« Cela dépend d’où je prends mon shoot »

Thomas Broset revient sur la préparation de Prayon, le court revers contre la P1 du Haut-Pré et ses aptitudes au shoot. Entretien.

Thomas, c’est une courte défaite qui est venue sanctionner la réception du Haut-Pré samedi ?

Oui, nous perdons 71-75. Mais cette rencontre est positive pour nous car nous avons su rivaliser avec une P1. Cependant, nous avions visiblement oublié qu’un match dure quarante minutes et non trente-sept ou trente-huit. Dans le troisième quart, nous avions pourtant pris dix longueurs d’avance avant de connaître un passage à vide et d’encaisser un zéro à quatorze. Nous devons donc afficher davantage de constance même si je considère que nous progressons.

Comment juges-tu votre préparation ?

Notre « prépa » se passe bien. Les nouveaux doivent encore peaufiner la tactique pour entrer dans les systèmes mais, hormis cela, c’est top. Le groupe est bien et chacun d’entre nous a un peu son moment durant les matchs. J’espère que ce sera pareil cette saison et que celle-ci aura bien lieu.

Tu nous avais confié tes inquiétudes concernant ton shoot. Qu’en est-il à ce niveau-là ?

Mon shoot… On va dire que cela dépend d’où je le prends (rires). Mais bon, tant que je ne perds pas trop de ballons, que je fais jouer mes coéquipiers et que le victoire est au bout, en tant que distributeur, je suis content.