« Le bizutage de nos deux rookies »

Au dernier Championnat d’Europe, les Wheelchair Belgian Lions ont réussi quelques coups d’éclat pour terminer à la sixième place. David Offerman, qui a bouclé le tournoi avec un impressionnant double-double de moyenne, revient sur cette expérience et, plus globalement, sur la place du handibasket. Entretien.

David, quel bilan fais-tu de ce Championnat d’Europe ?

Je suis vraiment partagé. Je me dis qu’avec une préparation quasiment nulle, notre sixième place est pas mal mais, en même temps, je nourris de vrais regrets. La Lituanie était costaude mais nous étions devant avant le dernier quart-temps… Nous imposer n’était pas impossible. Ensuite, je ne pensais jamais perdre ce match contre la Lettonie, future finaliste. Nous avons échoué de cinq points mais je crois que nous avions les armes pour passer. Si cela avait été le cas, j’aurais pu dire que ce tournoi avait été une belle réussite pour la Belgique. Il reste donc un goût de trop peu.

Néanmoins, vu la situation, vous avez réussi de belles performances.

Exact, je dois toujours relativiser vu le peu de moyens mis à notre disposition. Je me permets de rappeler que la Ligue Handisport Francophone ne nous soutient plus alors qu’elle était présente en 2018. Je ne comprends pas pourquoi ! J’espère que ce n’est pas parce que Basket Vlanderen ne fait rien non plus, sinon ce serait bien triste pour le sport. Heureusement, nous avons pu compter sur l’AWBB. Sans elle, rien n’aurait été possible.

Que retires-tu de cette expérience ?

La Belgique a toujours de bons joueurs de handibasket. Le groupe constitué, bien que limité, a très bien vécu sur place, sur le terrain comme en dehors. Il régnait une très bonne ambiance dans ce groupe. Il faut aussi souligner que le Team Manager a vraiment bien géré. En 2018, je débutais, je n’avais que très peu joué. Cette année, j’ai pu un peu m’évaluer et je vois que je tiens la route à ce niveau.

Que garderas-tu en mémoire ?

Le bizutage de nos deux rookies. Nous leur avons exécuté une bien moche coupe de cheveux qu’ils ont dû garder tout le tournoi. Quel fou rire ! Je retiens également le niveau de l’équipe turque qui montre le « gap » qu’il y a encore pour le top niveau. Et puis, les lieux m’ont impressionné. Nous résidions dans une hôtel cinq étoiles avec des piscines, à l’intérieur et à l’extérieur, qui nous ont permis de bien nous relaxer après les matchs. Et nous avons vécu des super moments en équipe, aussi.

Tu as bouclé ton tournoi avec un solide double-double de moyenne : 17,2 points, 11,8 rebonds, 2,4 passes et 2,2 interceptions par match. De quoi te montrer satisfait de tes prestations ?

A titre personnel, je suis assez satisfait. Je ne m’étais mis aucune pression mais je tenais à être présent dans tous les matchs et je pense avoir été plutôt régulier sur l’ensemble du tournoi. J’aurais voulu en faire un peu plus pour l’équipe mais, clairement, je n’étais pas au point physiquement pour faire plus.

Comment envisages-tu l’avenir des Lions ?

Si nous pensons au prochain Championnat d’Europe qui aura lieu dans deux ans, nous pouvons être enthousiastes. Si le noyau peut être élargi et si des moyens sont mis à notre disposition pour des stages et entrainements, la Belgique peut viser bien mieux qu’une sixième place.

Obasohan vers l’ASVEL

Si tel est le cas, ce serait sans conteste le transfert belge de l’été. Sûr qu’il entrerait dans la philosophie tactique de Tony Parker qui vient, comme de bien entendu, de prolonger son petit frère. En Ligue des Champion, les Ostendais se doivent d’ambitionner la qualification. Ce sont les infos d’EMCE.

L’auteur du dunk de l’année serait le remplaçant de Jones à Lyon

Selon plusieurs agents et sites spécialisés, Retin Obasohan (29 a, 1,89 m) serait sur le point de rejoindre l’ASVEL. A Lyon, il y remplacerait Chris Jones, l’ancien Montois. La saison passée, il avait distribué le jeu à l’Hapoël Jérusalem où il ne jouerait donc pas avec Levi Randolph. Il est évident que l’Anversois s’est particulièrement mis en évidence ces derniers temps avec les Lions. Les Serbes peuvent en attester. De quoi donner des idées au « Brugeois » Tony Parker. Sans parler de son dunk de l’année…

Ligue des Champions : redoutable, mais jouable pour les Côtiers

Le C2 européenne en sera à sa 7e saison et seules cinq équipes ont participé à toutes les éditions. Dont Ostende qui, depuis hier, connait ses adversaires. Il s’agira des Turcs du Galatasaray (emmenés par Dee Bost, 3e sur 16), des Polonais du Légia Varsovie (avec l’ancien Spirou, Adam Kemp, 6e sur 16) et des Israéliens de l’Hapoël Holon (l’ex-club de De Zeeuw, 4e sur 12). Les matches se disputeront du 4 octobre au 20 décembre prochains. « C’est un groupe solide, mais nous y viserons la qualification », atteste Jurgen Vanpraet, le CEO côtier. A retenir encore les belles affiches à Bonn (pas loin de chez nous) avec les venues de Regia Emilia (Ita), Pinar Karsiyaka (Tur) et de l’AEK Athènes.

A qui le Tour ? Savez-vous ce que signifie le « SLUC » de Nancy ?

Ce vendredi, la Grande Boucle prendra son envol de Tomblaine, dans la périphérie de Nancy. Un club nancéen qui rivalisa longtemps avec les ténors hexagonaux. Jugez plutôt : au plus haut niveau de ’94 à ’16, champion de France en ’08 et en ’11 (avec autant de participations à l’Euroligue), ou encore, vainqueur de la coupe Korac ’02. Les Lorrains sont les locataires du Palais des Sports de Gentilly d’une capacité de plus de 6000 places. Et ça tombe bien car les « Rouge et Blanc » remontent au sein de l’élite. Pour y parvenir, ils pouvaient compter sur Caleb Walker (32 a, 1,94 m, Brussels 18/19). Parmi les joueurs ayant déjà porté les couleurs locales, on recense le duo carolo Mallet-Darden ainsi que le tandem principautaire Ere-Souchu et même un certain… TJ Parker. Il n’y a pas si longtemps, le coach Lautié se partageait entre Esch (D1 luxembourgeoise) et le Sluc. Mais, à propos, que signifie cette dénomination ? Stade Lorrain Université Club. Vous ne bronzerez donc pas idiot ce week-end…

Michel Christiane

Crédit photo : Brose Bamberg

Julie Allemand fête son b-day avec une belle perf’ et une victoire contre son ex-team

Pour fêter son anniversaire, Julie Allemand a sorti une belle prestation contre son ancienne franchise d’Indiana, aidant Chicago à renouer immédiatement avec la victoire.

Avec 9 points (66%), 3 rebonds et 2 passes, Julie Allemand n’a pas manqué les retrouvailles avec Indiana. Pour fêter dignement son anniversaire, la Liégeoise a pu également empocher la victoire, 93-84, dans une salle qui l’avait vue devenir l’une des meilleures rookies de WNBA.

Un succès construit patiemment par les visiteuses qui menaient 15-22 après dix minutes et 38-48 à la pause. Emma Meesseman (20 points, 6 rebonds et 3 passes) et ses coéquipières – dont Candace Parker (12 points, 9 rebonds et 5 passes), en lice pour le titre de meilleure joueuse – allaient enfoncer le clou à la reprise avant de voir les locales réduire l’écart en fin de rencontre.

L’Ostendais Randolph rejoint Retin Obasohan à Jérusalem

Le BCO perd Randolph qui opte pour l’Hapoël Jérsusalem d’Obasohan.

Il fallait s’en douter, le cercle côtier ne pourra plus s’appuyer sur ce showman qu’est Lévi Randolph (29 a, 1,96 m). Celui-ci s’est laissé convaincre par les arguments sonnants et trébuchants de l’Hapoël Jérusalem qui s’était hissé en demi-finales des playoffs israéliens sous la conduite de Retin Obasohan. Tout comme Ostende, le principal club de Jérusalem s’apprête à prendre part, dès cet automne, à la Ligue des Champions.

M. C.

Crédit photo : FIBA

« J’aime la vitesse du 3×3 »

Tom Malempré se réjouissait de disputer le seconde manche du Crelan 3×3 Masters ce samedi à Esneux qui a dû, malheureusement, être annulée. Interview.

Tom, qu’est-ce qui te plaît dans le 3×3 ?

C’est toujours plaisant de jouer avec une formule différente du 5×5. J’aime la vitesse du 3×3. C’est un jeu tourné sur beaucoup de « un contre un », ce qui me plaît évidemment beaucoup.

Ce samedi, tu devais faire équipe avec Alexandre Aerts, Edouard Duperroy et Brieuc Lemaire au Crelan 3×3 Masters d’Esneux qui est finalement annulé.

On se réjouissait de jouer et de tout donner et nous savions que nous serions attendus au tournant, ce qui est logique avec un gars de D1 dans l’équipe.

Crédit photo : Philippe Collin

« Le but est de gagner un titre et je suis venu ici pour ça »

Pour de nombreux basketteurs liégeois, l’arrivée de Rudy Gobert chez les Wolves ne fait pas de ceux-ci des prétendants au titre. Le pivot français de l’entend pas de cette oreille.

Pour récupérer Rudy Gobert, les Wolves ont fait all-in, expédiant plusieurs joueurs importants de la rotation et (surtout) un paquet de choix de draft. Les Wolves entendent bien ainsi aligner une raquette tall ball et se mêler à la lutte pour le titre. Si l’arrivée de « Gobzilla » ne place pas Minny parmi les prétendants au titre selon plusieurs basketteurs liégeois, Gobert, lui, est convaincu du contraire.

Présenté à la presse, il est revenu sur les coulisses de ce giga trade et sur ses ambitions pour le prochain exercice. « J’ai dit à mon agent que j’avais besoin d’un ou deux jours pour y penser. Après une journée, je lui ai dit que c’était sans doute la meilleure des situations et la plus excitante d’un point de vue basket pour moi. Quand je me suis couché, je n’ai pas arrêté d’y penser, et de plus en plus… Et en fait, c’est sans doute le meilleur des défis et le plus excitant de faire équipe avec quelqu’un comme KAT. C’est un noyau de jeunes joueurs uniques, avec un très bon coach qui passait son temps à se plaindre de mes écrans. Maintenant, on est dans le même camp, et c’est excitant », raconte le Français. « Le but est de gagner un titre et je suis venu ici pour ça. Je ne suis pas venu ici pour qu’on soit simplement une bonne équipe. Je suis venu ici pour essayer d’amener cette équipe jusqu’en finale. La fenêtre de tir pour gagner un titre n’est pas toujours grande… Pour nous, à Utah, c’est ce qui s’est plus ou moins passé. Je pense que la franchise l’a ressenti comme ça. On a peut-être laissé passer cette fenêtre. Je pense que ça restera une équipe très compétitive. Mais vu tout ce qu’ils ont reçu en retour, c’était peut-être mieux pour eux de partir sur cette voie. »

Crédit photo : Rudy Gobert Facebook

Frappante reconversion !

Déjà pendant son séjour en bords de Hoëgne, Kacperska tentait de mettre sa rivale directe dans les cordes. Ce qui lui a manifestement donné des idées… Grand habitué de notre (défunt) championnat, Jerime Anderson fait, pour l’heure, le bonheur de plusieurs D2 mexicaines. Ce sont les infos d’EMCE.

Découvrez l’étonnante vie de Nikola Kacperska, cette ancienne Pepine

A l’été 2017, les Pepines retrouvaient (enfin) le plus haut niveau belge. Elles étaient épaulées par plusieurs étrangères. Dont la Polonaise, Nikola Kacperska (29 a, 1,67 m, photo). Elle ne s’éternisait guère sur les hauteurs wegnolaises puis séjournaient deux années à Mayence, en D1 allemande. Elle a, semble-t-il, définitivement tourné le dos au basket car, depuis un certain temps déjà, elle s’est établie à Chicago. Là-bas, elle se consacre pleinement au MMA, ce sport de combat d’une extrême violence. Elle s’en sort plutôt bien puisqu’elle décline cinq victoires pour une seule défaite. Son prochain combat est fixé au 23 juillet prochain.

Passé par Pepin, Liège, Alost, Spirou et Limburg, Anderson au Mexique

Il est rare qu’un Américain ait évolué dans cinq clubs différents en Belgique. C’est pourtant le cas de Jerime Anderson (32 a, 1,88 m) particulièrement bien connu par les supporters de Pepinster (12/13), Liège (14/15) mais, aussi, d’Okapi Alost, Limburg United et Spirou Charleroi. Après avoir écumé le Vieux Continent, le meneur d’outre-Atlantique termine sa carrière au Mexique. Mais, l’heure de la retraite ne sera pas encore pour tout de suite car il quitte Fuerza Regia pour Abejas Leon, deux formations de l’antichambre domestique.

A qui le Tour ? Longwy en Nationale 2 avec le Belge Giberti à la baguette

Le BC Longwy-Réhon connut ses heures de gloire au début du siècle quand il s’ouvrit les portes de la Nationale 2 française (2e niveau) sous la houlette de notre compatriote, Philippe Giberti. L’équipe devint professionnelle et s’y maintint 9 saisons. Les principaux renforts étrangers eurent pour noms Bojan Tadic et Rafael Berumen, passé par le Mexique. Pour l’heure, les Lorrains évoluent deux étages plus bas et pointèrent en 7e position sur 12. A noter que Yohann Smail quitta Longwy, en cours de compétition, pour rejoindre Chantemelle, une sympathique P1 du Luxembourg belge.

Michel Christiane

Crédit photo : DR

Fin de série pour le Sky de Julie Allemand

Après six victoires de rang, Julie Allemand et Chicago ont mordu la poussière cette nuit contre à Minneapolis. La Liégeoise retrouvera son ancienne franchise d’Indiana ce soir pour renouer avec la victoire.

Plus une série dure, plus elle se rapproche dit l’adage en faisant fi des probabilités. C’est ce qu’il s’est produit pour Chicago au Target Center. Après six victoires consécutives, de timides Emma Meesseman (4 points et 6 rebonds) et Julie Allemand (3 points et 1 passe) ont mordu la poussière, 81-78. Dans un match serré, Chicago dû cependant presque toujours courir après le score, les trois points d’écart à l’issue du premier quart-temps s’avérant finalement suffisant pour les Lynx.

Le Sky rejoue déjà cette nuit contre Indiana, l’ancienne franchise de Julie Allemand.

« Nous n’allions pas pouvoir offrir un beau tournoi aux équipes »

A contrecoeur, l’AWBB a dû se résoudre à annuler la seconde étape du Crelan 3×3 Masters prévue ce samedi à Esneux.

Après une première étape franchement réussie samedi dernier à Andenne, le Crelan 3×3 Masters devait s’arrêter samedi à Esneux pour une seconde étape qui promettait d’offrir un sacré level avec notamment la super team de Pierrick Van Den Brule et l’équipe de RSW Basket composée de Tom Malempré, Alexandre Aerts, Edouard Duperroy et, excusez du peu, Brieuc Lemaire. Cependant, à contrecoeur, l’AWBB a dû se résoudre à annuler le tournoi. La raison ? Trop peu d’équipes inscrites – quatorze selon nos dernières informations – pour proposer une compétition de qualité. « C’est difficilement compréhensible tant Liège est une terre de basket mais j’imagine qu’entre Les Ardentes et les personnes en vacances, il manquait de joueuses et de joueurs disponibles », avance Sélim Ben Aissia, le « Monsieur 3×3 » de l’AWBB. « C’est dommage mais nous n’allions pas pouvoir offrir un beau tournoi aux équipes présentes. C’est donc « préférable » d’annuler. »

Crédit photo : AWBB

Malaga après Monaco

Parfois assez pataud au Country Hall, Will Thomas n’a pas tardé à faire taire ses détracteurs en rejoignant des cadors du basket européen. Pendant ce temps, les coaches belges au Grand-Duché peuvent désormais plancher sur leurs rivaux initiaux en Total Energy League. Ce sont les infos d’EMCE.

L’inattendu parcours de Will Thomas d’Angleur à Malaga, via Monaco

Soyons francs : si on avait observé sa solidité dans la raquette angleuroise (de 08 à 10), personne ne se doutait que Will Thomas (36 a, 2,03 m) s’apprêtait à fréquenter quelques-unes des plus puissantes cylindrées européennes. Désormais, il quitte Monaco où il fut souvent en vue en Euroligue, pour retourner à l’Unicaja Malaga puisqu’il y joua déjà de 14 à 16. Une phalange qui demeure sur une campagne moins évidente que d’habitude (13e sur 18), mais désireuse de rebondir. On l’ignore souvent, mais Will possède la nationalité… géorgienne.

Fuger, Louvrier et Defraigne connaissent leurs premiers adversaires

Le calendrier des championnats luxembourgeois de D1 est sorti. Autrement dit, Fabienne Fuger et ses Conternoises mettront d’emblée le cap, le dimanche 24 septembre (15 h 15), sur l’Etzella Ettelbrück. Un test déjà révélateur. Au rayon masculin, les champions « amicalistes » d’Etienne Louvrier accueilleront, la veille, les promus de Gréngewald. Le match-piège par excellence. Ce qui sera également le lot des Dudelangeois d’Yves Defraigne qui se produiront dans le « mouchoir de poche » des Musel Pikes, à Stadtbredimus réputé pour ses vins de Moselle. Santé, Yves !

Feyenoord recrute Ivo de Vreede en provenance du Spirou Charleroi

Le jeune géant batave, Ivo de Vreede (23 a, 2,10 m), avait laissé entrevoir un réel potentiel lors de sa première année en bord de Sambre. Le récent exercice se révélait moins convaincant avec, pour conséquence, un Hollandais prêtant surtout ses services la seconde phalange hennuyère. Il en a tiré les conséquences et a ainsi décidé de se rapprocher de son domicile. D’où sa signature en profit de Rotterdamois de Feyenoord.

A qui le Tour ? Le nouvel Américain de Lille a joué avec Gaël Hulsen

Depuis des années, le Lille Métropole Basket est une des valeurs sûres de la Pro B française. Equipe qui reste sur un exercice en demi-teinte (16e sur 18) et qui a décidé de booster son effectif. Ne serait-ce que par la venue de Vincent Golson (28 a, 1,73 m), un meneur de poche US en provenance de Rhein Stars Köln. C’est d’ailleurs sur les bords du Rhin qu’il fut l’équipier de Gaël Hulsen, en 19/20. Les Red Giants s’appuyèrent également sur les services de John Fields (34 a, 2,05 m) ayant veillé à la peinture liégeoise en 14/15. Autre particularité : le LMB se niche au palais des sports Saint-Sauveur (2300 places) en plein centre-ville. Sans oublier que les Nordistes tiennent aujourd’hui une guinguette le long de la route du Tour.

Michel Christiane

Crédit photo : Unicaja Malaga