Zach Lavine toujours aussi chaud !

Avec 38 points, le leader des Bulls a largement contribué à la victoire de Chicago contre Sacramento.

Zach Lavine (38 points) fut le grand artisan de la victoire des Bulls sur les Kings, 122-114.

« Il a dépassé les bornes »

Fin de match à suspens entre les Hornets et les Warriors lors de laquelle Terry Rozier et Draymond Green se sont illustrés, mais pas de la même façon.

Sans Steph Curry, malade, les Warriors ont bien failli l’emporter à Charlotte. Mais c’était sans compter sur Rozier (36 points) et Green. Le second s’est fait expulser dans le monet time, permettant ainsi au premier de planter le tir de la victoire, 102-100.

« Il a dépassé les bornes. C’est ce que je retiens. Nous aimons sa passion et son énergie. Nous ne serions pas l’équipe que nous sommes sans lui, mais ça ne lui donne pas le droit de franchir la limite, et il le sait » a déploré Steve Kerr pour ESPN à l’issue de la rencontre. « Draymond ne peut pas faire ça . Il le sait. Il a fait une terrible erreur en se faisant expulser et en leur donnant une chance de tirer deux lancer-francs et d’égaliser. En tant qu’entraîneur, c’est mon travail de communiquer avec lui et avec l’équipe. C’est ce que nous avons fait et c’est ce que nous continuerons à faire. »

https://www.youtube.com/watch?v=b_UGOQ3VnQk

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Comblain, entre passé et présent

La seconde photo mystère met en évidence les formidables liens entre passé et présent du Mailleux Comblain.

Vendredi, dans sa chronique quotidienne, Michel Christiane vous proposait de découvrir une ancienne photo de la P2 de Comblain. Une occasion unique de (re)découvrir le passé comblinois tout en éclairant le présent. En effet, club familial et de tradition(s), certains anciens du club présents sur cette photo ont des liens forts avec la génération actuellement en place, comme nous le dévoile Ludo Humblet, actuel coach de la superbe TDM2 locale.

Ainsi, le mari de la maman de l’épouse de Ludo figure sur la photo (numéro 16) et n’est autre que l’oncle de Benoit Rasquin. Le papa de l’épouse de François Lhoest est également présent sur le cliché (numéro 20) ainsi que le frère de Martial Paulus, l’emblématique Président 428 (numéro 4), tout comme l’oncle et le grand-père de Jean-Pierre Darmont (numéro 14 et en haut à droite), autre Comblinois de légende.

Voici la composition complète de l’effectif (en commençant par en haut à gauche): Georges Darden, Daniel Rasquin (16), Bernard Renaville (18), Jean-Louis Massin (14), Jean Massin, Marc Rasquin (17), Michel Bodson (9), Pierre Renaville (20), Christophe Paulus (4).

Les Lions sont (déjà) qualifiés pour l’Euro !

En dominant nettement le Danemark, la Belgique se qualifie pour son cinquième Euro consécutif.

Dominante « inside » et adroite de loin (12 sur 28), la Belgique n’a guère éprouvé de difficultés face à des Danois privés de plusieurs pions important. Dès les première minutes, Obasohan (19 points), Lecomte (12 points, 5 passes et 4 steals) et les Lions prenaient le contrôle de la partie pour se détacher à 24-17 à l’issue du premier quart. Après une second quart plus délicat, les deux formations rentraient au vestiaire sur le score de 40-34.

En seconde période, Boukichou (8 points à 100%), Bako (10 points et 4 rebonds) et les Belges allaient creuser l’écart pour terminer en roue libre, tous les Lions foulant le parquet. Score final: 88-65.

Cette victoire nette et sans bavure permet aux troupes de Dario Gjergja de valider leur participation au prochain EuroBasket et d’aborder sans pression le dernier match de lundi contre la République Tchèque. Toutefois, les Lions viseront aussi la victoire pour terminer invaincus et bénéficier d’un meilleur tirage au sort pour le futur tournoi européen.

Crédit photo: Belgian Lions

Deroover signe au Brussels !

Le « ket » bruxellois s’est engagé pour le club de sa ville d’origine.

Après avoir engagé Moris, un « ket » pur jus, le Brussels a eu la brillante idée de convaincre Terry Deroover, autre Bruxellois, de « revenir à la maison ». « C’est (…) avec grande fierté que nous vous annonçons, ce soir, la signature du Bruxellois et enfant de Laeken, Terry Deroover. Terry jouera bien entendu avec l’équipe du Phoenix Brussels dès la saison prochaine mais il occupera aussi la fonction de Directeur Technique de notre école de jeunes, la Phoenix Talent Academy. Nous avons hâte de le voir évoluer sous nos couleurs mais aussi de collaborer avec lui pour écrire de nouvelles pages dans l’histoire de votre/notre club » annonce le Phoenix dans son communiqué.

Le Brussels renforce ainsi son identité, consolide son noyau belge, amène du punch et du scoring à la mène et développe son école de jeunes. Joli !

Crédit photo: Philippe Collin

« J’ai su tirer mon épingle du jeu »

Pour Liège & Basketball, Justin Kohajda revient sur son premier réveillon de la Saint Sylvestre en Espagne, fait le bilan de la surprenante année écoulée et nous livre ses espoirs et ambitions pour 2021. Entretien avec un chic type.

Justin, comment as-tu vécu ton premier réveillon ibérique ?

Je suis simplement resté à la maison avec ma copine et mes colocataires (ndlr: le Suédois Melwin Pantzar et le Slovène Matej Kavas, ses coéquipiers). Nous avons soupé ensemble et, à minuit, nous sommes descendus dans le parc à côté de chez nous – il offre un panorama sur tout la ville – et y avons observé les feux d’artifice. C’était très beau !

Quel bilan fais-tu de l’année qui s’est récemment achevée ?

Mon bilan pour 2020 est, je pense, très positif. Malgré une saison difficile avec Liège, j’ai quand même su tirer mon épingle du jeu niveau stats. C’est, je crois, ce qui m’a permis d’attirer le regard du Real Valladolid et d’y avoir la chance d’y évoluer à présent. Ce qui sera sans doute un « boost » pour ma carrière.

Quel sont tes espoirs pour cette nouvelle ?

Pour 2021, mes espoirs sont de garder la santé évidemment, ainsi que pour mes proches. et, sportivement, de continuer ma progression, de toujours grandir et apprendre afin de continuer mon évolution vers le haut niveau.

Quelles sont tes ambitions pour cette seconde partie de saison ?

Elles sont de continuer à gagner la confiance de mon coach en continuant à travailler très dur chaque jour et de garder le cap de mes dernières prestations.

Crédit photo: Ana Puente

« Quelqu’un d’expérience qui connait bien le basket »

C’est Kris Mayele qui aura la lourde tâche de succéder à David Beck à la tête du BC Hannut. Un choix malin des Hesbignons qui doivent désormais se pencher sur le recrutement afin de compenser les départs de Benoit Blanchy et Laurent Bollaers.

Ce mardi, L’Avenir révélait que le BC Hannut avait trouvé un successeur à David Beck et que le nouveau coach des Hesbignons serait Kris Mayele.

Le bondissant intérieur n’est pas un inconnu dans la région puisqu’il a disputé une saison à Avernas-Hannut lorsqu’il était encore joueur avant de défendre ensuite les couleurs des Templiers.

Avant de jouer pour Ninane et Saint-Trond et d’ensuite signer à Belleflamme où officie… David Beck, Kris Mayele a vécu une belle expérience outre-Atlantique. Il fut d’abord joueur dans un JuCo de Californie et puis dans un autre dans l’Illinois pour ensuite être « Student Assistant Coach » à Friends University à Wichita, dans le Kansas. Une expérience réussie qui avait marqué celui qui a débuté le basket à Cointe. « Les Américains sont dans un autre monde c’est impressionnant. J’ai appris sur moi, sur le plan humain et sportif. Je ne regretterai jamais d’avoir fait ce choix. Aux USA, le basket est à un autre niveau, l’équipe est une famille. Tes coéquipiers sont comme tes frères et les coaches sont les parents. Cela bosse dure, ça crie, ça râle, ça se tape dessus mais à la fin de la journée, on reste ensemble. Des liens importants se créent dans la douleur lors des entrainements intensifs, mais en match tous ces liens servent afin de se battre les uns pour les autres » nous avait-il confié au moment de rejoindre les Haricots.

Le coaching est une suite logique pour Kris. « Je suis des cours pour être moniteur sportif initiateur et éducateur et j’étais à la recherche d’une équipe. Mon coach (ndlr: à Belleflamme) David Beck ne pouvant plus coacher la P1 d’Hannut, il m’a proposé ce beau challenge » nous avait-il expliqué ce mercredi. « Après mon parcours de trois ans en tant que « student assistant coach » à Friends University auprès de Coach Faber, je pense que c’est logique que je poursuive dans cette voie. »

Un vrai passionné

L’explosif intérieur est un vrai passionné. « J’adore l’intensité, le rapport humain,  la compétitivité. Ce sport évolue chaque année et, en fonction des endroits où tu joues et du niveau, il y a quelque chose de différent. Quelle que soit l’équipe contre qui tu joues, si tu n’es pas prêt, tu peux te faire avoir. Tout se joue sur des détails » nous avait-il alors expliqué.

L’arrivée de Mayele à Hannut est une vraie plus-value pour les Hesbignons. « Son arrivée est très bien pour nous » nous confirme Simon Lambert, figure emblématique du matricule 2309. « Son parcours en tant que joueur fait de lui quelqu’un d’expérience qui connait bien le basket. Je n’ai que de bons échos de lui depuis deux jours, cela a l’air d’être quelqu’un de bien. Je suis ravi qu’il reprenne notre équipe. »

Avec les départs de David Beck, Benoit Blanchy et Laurent Bollaers, Hannut présentera forcément un visage différent la saison prochaine. « Difficile toutefois d’évoquer un nouveau cycle à l’heure actuelle, nous ferons année par année car avec le Covid, c’est difficile de nous projeter » nous précise Simon. « Idéalement, il nous faudrait encore un ou deux joueur pour compléter notre effectif. Mais cet aspect-là, c’est mon père (ndlr: Patrick Lambert, le Président du club) qui s’en charge. Maintenant qu’il a trouvé un coach, ils vont pouvoir discuter ensemble du recrutement. »

Et l’objectif est déjà clair. « Après avoir discuté avec le Président Patrick Lambert, nous voulons continuer à apprendre et à progresser tout en gardant un bon esprit d’équipe et un bon basket » le nouveau coach hesbignon.

« C’est la nature du monde »

Si « Pop » est conscient que voir Becky Hammon devenir la première femme à coacher un match NBA est une avancée, il insiste sur la « normalité » de la chose vu les compétences de son assistante.

« Il y a beaucoup de femmes avec les qualités nécessaires qui sont mises au second plan. C’est la nature du monde. Mais ça change tout doucement. Le plus tôt sera le mieux » assure « Pop » à ESPN. Chez les Spurs, le changement est en marche et Becky Hammon fut la première femme à diriger un match NBA voici quelques semaines. Une grande première que relativise le sorcier texan. « C’est normal pour nous, depuis le début. On n’a pas engagé Becky pour faire l’histoire de la NBA. Elle mérite tout ça, elle est qualifiée pour ça et demeure merveilleuse dans son travail. Je la voulais dans mon staff pour ses qualités, et il se trouve que c’est une femme. Ce qui devrait être un détail, mais ce qui n’est pas le cas dans notre monde. C’est difficile pour les femmes de parvenir à certains postes. Pour nous, c’était comme d’habitude.« 

Et celui qui est considéré presque unanimement comme le meilleur coach de l’Histoire l’assure: son assistante est vouée au succès. « Les femmes font le même travail que les hommes, parfois mieux même. C’est un fait. Il n’y a aucune raison qui pourrait empêcher Becky ou une autre femme de coacher en NBA. Si on prend de la hauteur, voilà pourquoi ce n’est pas important pour moi. Je la connais. Je sais que son futur est brillant. Je comprends l’attention que cela porte, mais je pense que la plupart des gens savaient qu’elle était assez qualifiée pour coacher en NBA » conclut « Pop »

Michael Gilmore rejoint Dario Gjerja à Ostende

Quelques semaines après avoir fait ses grands débuts avec les Belgian Lions, Michael Gilmore retrouve son sélectionneur Dario Gjergja à Ostende.

Un nom dans la sélection belge avait sans doute surpris de nombreux observateurs, celui de Michael Gilmore. Mais qui est donc cet inconnu du grand public ?

Michael Gilmore est un intérieur de 2,06 mètres né en janvier 1995 et qui évoluait la saison dernière en Allemagne. Il est le neveu du célèbre Artis Gilmore, un ancien joueur des Bulls et des Spurs en NBA. Le papa de Michael était également joueur professionnel et a évolué en Belgique où il a épousé une Bruxelloise: la maman du nouveau Lion.

La saison passée, le jeune pivot formé à Virginia Commonwealth University, tournait à 4,8 points et 3,2 rebonds avec le Phoenix Hagen en Pro A teutonne.

Pour ses grands débuts sous le maillot national, le colosse belge avait contribué à la belle victoire contre la République Tchèque et s’était notamment signalé par un superbe alley-oop dunk deux jours plus tard contre la Lituanie.

Sans club depuis le début de saison, Gilmore se serait, selon Het Nieuwsblad, engagé avec Ostende où il retrouver Dario Gjergja et Pierre-Antoine Gillet. Il ne disputera les matchs que lorsqu’il y aura des blessés mais sera constamment avec le groupe aux entrainements.