« Nous avons enfin retrouvé notre jeu offensif avec vitesse et précision »

A domicile, Virgile Materne et les Hesbignons ont retrouvé leurs standards offensifs pour remporter le derby contre Waremme, 81-77. Interview.

Virgile,, comment s’est déroulé le derby contre Waremme ?

Ce fut une très belle rencontre avec beaucoup d’intensité. Nous avons enfin retrouvé notre jeu offensif avec vitesse et précision. Ce fut, avec le match contre Bellaire, la rencontre où nous avons vraiment joué notre jeu.

Comment analyses-tu votre évolution ?

Cela fait vraiment plaisir de constater notre évolution depuis la reprise. Cependant, il nous reste encore du chemin et nous devons nous concentrer sur notre jeu.

Cette victoire va-t-elle définitivement lancer votre saison ?

C’est certain qu’elle nous redonne le moral et permettra d’aborder le championnat avec davantage de confiance.

« Nous nous en souviendrons toute notre vie »

En septembre, Marine Minguet a participé en famille au marathon de Rome. Une expérience incroyable et même onirique dont l’Alleuroise se souviendra toute sa vie.

C’est une magnifique expérience qu’a vécue Marine Minguet avec son copain, sa sœur, sa maman et son papa en participant au marathon de Rome. « C’est quand nous étions partis à Boston que nous avions eu cette idée avec Jules (ndlr: Vaesen, ancien pivot du MOSA et compagnon de Marine). Nous étions arrivés le jour du marathon et cela nous avait vraiment donné envie – nous aimions déjà bien courir mais quinze kilomètres, c’était alors notre maximum (rires) – et nous nous étions promis de réaliser cela ensemble un jour » commence l’Alleuroise. Le confinement étant passé par là, Marine a profité de la nature de Louveigné pour se plonger plus sérieusement dans running et l’idée du marathon a alors resurgit. « Nous nous sommes un peu renseignés et notre choix s’est porté sur Rome car un marathon aux USA coûte un pont et c’est très difficile d’y avoir une place. En plus, la capitale italienne est l’une des villes que nous préférons en Europe. »

Les deux tourtereaux ne se lancèrent pas seuls dans l’aventure romaine puisqu’ils rallièrent à leur cause Mimi et Laura. « Depuis qu’elle a arrêté le basket, maman court dans un groupe à Liège. Elle disait qu’elle ne ferait jamais de marathon à son âge mais s’est finalement décidée deux ou trois mois après nous et ma sœur a aussi fini par s’inscrire, sûrement motivée par les séances collectives » poursuit Marine qui s’est préparée avec sérieux pour boucler cette distance mythique. « Nous avons beaucoup couru avant en allongeant les distances petit à petit. Avec Jules, nous avons également fait très attention à notre alimentation les deux mois précédant la course et avons stoppé l’alcool un mois avant. Mais nous nous sommes bien rattrapés à Rome les jours qui ont suivi (rires). »

« Un musée à ciel ouvert et un départ à l’aube »

Mi-septembre, voilà toute la petite famille qui embarquait en direction de Rome-la-Magnifique. « J’y étais déjà allée lorsque j’étais petite et je me souvenais que c’était très beau mais la voir avec des yeux « d’adulte » est encore différent. J’ai pu me rendre compte que tout est toujours aussi impressionnant, si pas plus. Et il faut reconnaitre que courir dans un musée à ciel ouvert comme l’est cette ville rend le moment plus agréable » enchaine la All Black. Néanmoins, la souffrance ne s’estompait pas malgré la beauté environnante. « Beaucoup de choses m’ont traversé l’esprit durant l’épreuve mais j’étais avant tout hyper heureuse d’être là et de vivre ce moment. Pour éviter la chaleur, le départ fut donné à l’aube ce qui offrait un côté très théâtral à cette expérience. Les vingt-cinq ou trente premiers kilomètres sont passés relativement vite – si tant est que je puisse dire cela – en déboulant dans des endroits magnifiques. C’est à partir du trentième kilomètre que cela s’est compliqué. Nous n’avons pas échappé au fameux « mur », la chaleur a commencé à se faire ressentir, la fatigue aussi. »

Quand les jambes commencent à ne plus répondre, c’est la tête qui doit prendre le relais. « Ca se joue au mental, uniquement » nous confirme la pivot. « Arrivée au quarantième kilomètre, j’étais tellement heureuse que je n’ai pas pu m’empêcher d’accélérer – autant que faire se peut après une telle distance bien sûr » rigole notre interlocutrice qui franchissait la ligne d’arrivée main dans la main avec sa sœur. « J’ai d’abord ressenti du soulagement d’enfin couper la ligne mais surtout une très grande fierté. C’était très fort en émotions, j’ai d’ailleurs versé quelques larmes (rires). J’ai effectué tout le parcours avec ma sœur, ce fut d’une grande aide. Nous nous sommes soutenues mutuellement dans les moments les plus difficiles et je pense que nos blagues et anecdotes nous ont bien aidées l’une et l’autre. »

« Mon petit exploit personnel »

Après 42,195 kilomètres, la fierté et la joie étaient immenses. « C’est la chose la plus dure physiquement que j’ai réalisée mais aussi la plus belle à mes yeux. Cela m’a apporté un sentiment que le sport collectif en général ne m’apportera jamais – même si le basket m’apporte beaucoup d’autres choses – et c’est mon « petit exploit personnel ». Revoir les photos et vidéos me procurent encore des frissons. L’arrivée fut vraiment intense. Y retrouver Jules, qui avait fini bien avant moi, et nous dire que nous l’avions fait après en avoir parlé et s’être entrainés pendant des semaines, c’était juste trop cool » continue Marine. « C’était vraiment fort de vivre cette expérience en famille avec papa comme photographe/ravito sur le parcours. Je pense que nous nous en souviendrons toute notre vie. Et que dire de maman qui affirmait être trop vieille et qui a bouclé le parcours comme une fusée avec le meilleur temps de nous quatre ! »

Un exploit qui en appelle d’autres ? « Le lendemain de la course, j’ai affirmé que j’allais recourir un marathon quand mon corps aurait oublié la souffrance ressentie. Et même si après grimper les marches du Colisée fut tout sauf évident, j’ai constaté que le corps oublie vite (rires). Mais je me repose d’abord un peu car combiner cela avec le basket, c’est compliqué physiquement » conclut la nouvelle gladiatrice des arènes romaines.

« Le facteur X Valery Borgers »

Avec son duo Gerlache/ Boxus précis et le retour de Valery Borgers, les Grenouilles ont dominé Tilff pour remporter le derby de R1A 97-88.

Le début de rencontre était en faveur de Bastin (16 points dont 4 triples) et des Porais qui s’isolaient à 9-14 mais voyaient ensuite les locaux recoller au score et faire 18-16. Dans le second quart, Boxus (26 pions), Gerlache (23 unités) et Borgers (22 points dont 4 bombes) faisaient parler la poudre pour assommer les Porais et se forger une large avance à la pause, 49-30.

Au retour des vestiaires, Warnimont (15 points), Forthomme (13 unités) et les visiteurs remontaient sur le parquet le couteau entre les dents et réduisaient quelque peu l’écart mais le trio magique local veillait au grain et offrait à Cointe le derby et sa seconde victoire de la saison en R1A.

« J’avais prédit que ce serait le match des facteurs X et samedi il s’appelait Valery Borgers » sourit Julien Moray. « Depuis jeudi à l’entrainement et au match ce week-end, il a boosté toute l’équipe et scoré et joué comme s’il n’avait jamais arrêté ! La mentalité fut excellente, tout le monde a été concerné et nos vingt premières minutes furent de loin nos meilleures de la saison. Nous avons par contre trop encaissé en deuxième mi-temps mais notre attaque tenait la route. Nous avons chaque fois mis un shoot dans les bons moments afin d’éviter de nous faire peur. Félicitations au groupe ! »

Première victoire pour RSW Liège Basket, Lio Bosco prolongé jusqu’en 2025 !

Avec un super Bazoumana, les Liégeois se sont imposés dans la Capitale, 90-98.

Un succès qui s’est dessiné en deuxième période et surtout dans un dernier quart mené à toute berzingue par Bazoumana (34 points, 4 rebonds et 7 passes), Depuydt (21 points et 5 passes) et Robeyns (12 points et 5 assists) et qui ravit les Sang et Marine.

Et si la victoire liégeoise sonnait le glas de l’aventure de Ian Hanavan dans la métropole, c’était bien tout l’inverse pour Lionel Bosco à Liège. « Dans la foulée de la victoire de ce dimanche au Brussels, nous sommes heureux de vous annoncer la prolongation du contrat de notre coach Lionel Bosco pour 3 saisons supplémentaires, soit jusqu’au 31 juillet 2025 ! Ceci nous permet de maintenir une stabilité pour l’évolution de notre projet de formation pour les saisons futures » annonçait le club principautaire sur sa page Facebook.

Crédit photo: Philippe Collin

Vevey : 365 points à 131

A peine remontées en D2, les troupes de Bavcevic visent clairement l’élite helvète et s’en sont donné les moyens Et leurs rivales de passer à la moulinette… On a aussi en magasin une visite rapide de la plus belle salle des Pays-Bas alors que l’ancien Bruxellois, Radic, découvre Crémone. Ce sont les infos d’EMCE.

BNXT League : où les Belges joueront-ils ? Aujourd’hui, the Hague Royals

Au départ, il s’agit du club de Feyenoord Rotterdam qui a trouvé refuge à La Haye. Du coup, les « Royals » évoluent dans ce qui est considéré comme la plus belle salle des Pays-Bas : le Sportcampus Zuiderpark » (photo), inauguré le 14 juin 2017 (3500 places) et dont le coût total s’est élevé à 73 millions d’euros. Infrastructure qui d’ailleurs a déjà glané plusieurs prix mondiaux d’architecture. Sur le plan sportif, c’est moins glorieux avec une équipe se contentant jusqu’à présent d’un seul succès en cinq sorties officielles. Au niveau kilométrique, La Haye se situe à 238 bornes de Liège.

La pépite (helvète) du mardi

Peut-être avez-vous lu l’interview de Bavcevic dans la DH de samedi ? Le bougre ne mâche pas ses mots concernant le basket belge. Exception faite d’Ostende et de Mons. En attendant, l’ami Niksa cartonne en ce début de saison avec Vevey (D2 suisse). En championnat, ses émules ont successivement écrabouillé Swiss Basket (107-44) et Sion (122-47). Même tarif pour Renens, en coupe : 136 à 40 !

Ivica Radic (ex-Brussels) poursuit sa tournée européenne…

C’est, en quelque sorte, une autre « pépite » : faut bien avouer qu’Ivica Radic (31 a, 2,08 m) n’avait pas marqué les esprits lors de son séjour bruxellois en 2018/2019. Ce qui n’empêche pas le géant croate de poursuivre sa tournée européenne, voire transalpine. A la mi-octobre, il en est ainsi à son… quatrième club au cours de cette année. Il l’a commencée en Pologne (Anwil) avant de prendre la direction de Cantu puis de débarquer à Bologne. Pas pour longtemps, mais il vient d’être recruté par les décideurs de Crémone, toujours au sein du gratin italien.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : The Hague Royals

Lamarche prend feu et Bellaire remporte le topper !

Avec un Lamarche en feu derrière l’arc, les Blue Rabbits ont remporté le choc de P3A en dominant l’Union Liège à la Constitution.

« Ce ne fut pourtant pas un vrai mauvais match de notre part et l’arbitrage était top » constate Antoine Van Kerkhoven. Mais les Unionistes sont tombés sur os nommé Lamarche. Le meneur de Bellaire, qui évolue aussi avec la P1, était en réussite derrière l’arc. Avec huit paniers primés, il fait basculer ce topper dans l’escarcelle de Bellaire, infligeant aux locaux leur premier revers de la saison, 51-59

« Continuer cette belle série grâce à notre défense »

Auteur d’une excellente prestation contre Awans, Martin Di Prospero n’est pas pour rien dans le formidable début de saison d’Alleur.

Martin, après avoir connu votre première défaite, en Coupe à Grâce-Hollogne, vous avez parfaitement réagi en venant à bout d’Awans, 73-67.

Ce fut un match compliqué et une belle victoire que nous sommes allés chercher au caractère ! Nous avons mené tout le début de match grâce à une très bon début de rencontre et bien que les visiteurs soient revenus au score petit à petit, nous n’avons pas craqué sur la fin.

Selon toi, qu’est-ce qui vous a permis de rester invaincus ?

Notre atout, ce fut notre défense. C’est d’abord grâce à cela que nous avons pu prendre de l’avance en début de match et c’est ensuite aussi grâce à notre boulot derrière que nous avons réussi à rester devant dans les ultimes instants.

Vous êtes leaders de la P2A. T’attendais-tu à un tel début de championnat ?

Je suis évidemment très content de notre début de saison et de ces quatre victoires consécutives en championnat. J’espère que nous pourrons continuer cette belle série.

« Pas mal de curieux viennent voir nos matchs »

En dominant la P2 d’Alleur 95-71, les Buffalos se sont aisément qualifiés pour les huitièmes de finale de la Coupe provinciale tout en demeurant invaincus en P3C. Grâce-Hollogne est devenu l’une des attractions du basket liégeois, comme le confirme Julien Wéry. Entretien.

Julien, vous voilà qualifiés pour les huitièmes de finale de la Coupe provinciale après votre large victoire contre la P2 d’Alleur, 95-71. Comment s’est dessinée celle-ci ?

Une fois de plus, nous avons entamé très fort cette rencontre pour nous détacher à 18-0 (ndlr: Grâce-Hollogne comptait cinq points d’avance). Nous fûmes ainsi rapidement dans une situation très favorable. Nos adversaires n’étaient que sept et ont perdu rapidement Hervé Cordonnier. Nous fûmes performants à distance et suffisamment agressifs derrière, de quoi contrôler ce match de bout en bout.

Outre la victoire et la qualification, que retiens-tu de ce match ?

Match après match, nous nous adaptons. Jusqu’à présent, nous trouvons les solutions pour dominer et l’emporter. Contre une belle, très belle équipe composée de joueurs intelligents, nous avons évité le piège. C’est mission accomplie.

Concrètement, pouvons-nous affirmer que vous réalisez le début de saison rêvé ?

« Rêvé » est peut-être un terme un peu fort. Je préfère employer « espéré ». L’objectif est désormais de passer le prochain tour pour recevoir la P1 d’Alleur chez nous. Je pense que cela peut être une superbe affiche. Pour ce qui est du championnat (ndlr: les Buffalos sont à quatre sur quatre), nous sommes également dans nos plans mais nous allons continuer de prendre match par match en prenant un maximum de plaisir.

Sens-tu un engouement ou un frémissement autour de ton club suite à vos excellents résultats ?

Oui, nous pouvons en effet remarquer que nous sommes davantage suivi que par le passé. Pas mal de curieux viennent voir nos matchs. Nombreux sont ceux qui évoquent le fameux match contre Flémalle (ndlr: le 18 décembre à 20h). Nous sommes assez bien soutenus pour le moment mais je crois que le meilleur reste à venir.

« Eliott Anderson fut très fort tactiquement »

Dans la rencontre de fond de classement entre deux équipes que les observateurs attendaient plus haut, la victoire est revenue aux Esneutois contre le Haut-Pré 87-68.

Si peu d’observateurs imaginaient Dison-Andrimont caracoler en tête de l’élite provinciale, peu nombreux étaient aussi ceux qui auraient prédit qu’Esneux et Ougrée se partageraient la lanterne rouge après trois rencontres. Mais, tant chez les Dragons que chez les Sérésiens, les blessures sont venues perturber un début de championnat déjà chargé d’inconnues après la longue trêve forcée.

Ce samedi, il y a avait déjà urgence pour les deux derniers du classement à la recherche d’un premier succès qui pourrait lancer leur saison et les faire quitter la zone rouge. En l’absence de leurs intérieurs, les locaux ont misé sur la vitesse et l’intensité pour dominer une équipe du Haut-Pré déforcée et en plein doute. « Nous avons directement entamé cette rencontre avec une défense agressive et beaucoup de contre-attaques. Nous étions plus rapides que nos adversaires et cela nous a offert beaucoup de situations de surnombre, notamment avec Ethan Vanoost » nous résume Victor Letihon après la première victoire de sa formation, 87-68. « Et mention spéciale à Eliott Anderson qui fut très fort tactiquement (rires). »

Un résultat positif qui met du baume au cœur des Esneutois. « Nous vivons un début de saison très frustrant avec toutes les blessures dont nous sommes victimes. Nous jouons tous nos match avec cinq joueurs e P1 et des jeunes de P4 qui viennent en renfort. Il nous font du bien » nous explique le shooteur local. « Et nous devons apprendre à jouer ainsi car nous ne récupérerons sûrement pas Barbay, Leemans, Castermans et Pieffer avant janvier. »

« Nous avons joué avec notre bonheur ! »

Cardiaques s’abstenir ! Grâce à une minute et demie de folie, un Agapit inarrêtable et un Mayron Wilkin décisif, les Verviétois sont revenus du diable Vauvert pour arracher la victoire au CFWB, 87-90. Récit d’une folle soirée.

« What a game ! », et « cardiaques s’abstenir », ce sont en substance les deux expressions qui pourraient presque suffirent à résumer le duel homérique auquel se sont livrés pensionnaires du CFWB et Collégiens ce vendredi à Jambes. Tout avait bien débuté pour les Verviétois qui menaient de dix unités à la pause. Mais au retour des vestiaires, les protégés de Quentin Desert subisaisent la déferlante locale. A une minute et vingt-quatre secondes du coup de sifflet final, les visiteurs comptaient encore huit points de retard.

« C’est alors que nous avons mis, en dernier recours, un zone press » nous raconte le coach du BC Verviers. « Les jeunes du Centre peinèrent face à cet défense et Philippe Agapit décidait de montrer la voie en marquant huit points consécutifs (ndlr: le Français marquera 15 des 20 derniers points verviétois) pour revenir à égalité avant que Mayron Wilkin, le capitaine, ne plante le triple de la victoire ! »

Une rencontre riche en suspens et durant laquelle les Verviétois sont passés par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. « Nous avons démarré le match en laissant les locaux prendre des options faciles et en ratant des easy lay-ups, du coup, c’était jeu égal pendant dix minutes » continue Quentin. « Dans le second quart, nous avons joué avec notre bonheur en ne prenant que dix points d’avance alors que nous aurions pu en choper le double si nous avions été plus appliqués offensivement. En début de seconde période, nous avons laissé nos adversaires imposer leur rythme et nous avons subi. Notre jeu s’est désorganisé offensivement et nous avons beaucoup encaissé sur le ‘un contre un’. ».

Heureusement, les Vervietois parvinrent à une victoire 87-90 qui restera dans la mémoire collective. « Je tiens à adresser une mention spéciale à Maxence Casamento (ndlr: qui affrontait son ancienne équipe) qui a sorti un tout gros match. Il a peu marqué mais produit une défense et une organisation géniale » conclut l’heureux entraineur.