« Avec ce Covid, nous avons découvert d’autres horizons »

Avant d’accueillir samedi Belleflamme pour un passionnant derby de première régionale, François Bully se penche sur le début de saison de Waremme. Interview.

François, quel premier bilan peux-tu déjà tirer de ce début de championnat R1 ?

Notre bilan est bon. Nous sommes à trois victoires en cinq matchs de championnat et toujours en lice en Coupe. Après une début de saison compliqué au vu du nombre de joueurs que nous sommes et des blessures qui ont frappé l’effectif, nous nous sommes inclinés contre Loyers, qui jouera le top en R1. La défaite contre Verviers chez nous fut dommage mais les Verviétois ont eu un sacré pourcentage de réussite, bravo à eux.

Qu’est-ce qui t’a le plus surpris depuis la reprise ?

Le nombre de joueurs qui ont arrêté ou changé de niveau est impressionnant. Je les comprends tout à fait. Avec ce Covid, nous avons découvert d’autres horizons, sans échéances permanentes. Mais l’envie et l’amusement sont toujours au rendez-vous, c’est top !

Gros derby ce samedi contre Belleflamme.

Belleflamme est une équipe redoutable avec une certaine expérience dans la division supérieure. C’est également une équipe qui jouera le top de la division. Les Haricots ont mixé leur effectif avec de l’expérience comme celle d’Ali Kabangu et Jipé Darmont, c’est une bonne idée ! Cela va être difficile mais nous avons toutes nos chances. Rendez-vous samedi…

« Là grâce à la faute administrative ayant entrainé le forfait de la P4 de Fléron »

L’aventure continue pour Nico Bousmanne et les Theutois qualifiés pour les quarts de finale de la Coupe de la Province. Entretien.

Nico, nouvelle victoire en Coupe jeudi contre la P3 d’Harimalia 69-59.

Effectivement, une grosse victoire qui nous place parmi les huit derniers de la compétition. Notre particularité cette année est d’avoir un groupe très soudé ! Tous les joueurs ont trouvé leur place et chacun a son moment dans les matchs, c’est vraiment plaisant. En plus nous avions un gros public derrière nous, la défaite n’était pas une option

Qu’est-ce qui a fait pencher la balance en votre faveur ?

Nous avons su resserrer notre défense dès l’entame de la deuxième mi-temps et nous avons tué le match dans le troisième quart en infligeant un 22-6 aux Abeilles. Nous avons ensuite géré intelligemment la fin de match pour obtenir notre cinquième victoire d’affilée.

Arrivés à ce stade, avez-vous désormais des ambitions plus sérieuses alors que vous affronterez Liège au prochain tour ?

Nous n’avions pas de grandes ambitions pour cette compétition. Nous avions été éliminés au premier tour par la P4 de Fléron. C’est suite à une faute administrative des Fléronnais ayant entrainé leur forfait que nous sommes toujours là. Le prochain tour sera abordé comme les précédents: avec sérieux, certes, mais surtout avec l’envie de nous amuser. Nos supporters feront probablement le déplacement pour venir nous encourager et tout le groupe se réjouit déjà de disputer ce match.

Et si les Panthers…

Battues de peu là-bas, les Liégeoises veulent prendre leur revanche, à 18 h 30, sur les Slovaques. Quant aux Brainoises, elles n’ont pas intérêt à s’incliner, cette fois, devant les Tchèques de Brno. Rayon masculin, les Métropolitains peuvent confirmer leur qualification au Sporting Lisbonne. Ce sont les infos d’EMCE.

BNXT League : où nos Belges joueront-ils ? Aujourd’hui, Feyenoord Rotterdam

Il s’agit d’un club multisports. Pour preuve, l’emblématique « Kuip » de foot est le plus proche voisin du « Topsportcentrum » où jouent les basketteurs « rouge et blanc ». La salle, orpheline du moindre luxe, a été inaugurée en 2000, rénovée en 2014 et peut contenir 2500 spectateurs. Sur le plan sportif, Feyenoord pointe en 6e position résultant d’un 4 sur 9 initial. Ce week-end, il a étrillé (74-49) les Limbourgeois de Weert, sans son principal renfort US. Par l’autoroute d’Anvers, Liège est distant de 213 kilomètres de Rotterdam.

EuroCup : ce soir, Panthers pour la gagne et Castors en appel

Nouveau rendez-vous européen à domicile pour les Liégeoises qui, sur le coup de 18 h 30 (attention à l’horaire inhabituel), recevront Ruzomberok. Quelque chose nous dit qu’elles mettront tout en œuvre pour arracher leur premier succès au détriment des Slovaques. Toujours en Belgique, les Brainoises ont beaucoup de choses à se faire pardonner (20 h 30) après leur échec londonien. Le Zabiky Brno pourrait en faire les frais. A 20 heures, Julie et les Lyonnaises ne snoberont pas les Madrilènes de l’Estudiantes alors que les Namuroises (avec leur coach) ne partent pas favorites (20 h 15) dans l’antre ibérique de Lugo. En FIBA Europe Cup, une victoire d’Anvers (18 h) au Sporting Lisbonne offrirait aux Giants leur ticket pour le tour suivant.

Coupes européennes : espoir pour les Renards, revers pour le SKW

Wavre Ste-Catherine (Résimont 14) avait le beau rôle au changement de côté (29-31), c’est alors que Valence (Trahan-Davis 5) resserrait les boulons en défense. Il n’y avait plus de match et les Anversoises de mordre la poussière à 67-42. Soit, un 48-11 ! Mission accomplie pour les Montois (Nzekwesi 30) qui, malgré l’absence du duo Pasalic-Tyus, ont glané leur premier succès en FIBA Europe Cup. Non sans frayeurs : les Renards mènent 61-71 (36e), font n’importe quoi et Ionikos de rappliquer à 72-73, à 30’’ du gong. Les Hennuyers finissaient par assurer in extremis à 74-77. Du coup, il leur reste un (mince) espoir de qualification.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Z&Z Feyenoord

« L’EuroCup nous conduit à l’Euroleague »

Les Bolognais veulent remporter l’EuroCup pour rejoindre directement l’Euroleague.

Inspirés par le parcours de la « Rocca Team« , les dirigeants de la Virtus ont fait de l’EuroCup un objectif prioritaire. “L’EuroCup nous conduit à l’EuroLeague. Nous avons déjà remporté le championnat d’Italie (l’année dernière). Par conséquent, je dirais que je préfère l’EuroCup. Nous participons à quatre événements différents. Nous avons gagné la Supercoupe, elle est à nous. Sur les trois autres trophées, je sacrifierais la coupe pour gagner le championnat d’Europe et le championnat” a ainsi déclaré le PDG de la Virtus.

Crédit photo: Virtus Bologne

« Lyon, c’est ma maison à l’étranger »

Dans un entretien accordé à l’excellent Pierre Robert pour la RTBF, Julie Allemand a évoqué son retour à l’ASVEL.

Dans un entretien accordé à l’excellent Pierre Robert pour la RTBF, Julie Allemand a évoqué son retour à Lyon, une formation du top européen. « Je suis vraiment très contente. Lyon, c’est ma maison à l’étranger. Je suis dans un club hyper professionnel, je suis en pays de connaissances. C’est déjà ma quatrième saison avec ce club. Le début du championnat n’a pas vraiment répondu aux attentes. Il y a de nouvelles joueuses, un nouveau coach mais nous restons sur deux succès convaincants. On a le rythme, on monte en puissance » a déclaré la Liégeoise dans un entretien à découvrir ici en intégralité.

« Un niveau exigence élévé auquel les joueurs ont directement adhéré »

Le début de saison canon de Comblain en TDM2B, le match historique contre Ostende en Coupe de Belgique et la renaissance du BC Réveil: autant de passionnants sujets abordés par Christophe Henri, manager, joueur et coach par intérim, pour Liège & Basketball.

Samedi, Comblain avait mis les petits plats dans les grands pour recevoir Ostende en Coupe de Belgique et tout le magnifique village s’était paré de rouge. « C’est évident qu’il y avait un niveau d’écart entre nous et les champions de Belgique mais nous avons tenu notre rang » commence Christoph Henri. « Nous n’avons pas eu le choix d’arrêter la rencontre à cause d’une fuite dans le toit et d’un peu de condensation mais dans l’ensemble ce fut une très belle fête pour le club et une belle récompense pour le boulot abattu par tous au Mailleux. »

C’est que Comblain, habitué des Top 6 en TDM2 sous la férule de l’excellent Mike Bodson, a encore pris une autre dimension depuis l’arrivée de Ludo Humblet et de son staff. « Le niveau d’exigence est très élevé et les joueurs y ont directement adhéré. C’est génial car cela reste des amateurs » poursuit le manager comblinois. « Dès le premiers août, les gars se sont mis à bosser et tirent tous dans le même sens. »

Cela se traduit par un début de saison exceptionnel, aussi bien dans les chiffres – quatre victoires en autant de rencontres, 97,5 points inscrits pour 72 encaissés – que dans la manière, le jeu comblinois convertissant immédiatement chaque spectateur en fan. « Nous sommes dans notre plan de marche » enchaine Christophe. « Nous avons construit cette équipe pour gagner un maximum de matchs. Si nous sommes champions, nous monterons mais il n’y a aucune pression à ce sujet. L’objectif est vraiment de glaner autant de victoires que possibles et nous savons bien qu’une saison est longue et qu’il y a différents facteurs – blessures, méforme, équipes qui seraient tentées de transférer, etc. – que nous ne pouvons pas maitriser. Mais nous avons su mettre en place une structure pour performer et à laquelle les joueurs ont directement souscrit. »

Sept jours après avoir offert une belle résistance aux Côtiers, les Comblinois iront à Tongres pour le choc du week-end en TDM2B. « Un tout gros déplacement » constate l’ancien scoreur vedette qui a toujours bon pied, bon oeil. « En cas de résultat positif chez les Limbourgeois, nous prendrions peut-être déjà une option sur le Top 3. »

A côté de son implication à Comblain, Chris Henri a oeuvré à la renaissance du BC Réveil. « C’était une idée de mon frère car c’était le club de notre grand-père. Nico s’en occupe super bien et nous avons su convaincre des amis (ndlr: qui sont aussi de sacrés joueurs) de rejoindre l’aventure. C’est un super challenge qui se passe très bien même si nous découvrons de nouvelles choses chaque semaine » enchaine celui qui assure l’interim au coaching. « C’est vrai que j’ai plusieurs casquettes pour le moment: manager, joueur, coach. Nous sommes d’ailleurs à la recherche d’un entraineur pour le Réveil. L’objectif du club est de s’extirper de la P4. Avec l’équipe constituée, ce serait dommage de ne pas y arriver. »

Après un an éloigné des terrains, celui qui brille aussi dans le privé avec Skyforce a été agréablement surpris par l’enthousiasme des basketteurs. « Pas mal de coachs craignaient de devoir composer avec de nombreux arrêts mais force est de constater que ce n’est pas le cas » se réjouit Christophe. « C’était agréable de voir tous les joueurs heureux de reprendre, de rejouer, de se retrouver dans un vestiaire, de partager un verre. » Ce qui, en fin de compte, fait l’essence du basket amateur: compétition, amitié et convivialité.

Crédit photos: Philippe Collin et BC Mailleux Comblain

« Le travail du coach Thibaut Boxus commence vraiment à se voir »

La P2 d’Harimalia a offert une excellente résistance à la P1 d’Alleur en Coupe de la Province.

Dans le sillage de Robin Malpas (25 points) et de l’éternel Di Pro (9 pions), les All Blacks démarraient en force pour faire 6-9 puis 9-17 avant de conclure les dix premières minutes sur le score de 19-26. Essonne et Olaerts (11 unités chacun) et leurs partenaires allaient alors faire jeu égal avec les pensionnaires de P1. A la pause, l’écart était de treize points, 33-46, et n’allait pas changer en seconde période, la partie s’achevant sur la qualification d’Alleur 63-76.

« Nous avons réalisé un super début de championnat mais cela fait trois semaines que nous devons composer avec énormément de blessés et après deux défaites que nous aurions pu éviter, le moral n’était pas au beau fixe » nous explique Pascal Goffin. « Je crois que ce match a rassuré le groupe et rendu de l’énergie à l’équipe. Le boulot du coach Thibaut Boxus commence vraiment à se voir. C’est le coach qui convient à cette jeune équipe et je pense que nous avons fait le bon choix en lui confiant les rênes de celle-ci. »

Si le parcours des Abeilles s’arrête aux huitièmes de finale, les Alleurois sont eux qualifiés pour les quarts où ils défieront les impressionnant Buffalos, victorieux à Hannut, 80-86.

HARIMALIA(+5) – RBC ALLEUR : 63 – 76

QT : 19- 26 / 14/20 / 17-17 / 13-13

HARIMALIA : Olaerts 11, Brouwir 2, Obers 16, Lumbemba 0, Bouillon 11, San Giorgio 2, Moray 5, Essonne 11

RBC ALLEUR : Aldenhoff 0, Dallenogare 8, Debefve 6, Forthomme 13, Notelaers 7, Carbonari 4, D’Heur 4, Malpas 25, Di Prospero 9, Kistemann 0

« Avoir envie ne suffit pas toujours »

A Profondeville, Dorian Velden et La Villersoise ont craqué en seconde période. Les jeunes de Villers espèrent renouer avec la victoire samedi contre Nivelles. Interview.

Dorian, vous vous êtes inclinés 74-46 à Profondeville ce week-end. Quelles sont tes impressions concernant cette défaite ?

Nous avons fait une première mi-temps encourageante. Le problème, c’est qu’un match dure quarante minutes… Nous fûmes particulièrement imprécis, ce qui a précipité notre chute.

Que vous a-t-il manqué pour davantage rivaliser avec les Sharks ?

Il nous a manqué de la justesse et de l’intelligence. Il nous a manqué aussi de la taille dans la raquette, mais ça, c’est à chaque match.

Que devrez-vous améliorer pour samedi et la réception de Nivelles ?

Nous devons être plus constants et savoir gérer un match pendant quarante minutes et pas seulement pendant quelques minutes. Nous travaillons pour cela et nous espérons tous pouvoir renouer avec la victoire qui nous boude depuis quelques temps. Nous restons concentrés et nous avons envie de bien faire, seulement avoir envie ne suffit pas toujours.

« Favori: un statut qui se mérite uniquement sur le terrain »

Dans le derby de P2A entre Wanze et Verlaine, ce sont les Sucriers qui l’ont emporté, 75-62, confirmant ainsi leur regain de forme. Avant un autre derby à Hannut, Nicolas Paulus revient sur la dernière victoire de sa formation, l’évolution des Wanzois après une début de campagne totalement loupé et les ambitions que ceux-ci peuvent poursuivre dans une série tout à fait surprenante. Entretien plus rivière que fleuve cette fois-ci.

Nico, comment s’est déroulé votre derby contre Verlaine ?

Nous avons commencé par faire jeu égal avec les Verlainois. Physiquement, dans la dureté, nos adversaires étaient même meilleurs que nous et nous avions un peu de mal a répondre à leur intensité. Par la suite, nous nous sommes repris et nous avons répondu physiquement. De plus en plus de rebonds étaient pour nous, notre défense s’est resserrée. Dans le même temps, Verlaine n’a plus su tenir l’intensité fournie au début et nous en avons profité pour faire le trou.

Qu’est-ce qui, finalement, a fait pencher la balance en votre faveur ?

Nous étions plus nombreux et avons pu compter sur tout le monde. La différence, elle est sans doute à trouver dans notre profondeur de banc. Mais, alors que nous avions dix-sept points d’avance au début du quatrième quart, nous avons laissé un excellent shooteur adverse deux fois tout seul. Redonner de l’espoir à une équipe pareille, c’était suicidaire de notre part car les visiteurs ont pu revenir à cinq unités de nous. Cependant, nous avons conservé notre sang froid pour mettre des paniers et des lancers importants.

Comment évalues-tu votre évolution ?

En présaison, tout tournait super bien. Ensuite, nous avons clairement régressé et la blessure de Greg Fraipont n’y est pas pour rien. Mais il n’y a pas que ça. La peur de prendre nos responsabilités était clairement palpable. Ce n’est plus le cas maintenant. Tous les joueurs apportent. Cela dit, nous connaissons toujours des errances, des périodes où nous déjouons totalement, où nous laissons l’adversaire reprendre confiance. Notre match de référence n’a pas encore eu lieu.

Vous présentez un bilan de trois victoires en cinq rencontres.

On nous a mis – et nous nous sommes mis aussi – un peu trop vite dans la liste des favoris de la série. Cointe puis Comblain nous ont prouvé que ce genre de statut se mérite uniquement sur le terrain et que tout était à faire. Depuis ces deux premières défaites, nous prenons match après match et ce sera le cas jusqu’à la fin de la saison.

Votre prochain match sera à nouveau un derby, à Hannut.

Nous avons pu bénéficier d’un week-end de libre utile pour les organismes car j’ai senti pendant quelques jours les coups reçus contre Verlaine. Nous voyons très bien dans les résultats que tout le monde peut battre tout le monde. Du coup, nous irons à Hannut sans prétention et pour jouer, tous ensemble, un basket sans pression.

« Considérablement gênés par la poisse mais nous avons enfilé le bleu de travail »

A six, les Aubelois ont réussi une superbe remontada pour s’imposer à Schaerbeek 70-74 et décrocher le droit de défier Tilff au prochain tour de la Coupe AWBB. Reportage.

Le contexte n’était pas franchement favorable aux Aubelois dimanche en fin d’après-midi à Schaerbeek mais comme le disait le regretté Rudy Tomjanovich: « Il ne faut jamais sous-estimer le coeur d’un champion ». Privés de rotations avec Hassan et Bertho qui venaient gonfler les rangs à l’infirmerie et le seul courageux Chris Albert comme remplaçant, les Herbagers n’ont pas livré une prestation étincelante. « Nous avons effectué de mauvais choix et connu plusieurs trous de quelques minutes en attaque comme en défense » reconnait Alexandre Bousmanne.

Menés de dix-huit longueurs au milieu du troisième quart-temps, les Aubelois allaient trouver les ressources nécessaires pour arracher la victoire 70-74 ! « Nous avons pris feu à la vingt-cinquième pendant cinq minutes pour résorber notre retard et passer devant. Nous n’avons pas abandonné, pas paniqué, nous sommes serrés les coudes et avons mis notre bleu de travail » sourit le pivot d’Aubel. « Nous sommes toujours considérablement gênés par la poisse qui nous accompagne mais nous restons solidaires pour forcer de petits exploits depuis trois semaines. »

En huitième de finale, les Aubelois se rendront à Tilff pour un derby qui s’annonce âprement disputé pendant trois mi-temps. « Ce sera un gros morceau à affronter. Les Porais possèdent un beau collectif qui joue vite et juste. Nos entraineurs s’apprécient et se connaissent bien, il faudra que nous soyons plus loin dans notre préparation pour pouvoir rivaliser » souligne « Bous ». « Nous espérons proposer du plus beau basket et avoir davantage de joueurs valides pour que la fête que nous ferons avec nos hôtes commence par un match qualititatif. Mais nous allons avoir bon. »