins de trois kilomètres me sépare des installations du matricule 1058. Il n’y aura q’un seul entraînement par semaine, pas de prise de tête ou de conflits de générations – même si je suppose qu’il y aura des soucis comme partout – et cela me permettra de fréquenter les terrains de basket une année supplémentaire.

Quels souvenirs garderas-tu de ton aventure sprimontoise?

J’ai passé deux années au sein du club de Sprimont au cours desquelles j’ai connu d’excellents moments, mais, il faut le reconnaître, surtout au cours de la saison 2017-2018. Une saison conclue par un dix-huit sur vingt-six et une quatrième place, meilleur résultat atteint par cette P3 à ce jour.

Concernant plus spécifiquement la campagne qui vient de s’achever, quel bilan en dresses-tu?

Pour ce qui est de l’exercice 2018-2019, Pierre Touette, attiré par la p1 d’Andrimont, nous a quitté et nous a terriblement manqué. Bien que le noyau ait été complété par de jeunes joueurs prometteurs, le mariage « vieux »/jeunes, n’a pas été un franc succès. Là ma responsabilité est évidemment engagée, donc les regrets se situent à ce niveau. Le retour de Joe Rousselle, en bonne santé, devrait, bien entendu, être une plus-value certaine et je souhaite à mon successeur une plus grande réussite quant au mixing de différentes générations de joueurs.

Quel moment fort garderas-tu en mémoire?

La défaite à Grâce-Hollogne 106-105, avec arrêt du match à 36 secondes du terme, n’ayant plus suffisamment de joueurs pour terminer la rencontre.

Un dernier mot avant de profiter des vacances?

Oui, je profite de l’occasion pour remercier tous ceux qui ont contribué aux bons moments, qu’ils soient joueurs, dirigeants, accompagnateurs, etc….Quant aux mauvais moments, oublions-les. Et comme dirait l’autre, on ne peut pas plaire à tout le monde

« Un joli combo entre joueurs expérimentés et jeunes talents »

Pour Liège & Basketball, Romain Thirionet dresse des dix derniers mois vécus par la Vaillante Jupille au sein d’une très relevée série de troisième provinciale et évoque les ambitions futures de sa formation.

« Si nous ne nous basons que sur le classement, notre bilan n’est pas bon » reconnait d’emblée Romain Thirionet avant de nuancer. « A mon sens, il ne reflète pas du tout le potentiel de notre groupe. Nous avons vécu une saison très compliquée avec pas mal d’absences, de blessures ou de joueurs suspendus. Au final, nous avons plus souvent dû « survivre » qu’autre chose dans une poule (ndlr: P3C) très relevée.« 

Néanmoins, si des regrets existent, les sources de satisfaction sont également bien présentes. « Je suis fier que nous ayons réussi à embêter bon nombre d’équipes malgré les circonstances qui n’étaient pas en notre faveur. Hormis l’une ou l’autre rencontre, nous sommes parvenus à proposer une très belle résistance à nos adversaires. Certes, il y a eu trop peu de victoires à la clé mais beaucoup d’équipes rencontrées n’ont pas eu si facile que cela face à nous » poursuit cette figure emblématique de la Vaillante et véritable cheville ouvrière de son club. « Paradoxalement, cela représente aussi mon plus grand regret. Enormément de nos défaites le furent par un écart n’excédant pas dix ou quinze points. C’est terriblement frustrant de se retrouver à sept joueurs, de tenir tête aux équipes du top 5 et de craquer dans les cinq dernières minutes.« 

A l’image de son équipe, Romain a vécu une saison délicate. « D’un point de vue personnel, je regrette éminement de m’être blessé sérieusement à la cheville, m’obligeant à me tenir éloigné des terrains pendant trois mois. C’est long » soupire-t-il.

Comble de « malchance », la Vaillante a dû batailler dans la série de la mort. « C’est notre quatrième année en troisième provinciale et cette saison aura été, et de loin, la plus compliquée! Le niveau de la poule était très relevé » avoue Romain. « J’en veux pour preuve cette fin de championnat où personne ne pouvait prédire le champion à deux journée de la fin. J’ai l’impression que la P3 regorge de plus en plus de joueurs expérimentés et de très bons jeunes en plein progression. Cela forme un joli combo très agréable à suivre et encore plus pour y jouer.« 

La saison prochaine, les Jupillois espèrent être épargnés par la guigne et reprendre leur marche en avant. « Nous voulons vraiment oublier cette saison, repartir sur de bonnes bases et figurer dans le top 5 » annonce Romain. « Nous devrons être prêts dès le début de championnat pour ne pas tomber dans une spirale négative comme cette année. Et pourquoi pas quelques belles surprises à la clé?« 

Beverly reste en Italie

Gerald Beverly, ancien éphémère pivot de Liège Basket, change de club mais reste en Italie.

L’ancien Liégeois (arrivé en cours de saison 17/18) Gerald Beverly, il prépare ses bagages à Brescia afin de mettre le cap sur Udine. Ce club du Frioul monte en Série A2 (D2 italienne) et ne compte pas y faire de la figuration selon ses ambitieux dirigeants.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo: Philippe Collin

« Le Bon, la Brute et le Truand »

Un an plus tard, nous reprenons notre série d’interviews décalées. Une série intitulée « Interview titre(s) », avec des champions. Pour répondre aux différentes questions, plusieurs titres de films ou de séries sont proposés à l’interviewé. C’est Mehdi Aouini, champion indiscutable de première provinciale avec Waremme, qui se plie à l’exercice avec une bonne dose d’humour.

Mehdi, quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre titre de champion, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Chronique d’une victoire annoncée » (documentaire sur le quotidien de Benoit Hamon dans la préparation des élections législatives et présidentielles en France en 2012), « Surprise, sur prise! » (émission de caméras cachées), « Le grand bluff » (émission TV de Patrick Sébastien), « Au-delà de la gloire » (fin américain sorti en 1980) ou « La dernière chance » (film américain sorti en 1972).

Sans aucune hésitation « Chronique d’une victoire annoncée », qui se justifie par le recrutement, les installations et les ambitions affichées par le
club en début de saison. Nous étions dans les meilleures conditions pour performer cette saison.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier ton équipe, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Une famille formidable » (Série TV française), « Les douze salopards » (Western américain), « Arthur et les Minimoys » (film d’animation sorti en 2006), « Intouchables » (film français sorti en 2011), « Les Papys font de la résistance » (film sorti en 1983).

« Les papys font de la résistance« ! Cette expérience de « papys » nous a énormément servi en début de saison car il ne fallait pas répéter cinquante fois les schémas tactiques pour que la pièce tombe. Par contre, plus la saison avançait, plus les organismes s’esquintaient. Et au vu de la très belles carrière de certains de nos « papys », ils méritent bien une belle retraite.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre style de jeu, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Attaque » (film américain sorti en 1956), « Pour l’amour du jeu » (film américain sorti en 1998), « Secret défense » (film français sorti en 2008), « La rage au ventre » (film américain sorti en 2015).

Concernant le style de jeu, je mets en avant « Attaque » car, même s’il nous fallait souvent un peu de temps pour lancer la machine, une fois bien rôdés, nous étions capables de dérouler dans la moitié de terrain adverse.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre saison, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Dépression et des potes » (film français sorti en 2012), « La couleur de la victoire » (fin américain sorti en 2016), « Sueurs froides » (film américain sorti en 1958), « Qu’est ce qu’on a fait au bon dieu » (film français sorti en 2014), « Pour le pire et pour le meilleur » (film américain sorti en 1998), « La totale » (film français sorti en 1991).

Avec notre doublé Coupe/championnat, le film « La totale » résume très bien la mise raflée cette saison.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier ton entraineur, et pourquoi? Tu as le choix entre: « The Greatest » (film américain sorti en 1977), « Le grand blond avec une chaussure noire » (film français sorti en 1972), « On aura tout vu » (film français sorti en 1976), « Un incroyable talent » (film anglais sorti en 2013), « Le gourou » (film américain de 1969).

Pour qualifier notre entraîneur cette saison, je choisis un film qui n’est pas dans la liste: « Le Bon, la Brute et le Truand », et je laisse le soin aux lecteurs de choisir lequel de ces trois personnages incarne Mike De Keyser (rires).

« Réaliser le triplé pour mon come-back serait génial »

Pour Liège & Basketball, Gael Hulsen confie sa joie de retrouver l’Allemagne et ses ambitions à l’aube d’une nouvelle saison.

« Je suis très content de retourner en Allemagne et, en plus, à Cologne, une ville située à seulement une heure de Liège » sourit Gael. « La combinaison de l’offre, du challenge et de la situation géographique m’a fait prendre cette décision.« 

Un retour outre-Rhin qui ne sera pas dénué d’ambitions pour le Liégeois. « J’ai été champion lors de ma première et dernière saison en Allemagne » rappelle-t-il. « Réaliser le triplé pour mon « come-back » serait génial!« 

Après un tournoi en Italie où « c’était vraiment cool de jouer sur la plage« , Gael s’apprête à de nouveau faire sienne la quatrième division allemande.

« Pourquoi ne pas viser un tour final? »

Malgré les nombreuses blessures qui ont décimé l’effectif, Hannut a livré une saison de fort bonne facture en P2. Denis Plomteux dresse le bilan de la première campagne des Hesbignons à cet échelon et évoque les ambitions futures d’un groupe remanié.

Denis, quel bilan fais-tu de votre première saison en deuxième provinciale?

J’estime que vu le contexte dans lequel a dû évoluer notre équipe cette saison, nous pouvons être satisfaits de notre bilan même si je crois qu’avec un peu plus de rigueur et de sérieux aux entrainements, nous aurions pu faire mieux. Cependant, au vu des nombreuses blessures – Thibault Doigni (fracture de la rotule), Gauthier Mouillard (fracture du coude), Maxime Dubois (ligaments croisés) et moi-même (ligaments croisés) – qui ont décimé notre effectif, nous pouvons nous estimer satisfaits malgré tout.

De quoi es-tu le plus fier?

Ce dont nous pouvons être finalement le plus fiers, c’est qu’il n’y a que deux équipes sur quatorze que nous n’avons pas réussi à battre. Cela nous a permis, pour une première année à cet échelon, de nous mettre assez vite en sécurité quant au maintien dans la division. Ma plus grande fierté par rapport au groupe, c’est d’avoir vu mes équipiers battre les futurs champions, encore invaincus à ce moment de la saison, alors que notre équipe était fortement diminuée. Nous avions même un U21 pour compléter notre effectif pour cette rencontre.

A contrario, quels regrets éprouves-tu?

Le regret que j’ai, c’est de n’avoir pu être avec le groupe pour l’entièreté de la saison. D’un point de vue collectif, c’est peut-être de ne pas avoir fait mieux, surtout que nous savons que nous en sommes capables. Ce sera sans doute un des gros points sur lequel nous devrons travailler dans le futur.

Justement, comment aborderez-vous la future campagne?

Je pense que chaque équipe commence une saison avec pour objectif de remporter le championnat… Mais nous devons rester les pieds sur terre et nos principaux objectifs seront, dans un premier temps, de récupérer nos blessés qui sont encore sur la touche: Doigni (pas de date fixée), Dubois (qui devrait revenir en octobre) et moi qui espère être opérationnel pour le second tour. Dans un second temps, il s’agira de bien accueillir nos nouveaux renforts: Virgile Materne, Sacha De Liamchine et Samuel Bisschop. A première vue, suite aux premiers contacts, cela devrait se faire assez naturellemment car ils possèdent une bonne mentalité et des qualités dont le groupe a besoin.

Mais quels objectifs chiffrés vous fixez-vous?

Evidemment, l’objectif principal sera de terminer avec un meilleur bilan que celui de la saison qui vient de s’achever et donc de ne pas être inquiétés par la lutte pour le maintien. Et, qui sait, batailler pour décrocher une place pour un tour final. Mais pour cela, il faudra se rappeler ce qui nous a parfois fait défauts à certains moments cette année.

« La statue de MJ, j’en avais des frissons »

Pour Liège & Basketball, Christophe Lambion partage ses souvenirs de vacances.

« Cette année, je pars à Rhodes avec ma compagne qui est Grecque. Je me réjouis vraiment, cela va faire du bien de recharger les batteries » nous informe Christophe Lambion. « D’habitude, durant l’été, je joue encore un peu au basket en faisant régulièrement des « 3×3 » ou des « 5×5 » à Comblain. Mais cette fois, les troupes n’ont pas l’air motivées et cela ne me manque pas après voir fini la saison blessé. J’avoue d’ailleurs avoir un doute quant à ma condition physique » rigole-t-il avant de se pencher sur ses souvenirs de vacances.

« L’an passé, je me suis fait piquer un beau vélo sur la plage à Nice. J’ai eu le reste de mon séjour foutu tellement j’étais énervé… Sans parler des quinze kilomètres que j’ai dû faire à pieds, sous 38 degrés, pour rentrer à l’appart » se souvient « Tof » qui nous définit ensuite ses vacances parfaites. « L’idéal, c’est un bel hôtel au calme, en all in, avec une belle vue sur la mer. Pour bien faire, avoir une ville ou un site historique à visiter à proximité est un plus, histoire de quitter l’hôtel une fois ou l’autre.« 

Les vacances, c’est aussi, souvent, des souvenirs d’enfance. « Je garde en mémoire beaucoup de bons moments lorsque j’étais gosse et que je partais avec mes parents. Nous étions partis une fois avec mon coach J-C Legrand: une semaine de fous rires. Plus tard, dans un autre style, un périple à Ibiza avec un ami DJ reste gravé dans mes souvenirs: une orgie totale du début à la fin » nous raconte Christophe. « Mais la plus forte impression qu’un lieu m’a laissé, c’est lorsque je suis allé visiter Chicago. La ville de MJ… J’étais encore ado et j’en avais des frissons de voir sa statue. C’était un rêve. »

« Dany Tilmant a la capacité de toujours rester calme »

Un an plus tard, nous reprenons notre série d’interviews décalées. Une série intitulée « Interview titre(s) », avec des champions. Pour répondre aux différentes questions, plusieurs titres de films ou de séries sont proposés à l’interviewé. Martin Francoeur, bombardier en chef et champion de P3A avec Saint Louis, nous offre ses réponses.

Martin, quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre titre de champion, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Chronique d’une victoire annoncée » (documentaire sur le quotidien de Benoit Hamon dans la préparation des élections législatives et présidentielles en France en 2012), « Surprise, sur prise! » (émission de caméras cachées), « Le grand bluff » (émission TV de Patrick Sébastien), « Au-delà de la gloire » (fin américain sorti en 1980) ou « La dernière chance » (film américain sorti en 1972).

Je choisis « Surprise, sur prise!« . Au début de saison, nous n’avions aucune ambition de titre. Nous avions une équipe très jeune; c’était pour certains la première saison en hommes et nous voulions juste progresser et essayer de gagner un maximum de matchs. C’est au fur et à mesure des victoires que nous avons pris conscience que nous pouvions jouer le titre. Et nous n’avons pas manqué de jouer le coup à fond!

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier ton équipe, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Une famille formidable » (Série TV française), « Les douze salopards » (Western américain), « Arthur et les Minimoys » (film d’animation sorti en 2006), « Intouchables » (film français sorti en 2011), « Les Papys font de la résistance » (film sorti en 1983).

Pour qualifier mon équipe, je prends le titre « Une famille formidable« . Nous nous entendons tous très bien, et nous avons vécu ensemble quelques sorties mémorables! Sur le terrain comme en dehors, l’ambiance était excellente!

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre style de jeu, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Attaque » (film américain sorti en 1956), « Pour l’amour du jeu » (film américain sorti en 1998), « Secret défense » (film français sorti en 2008), « La rage au ventre » (film américain sorti en 2015).

Sans aucune hésitation, « Attaque« . Nous avons un jeu très offensif, avec beaucoup de très bons marqueurs. Notre difficulté n’a jamais été de mettre la balle dans l’anneau mais plutôt de ne pas trop encaisser. La meilleure preuve est ce match conclut avec vingt-huit trois points convertis.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre saison, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Dépression et des potes » (film français sorti en 2012), « La couleur de la victoire » (fin américain sorti en 2016), « Sueurs froides » (film américain sorti en 1958), « Qu’est ce qu’on a fait au bon dieu » (film français sorti en 2014), « Pour le pire et pour le meilleur » (film américain sorti en 1998), « La totale » (film français sorti en 1991).

« La couleur de la victoire« . Nous n’avons connu la défaite que deux fois, dont une fois lors du dernier match et avec une équipe incomplète alors que nous étions déjà champions.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier ton entraineur, et pourquoi? Tu as le choix entre: « The Greatest » (film américain sorti en 1977), « Le grand blond avec une chaussure noire » (film français sorti en 1972), « On aura tout vu » (film français sorti en 1976), « Un incroyable talent » (film anglais sorti en 2013), « Le gourou » (film américain de 1969).

Je vais choisir le film « Le gourou« . Dany Tilmant a la capacité de toujours rester très calme quelles que soient les circonstances et de ne jamais paniquer! Il a très bien su gérer et guider le groupe tout au long de la saison pour, au final, arriver à un titre que nous avons bien fêté !

Liège tient son « point guard » américain

Liège Basket a pratiquement bouclé son recrutement en enregistrant la signature de son nouveau meneur américain, KC Ross-Miller, passé par l’université d’Auburn, comme Charles Barkley.

Le noyau du club principautaire est pratiquement bouclé. « Voo Liège Basket est à deux doigts d’avoir terminé son recrutement pour la saison 2019-2020 » peut-on lire sur la page officielle du club qui annonce la signature du nouveau meneur américain chargé d’enthousiasmer le Country Hall.

C’est une nouvelle fois des pays baltes et de l’Est que provient la nouvelle recrue du club phare de la Province de Liège. KC Ross-Miller, « point guard » d’1,86 mètre et âgé de 28 ans, évoluait la saison passée à Handlova en Slovaquie. Ross-Miller, passé par l’université d’Auburn comme Charles Barkley, « est rapide, sait créer le jeu mais aussi bonifier ses partenaires » précise VOO Liège Basket.

Les highlights du nouveau patron de Liège sont ici.