Place aux jeunes à Ninane

Place aux jeunes à Ninane avec des noyaux R2 et P3 où l’âge des joueurs sera inversement proportionnel à leurs talents.

Ninane continue son cycle « jeunes » et l’intensifie. Nicolas André reprend la deuxième régionale et Matthias Scholze s’occupera de la P3 calidifontaine. Les noyaux de ces deux formations sont complets mais sujet à évolution en fonction de la progression des jeunes qui les composent.

Effectif P3 : Jordan Vermierdt -Cyril Van Michel – Sam Winkin – Nathan Brauns – Quentin Sanglier – Cyril Towe – Ismael Jda – Alessio Giuseppe Di Pasquale elle sera complété par des 2002. Coach : Matthias Scholze.

Effectif R2 : Maxime Bodson – Sam Bodson – Gary Dupont – Benjamin Mertens – Gordan Kistermann – Brice Masy – Simon Affano – Franck Renna complétée par les jeunes : Cyril Van Michel – Cyril Towe – Sam Winkin – Ismael Jda – Alessio Giuseppe Di Pasquale – Jordan Vermierdt. Coach : Nicolas André

« Certaines P3 rendraient des P2 jalouses »

Pour Liège & Basketball, Michael Proesmans dresse le bilan de la campagne écoulée, revient sur les moments forts vécus par son groupe et sur l’évolution de la troisième provinciale tout en n’oubliant pas de glisser un petit mot sur la saison à venir.

Michael, quel bilan tires-tu de votre saison?

Notre bilan fin de saison est un peu décevant. Nous aurions voulu nous mettre plus vite à l’abri. Avec l’effectif que nous avions en début de saison, personne ne nous aurait placé à cette position. Mais les blessures, les arrêts et le manque d’envie ne nous ont pas aidé. A la base, nous étions un groupe de treize joueurs et avons dû parfois disputer des matchs à six…

De quoi es-tu fier?

Je suis surtout fier, que malgré les défaites qui se succédaient, nous avons réussi à maintenir l’équipe en P3.

As-tu des regrets?

Pas mal de regrets oui, car je suis certain qu’avec l’effectif de début de saison nous aurions pu faire beaucoup mieux. Malgré le nombre de treize joueurs au début, nous n’ avons pratiquement jamais su travailler en « cinq contre cinq ». Il y avait trop peu de présences à l’entrainement.

Quels moments forts conserveras-tu en mémoire?

Pour moi, le moment fort de la saison fut le match de la mort face à Dison-Andrimont. Si nous avions été battus, je crois que cela aurait été dur pour mon groupe de relever la tête.

Que penses-tu du niveau de la P3?

Le niveau de la P3 est de plus en plus relevé. Il y a toujours quelques cadors avec des effectifs qui rendraient certaines équipes de P2 jalouses.

Quels seront vos objectifs la saison prochaine?

Pour le prochain exercice, nous ne voulons pas revivre le même scénario que celui-ci. Pour cela, nous avons amené quelques nouveaux joueurs afin de rendre cette équipe encore plus compétitive. Nous prendrons toutefois match après match.

« Une saison avec plus de matchs mais moins longue »

Pour Liège & Basketball, Nicolas Paulus nous livre les souvenirs de ses pérégrinations à l’étranger qui ont fortement influencé son mode de pensée.

« Je suis rentré de Colombie voici un peu plus de deux semaines. Je dois encore m’arranger avec Kevin Reyserhove pour changer des matchs afin de repartir » rigole Nicolas Paulus. « Avec le boulot et le basket, c’est compliqué de trouver des semaines idéales pour partir… J’aimerais bien une saison avec plus de matchs – deux rencontre par semaine par exemple – mais plus courte. Et, surtout, qu’on arrête avec cette pause d’un mois à Pâques avant le dernier match de la saison qui soit n’a plus d’enjeu, soit est trop important pour y placer une si longue période sans compétition juste avant. Finir avant Pâques est tout à fait envisageable.« 

Pour « Polo », les vacances idéales sont celles où « après, tu as l’impression d’avoir tout fait à fond, à 100%, et que tu ne changerais rien à ton voyage si tu devais le refaire. » De multiples souvenirs lui viennent à l’esprit. « Chaque voyage a son ambiance, ses moments magiques… Pour ne pas les mentionner tous, je ne parlerai que de mon dernier voyage, en Colombie, qui était particulièrement spécial sur différents aspects » continue l’ailier du Rebond Neuvillois. « J’en retiens les succulents bons gros jambons, des « treks » sportifs où les bâtons n’étaient pas uniquement utiles pour le style et des spots magnifiques comme de petites balançoires en bois pour voir le coucher de soleil sur une île tropicale déserte. Le top pour un apéro inoubliable en bien des points.« 

C’est également un lieu d’Amérique du Sud qui a laissé à Nicolas la plus forte impression tout en le poussant à la réflexion. « Torres del paine, au Chili. J’y suis allé il y a deux ans. Tu marches, tu marches, et toutes les trente secondes, tu as une vue extraordinaire et différente de celle observée précédemment » nous raconte-t-il. « Cela te remet à ta place, dans ta petite condition d’humain pollueur et tu te dis vraiment: « Ce que je vois là, cette nature grandiose, ces ecosystèmes magiques, je suis en train de les détruire petit à petit, quotidiennement. » Quand tu observes cela, tu te rends comptes que tu n’as besoin que d’un petit sac à dos pour apprécier la vie. Tu vois de moins en moins l’intérêt de te tuer au taf. » Et d’ajouter: « Un autre truc positif quand tu t’émerveilles de choses à l’étranger, c’est que lorsque tu reviens en Belgique, tu commences à chercher des choses aussi merveilleuses… Et tu en trouves! Alors que tu pourrais simplement reprendre le rythme metro-boulot-dodo sans t’en rendre compte. »

En vacances, Nicolas n’élude pas totalement le basket. « C’est rare que j’ai l’occasion de jouer en voyage, notamment car je ne croise pas toujours les infrastructures suffisantes. Mais l’an passé, à Tenerife, je me suis probablement plus entrainé que si j’étais resté en Belgique. Résultat? Gros match en rentrant! Preuve en est que les vacances pendant la saison, c’est nécessaire. Mon coach me contredira peut-être mais je sais qu’il aime savoir que je prends du bon temps en voyage » conclut-il, malicieux.

Three in a row

Troisième victoire des jeunes Belgian Lions qui ont pris la mesure de la Slovénie.

Emmenés par Milan Samardzic – auteur de 13 points, 6 rebonds et 4 passes -, les jeunes Belgian Lions ont vaincu la Slovénie 85-69. Il s’agit de la troisième victoire de rang des U20 Belges. L’objectif de montée est pour l’instant respecté.

« Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu? »

Un an plus tard, nous reprenons notre série d’interviews décalées. Une série intitulée « Interview titre(s) », avec des champions (ou presque, pour cette fois). Pour répondre aux différentes questions, plusieurs titres de films ou de séries sont proposés à l’interviewé. Depuis Ibiza, où il coule des vacances « paisibles » avec deux de ses coéquipiers, Antoine Froidmont, qui a loupé d’un cheveu le titre avec Bellaire, se prête au quizz.

Antoine, quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre titre de champion, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Chronique d’une victoire annoncée » (documentaire sur le quotidien de Benoit Hamon dans la préparation des élections législatives et présidentielles en France en 2012), « Surprise, sur prise! » (émission de caméras cachées), « Le grand bluff » (émission TV de Patrick Sébastien), « Au-delà de la gloire » (fin américain sorti en 1980) ou « La dernière chance » (film américain sorti en 1972).

Je choisis « La dernière chance » car le groupe commençait à s’essouffler. Voilà quatre ans que nous essayons de monter en première provinciale!

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier ton équipe, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Une famille formidable » (Série TV française), « Les douze salopards » (Western américain), « Arthur et les Minimoys » (film d’animation sorti en 2006), « Intouchables » (film français sorti en 2011), « Les Papys font de la résistance » (film sorti en 1983).

Sans hésitation: « Une famille formidable« ! Nous sommes avant tout une bande de potes, certains sont un peu cons mais on se marre bien. Je suis personnellement venu à Bellaire uniquement pour cela.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre style de jeu, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Attaque » (film américain sorti en 1956), « Pour l’amour du jeu » (film américain sorti en 1998), « Secret défense » (film français sorti en 2008), « La rage au ventre » (film américain sorti en 2015).

« Attaque« . Nous avons pu montrer nos capacités à marquer beaucoup durant cette saison. Nous terminons meilleure attaque des deux séries de P2.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre saison, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Dépression et des potes » (film français sorti en 2012), « La couleur de la victoire » (fin américain sorti en 2016), « Sueurs froides » (film américain sorti en 1958), « Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu » (film français sorti en 2014), « Pour le pire et pour le meilleur » (film américain sorti en 1998), « La totale » (film français sorti en 1991).

« Qu’est ce qu’on a fait au bon dieu » en référence à nos deux défaites qui nous coûtent le titre. Sur les deux matchs, nous méritions de perdre le titre mais nous ne méritions pas de le perdre au regard de l’ensemble de la saison.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier ton entraineur, et pourquoi? Tu as le choix entre: « The Greatest » (film américain sorti en 1977), « Le grand blond avec une chaussure noire » (film français sorti en 1972), « On aura tout vu » (film français sorti en 1976), « Un incroyable talent » (film anglais sorti en 2013), « Le gourou » (film américain de 1969).

Choix assez difficile pour qualifier Gaël (rires). Je vais opter pour « The Greatest« . Avec ce choix, j’espère qu’il me donnera plus de temps de jeu (rires). Plus sérieusement, Gaël a fait du bon boulot. Je ne l’ai jamais caché, au départ je ne voulais pas être coaché par lui vu qu’il a le même âge que nous mais, au final, je suis très content.

Teodosic revient en Europe

Milos Teodosic quitte la NBA pour rentrer sur le vieux continent.

Le génial meneur serbe jouera la saison prochaine au Virtus Bologne. Teodosic devrait s’engager pour trois ans avec le club transalpin.

« Varsovie, terre de mes ancêtres »

Pour Liège & Basketball, Jérôme Niedziolka a ouvert son album de souvenirs de vacances. Interview.

Jérôme, c’est quoi pour toi des vacances idéales?

Ce sont celles que je peux passer en compagnie de ma compagne et de mon fils. Pouvoir profiter de nous trois est ce que je préfère.

Quels sont tes meilleurs souvenirs de vacances?

J’ai eu la chance de pouvoir partir au Mexique cette année avec ma compagne et mon fils. C’était magique! Plage de rêve, hôtel de luxe et grand soleil tout au long du séjour. Ce furent probablement les meilleures vacances de ma vie, j’en suis déjà nostalgique.

Quel lieu visité t’a laissé la plus forte impression?

Je suis allé à Varsovie l’année dernière avec des amis. Un city trip qui m’a laissé forte impression. La ville était géniale, les gens très accueillants et les bars pas très chers (rires). Tout cela dans le pays de mes ancêtres dans lequel je n’avais encore jamais mis les pieds.

Quelle fut ta pire expérience de voyage?

Je dois bien reconnaitre que je n’en ai pas encore vécu et j’espère que je n’en aurai jamais à raconter (rires).

Où pars-tu cet été?

Nous partons une semaine en Normandie avec la petite famille. Quelques visites sont au programme.

En vacances, tu tapes un peu la balle?

Je ne taquine pas beaucoup le ballon. Par contre, je cours pas mal et j’essaie d’aller à la salle le plus souvent possible. J’essaie surtout de profiter au maximum de ma famille car durant la saison, je suis absent au moins trois soirs par semaine. Je cherche donc à rattraper ce temps-là comme je peux!

Gros double-double pour Bratanovic

Emmenés par un Haris Bratanovic dominateur, les jeunes Belgian Lions ont dominé le Luxembourg.

Deuxième victoire de suite pour les jeunes Lions. Après la Macédoine, c’est le Luxembourg qui a dû s’avouer vaincu face à nos compatriotes. Bratanovic (14 points et 15 rebonds) est le grand bonhomme de cette rencontre.

« Une moustache éternelle et des pouvoirs mystiques »

Un an plus tard, nous reprenons notre série d’interviews décalées. Une série intitulée « Interview titre(s) », avec des champions. Pour répondre aux différentes questions, plusieurs titres de films ou de séries sont proposés à l’interviewé. POur cette première de 2019, c’est David Iliaens, champion incontestable avec Esneux en P2B qui se prête savoureusement à l’exercice.

David, quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre titre de champion, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Chronique d’une victoire annoncée » (documentaire sur le quotidien de Benoit Hamon dans la préparation des élections législatives et présidentielles en France en 2012), « Surprise, sur prise! » (émission de caméras cachées), « Le grand bluff » (émission TV de Patrick Sébastien), « Au-delà de la gloire » (fin américain sorti en 1980) ou « La dernière chance » (film américain sorti en 1972).

« Chronique d’une victoire annoncée » car tout le monde nous donnait favori de la série. Le piège résidait justement dans l’obligation de ne prendre personne de haut et de jouer chaque match à fond. Ce que nous sommes parvenus à réaliser car notre montée fut acquise après vingt victoires d’affilée.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier ton équipe, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Une famille formidable » (Série TV française), « Les douze salopards » (Western américain), « Arthur et les Minimoys » (film d’animation sorti en 2006), « Intouchables » (film français sorti en 2011), « Les Papys font de la résistance » (film sorti en 1983).

« Une famille formidable » car, comme dans une famille, nos âges ne sont pas les mêmes. Il y a les jeunots – 18 à 23 ans – et puis les « vieux » – 30 à 35 ans. Une génération d’écart, cela change parfois les choses et les opinions sur certains sujets.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre style de jeu, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Attaque » (film américain sorti en 1956), « Pour l’amour du jeu » (film américain sorti en 1998), « Secret défense » (film français sorti en 2008), « La rage au ventre » (film américain sorti en 2015).

« La rage au ventre« ! Nous montons toujours sur le terrain le couteau entre les dents et c’est en défense que toute cette rage s’exprime! L’attaque, nous ne nous en tracassons pas trop: tout part de derrière. En attaque, nous nous amusons.

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier votre saison, et pourquoi? Tu as le choix entre: « Dépression et des potes » (film français sorti en 2012), « La couleur de la victoire » (fin américain sorti en 2016), « Sueurs froides » (film américain sorti en 1958), « Qu’est ce qu’on a fait au bon dieu » (film français sorti en 2014), « Pour le pire et pour le meilleur » (film américain sorti en 1998), « La totale » (film français sorti en 1991).

« La couleur de la victoire« . Nous avons connu beaucoup de victoires différentes avec de gros écarts de points, de plus petits, en jouant bien ou moins bien mais, comme dirait MacFly: « a win is a win guys! »

Quel titre choisirais-tu parmi ces propositions pour qualifier ton entraineur, et pourquoi? Tu as le choix entre: « The Greatest » (film américain sorti en 1977), « Le grand blond avec une chaussure noire » (film français sorti en 1972), « On aura tout vu » (film français sorti en 1976), « Un incroyable talent » (film anglais sorti en 2013), « Le gourou » (film américain de 1969).

« Le gourou« . Personnellement, je pense que pour gagner un championnat avec une telle aisance et en n’utilisant que deux ssystèmes, il faut que le « sage » de l’équipe ait des pouvoirs quasiment mystiques. Est-ce dû à sa moustache éternelle? Il est vrai que lorsque toute l’équipe en a arborée une, nous nous sentions comme… intouchables! Affaire à suivre en P1 (rires).

« Les Belges semblent galvanisés! »

Pour Liège & Basketball, Nicolas Gustin, téléspectateur attentif et passionné du Tour de France, revient sur cette première semaine de compétition marquée par de belles performances belges.

Nicolas Gustin fait partie de cette caste de basketteurs amateurs de la petite reine. Inutile de préciser qu’en cette période estivale, le joueur de Huy se gave de cyclisme, littéralement scotché à son téléviseur. « Pour n’avoir raté aucune étape et avoir tout regardé en intégralité, je trouve que nous assistons à un beau Tour de France » sourit-il. « Le départ à Bruxelles était tout simplement magnifique, réunissant un public de connaisseurs et mettant en évidence notre Eddy national.« 

Comme pour faire honneur à un tracé audacieux et démarrant de notre plat pays, nos compatriotes brillent sur différents terrains. « Sur le plan sportif, cocorico avec plusieurs coureurs à sortir du lot » continue Nico. « Greg Van Avermaet a déjà réussi son tour en enfilant le maillot à pois au-dessus du mur de Grammont. Idem pour Wout Van Aert, impressionnant pour sa première participation à la grande boucle. Les « Lotto », sous la houlette de Wellens et De Gendt animent la course et montent sur le podium.« 

Pour sa troisième participation, Wanty Gobert (sans tiret pour laisser la place à un potentiel troisième partenaire futur), se distingue également. « Un vrai coup de chapeau à cette équipe qui justifie, comme chaque année, son invitation avec un Meurisse étincelant » souligne l’ancien « Castor ». « Enfin, indirectement, la dernière équipe belge, Deceunick-Quick Step a remporté un sprint avec Viviani, une autre victoire d’étape avec Alaphilippe qui a, de surcroit, porté le maillot jaune. Et que dire de l’apothéose fournie au public belge par Dylan Teuns, victorieux au sommet de la Planche des Belles Filles! » Un numéro imité deux jours plus tard par Thomas De Gendt. L’attaquant le plus célèbre de Belgique se glissait dans une échappée au longs cours et décramponnait progressivement tous ses compagnons avant de résister au retour d’Alaphilippe et Pinot pour franchir la ligne en solo. Magnifique exploit!

Une édition qui fera déjà date et qui augure peut-être encore d’autres belles surprises. « Je ne sais pas si c’est parce que ce tour fête les cinquante ans du maillot jaune d’Eddy Merckx ou parce que le départ avait lieu à Bruxelles mais on sent les Belges galvanisés. Pour la suite, nous pouvons rêver à d’autres victoires d’étape mais cela risque d’être compliqué de conserver un maillot distinctif (ndlr: quatre Belges dans les cinq premiers du classement de la montagne). Toutefois, impossible n’est pas belge, alors sait-on jamais… » conclut Nicolas.