Iaro, le zen master de Liège Basket

Ioann Iarochevitch, entre Russie, Belgique et Japon.

Le parcours de Ioann Iarochevitch vaut le coup d’oeil. Après des débuts assez tard (9 ans) à Waterloo, l’intérieur de Liège Basket faisait ses valises pour la Russie. « J’ai suivi mon papa à Moscou (ndlr: son papa était diplomate). Là, j’ai intégré une école de basket. Nous nous entrainions tous les jours après les cours. Entre mes quinze et dix-huit ans, j’étais dans l’équipe de jeune du CSK ainsi que du Dynamo lorsqu’il existait encore » nous avait-il expliqué au cours d’un long entretien.

Revenu en Belgique à dix-huit ans, il ne quitta plus le pays, hormis une saison pour évoluer à San Sebastian en ACB, et porta les couleurs de Pepinster, Charleroi, Liège et Malines. Et c’est la Cité Ardente qui recueille ses suffrages. « Liège a toujours été mon club de cœur. Cela fait dix ans que j’habite dans la Cité Ardente et je trouve que nous y avons une des plus belles salles de Belgique et l’une des meilleures ambiances » nous avouait-il au moment de signer sa prolongation de contrat avec les Principautaires.

Quand il n’enfile pas les paniers avec Liège Basket, Iaonn Iarochevitch est plongé dans une atmosphère zen aux accents nippons. « Avec ma femme, nous développons un petit business qui nous occupe assez bien. Nous gérons un loft avec wellness privatif qui s’appelle Loft Wellness – Le Baiser de Shogun. Il est loué à la nuitée afin de passer un moment romantique et dépaysant » nous confiait-il en juillet dernier.

Un endroit magnifique qui n’a pas manqué de taper dans l’œil de l’excellent média liégeois, « boulettes magazine » qui la a consacré un papier à découvrir ici.

Pour plus d’informations sur Loft Wellness – Le baiser de Shogun, cliquez sur ce lien.

Crédit photo: Philippe Collin