Le Heat s’impose au Garden

Dans les années ’90, après le passage de Pat Riley de New-York à Miami, les affrontements entre les Knicks et le Heat était toujours sacrément accrochés.

Les Floridiens ont profité de leur déplacement au MSQ pour s’offrir une deuxième victoire de rang, 103-109, malgré la nouvelle bonne prestation de Randle (26 points, 13 rebonds et 7 passes).

Mais l’actu « chaude » des Knicks, c’était le retour officialisé de Derrik Rose à Big Apple.

Fox s’offre les Clippers !

Le jeune meneur a cartonné et les Kings ont vaincu les Clippers.

Avec 36 points et 7 passes, Fox fut le grand artisan de la victoire des Kings 110-113 sur des Clippers privés de PG13.

Etudes et basket de haut niveau à Liège

Liège Panthers et Liège Basket s’associent pour lancer Liège Académie Basket.

« VOO Liège Panthers et VOO Liège Basket s’associent et lancent Liège Académie Basket (LAB) qui a pour but de permettre aux joueuses et joueurs qui évoluent en régionaux d’allier études secondaires, supérieures et universitaires tout en pratiquant le basket au plus haut niveau ! Des possibilités d’internat sont aussi possibles » communique Liège Basket sur sa page facebook.

Un beau projet qui prend tout son sens vu les nombreux étudiants qui composent les noyaux des Panthers et de Liège Basket et les perspectives limitées du basket professionnel en Belgique.

« Il va nous apporter toute son énergie défensive »

La R1 de Tilff continue son recrutement intelligent en ajoutant Thomas Jaume à un effectif qui affiche déjà quasiment complet.

Pour compenser les départs de Yourik Szabo à Haneffe et de Baptiste Mottard et Mathieu Henrioulle vers la P2 poraise, Quentin Pincemail continue son excellent recrutement. C’est d’abord Nicolas Sumkay (ex-Neuville/Huy) que le mentor de Tilff avait engagé. « Le gars parfait pour moi et l’équipe. En tant qu’ancien shooteur, je me réjouis de pouvoir le mettre en situation pour exploiter tout son talent » se réjouit l’emblématique figure locale.

C’est ensuite sur Thomas Jaume de LAAJ que « Pin » a jeté son dévolu. « Je le connais bien pour l’avoir eu à Atlas. C’est un super gars avec une très, très bonne mentalité. Il peut jouer sur le 3 ou le 4 et va nous apporter toute son énergie défensive » nous résume l’entraineur des Porais qui cherche encore un joueur athlétique pour jouer sur le 1 ou sur le 3

« Un club dans lequel je peux m’exprimer pleinement »

C’est désormais officiel, Nicolas André prendra la succession d’Yvan Fassotte à la tête de la TDM2 de Ninane la saison prochaine. Entretien avec un jeune mais déjà expérimenté entraineur, comme un poisson dans l’eau au BCN.

Nico, pour toi, était-ce la suite logique de reprendre la TDM2 de Ninane ?

Oui et non. A la base, quand je me suis engagé avec Yvan Fassotte l’année, j’avais une seule ambition: apprendre. Et ce fut le cas. Je n’avais pas du tout prévu que cette demande arrive si vite mais une opportunité comme celle-ci ne se refuse pas. Surtout avec les fondations solides bâties par Yvan.

Justement, poursuivras-tu dans la lignée de ce qu’a implémenté Yvan Fassotte ? Quelle sera ta philosophie avec cette relativement jeune équipe ?

Bien sûr, je vais essayer de poursuivre l’excellent travail qu’Yvan a réalisé jusqu’ici. Ma philosophie sera celle que j’essaie d’appliquer depuis plusieurs années en tâchant de concerner tout le groupe à 100% à chaque séance. Imposer notre défense sera un objectif principal pour pouvoir développer notre jeu de transition.

Quels seront vos objectifs dans une TDM2 qui sera, à coup sûr, compétitive ?

Mon objectif premier est de réussir à garder ce groupe hyper soudé afin que tout le monde prenne un maximum de plaisir. Plaisir, intensité et rigueur nous permettront de gagner le maximum de matchs.

Xavier Collette, véritable légende du matricule 1200, repartira-t-il pour un tour ?

Oui, Xavier fut l’un des premiers à confirmer sa présence dans le noyau pour la saison prochaine. J’en suis d’ailleurs ravi. Il n’a pas fallu longtemps pour que le reste du noyau confirme également sa volonté de rester. Seul Romain Fassotte quitte le groupe, je lui souhaite d’ailleurs le meilleur pour la suite.

Peux-tu nous en dire plus concernant ton staff et la collaboration avec la R2 ?

Concernant le futur coach de la R2, je ne peux encore m’exprimer à ce sujet, le candidat souhaité est toujours en discussion avec le comité. Mais quoi qu’il advienne, j’espère garder une ligne de conduite commune entre la P3, la R2 et la TDM2. Nous travaillons activement à la mise en place du staff et je peux d’ores et déjà affirmer que Luigi De Leo continuera à faire partie de celui-ci en tant qu’asssistant/scouteur – un poste qui est primordial à mes yeux.

Pour ton deuxième séjour à Ninane, après avoir obtenu de bons résultats avec la P3 d’abord, avec la R2 ensuite, te voilà promu à la tête de l’équipe fanion. Qu’est-ce qui te plaît au BCN ?

Au début de ma jeune carrière de coach, je suis déjà passé par Ninane pendant quatre ans – de pupilles jusqu’à cadets – où j’avais vécu de très chouettes moments, notamment avec Etienne Dubois et Simon Afano. Revenu chez les Calidifontains il y a trois ans, le comité du BCN et particulièrement Luc Dubois m’ont donné toute leur confiance. C’est un club dans lequel je peux m’exprimer pleinement. C’est pour moi une chance de pouvoir évoluer à ce niveau dans ce club.

Le culot de Teodosic !

Le génial meneur serbe s’est à nouveau signalé par une inspiration divine.

Un geste (assez proche de celui réalisé en son temps par Chris Webber) à découvrir ici.

Crédit photo: Virtus Bologne

« Liège est une très bonne équipe »

Ce lundi, les deux moins bonnes défenses du championnat s’affronteront au Country Hall pour un presque derby. Un déplacement dans la Cité Ardente toujours spécial pour William Robeyns qui a effectué ses premiers pas en D1 avec les Principautaires. Interview.

William, avec le Brussels, ce lundi, vous viendrez au Country Hall. En tant que Liégeois, est-ce une rencontre que tu as cochée dans ton agenda ?

Non car je n’ai pas d’agenda (rires) mais c’est certain qu’il s’agit d’une rencontre spéciale. Contre Liège, qui n’est pas mon club d’enfance mais avec qui j’ai fait mes premiers pas en D1, cela reste toujours spécial.

L’absence de public enlève-t-elle un peu du sel de ce presque derby ?

C’est indéniable, à tous les matchs mais encore plus ici à Liège. C’est toujours plus sympathique avec du public.

Liège et le Brussels sont les deux moins bonnes défenses du championnat. La clé de cette rencontre sera-t-elle alors avant tout défensive ?

Pour tous les matchs, la clé c’est la défense mais sans doute encore davantage ce lundi. Si on veut aller gagner ce match, il va falloir être durs en défense et mettre de l’intensité afin de surpasser Liège qui est une très bonne équipe.

Que penses-tu de votre nouveau pivot, Angelo Chol ? Peut-il justement stabiliser votre défense ?

Je suis très content de notre nouveau pivot. Il est très athlétique, il gêne beaucoup en défense il prend des rebonds, ce qui est très important car cela nous manquait. Nous avons fait un scrimmage contre Charleroi et nous avons pu voir qu’il est important en dessous. J’espère que ce sera la même chose contre Liège, mais, en fait, j’en suis sûr.

Olivier Troisfontaines superstar !

Grâce à l’ailier liégeois, Ostende se qualifie pour la finale de la Coupe de Belgique au terme d’un match qui s’est soldé par un score de parité: 84 partout.

Les supporters d’Anderlecht connaissent les matchs nuls. Ceux d’Ostende, en basket, beaucoup moins. Pourtant, chose rarissime, c’est bien sur une égalité parfaite, 84 partout, que s’est conclue la manche retour de la demi-finale de Coupe de Belgique entre les Okapis et les nonuples champions en titre.

En première période, Mihailovic (23 pions et 4 passes) brillait face à ses anciennes couleurs et les troupes d’Yves Defraigne menaient au score. 29-27 après dix minutes puis 51-42 à la demi-heure, Alost était loin de la qualification mais offrait un beau baroud d’honneur.

En seconde période toutefois, les Côtiers, dans leur style habituel, fermaient les vannes en défense tout en s’appuyant sur Olivier Troisfontaines offensivement. Le Liégeois se faisait un malin plaisir de briller face à son ancien club – avec qui il fut élu joueur belge de l’année – et alimentait le marquoir (17 points) pour replacer Ostende aux commandes. C’était 65-69. Cependant, dans la dernière ligne droite, les Okapis se battaient comme de beaux diables dans une réaction aussi savoureuse qu’inutile et un score nul venait sanctionner un match qui ne le fut absolument pas. Dario Gjergja et ses ouailles décrochaient leur ticket pour la finale de la compétition – contre Malines – tandis que les Alostais la quittaient sans pour autant avoir démérité.

A noter que Pierre-Antoine Gillet a rendu une copie très propre avec 13 points à 5 sur 7 aux tirs.

Crédit photo: BC Ostende

« Pas de hasard quand on parvient à cette longévité »

Alors que Tom Brady s’apprête – à quarante-trois ans ! – à disputer son dixième Super Bowl, Stephen Curry ne peut s’empêcher d’être admiratif tout en évoquant, pour lui-même, les années qui filent.

Avec sa « baby face », Stephen Curry ne fait pas ses trente-trois printemps. Cela tombe bien car le double MVP ne se sent nullement vieux. « Je dirais qu’avec les playoffs, on a joué une saison et demie en plus sur cinq ans. Mais l’an passé, j’ai tout récupéré. Donc, je ne sais pas, mais j’ai le sensation d’être au milieu de ma vingtaine. Je ne sais pas ce que ça veut dire, et peut-être que je triche avec moi-même. J’imagine que la tête doit être solide pour dire au corps qu’on est jeune, ou qu’on se sent jeune. Donc continuons comme ça, et je n’ai absolument aucune appréhension sur le fait de décliner de sitôt » assure-t-il pour ESPN.

De plus, l’âge reste relatif quand le talent est là, comme l’a démontré Michael Jordan, capable de dominer la ligue alors qu’il était un tout jeune quadragénaire ou comme le prouve encore Tom Brady qui s’apprête à disputer son dixième Super Bowl – avec les Buccaneers de Tampa Bay cette fois – malgré ses quarante-trois ans ! « C’est un sport différent, à un poste différent, mais il s’agit clairement des petites choses qu’on peut faire, que j’ai faites, que je fais encore et que je peux faire à l’avenir pour s’assurer que son corps récupère et reste en excellente condition, afin que vous vous donniez le maximum de chance d’être prêt saison après saison. Et puis il s’agit de faire les ajustements nécessaires en fonction des besoins de votre jeu pour évoluer. L’approche et la discipline dont il fait preuve prouvent qu’il n’y a pas de hasard quand un sportif professionnel parvient à cette longévité. Il existe donc des choses pour se donner les moyens d’aller plus loin » salue Curry. « Il y a des choses qu’on maîtrise et d’autres pas… Mais toutes les petites choses qu’on fait au quotidien et tout le travail accompli, s’accumulent pour atteindre à nouveau ce stade… À moins d’être quarterback des Bucs de Tampa Bay en ce moment, on vit au jour le jour, et la frontière est mince entre le moment où vous êtes à votre apogée et celui où vous devez vraiment donner le meilleur de ce que vous avez sur le terrain. C’est un peu ce qu’il y a devant moi, et j’y pense. » Qu’on se le dise, Steph Curry n’a pas fini de mettre la misère à ses défenseurs.

« Tout le monde est devenu fou »

Pour Draymond Green, Luka Doncic est une machine offensive.

Contre les Warriors, Luka Doncic a égalé son record de points. « En tant que défenseur, votre seul but est de faire faire à l’attaquant ce qu’il ne veut pas faire. Si vous y arrivez plus souvent que la moitié du temps, vous allez avoir du succès. Avec Luka, vous ne pouvez pas lui faire faire ce que vous voulez qu’il fasse. Vous ne pouvez pas le faire se précipiter, il va toujours à son rythme, vous ne pouvez pas le forcer à driver, il le fait s’il le veut, il va quand même faire son step back s’il le veut. Et s’il veut driver il va souvent réussir à le faire aussi. Le challenge avec Luka c’est que vous ne pouvez pas le faire faire ce que vous voulez. Je crois qu’il avait déclaré l’année dernière que c’était plus facile de marquer en NBA qu’en Europe. Tout le monde est devenu fou après cette décla, en disant que c’était irrespectueux. Il a montré que c’était vrai » rappelle Draymond Green.