LeBron n’a toujours pas soigné sa melonite aiguë

Lebron aurait pu, selon lui, amener les Bulls « à un tout autre niveau« . Au passage, celui qui n’a gagné que 33% de ses NBA Finals en profite pour louer ses qualités et se lancer une belle gerbe de fleurs.

L’estime que LeBron James se porte est incommensurable. L’ex-joueur des « Super Team » de Cleveland et Miami avait déjà déclaré que sa victoire en Finals avec les Cavs contre les Warriors faisait de lui le GOAT. Inspiré par le visionnage de The Last Dance, LBJ n’a pu s’empêcher de ramener les choses à lui et de se tresser une couronne de louanges.

« Personnellement, avec la façon dont je joue, c’est-à-dire en pensant à l’équipe en premier, j’imagine que mes qualités auraient fonctionné à la perfection avec Mike. Mike est un assassin. Sur le terrain, on aurait pu combiner sa façon de marquer et ma capacité à lire le jeu en avance et à faire des passes. J’ai vu les choses que Pippen était capable de faire avec Mike. Je pense que ça aurait été à un tout autre niveau. Pip était l’un des mes joueurs favoris… Avec moi en tant que ‘point forward’, ça aurait été un tout autre niveau pendant les parcours de Chicago », a ainsi assuré LeBron James dans une vidéo diffusée sur Youtube.

Voilà, voilà…

« J’ai touché le fond »

Resté de longs mois sans club, Carmelo Anthony a touché le fond.

« Tout démarre à New York où je participe au All-Star Game en tournant à 22, 23 points par match dans la conférence Est, en gérant tout ce que j’ai à gérer en-dehors du terrain, en termes d’organisation » raconte Carmelo. « Je suis échangé à Oklahoma City la veille du « media day ». De OKC, où j’ai vraiment aimé aller mais où ça n’a pas fonctionné pour je ne sais quelle raison, pour aller à Houston l’année suivante pour jouer neuf matches. C’est la première fois que je sors du banc en 15 ans, la toute première fois. C’était un ajustement pour moi et ça a conduit à une année sans jouer.« 

Une année compliquée pour Melo qui ne comprenait pas les critiques dont il faisait l’objet et l’absence de propositions. Heureusement, en novembre, Portland se décide à l’engager et l’ailier démontre alors qu’il peut toujours être utile. « Je crois que personne ne comprendra ce que j’ai vécu émotionnellement pour être là où j’en suis aujourd’hui. Je parle de douter de moi-même, de vouloir abandonner mentalement. S’éloigner du jeu pour revenir, personne ne l’a fait hormis MJ. J’ai touché le fond sur le plan émotionnel. J’ai dû me reconstruire, essentiellement par moi-même, pour pouvoir raconter cette histoire » conclut-il.

« Tongres, Comblain et Anvers seront au top »

Quentin Vanoost espère bien pouvoir rééditer les exploits des Dragons la saison prochaine.

Maintenant que les séries de TDM2 sont connues, les joueurs peuvent e projeter vers le prochain championnat. « Nous héritons d’une très belle série, nous jouerons contre tous les Liégeois, que demander de plus? », s’interroge Quentin Vanoost. « Tongres, Comblain et Anvers devraient être au top mais, comme chaque année, des surprises auront lieu. Quand à nous, il nous reste encore trois mois pour nous retrouver et définir nos objectifs mais j’espère que nous pourrons reproduire nos résultats de cette saison. »

« Les bénévoles travaillent d’arrache-pied »

Pour Liège & Basketball, Thibaut Marien revient sur la saison des Comblinois en TDM2B.

Thibaut, comment juges-tu votre saison?

De septembre à février, nous avons disputé une saison correcte sans qu’elle soit extraordinaire. Nous avons tous eu des hauts et des bas, individuellement et collectivement, et nous terminons à une responsable cinquième place. Mais je pense que l’arrivée du virus nous a privé d’une possible meilleure position au classement.

Du coup, tu estimes que vous méritiez mieux que cette cinquième place?

Nous nous sommes battus contre nous-mêmes durant toute la saison. Nous pouvions vaincre des équipes du top et nous incliner contre celles qui étaient derrière nous au classement. Nous avons manqué de régularité. Nous avions repris du poil de la bête après notre victoire contre Sprimont mais les circonstances de la saison nous ont empêché d’en profiter.

Qu’as-tu pensé de la série cette année?

La saison précédente était surprenante car tout le monde pouvait gagner contre tout le monde et un match suffisait pour dépasser plusieurs adversaires. Cette saison était encore davantage serrée et nous pouvions perdre un match et nous retrouver huitièmes ou en gagner un et nous emparer de la quatrième place.

Comment juges-tu tes prestations?

Je pense avoir été à l’image de l’équipe: avec des hauts et des bas mais en essayant toujours de régulariser mon jeu. J’ai un peu changé depuis mon arrivée à Comblain, un petit laisser aller s’est fait ressentir sans que cela n’affecte réellement mon jeu. Mais le confinement est arrivé au bon moment pour rectifier tout ça et revenir au top et plus fort pour la future saison.

Au final, quel bilan fais-tu de cette année?

Excepté notre irrégularité en match, je ne voudrais rien changer de Comblain: les joueurs, le coach, le manager, le Président. Tout était nickel. Je souhaite aussi remercier les bénévoles de Comblain qui travaillent d’arrache-pied pour que nous puissions jouer dans de bonnes conditons. Les seuls regrets que j’ai sont de ne pas avoir pu disputer nos derniers matchs à fond et terminer la saison en beauté pour les trois départs – Chapelle, Waonry et Bodson – de notre équipe. Je me réjouis de retoucher un peu le ballon à la fin du confinement et me préparer pour le projet Humblet/Fernez de la prochaine saison.

« Pour obtenir des résultats, il faut s’en donner les moyens »

La dernière saison d’Antoine Massart à Spa fut ardue, les Bobelins soufflant le chaud et le froid en première provinciale.

Avec un effectif presqu’entièrement renouvelé, les Spadois ont souffert d’un cruel manque de régularité, se retrouvant à batailler pour assurer leur survie au sein de l’élite provinciale. « La saison fut compliqué et je m’y attendais » nous affirme Antoine Massart. « Après avoir perdu neuf joueurs la saison dernière, nous savions que nous allions vivre une année de reconstruction et de transition. Nous sommes à notre place, il aurait été difficile de voir plus haut et nous ne méritions certainement pas mieux vu les présences aux entrainements.« 

Un manque d’assiduité qui a considérablement nuit aux Bobelins. « Nous étions, en moyenne, cinq aux entrainements, surtout après le mois de janvier. C’était donc compliqué de construire quelque chose » déplore le coach spadois. « Blessures, boulot, études, vacances: nous avons eu la totale. Pour évoluer et monter des choses en P1, il faut s’entrainer un minimum, ce que nous n’avons pas su faire. Pour obtenir des résultats, il faut s’en donner les moyens. Mais je n’en veux pas aux joueurs, 90% du temps, ces excuses étaient valables. »

Une belle rampe de lancement vers la TDM2

Cependant, Spa a tout de même eu quelques fulgurances pour assurer l’essentiel. « Sportivement, c’était compliqué. Collectivement, nous avons avancé beaucoup trop lentement. Je pense néanmoins que nous avons fait preuve de caractère dans les moments compliqués. Nous avons pu nous serrer les coudes dans les matchs clés que nous savions déterminants pour notre survie » souligne Antoine. « Même si, malheureusement, le championnat n’a pas pu aller jusqu’à son terme et que beaucoup de choses restaient à faire, je suis heureux que Spa conserve une équipe au sein de l’élite provinciale. C’est une belle rampe de lancement vers la TDM2 et certains jeunes méritent d’avoir leur chance. »

Après plus d’une décennie dans la Cité thermale, l’ancien Sprimontois rejoindra Pepinster pour y devenir l’assistant-coach de Pascal Horrion. « J’aurais évidemment préféré quitter Spa après treize ans dans un autre contexte » regrette celui qui, durant le confinement, a sacrifié sa chevelure pour occuper ses enfants. « J’aurais voulu décrocher officiellement notre maintien sur le terrain, faire la fête encore quelques fois mais je pense que dans le contexte actuel, je n’ai vraiment pas à me plaindre de quoi que ce soit. » Hormis la coupe de cheveux particulière arborée pendant quelques semaines, bien sûr…

« Content de pratiquer mon sport favori »

Avec son esprit positif et avant de rejoindre Henri-Chapelle où il retrouvera son frère, Arnaud Delhaes revient sur cette dernière saison partagée avec ses coéquipiers de Theux.

« Cette saison s’est malheureusement terminée trop tôt » soupire Arnaud Delhaes qui regrette également les quelques matchs perdu de peu que les Theutois auraient pu gagner. « Nous étions bien au moment où le championnat s’est stoppé et je crois que nous aurions pu remonter d’une ou deux places dans le classement mais la situation est exceptionnelle et la santé avant tout, je suis bien placé pour le savoir.« 

Avec un effectif de qualité, Theux a livré une saison correcte, conforme aux attentes. « Nous sommes là où le coach ambitionnait d’être » confirme l’expérimenté meneur. « Notre série était bonne et se renforce chaque année pour le plaisir des joueurs et des spectateurs. Les matchs sont presque tous accrochés, ce qui est particulièrement plaisant. »

Si Arnaud n’est plus l’explosif point guard qui découpait les défenses, il reste un meneur performant au leadership assumé. « Mes prestations furent un peu en dessous de ce que j’attendais mais je sais que j’en demande beaucoup à mon corps vu ce qui m’est arrivé. Mais c’est la vie et je suis déjà content d’être sur le terrain pour pratiquer mon sport favori et de boire une bonne mousse après les matchs » philosophe celui qui a du combattre un vilain crabe. « La blessure de Said El Ajjaji a marqué notre saison. Avec lui et sa vitesse, nous aurions à coup sûr pu viser plus haut. Mais j’ai apprécié les rencontres serrées et, comme d’habitude, la bonne ambiance d’après-match avec mes coéquipiers.« 

La saison prochaine, Arnaud retrouvera son frère Roland à Henri-Chapelle dans une équipe qui devrait être, en toute logique, ambitieuse.

« Une motivation énorme pour atteindre le haut niveau »

Entre ses premières minutes en R2 et des victoires sur le fil, la saison de Sam Winkin fut riche en émotions. Entretien.

Sam, que retiendras-tu de cette saison?

La saison qui vient de s’écouler fut riche en émotions. Entre mes premières minutes sur le parquet avec la R2 et les deux ou trois matchs d’affilée gagnés dans la dernière minute avec la P3, les bons souvenirs sont nombreux. De plus, notre équipe est presque la même depuis notre enfance et chaque nouveau joueur arrivant au sein de celle-ci s’acclimate à merveille, ce qui facilite considérablement notre jeu collectif. Grâce à cela et à l’excellent travail de nos entraineurs et de nos dirigeants, nous avons pu réaliser de belles actions tout au long de la saison.

En P3B, vous terminez à la cinquième place. Es-tu satisfait?

Je ne vais pas cacher qu’il y a un peu de déception concernant nos résultats en P3. Certains matchs étaient à prendre et nous les avons laissés filer, ce qui nous a coûté cher. Malgré ces matchs ratés, il était toujours possible d’envisager une place dans les tours finaux ainsi qu’une éventuelle montée si ce virus et le confinement qui en a découlé n’avaient pas fait leur apparition. Là réside ma plus grande frustration.

Quelle est ton opinion concernant votre série?

Nous avons hérité d’un groupe « jouable » et, même si les jeunes équipes y étaient peu nombreuses, nous avons tout de même réussi à jouer notre basket lors de plusieurs belles rencontres.

Comment juges-tu tes prestations?

J’en suis satisfait même si je sais que j’ai encore beaucoup de points de mon jeu à améliorer et que je dois faire preuve de davantage de régularité. Ma motivation pour la prochaine saison est intacte et énorme car mon souhait est d’atteindre le haut niveau.

Tu évoquais une série de matchs victorieux dans les derniers instants. Ce sont ces moments là qui ont marqué votre saison?

Oui, ces hold-up pour lesquels chaque membre de l’équipe fut important et le suspens au rendez-vous. Un peu de stress ne fait pas de mal (rires).

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

Les premières minutes avec la R2 qui sont arrivées grâce à la confiance que Nicolas André m’a donnée. Cette confiance et ce jeu en R2 ne m’ont fait que du bien et ont boosté mon envie d’atteindre mon maximum. De plus, j’ai eu la chance d’être aux côtés des joueurs de D3 lors d’entrainements auxquels Yvans Fassotte et Nicolas André m’ont convié. Je les en remercie.

Nourris-tu certains regrets?

Pas vraiment. Hormis certains résultats et cette fin de saison inachevée, je conserve de bons souvenirs avec mes coachs Matthias et Nico qui font tout pour nous tirer vers le haut.

Où a été prise cette photo ?

A l’évidence, il y a de la friture sur la ligne entre l’AWBB et le Royal IV alors que, ce mardi, on vous parle d’un coach hyper actif, d’un ancien Spirou ne tenant pas en place et même du Tour d’Italie, via Vaux-sous-Chèvremont. Reste le cliché-mystère qui fait escale dans une région assez peu « basket ». Ce sont les infos d’EMCE.

Les insolites du mardi

Pour illustrer cette rubrique hebdomadaire, quelques chiffres qui ne laissent pas indifférents… 3, c’est le nombre de clubs que Matt Mobley (25 a, 1,90 m) aura fréquenté cette saison. A savoir, Charleroi, Istanbul et Francfort… où il ne restera d’ailleurs pas. 24, à 51 ans, Luka Pavicevic a pas mal bourlingué. Il a ainsi joué pour le compte de 16 formations professionnelles et en a coaché 8 autres. Mais, pas une seule belge ! 165.000, soit la quantité de billets déjà vendus pour le GP de F1 de Francorchamps qui se disputera à huis clos. Bon amusement pour les remboursements ou autres formules ! 19, il y a donc près de 20 ans – jour pour jour – que Rik Verbrugghe s’emparait du maillot rose au tour d’Italie. Le lendemain, la DH me demande d’aller recueillir les impressions de son épouse de fleuriste de l’époque. Par le plus grand des hasards, j’en parle dans la matinée à un policier ayant Vaux-sous-Chèvremont dans ses attributions. Et, quand j’arrive devant la boutique, deux panneaux d’interdiction de stationner se dressent devant la boutique avec cette mention : Réservé Presse. Merci, Christian…

Bras-de-fer entre le Royal IV et l’AWBB

On va tenter de faire court sans trop entrer dans les détails : Il faut savoir que le nouveau cadre de la R2 dames comporte 30 équipes. Or, il n’y en a (jusqu’à présent) que 29 retenues. Les dirigeants du Royal IV estiment que la place « vide » revient à leur phalange féminine. Ce qui n’est manifestement pas l’avis des responsables de l’AWBB. Du coup, le club de la capitale menace la fédération francophone de la poursuivre en justice s’il n’obtient pas gain de cause. Comme on dit en pareil cas : affaire à suivre.

Grand-Duché : proposition de D1 rejetée à 0,25 % près

Comme le soulignait Marc Schiltz, le basket luxo doit se remettre en question. A ce propos, les présidents de tous les clubs du pays se sont réunis samedi afin d’essayer de conférer une nouvelle impulsion à leur compétition. Trois propositions relatives à leur D1 étaient sur la table. Après moult discussions, on procéda au vote et le moins que l’on puisse écrire est qu’une d’entre elles loupa le coche d’un fifrelin. Alors que la moitié des suffrages étaient nécessaires, elle recueillit l’approbation de… 49,75 % des participants. On se reverra dès lors en juin. Pour info, elle prévoyait de ne rien changer avec une élite à 10 équipes. Les deux autres en désiraient 14 et même 20.

Terrains extérieurs : pas que le français en Principauté !

A imaginer vos moues circonspectes, la photo-mystère d’aujourd’hui n’est pas prête d’être découverte. A moins d’avoir joué avec cette sympathique équipe d’une ville où l’on ne vit sportivement que pour le foot et le handball. L’indice me parait assez révélateur : on ne parle pas que le français en province de Liège…

Michel CHRISTIANE

« Il veut jouer dur mais c’est un destructeur pour une équipe »

Si Rodman était relativement apprécié aux Bulls et aux Pistons, ce ne fut pas le cas partout.

Aux Pistons, Rodman était plutôt introverti et a remporté ses deux premières bagues. Aux Bulls, il était impressionnant en défense et au rebond, borderline hors des parquets mais relativement apprécié par ses coéquipiers avec qui il a réalisé le three-peat. Au Mavs et aux Lakers, le basket ne faisait déjà plus vraiment partie de ses priorités. Par contre, entre Detroit et Chicago, « The Worm » a fait un stop de deux ans à San Antonio. Une union presque contre nature entre le fameux énergumène qu’était Rodman et la franchise carrée du Texas.

« C’est un gars compliqué. Je pense qu’en raison de ses antécédents, il ne savait pas toujours comment s’exprimer. Il est facile à aimer parce qu’il a un grand cœur » se souvient David Robinson. « Il veut jouer dur, gagner des titres, mais pour l’équilibre d’une équipe, c’est un destructeur. Il n’y avait rien à faire pour le sortir de sa zone de confort. »

« Une situation bizarre »

Après quatre belles années à l’Etoile et avant de prendre la direction d’Henri-Chapelle, Peter Tandler revient sur la dernière saison de Jupille. Interview.

Peter, comment juges-tu cette dernière saison avec l’Etoile?

Après quatre ans ensemble, nous avons encore récolté d’excellents résultats et montré quelle équipe nous sommes et quelle mentalité nous avons. Même si, il faut le reconnaitre, niveau entrainement(s) nous étions ric-rac et avons eu de blessés durant toute la saison.

Cette première place ex-aequo avec Ensival est-elle celle que vous visiez et que vous méritiez?

L’année passée, le club ne voulait pas monter ni disputer les Playoffs au risque de devoir rejoindre la R2. Mich’ (ndlr: Michel Nihon) nous avait dit que c’était trop tôt et que nous devions attendre la saison suivante. Du coup, nous étions très chauds pour cette saison! Beaucoup de joueurs ont sacrifié des vacances, des congés, des mariages et des fêtes de famille pour être présents aux matchs et obtenir de bons résultats. Je pense que ce serait malhonnête de dénigrer nos victoires et nos sacrifices. Je crois que cette première place est méritée.

Quelle est ton opinion sur le championnat P1 de cette année?

La P1 était séparée en deux parties: une moitié qui pouvait jouer le top et l’autre moitié qui jouait la descente.

Malgré quelques belles performances, ce ne fut pas ta meilleures saison.

Non, personnellement j’ai joué en-dessous de mes capacités. Heureusement, nous étions une équipe dans laquelle chacun pouvait planter vingt pions et travaillait pour ses coéquipiers.

Quels furent les moments marquant de cette campagne 2019-2020?

Les soirées que nous avons passées ensemble comme le barbecue chez Marc Jacot ou le team building à la soirée Val-Dieu. Et je me réjouis déjà du futur barbecue chez Vincent Theek après le confinement (rires)!

Qu’as-tu tout particulièrement apprécié cette année?

J’ai apprécié toutes les années passées à l’Etoile avec une équipe incroyable, un comité familial, des supporters, des sponsors et tous ceux qui nous ont suivis pendant toutes ces saisons.

Que regrettes-tu?

Le seul regret que j’ai après toutes ces années à Jupille, c’est le dernier mois. Etre en lice pour jouer le titre mais avec un comité qui ne veut pas monter a créé une situation bizarre.