Les Lions battent les Pays-Bas mais ne se rassurent pas totalement

Privés de plusieurs cadres, les Lions se sont imposés de justesse en amical contre les Pays-Bas.

Pour ce match amical contre nos voisins bataves, nos Lions étaient privés de plusieurs tauliers. Ainsi, De Zeeuw, Obasohan, Mwema, Gillet ou encore Van Rossom manquaient à l’appel. Tout le cinq de base, en somme !

Des conditions loin d’être idéales pour préparer les deux importantes rencontre de qualif’ pour la prochaine Coupe de Monde (2023) contre la Serbie – que les Lions 3×3 affrontent ce dimanche en demi-finale du Mondial anversois – et la Slovaquie.

Si les Belges sont parvenus à s’imposer 73-71, ils n’ont remporté qu’un seul quart-temps, le troisième (17-10) face à une équipe qui n’est pourtant pas considérée comme un ténor du européen.

En l’absence des cadres, Salumu (12 points), Lecomte (13 unités), Bako (12 pions) et Libert (11 points) se sont chargés du scoring pour permettre à la Belgique d’éviter le camouflet face aux Bataves. Si la défense a semblé bien en place – notamment en provoquant de nombreuses balles perdues hollandaises -, la fluidité offensive reste à revoir.

L’apothéose pour les Lions ?

Sans Laure Résimont, la marche s’est avérée trop haute pour les Cats, éliminées 13-21 par l’Empire du milieu. Les Lions, eux, ne sont plus qu’à deux victoires de devenir champions du monde de basket 3×3 ! Pour cela, il faudra d’abord vraincre la Serbie ce dimanche à 18h10.

Privées de Laure Résimont, blessée à la cheville plus tôt dans la journée lors du huitième de finale contre le Brésil, les Cats ont tout donné contre la Chine mais cela ne fut malheureusement pas suffisant, la défaite étant au bout, 13-21. Un revers qui signifie la fin du parcours pour nos courageuses compatriotes, éliminées de ce Mondial anversois.

Avec un collectif performant et une bonne gestion, des moments clés, les Belgions Lions ont, eux, vaincu la Pologne et rejoignent les demi-finales où ils affronteront la grande Serbie (18h10).« Je suis particulièrement heureux de vivre cet instant », confiait Maxime Depuydt au micro de la RTBF, après la victoire des Lions contre la Pologne.

Une victoire conquise grâce à un collectif aiguisé – belle répartition des points, jolis mouvements offensifs -, une défense efficace et une bonne gestion des séquences clés. Pourtant, les Polonais, physiques et adroits de loin, ont donné du fil à retordre aux Belges qui ratèrent aussi quelques paniers faciles. Mais poussés par un public chaud comme une baraque à frites – on est quand même en Belgique, hein ! – et avec les fondations solides posées depuis les Jeux Olympiques (et même avant), Célis – clutch en fin de partie – et sa bande n’ont pas failli à leur mission.

Les Lions sont, ce dimanche, à deux succès de devenir champions du monde ! En demi-finale, Vervoort et ses potes devront se farcir la Serbie, favorite du tournoi. Une finale avant l’heure entre deux équipes ayant montré un sang-froid à toute épreuve. Les Belges sont donc à deux fois dix minutes du sacre ultime et peuvent compter sur le soutien de tout un peuple, de tout un pays. Come on Belgium !

Crédit photo : FIBA

Les Cats s’inclinent avec les honneurs

Sans Laure Résimont, la tâche des Cats s’est avérée trop ardue. Les Belges se sont bien battues mais on dû baisser pavillon, 13-21.

Privées de Laure Résimont, blessée à la cheville plus tôt dans la journée lors du huitième de finale contre le Brésil, les Cats ont tout donné contre la Chine mais cela ne fut malheureusement pas suffisant, la défaite étant au bout, 13-21. Un revers qui signifie la fin du parcours pour nos courageuses compatriotes, éliminées de ce Mondial anversois.

Au fil des matchs, les Cats ont démontré une vraie solidité, du collectif et de belles capacités offensives. Cependant, comment ne pas s’interroger sur ce que donnerait une équipe alignant Julie Allemand, Emma Meesseman et Kim Mestdagh ?

Crédit photo : FIBA

Les Lions à deux victoires du titre suprême !

Avec un collectif performant et une bonne gestion, des moments clés, les Belgions Lions ont vaincu la Pologne et rejoignent les demi-finales où ils affronteront la grande Serbie.

« Je suis particulièrement heureux de vivre cet instant », confiait Maxime Depuydt au micro de la RTBF, après la victoire des Lions contre la Pologne. Une victoire conquise grâce à un collectif aiguisé – belle répartition des points, jolis mouvements offensifs -, une défense efficace et une bonne gestion des séquences clés. Pourtant, les Polonais, physiques et adroits de loin, ont donné du fil à retordre aux Belges qui ratèrent aussi quelques paniers faciles. Mais poussés par un public chaud comme une baraque à frites – on est quand même en Belgique, hein ! – et avec les fondations solides posées depuis les Jeux Olympiques (et même avant), Celis – clutch en fin de partie – et sa bande n’ont pas failli à leur mission.

Les Lions seront, ce dimanche, à deux victoires de devenir champions du monde ! En demi-finale, Vervoort et ses potes devront se farcir la Serbie, favorite du tournoi. Une finale avant l’heure entre deux équipes ayant montré un sang-froid à toute épreuve. Les Belges sont donc à deux fois dix minutes du sacre ultime et peuvent compter sur le soutien de tout un peuple, de tout un pays. Come on Belgium !

Les Cats perdent Résimont mais vont en 1/4 !

Malgré la perte sur blessure de Résimont, les Cats ont réussi à prendre le dessus sur les Brésiliennes 15-9 pour se qualifier pour les quarts de finale où elles affronteront la Chine.

Après un début de rencontre marqué par beaucoup de maladresse(s), les Belges perdaient Laure Résimont, victime d’une entorse. Becky Massey – dominante – et Julie Vanloo – virevoltante – passaient alors la démultipliée, correctement secondées par Ine Joris, auteure de deux paniers importants. Les Cats creusaient l’écart, s’assuraient la victoire, 15-9, et pouvaient exploser de joie devant une foule en délire.

Le péril rouge

Ce samedi soir (21h10), les Belges affronteront la Chine pour une place dans le dernier carré de la compétition. « Ce sera dur, la Chine est une équipe très physique », a déjà prévenu Julie Vanloo juste après le huitième de finale. Privées d’une rotation, les Cats devront faire preuve d’adresse pour contrecarrer les plans chinois.

Crédit photo : FIBA

Les Belges favoris pour rejoindre le dernier carré du Mondial

Ce samedi, les Lions ont un beau coup à jouer pour rejoindre le dernier carré du Mondial anversois.

Depuis plusieurs jours, Anvers vit au rythme du rebond du ballon et des encouragements lancés par les nombreux supporters présents dans la mégalopole flamande. Ce samedi, les Belgian Lions, invaincus lors du premier tour avec notamment un succès de prestige en prolongation contre les USA, ont l’opportunité de rejoindre le dernier carré de la compétition.

Pour cela, Vervoort – impressionnant au premier tour – et ses partenaires devront se défaire de la Mongolie ou de la Pologne. Nos compatriotes seront fixés sur l’identité de leurs adversaires sur le coup de 13 heures. Une rencontre (17h30) qu’ils aborderont quoi qu’il arrive dans le costume du favori avec en ligne de mire une possible demi-finale contre la Serbie. Come on Belgium !

Crédit photo : FIBA

« Sur une Coupe du Monde, tout peut arriver »

Ce samedi, les Françaises de Karim Souchu affrontent la Mongolie pour tenter de décrocher leur ticket pour les quarts de finale contre l’Espagne tandis que les Français devront eux vaincre l’Autriche pour gagner le droit d’affronter les Pays-Bas.

Contrairement à l’équipe belge masculine, la France ne s’est pas qualifiée d’office pour les quarts du finale du Mondial 3×3 qui se déroule actuellement à Anvers où le public répond à l’appel. En effet, tant chez les hommes que chez les dames, les tricolores doivent passer par les huitièmes de finale ce samedi après-midi.

Pour l’équipe féminine, battue de peu (18-20) hier par les Etats-Unis, c’est la Mongolie qui est au programme. En cas de victoire, les Françaises affronteraient alors l’Espagne quelques heures plus tard pour tenter de rejoindre le dernier carré de la compétition.

Pour l’équipe masculine, c’est l’Autriche – qui avait donné du fil à retordre aux Lions – qui sera au menu. Si nos voisins d’outre-Quiévrain parviennent à vaincre les Autrichiens, ils enchaineront par un quart de finale contre les Pays-Bas. A noter que la Belgique et la France ne se retrouveraient qu’en finale, si elles parviennent à s’y hisser.

“On y va avec l’objectif de performer, on fait du sport de haut niveau pour ça, on va essayer d’aller le plus haut possible, avec les garçons et les filles », déclarait Karim Souchu, le coach des équipes française, à sportbusinessmag.com. « Sur une Coupe du monde, tout peut arriver. C’est une question de dynamique. Ensuite, quoi qu’il arrive, c’est une expérience qui va nous servir, car nous sommes dans un nouveau cycle, un renouveau avec des nouveaux joueurs, de nouvelles joueuses. Cela sera aussi une façon de s’évaluer, de voir où on en est. »

Crédit photo : FIBA

Défaites par la Pologne, les Cats devront en passer par les huitièmes de finale

Les Cats n’ont pas imité les Lions. En s’inclinant de justesse contre la Pologne, les Belges devront passer par de périlleux huitièmes de finale contre le Brésil.

Dans une rencontre hachée par les fautes, les Belges ne parvinrent jamais – si ce n’est lors d’une superbe séquence de Massey – à trouver le rythme. Hormis l’intérieure, aucune de nos compatriotes ne fut à son avantage, ratant trop de paniers faciles, privilégiant trop souvent de mauvaises options et se rendant coupables de grosses erreurs défensives. Néanmoins, alors que les Cats évoluaient en dessous de leur niveau, elles parvirent à tenir le choc face à des Polonaises adroites derrière l’arc. Malheureusement, ces dernières se montrèrent plus réalistes pour l’emporter de justesse, 13-12.

Avec cette première et unique défaite du premier tour, les Cats terminent à la seconde place de leur groupe et devront en passer par les huitièmes de finale où elles affronteront le Brésil.

Crédit photo : FIBA

« De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves »

Après un revers contre l’Allemagne, les policiers belges affronteront leurs voisins français pour la cinquième place à l’Euro de basket des polices qui se déroule actuellement à Limoges. Kevin Reyserhove, coach de la délégation belge, passe à l’interview.

Kevin, après une victoire contre l’Italie, vous vous êtes inclinés contre la Grèce et puis contre l’Allemagne. Que retiens-tu de cette dernière rencontre contre les Teutons ?

Nous avons vraiment fait un bon match mais, en face, il y avait plusieurs pros dont un qui a même participé aux Jeux Olympiques avec Nowitzki (ndlr : Philip Zwiener, un ailier ayant évolué à l’Alba Berlin, à Trier ou encore dans l’ancien club de Max De Zeeuw, Oldenburg) ! Du coup, le résultat – 94-51 – est là sans que les Allemands aient dû forcer.

Vendredi, c’était repos pour vous.

Oui, day off avec juste un petit entrainement tactique. Nous avons quatre blessés – dont un qui a dû aller à l’hôpital – sur un noyau de huit joueurs. Il va falloir mordre sur notre chique contre la France que nous affronterons pour la cinquième place.

Cette cinquième place serait un bon résultat pour vous ?

Oui, vu le niveau des autres équipes, terminer à la cinquième place serait vraiment synonyme de super tournoi. Mais être sixièmes, c’est bien aussi. Après, personne ne veut perdre contre la France (rires).

Que devrez-vous faire pour vaincre les Français qui évoluent du surcroît à domicile ?

Nous devons déjà espérer que nos blessés puissent jouer. Ensuite, nous devrons avoir de la réussite aux shoots et être solidaires en défense et au rebond car nous comptons un gros déficit physique. De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves ! Si nous prouvons cela, la victoire sera accessible.

Crédit photo : Kim Vanbesien

Anvers et contre tous !

La Groenplaats de la Métropole est sans conteste actuellement « the place to be ». Et la température va encore monter de plusieurs crans à l’approche d’un week-end aussi sportif que festif. L’actualité basket se déroule également en Catalogne et dans le nord du Grand-Duché. Ce sont les infos d’EMCE.

Coupe du Monde 3 x 3 : les Cats en quête d’exploit contre la Pologne

On connait des Américains qui tiraient une drôle de tronche, hier, sur le coup de 18 heures. Contraste saisissant avec la liesse s’emparant de nos Lions et d’un public visiblement sous le charme. Prochain rendez-vous pour la « bande à Depuydt » demain à 17 h 35 face au vainqueur du match entre le 2e du groupe B et le 3e du groupe C. Duel qui aura lieu samedi à 12 h 25. « Si nous voulons encore nous améliorer, nous devrons nous montrer plus malins sur le plan tactique », prévient Nick Célis. Toujours au rayon masculin, les Français de Karim Souchu se sont qualifiés pour les 1/8e de finale suite à leur succès (21-14) sur Porto-Rico. Les Cats peuvent, elles aussi, terminer en tête de leur poule. A une seule condition : venir à bout, cet après-midi (17 h 35), des Polonaises. Attention, celles-ci pointent en 3e position au ranking FIBA et s’appuient sur Klaudia Sosnowska, ex-n°1 mondiale. Grâce au forfait des Dominicaines, nos compatriotes sont d’ores et déjà qualifiées pour le tour suivant de la compétition. Quelque chose nous que l’on va connaitre un week-end de folie dans la Métropole…

Elise Ramette quitte le Brabant Wallon pour une grosse cylindrée espagnole

Vu l’arrivée massive d’étrangères, il devenait évident que le dernier noyau en date de Castors Braine se devait d’être élagué. Dans cette perspective, Elise Ramette (23 a, 1,71 m) a décidé de tenter une expérience hors de nos frontières. Sur le plan sportif, elle ne devrait pas vraiment y perdre au change puisqu’elle intègre les rangs de La Leu, une phalange catalane ayant échoué au pied (4e) du podium espagnol. Une référence, en soi.

De l’autre côté de la frontière, Wiltz engagent quatre renforts étrangers

Ca bouge pas mal au Grand-Duché et plus précisément tout près de chez nous. Ainsi, les Sangliers de Wiltz viennent de recruter trois renforts étranger pour leur équipe dames (D1) : la Montréalaise, Julie Brusseau ; l’Américaine, Amaya Scott ; et la Serbe, Hristina Marjanovic. Quant à la D2 masculine du cru, elle pourra compter sur les centimètres US d’Hakeem Louis (27 a, 2,08 m) en provenance de Cœur de Flandres Hazebrouck (N3 française). A noter encore que le Luxembourg alignera deux formations en coupe d’Europe féminine : Grénwewald et Dudelange. Pendant des années, il n’y eut plus le moindre représentant « luxo » sur la scène continentale. Les temps changent…

La télé crève l’écran

Aujourd’hui, place à Belgique – Pologne (17 h) sur Tipik et la Eén. Demain, le quart de finale des Lions à 17 h 35 (Tipik et Eén) ainsi que la rencontre des Cats qui reste à déterminer. Dimanche, on croise les doigts pour que ce soit à 21 h 30. Soit, le début de la finale pour le titre mondial.

Michel Christiane

Crédit photo : FIBA