Les Roller Bulls décrochent leur première victoire à Limburg

Grâce à une excellente deuxième période, les Roller Bulls décrochent leur première victoire en championnat à Limburg.

Le court déplacement des Roller Bulls à Limburg se révéla victorieux. Menés 19-11 après dix minutes, les Liégeois qui évoluent désormais à Ninane revenaient à 29-26 à la pause avant de déborder leur adversaire en seconde période. Intransigeants en défense et précis de loin, les Bulls infligeaient un 6-20 aux locaux à la reprise pour filer vers un joli succès, 47-66.

Le prochain match des Bulls qui évoluent malheureusement dans un championnat où seules cinq équipe sont inscrites aura lieu le 28 novembre contre les Lions de Zedelgem.

Crédit photo: Roller Bulls

« Une gestion catastrophique de notre avance contre cette talentueuse équipe »

Sang et Marine et Carriers ont montré deux visages au cours d’un derby dont la fin fut particulièrement palpitante. Reportage.

A Sainte Walburge, les Carriers et leur ribambelle d’anciens Liégeois – qui avaient eux l’habitude d’évoluer à la Bulle de Fléron – démarraient en fanfare pour mener 2-11 après quatre minutes de jeu. Les locaux réagissaient alors pour revenir à 11-16 mais les Sprimontois faisaient ensuite parler la poudre pour prendre la… poudre d’escampette et filer à 11-26 à la dixième. Très précis devant et rigoureux derrière, les visiteurs continuaient de plus belle pour faire 23-40 à la dix-septième après avoir compté jusqu’à vingt points d’avance. Les Sang et Marine profitaient des dernières minutes de la première mi-temps pour réduire quelque peu l’écart. A la reprise, les Carriers reprenaient le large et c’était 49-64 à la demi-heure. Mais la jeune escouade de Mike Bodson ne s’avouait pas vaincue et profitait des errements de Sprimont pour grignoter son retard et revenir à 72-74 dans la dernière minute pour finalement s’incliner de justesse, 72-75.

« Nous avons très bien commencé et dominé le premier quart. Après cela, Liège s’est réveillé et nous avons baissé un peu notre intensité et les locaux sont revenus petit à petit dans le match » analyse Jérôme Jacquemin. « Nous nous sommes même faits peur dans le dernier quart avec une gestion catastrophique de notre avance. Heureusement, la pièce est tombée de notre côté. »

Une victoire – la troisième pour Sprimont qui équilibre ainsi son bilan – dans un derby qui possède une saveur toute particulière pour l’ancien entraineur de Liège même si, depuis, de l’eau a coulé sous les ponts. « C’est toujours motivant de jouer contre son ancien club. Dix de nos douze joueurs sont passés par Liège. Dans l’ensemble, c’était un chouette derby face à cette très talentueuse équipe de Liège. »

La tempête « Brimah » à Ostende

Dès qu’Amida Brimah sera arrivé à la Côte, la première tâche de Dario Gjergja sera de canaliser une nouvelle recrue ghanéenne débordant d’énergie. Trégueux et Widart encore vainqueurs en N2 française tandis que certains ont kidnappé Zwarte Piet dans la Métropole. Ce sont les infos d’EMCE.

Les « + » et les « – » du week-end

Le « + » : bien évidemment à des Cats métamorphosées, dimanche, devant le nombreux et fidèle public courtraisien. Quel contraste par rapport à la récente prestation en Bosnie. Pourtant, les Allemandes avaient des arguments à proposer… du moins pendant une mi-temps. Elles ont retrouvé la joie de jouer et, nous, de les voir jouer.

Le « – » : malgré mon âge quasi canonique, je garde une âme d’enfant. Voilà pourquoi, je me réjouis d’être le 2e samedi de novembre pour assister, sur la VRT, à l’arrivée de St-Nicolas à Anvers. Même si la dictature bien pensante actuelle a encore frappé. Autrement dit, le « spitant » Zwarte Piet s’est effacé en faveur d’un simple Piet plus vraiment haut en couleur et à la poitrine généreuse. On vit une époque formidable…

Principautaires hors frontières : succès breton pour Maël Widart

Vu la fenêtre féminine internationale, vous aurez droit au minimum syndical. Les protégées bretonnes de Maël Widart ont ainsi profité de la venue du Havre, l’avant-dernier de la N2, pour améliorer leur ordinaire. D’où un succès sans soucis (67-44, après 39-21 à la pause) de Trégeux. Au rayon masculin, Gaël Hulsen a planté 22 points pour Termoli à Vasto Basket (défaite 77-86). Quant à Kevin Sarlette, il restait muet avec Ettelbrück à Contern (105-102 après prolongation) et enfilait un lancer franc pour une victoire de l’Etzella sur Heffingen (92-75). A noter qu’au Luxembourg, le premier tour est d’ores et déjà terminé.

Avec Amida Brimah, on ne va pas s’ennuyer le long de notre littoral…

C’est fait : les Côtiers ont jeté leur dévolu sur leur futur pivot. Et pas n’importe lequel car il s’agira du (très) bondissant Amida Brimah (27 a, 2,08 m, photo… explicite). Le Ghanéen est passé par la NBA (Pacers) et participe actuellement aux playoffs portoricains avec les Mets de Guaynabo. En finale, ils sont opposés à Arecibo s’appuyant sur le Mexicain, Gustavo Ayon (ex-NBA et Real Madrid). Samedi, Guaynabo a égalisé à deux manches partout, via une victoire (95-80) permettant à Briham de s’illustrer : 18 points, 9 rebonds et autant de blocs. Il débarquera à Ostende dès la fin de cette compétition. Au vu de certaines vidéos, on ne s’ennuiera, cet hiver, sur notre littoral…

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : capture d’écran

« Le plus important, c’est le Hall of Fame »

Tony Parker a réagi à son absence dans la liste des 76 meilleurs joueurs de l’histoire de la NBA.

« Déjà, pour moi le plus important c’est le Hall of Fame. C’est le plus important. Après bien sûr cela m’aurait fait plaisir de faire partie de cette liste, mais comme ils n’ont pas touché au Top 50 (les 50 joueurs de la liste des 50 ans sont présents dans celle des 75 ans), c’est dur de choisir 25 ou 26 joueurs, sur les 25 dernières années. C’est très très dur. C’est ce qui alimente ces fameux débats dans le sport. En tout cas ça fait plaisir de voir que j’étais dans le top 3 des joueurs oubliés avec Klay Thompson et Pau Gasol. Après c’est comme ça. Bien sûr être dans cette liste cela m’aurait fait plaisir, mais le plus important pour moi c’est le Hall of Fame. D’abord tu as ton maillot retiré et après le Hall of Fame, parce que c’est ça qui reste dans le temps, c’est de ça dont les gens vont se rappeler que tu es au panthéon de ton sport. Ces listes ce sont les experts qui les font, je ne sais pas qui votait, mais les goûts et les couleurs…Puis c’est comme d’habitude, à San Antonio comme on est un petit marché, on n’est pas comme les Lakers ou les Bulls, tu vois, c’est comme ça…Quand je vois les joueurs oubliés comme Pau Gasol et Klay Thompson, ce sont des joueurs qui auraient mérité. Bien sûr si tu compares mon palmarès ou celui de Pau ou Klay avec les 25-26 de la liste, on a tous gagné des titres alors qu’il y a des joueurs qui n’en ont pas gagné. Après ça dépend quel est le critère le plus important pour toi. Nous le plus important c’était de gagner des titres. Avec Popovich on savait très bien qu’on n’aurait pas des stats de malade, car la moitié du temps on ne jouait pas ou alors pas le 4ème quart temps. Il nous reposait beaucoup. C’est clair que je préfère largement ma carrière à celle de certains qui sont dans les 25 nouveaux. Je préfère largement gagner des titres et avoir des souvenirs à jamais avec ma famille et mes amis, et entrer au Hall of Fame que d’être présent dans cette liste-là » a confié Tony Parker à Jean-Hervé Moysan qui a eu cette exclusivité dans son podcast NBA Corner.

« Troisième victoire d’affilée au caractère »

Devant une superbe assistance, Calidifontains et Pepins se sont livrés une belle bagarre dans un derby qui a tenu toutes ses promesses.

C’est devant un très large public que débutait ce derby entre Ninane et Pepinster. Les dix premières minutes allaient donner le ton d’une rencontre aussi disputée qu’indécise. Devant au marquoir, 24-26, à l’issue du premier quart, Jordan Maucourant et ses coéquipiers profitaient des dix minutes suivantes pour augmenter de 50% leur avance. C’était 41-44 à la pause.

A la reprise, les deux équipes continuaient de se rendre coup pour coup alors que les défenses prenaient le pas sur les attaques. Privés de jeu rapide, les ouailles de Pascal Horrion voyaient les locaux recoller au score et prendre l’avantage à la demi-heure, 56-53. Dans la dernière ligne droite, portés par leur public, les Ninanais défendaient le plomb pour asseoir leur victoire, 74-64.

« C’est une très belle victoire au caractère encore » souligne Nicolas André. « Notre intensité défensive en seconde période nous a permis de prendre cette troisième victoire d’affilée. »

Pipo Willems plante deux bombes pour offrir la victoire au Réveil contre Tilff

Vendredi, le BC Réveil et Tilff se sont livrés une partie mémorable dont les « locaux » sont sortis vainqueurs 100-94 tandis que Cédric Skelton et les Porais se sont adjugés la troisième mi-temps.

Sacrée soirée que celle vécue par les Porais au Collège Saint-Louis. « Tout d’abord, l’échauffement fut épique. Nous arrivions au goutte à goutte vu le parking gigantesque (sic) et toutes les festivités (cours de piscine, photos des équipes de jeunes) prévues ce soir-là mais cela nous apportat un beau public. La prochaine fois, nous démarrerrons à dix-sept heures pour être certains d’arriver à l’heure pour l’échauffement » rigole Cédric Skelton. « Sur papier, nous avions l’équipe la plus jeune – heureusement qu’il y a Pat Maquinay et moi pour remonter la moyenne d’âge – contrairement aux locaux qui tournent à une moyenne de 37 ans. Nous n’affrontions que des gars contre qui j’avais déjà joué par le passé. Nous attendions ce match avec impatience et nous ne fûmes pas déçus. »

Jon Ventat dépasse Cédric Skelton

Face à une équipe taillée pour la montée, les Porais allait briller. Dès l’entame du match, les deux formations du haut de tableau en P4E se rendaient coup pour coup. « Pipo Willems, Julien Petit ainsi qu’un pur gaucher (ndlr: Chris Delahaye) tenaient la baraque pour le Réveil tandis que du côté de Tilff, c’était tout le groupe qui alimentait le marquoir. Le danger venait de partout » continue le meneur shooteur qui voyait sa formation prendre dix points d’avance dans le deuxième quart-temps. « Nous nous disions alors qu’il y avait peut-être moyen de ramener la victoire. Cependant, nos adversaires ne baissaient pas les bras et revenaient grâce aux bombes de Julien Petit. »

Julien Petit précis derrière l’arc

En seconde période, les rôles s’inversaient et les « locaux » prenaient dix points d’avance avec que les Tilffois ne recollent au score via un « 2+1 » de Ralph Lozet. Dans les deux dernières minutes, les équipes étaient au coude-à-coude. Pipo Willems plantait alors deux bombes pour offrir la victoire au Réveil sur le score NBA de 100 à 94. « Ce fut un très beau match de la première à la quarantième minute. Le Réveil ne s’attendait pas à avoir si difficile contre Tilff. Nous n’avons peut-être pas gagné au bout des deux mi-temps mais nous avons battu très facilement nos adversaires lors de la troisième mi-temps ainsi que les équipes de Flénu et de Saint-Louis. A mon avis, deux ou trois gars se sont levés le lendemain en prenant un Dafalgan » concut Cédric avec le sourire.

Ralph Lozet en action

« Personne n’a le droit de s’autoproclamer favori avant un match »

Remontés comme des coucous et motivés comme jamais pour ce dernier match de la première phase du championnat de R1, Jimmy Stas et les Oursons d’Andenne se sont adjugés le « presque derby » contre Waremme, 66-64. Interview.

Jimmy, vous étiez remontés à l’idée d’accueillir Waremme chez vous samedi.

Nous voulions absolument cette victoire. Hormis Loyers qui domine la série, je pense que personne n’a le droit de s’autoproclamer favori avant un match, comme j’ai pu le lire dans la presse pour Waremme. Nous voulions marquer le coup et souligner qu’il faut toujours respecter l’adversaire.

Et pour marquer le coup, vous y êtes parvenus de maitresse manière en arrachant la victoire 66-64.

Nous sommes hyper satisfaits de notre prestation, surtout défensivement. Le groupe a vraiment très bien réagi après la claque logique reçue à Loyers.

Comment évalues-tu cette série de R1B ?

Elle continue à demeurer serrée et c’est tant mieux pour tout le monde ! Je me réjouis à présent de pouvoir commencer à affronter ceux de l’autre série afin d’en découvrir le niveau. Je crois que tout est encore possible pour chacune des équipes, ce qui est très positif. A nous désormais de conserver notre confiance et notre rythme pour engranger plusieurs victoires de suite.

Crédit photo: Aleksandra Milonovic Photographe

« Aller plus loin dans l’exigence envers nous-mêmes »

Alors que la première partie du championnat vient de se terminer, Quentin Pincemail dresse un premier bilan de l’aventure de Tilff en R1. Entretien.

Quentin, ce samedi vous receviez Waterloo. Quelles furent tes impressions à l’issue de votre honorable défaite 84-91 ?

J’estime que nous avons affronté la plus belle équipe collective de la série. Waterloo possède de fortes individualités qui se mettent au service du collectif. Et ce collectif nous a mis en difficulté sur chaque erreur. Il faut que les joueurs acceptent d’être mis face à ces erreurs car trois grossières erreurs par joueur, c’est trente erreurs au total pour un groupe de dix, ce qui est énorme. Mais nous sommes encore en apprentissage et nous devons en passer par là.

Alors qu’un quart de la saison vient de s’achever, quelle est ton opinion sur ce championnat de première régionale que vous découvrez ?

Le niveau est dingue pour nous mais c’est hyper plaisant même si cela demande un énorme boulot au staff et à moi. Mais quand nous gagnons, c’est vraiment que nous l’avons mérité. Pour le club, évoluer à ce niveau est vraiment incroyable et nous avons la chance de pouvoir compter sur un public génial comme ce samedi avec la P1 et la P2 qui nous ont encouragés tout du long.

Quels sont vos axes de progression ?

Le premier c’est indubitablement notre défense car nous encaissons beaucoup trop à mon goût à chaque rencontre. Le second, c’est d’accepter que ce sont les détails qui font la différence à ce niveau et que, dès lors, nous devons aller plus loin dans l’exigence envers nous-mêmes sans nous chercher des excuses. Mais j’ai la chance d’avoir un groupe incroyable qui bosse dur et je suis persuadé que nous obtiendrons des résultats si nous conservons cette détermination.

« Profiter de toutes nos forces »

Après s’être imposés très nettement jeudi à la Fraineuse contre Theux, Thibaut Remacle et les Capellois ont enchainé samedi contre Prayon pour conserver leur brevet d’invincibilité et opérer une belle remontée au classement en P2B.

C’est sans plusieurs cadres – Benjamin Vieillevoye, Roland Delhaes, Damien Lekeu et J-F Schils – qu’Henri-Chapelle se rendait jeudi à La Fraineuse pour y défier une équipe de Theux en pleine bourre. Cependant, les Capellois rentraient immédiatement dans le vif du sujet en infligeant un 0-10 aux locaux pour filer à 7-23 après dix minutes. Les Theutois passaient alors en « box-and-one » sur Thibaut Remacle, efficace en début de rencontre, et malgré la logique perturbation que cela occasionnait chez les ouailles de Fred Ledain, celles-ci demeuraient collectives pour garder les commandes de la partie et rentrer aux vestiaires avec une avance confortable, 22-40. En seconde période, les visiteurs allaient encore augmenter leur viatique, passant la barre des vingts points, avant que les locaux ne réduisent l’écart à quinze unités. Mais les Capellois inscrivaient quelques paniers essentiels pour reprendre le large et terminer en roue libre pour s’imposer 45-72.

« Nous avons livré une prestation sérieuse et aboutie pour laquelle les huit joueurs présents étaient concernés et avaient envie de ramener la victoire » souligne Thibaut Remacle. « Nous commençons à nous mettre en place collectivement et à trouver davantage de shoots ouverts. Parfois, nous sommes encore un peu brouillons mais c’est normal car nous n’avons pas l’occasion de travailler beaucoup en « cinq contre cinq ». Je crois ainsi que nous pouvons encore mieux faire si nous parvenons à peaufiner nos automatismes et à profiter de toutes nos forces, qu’elles soient intérieures ou extérieures. »

Samedi, dans leurs superbes installations, les Capellois recevaient une équipe de Trooz en progression. Vendant chèrement leur peau, les visiteurs tinrent la dragée haute à des locaux sans doute encore un peu émoussés par leur prestation de jeudi. Mais, avec une défense correcte et surtout une attaque retrouvée, Henri-Chapelle ne s’en laissait pas compter et s’imposait 88-75. Les Capellois opèrent une spectaculaire remontée au classement général en P2B et demeurent invaincus – seule équipe dans ce cas – après quatre matchs.

Crédit photos: PP Photography Amateur / RBC Henri-Chapelle

« Si on croit en ce qu’on aime, on peut faire de ses rêves une réalité »

Ce dimanche aura lieu le remake de la dernière finale des Playoffs entre Ostende et Mons. Si les effectifs des deux équipes ont quelque peu évolué, Dusan Djordjevic est toujours au poste.

Après avoir dû en passer par une prolongation pour se défaire d’Anvers, les Ostendais s’apprêtent à disputer un nouveau match au sommet ce dimanche au Versluys Dôme en accueillant les Renards pour un remake de la dernière finale des Playoffs. Une rencontre pour laquelle le « Général » Djordjevic sera à nouveau déterminant pour les Côtiers. « Je dois vous avouer quelque chose, je n’aime pas tellement le surnom (NdlR : le Général) qu’on me donne parce que la continuité qui existe à Ostende depuis de longues années facilite ma longévité » confesse le meneur dans un long entretien accordé à la DH.

A trente-huit ans, Dusan Djordjevic est toujours l’un des meneurs les plus coriaces et efficaces de notre D1. Et si pas mal de choses ont pu changer en onze ans, Ostende reste toujours la locomotive du basket belge. « Oserais-je dire l’aspect financier ? » répond le Serbe sur ce qui a pu changer au BCO sur ces onze dernières saisons. « Dans le sport, beaucoup de choses dépendent de cela. Il a fallu s’adapter et donner plus d’importance aux jeunes éléments. Ostende l’a compris et fait du bon travail quand on énumère les talents sortis de ce club. Les jeunes savent qu’en signant au BCO, ils peuvent quitter le pays en étant prêts pour un tout autre palier. C’est la clé, selon moi. »

Forcément, la longévité et l’excellence du leader des Côtiers forcent le respect. « Je pense que je dirais que si on croit en ce qu’on aime, on peut faire de ses rêves une réalité. J’ai voulu devenir un professionnel, j’ai travaillé pour et aujourd’hui, j’ai un grand sentiment de fierté quand je regarde dans le rétroviseur » assure Djordjevic lorsqu’il lui est demandé de résumer sa carrière en une phrase.

Crédit photo: BCO