« L’aventure en seniors se termine par un échec »

Appelé à la rescousse de la P1 de Sainte Walburge, Yves Dehousse n’est pas parvenu à « trouver des solutions pour rendre cette équipe performante » et a décidé de « passer la main » .

Les saisons se suivent mais ne se ressemblent pas. Après deux exercices victorieux en P1 à Haut-Pré et achevés par une montée en R2, Yves Dehousse avait pris un peu de recul avant d’accepter le poste de coach de la P1 de Sainte-Walburge en début de campagne.

En retard de préparation, les Sang et Marine courent encore après une première victoire en championnat. Cela se fera sans l’ancien mentor du Haut-Pré qui a décidé de passer la main. « Je quitte la P1 de Sainte Walburge mais pas le club où je coache toujours les U12 » nous informe Yves. « J’arrête la P1 car je ne trouve pas de solution pour rendre cette équipe performante alors que la qualités de joueurs est bien présente, mais ils ne parviennent pas à la démontrer en match. Pour moi, l’aventure en seniors se termine par un échec donc autant passer la main. « 

« Une main gauche peut être utile »

Ce mercredi, Liège & Basketball vous emmène à la découverte de Cassandra Urbany. Entretien fleuve avec la passionnée joueuse de Prayon.

Cassandra, peux-tu nous retracer ton parcours basket?

J’ai commencé à pratiquer ce sport dès l’âge de trois ans. Toute petite, j’étais déjà une grande passionnée. J’ai joué à Tilff ainsi qu’à Esneux jusqu’en pupilles. J’étais alors en sélection mini-basket également et l’un de mes plus beaux souvenirs reste le tournoi international de Fossombrone. C’était juste magique. Je suis ensuite partie à Montegnée où je suis resté sept saisons et où j’ai eu la chance d’évoluer plus rapidement en jouant dans deux équipes. J’ai reçu l’occasion de m’entrainer avec les équipes dames, ce qui m’a aidé à progresser ainsi que de pouvoir compter sur d’excellents entraineurs comme Guillaume Barbieux et Philippe Anthiersens.

Tu es ensuite retournée à Esneux.

Oui, dans mon club de coeur et pour sept années durant lesquelles nous avions un très bon groupe. Nous finissions chaque fois dans le top 3. J’avais des envies de monter en régionale mais ce n’était pas possible avec Esneux alors j’ai eu le déclic de partir à Pepinster durant une saison et demie.

Une saison et demie?

Oui car cela s’est assez mal terminé, il y avait des désaccords entre l’ensemble du comité, le coach et moi. Je ne garde aucun regret et je me suis dirigé vers Trooz, le club où je continue de pratiquer ce sport qui me passionne tant! Si le projet de R1 ne s’est pas fait, j’ai été très bien intégré par les filles de P1.

Une saison qui s’est conclue par une descente.

Notre équipe comptait de bonnes joueuses mais nous n’arrivions pas à concrétiser notre potentiel par des victoires. Cela nous a valu une chute libre et une descente en P2. Cela ne nous a toutefois pas affaiblies, bien au contraire, et nous sommes reparties motivées en P2 avec un nouveau coach qui nous apporte beaucoup.

Un évènement t’a profondément marquée.

Oui, la perte de mon papa m’a fortement changée sur le terrain. J’essaie de moins me prendre la tête car cela reste une passion et j’ai la chance de toujours avoir ma maman qui m’accompagne partout depuis ma plus tendre enfance.

Ton club de Prayon t’a d’ailleurs soutenue dans ces moments difficiles.

En effet, j’y ai rencontré de belles personnes qui m’ont soutenue après la perte de mon papa, un évènement dont je me remets difficilement car il était très présent au basket pour me crier dessus quand je n’en faisais qu’à ma tête ou quand je pétais les plombs, ce qui arrive moins souvent car j’ai mûri.

Qu’apprécies-tu à Prayon?

Outre les personnes que j’ai rencontrées, le côté familial du club m’a motivé à poursuivre le basket tout comme la confiance que l’on m’y accorde, tant sur le terrain qu’en dehors.

Tu t’y impliques d’ailleurs beaucoup.

Pour l’instant, je suis capitaine. On verra si je le reste mais je fais de mon mieux pour faire honneur à ce privilège et porter et motiver mon équipe. Je me suis investie pour créer des t-shirts de supporters et depuis cette saison je fais partie du comité et j’essaie de faire avancer le club au travers de différents organisations et projets.

Quels sont vos objectifs cette saison en P2?

La montée, directement. Nous sommes descendues alors que nous avions un bon niveau. Notre mauvaise gestion sur le terrain nous a coûté cher mais nous sommes toutes déterminées, ainsi que notre coach, pour conclure ce championnat la tête haute avec une montée à la clé et peu de défaites.

Comment juges-tu votre début de saison?

Personnellement, je dirais très casse-pied au début car notre nouveau coach est particulièrement pointilleux, ce qui n’est pas un défaut sauf quand l’on n’a pas de main gauche et qu’il veut qu’on la travaille (rires)! Ceci dit, je constate désormais que c’est bien utile et qu’une main gauche peut parfois servir (rires). Plus sérieusement, le travail commence à payer et malgré les arrivées de nouvelles joueuses et les grossesses, notre début de saison n’est pas mal du tout avec quatre victoires en autant de rencontres et nous allons continuer à avancer ensemble.

Comment juges-tu le niveau en P2 dames?

Difficile à dire car cela fait longtemps que je n’y avais plus évolué mais je remarque une grande différence avec le niveau pratiqué en P1. Alors qu’en P1 un match n’est jamais fini, en P2 le retour de l’adversaire devient beaucoup plus difficile dès qu’il y a un écart de points importants.

Revenons un peu à toi. Qu’est-ce qui te plait particulièrement dans le basketball?

Le jeu en lui-même me plaît, les aspects collectifs et combatifs surtout. Cela fait partie de ma mentalité de ne rien lâcher. J’adore jouer défense et aller récupérer des balles au sol. L’interception reste mon dada mais il faut vraiment que j’essaie de davantage convertir mes contre-attaques (rires).

Comment te définirais-tu en tant que joueuse?

Déterminée, surtout depuis la perte de mon papa, mon plus grand fan qui me répétait de ne jamais rien lâcher, combative, rapide, concentrée, râleuse, nerveuse et disposant d’une bonne lecture du jeu. J’encourage tout le temps, je crie beaucoup, je suis passionnée, parfois inconsciente. J’ai du mal à m’arrêter, même lorsque je suis blessée, ce qui m’a parfois joué des tours. Et je vais dire un peu shooteuse, aussi, car cela m’arrive de scorer quand il le faut, surtout en P2. Mais si je constate que cela ne veut pas rentrer, les assists fonctionnent très bien (rires). Enfin, il faut reconnaitre que j’ai toujours eu un sale caractère, ce qui m’a apporté du négatif comme du positif.

As-tu des modèles qui t’inspirent?

Julie Allemand et Emma Meesseman. Leur modestie et la simplicité de leur jeu rend le basket tellement beau. J’adore les regarder jouer, c’est juste « Waouh »! J’ai eu la chance de partir aux Etats-Unis en juillet dernier avec Game Time et d’assister à un match WNBA. C’était juste magique! Un basket propre et beau. J’apprécie aussi la NBA – LeBron James, Jordan et James Harden – même si je ne suis pas tous les matchs. Les moments forts me fascinent, surtout dans les matchs difficiles, ainsi que les shooteurs, les crosseurs, les belles phases de jeu.

Selon toi, quels sont les points communs et les différences entre basket féminin et masculin?

Actuellement, le jeu masculin est tout de même plus physique même si je trouve que le basket féminin l’est devenu davantage. Le basket féminin est plus « vicieux », les filles sont plus râleuses (rires). J’estime que le basket féminin est plus tactique que son homologue masculin qui est plus rapide et spontané. Les hommes arrivent plus vite à se trouver sur un terrain et, chez les filles, on remarque rapidement lesquelles ont joué avec des garçons en étant plus jeunes.

Quels sont les atouts du basket féminin pour séduire un plus large public?

Les shorts moulants (rires)! Non, je rigole bien sûr. C’est vrai que moins de spectateurs se déplacent pour les matchs féminin mais je crois que proposer du beau basket, remporter des matchs avec une vraie notion collective et une belle ambiance ne pourra qu’encourager le public à supporter des équipes féminines. J’espère que le basket féminin continuera de convaincre un plus large public car, en dames, nous proposons de belles choses aussi.

Retour victorieux pour Paulus dans un match fou

Un match complètement fou! Au terme d’un marathon de cinquante minutes, Neuville est venu à bout d’Andenne et a décroché sa deuxième victoire de la saison contre un concurrent direct. Reportage.

Retour victorieux pour Paulus! Le poste 3-4 du Rebond a fêté son retour de blessure avec 14 points, un match marathon et une victoire importante face à Andenne. « Cette victoire face à un concurrent direct pour le maintien fait du bien » souffle Vincent D’Alessandro.

Dans leurs installations, Warnimont (19 pions) et ses coéquipiers se retrouvaient menés 18-23 après dix minutes mais profitaient du second quart pour recoller au score. C’était 34-35 à la pause. La reprise était défensive et profitait à Delfosse (18 unités) et consort qui passaient devant. A la demi-heure, le marquoir affichait 48-44. Dans la dernière ligne droite, la bande de Jimmy Stas parvenait à recoller au score et à arracher la prolongation. Dans celle-ci, Neuville et Andenne ne parvenaient pas à se départager. Après quarante-cinq minutes de jeu, c’était 73 partout. Dans la deuxième prolongation, Elettrico (14 unités), Debry (10 pions) et leurs partenaires finissaient par émerger et l’emporter 85-82.

« Ce match s’est joué sur la concentration pendant cinquante minutes et sur l’envie défensive. Grâce aux consignes du coach – même si elles n’ont pas toutes été respectées – et au soutien des joueurs entre-eux et des encouragements du banc, nous avons su faire la différence » avance le jeune pivot neuvillois.

« Cette victoire nous fait énormément de bien pour les trois points qu’elle nous rapporte » souligne Nicolas Sumkay avant de tempérer les ardeurs. « En revanche, cette rencontre nous a permis de constater que malgré les progrès réalisés par l’équipe, nous avons encore pas mal de chemin a parcourir pour arriver au top de notre potentiel. »

« Un match rude à certains moments »

En P3A, Theux a décroché sa seconde victoire en allant s’imposer à Liège Basket, 58-68. Jason Dorjo revient sur cette performance et le début de saison de sa formation.

Jason, que retiens-tu de ce match?

Enfin un match référence et une très bonne victoire collective. Ce fut une rencontre chargée en intensité et rude à certains moments.

Qu’est ce qui a fait la différence en votre faveur?

Notre cohésion de groupe et les choix tactiques du coach, surtout lors de notre première mi-temps presque parfaite. Ce qui a également fait la différence, ce sont nos supporters qui on joué le rôle du sixième homme du début à la fin.

Que penses-tu de votre début de saison?

Pour le moment, elle se déroule bien avec une seule défaite au compteur. Nous somme à deux victoires en championnat avant le prochain match à Harimalia, un gros morceau qui nous attend.

Fin de parcours pour Ninane

En s’inclinant 64-97 contre Oxaco, Ninane quitte la Coupe de Belgique.

Les Calidifontains n’accueilleront malheureusement pas Mons-Hainaut. Sans Colette, ni Fassotte, la marche était trop haute face à la solide TDM1 d’Oxaco et Ninane s’est incliné 64-97. Un revers qui met fin au parcours des Ninanais dans la compétition.

« Devenir plus régulier pour retrouver mon vrai niveau »

Ce vendredi, l’ABC Arena abritera un derby entre des équipes de Belleflamme et Comblain qui ont cruellement besoin de points. Pour l’occasion, Liège & Basketball s’est entretenu avec Damien Aussems.

Damien, quel bilan intermédiaire dresses-tu de votre début de saison?

Un bilan mitigé avec des prestations vraiment abouties et d’autres franchement pas bonnes. Avec un peu plus de réussite, notamment contre Geel, nous aurions pu compter une victoire de plus.

A titre personnel, comment te sens-tu cette saison?

Je me sens mieux cette saison. Je reçois davantage de temps de jeu et je retrouve petit à petit le rythme et ma condition physique. Je dois maintenant devenir plus régulier – un peu comme contre Geel – pour retrouver définitivement mon vrai niveau et aider l’équipe à se sauver, sportivement cette fois.

Ce vendredi, vous recevrez Comblain pour un derby des mal classés. C’est déjà un match à ne pas perdre?

C’est effectivement un match important mais pas décisif car la saison sera encore très longue… Nous avions commencé par un quatre sur six la saison dernière pour terminer avec huit victoires. Il s’agit toutefois d’un derby important à remporter à domicile. Comblain n’est pas une équipe facile à manoeuvrer et nous devrons aborder ce match le couteau entre les dents.

« Un duo Noel/Francken prolifique derrière l’arc »

A Herve-Battice, Verlaine a fait parler la poudre.

Ce samedi, Verlaine s’est imposé 44-70 à Herve-Battice. « Ce déplacement était délicat car nous n’étions que sept » nous informe Xavier Maleux. « Le coach avait insisté pour que nous soyons directement agressifs défensivement, ce qui nous a permis de reléguer notre adversaire à dix longueurs après dix minutes.« 

En plus de leur défense imperméable, les Verlainois faisaient parler la poudre de l’autre côté du terrain. « Nous avons pu compter sur un duo Noel/Francken prolifique derrière l’arc avec cinq triples inscrits par chacun des deux. Je suis très fier de ce groupe qui prend chaque match de façon sérieuse » conclut le Président du matricule 2700.

« Il était temps de débloquer le compteur »

Dans le derby entre Haneffe et Huy, ce sont les troupes de Lionel Bosco qui l’ont emporté, matérialisant ainsi leur première victoire de la saison et plongeant les Templiers plein doute. Une vraie satisfaction pour Louis Dedave et ses coéquipiers.

Dimanche matin, alors que les premiers rayons de soleil inondaient les larges prairies de Hesbaye, Templiers et Hutois avaient rendez-vous pour le derby des mal classés. A gauche, Haneffe, une seule victoire en quatre rencontres. A droite, Huy, quatre revers en autant de sorties. De quoi aiguiser les appétits avant d’en découdre.

Les Templiers, bien que privés de Benoit Tassin, rentraient parfaitement dans la partie. Mika Berger (18 points), Kevin Palazy (24 unités) et leurs coéquipiers menaient 25-21 après dix minutes et 52-41 à la pause après avoir compté près de vingt points d’avance.

A la reprise, la physionomie du match changeait. Dedave (9 pions), Jaco (13 unités) et leurs partenaires ramenaient Huy à 66-64 à la demi-heure. Le dernier quart allait s’avérer étouffant. Devant au tableau d’affichage à moins d’une minute du terme, les Templiers allaient voir Mornard (23 points) décrocher la prolongation. Dans celle-ci, Swolfs (34 pions) continuait son récital pour offrir la victoire aux Hutois.

« Cette victoire fait du bien et enlève un petit peu de pression sur le groupe car il était temps de débloquer le compteur » souffle Louis Dedave. « Cela peut booster la confiance du groupe et des jeunes en particulier. Nous avons pu faire la différence grâce au rythme que nous avons su mettre dans cette rencontre et à la bagarre du rebond que nous avons bien gérée. Il ne faut pas oublier non plus les superbes prestations de Swolfs et Mornard qui ont sorti un tout gros match. »

Grâce à ce premier succès, Huy rejoint Haneffe au classement. « Nous allons avoir un match très compliqué contre Tilff mais, après, nous enchainerons avec deux ou trois rencontres plus abordables. Nous devrons être à nouveau à 100% pour emmagasiner un maximum de victoires » conclut Louis.

« Benoit Blanchy était partout! »

A domicile, Spa a bien failli décrocher sa première victoire mais un grand Blanchy aidait Hannut a décrocher la prolongation et la victoire. Pour Liège & Basketball, Virgile Materne nous fait revivre cette rencontre à suspens.

Dans leurs installations, Huby (21 pions), Muller (15 unités), Bonni (18 points) et leurs coéquipiers démarraient parfaitement la rencontre et prenaient rapidement l’avantage. Les Bobelins allaient mener au score pendant trente minutes tandis que Blanchy (33 pions) tentait de maintenir les Hesbignons dans la partie. Dans les dix dernières minutes, Lambert (10 points), Materne (9 unités), Bielen (12 pions) et leurs coéquipiers solidifiaient leur défense et recollaient au score pour arracher la prolongation. La suite appartient à l’histoire. L’intégralité du match commenté sur Vedia est visible ici.

Virgile, qu’as-tu pensé des Bobelins?

Nous avons rencontré une très bonne équipe de Spa qui est rentrée d’emblée dans la partie tandis que nous avons encore un peu trop pris notre temps.

Qu’est-ce qui clochait en début de rencontre?

C’était surtout notre défense qui laissait à désirer car, en attaque, nous pouvions compter sur Blanchy qui était partout. Un grand bravo à lui pour la prestation qu’il a sortie!

Vous étiez menés à la pause et la reprise n’arrangeait rien.

Exact, nous étions en déficit à la mi-temps et rien ne semblait s’améliorer dans le troisième quart. Nous revenions de temps en temps mais les Bobelins recreusaient ensuite leur avance. C’était dix minutes de yo-yo.

Le dernier quart fut par contre bien plus positif.

Nous avons davantage « pressé », nous avons proposé une très bonne défense et nous étions assez efficaces en zone de conclusion. Cela a mis les Spadois en difficulté et nous avons décroché la prolongation.

L’instant de vérité.

Que nous avons très mal débuté! Dans les deux premières minutes du temps additionnel, nous avons encaissé une contre-attaque, deux lancers et hérité d’une faute technique. Malgré cela, nous sommes restés au contact et l’expérience de nos joueurs a ensuite porté ses fruits. Nous sommes allés chercher des fautes et avons assuré nos lancers pour décrocher cette victoire à l’arraché.

« Nous avons joué trois quart-temps sans notre coach »

A Waremme, Bellaire a décroché une superbe et importante victoire, 78-101. Antoine Froidmont revient sur cette rencontre.

A Waremme, les Blue Rabbits démarraient bien la rencontre. Après dix minutes offensives, Bellaire menait 27-30. Les visiteurs allaient profiter du second quart pour accroitre leur avantage. A la pause, le marquoir affichait 46-59. La reprise était davantage équilibrée, Lambion (20 unités) et ses partenaires limitaient la casse mais les promus profitaient du dernier quart pour assurer définitivement leur victoire, 78-101.

Antoine, cette victoire fait du bien?

Oui, elle fait du bien au moral, nous en avions besoin.

Que retenir de ce match?

Nous avons joué trois quart-temps sans Gael Colson car il avait match avec la R1 d’Atlas mais nous avons quand même su augmenter progressivement la pression pour prendre plus d’avance au marquoir. Pourtant, nous avons encore commis trop d’erreurs défensives, nous encaissons de nouveau presque 80 points.

Où la différence s’est-elle produite?

La différence a commencé à se faire lorsque nous avons bien géré le rebond pour partir en contre-attaque et pouvoir ensuite jouer plus sereinement.