« Le but de la nationale est quand même de se confronter aux Flamands »

Routinier de la D3, Thomas Waonry évoluera la saison prochaine dans une sorte de « super régionale ».

Finalement, les entités flamandes et wallonnes seront scindées la saison prochaine. « Je trouve cela vraiment dommage » nous confie Thomas Waonry. « Nous trouvons cela chouette d’avoir autant de derbies en TDM2 mais le but de la nationale est quand même de se confronter aux Flamands. »

Les conséquences – positives ou négatives – pourraient être multiples pour nos représentants. « Je ne sais pas quel impact cette décision aura sur les ambitions de notre club ou de l’équipe » ajoute le nouvel intérieur de Ninane. « Je me réjouis juste de fouler à nouveau les parquets. »

« Nous viserons le Top 3, Comblain sera favori »

Avec Belgrade, Maxime André sera ambitieux. Le scoreur namurois analyse les nouvelles séries de TDM2. Interview.

Maxime, que penses-tu de cette désision de scinder la TDM2 en deux séries linguistiques?

Je suis déçu. Je pense que cette décision n’est pas bonne pour la basket wallon – même si ce ne sera normalement que pour une saison. Affronter les équipes du Nord du pays améliore le niveau de la compétition. Ce n’est pas pour rien qu’il n’y a pas beaucoup d’équipes wallonnes en TDM1…

Quels conséquences cela a-t-il pour ton club de Belgrade?

Cela entrainera évidemment moins de déplacements mais quand on joue en nationale, on sait que normalement il y en aura. Apparemment, ce n’est pas le cas de Neuchâteau. C’est sûrement encore Nicolas Sturam qui s’est plaint (rires).

Cela peut-il vous permettre de revoir à la hausse vos ambitions?

Avec les néerlandophones, la série aurait été plus relevée. Désormais, il y aura moins d’équipes ambitieuses comme pouvaient l’être Anvers, Geel où Tongres. Nous devrons viser le Top 3. Cela sera une série très ouverte et, même si cela reste jeune, Comblain sera favori.

« Un pas en arrière pour la Wallonie »

Du côté des Tongrois Olivier Macfly et Julien Walravens, les réactions aux nouvelles séries de TDM2 sont assez mitigées, entre enthousiasme, dépit et inquiétudes globales.

« C’est une décision complètement absurde!« , s’emporte Julien Walravens. « Nous sommes en nationale, les clubs qui râlent pour les déplacements n’ont qu’à descendre de division(s). Nous sommes un tout petit pays et nous arrivons encore à râler parce que nous devons faire deux heures ou deux heure trente de route pour disputer un match! C’est honteux.« 

La saison prochaine, Tongres n’affrontera ainsi que des formations flamandes. « Cette série sera bien plus forte que la série wallonne – c’est une évidence – mais cela ne me dérange pas du tout. De plus, nous pourrons jouer contre des équipes contre qui nous n’avons pas l’habitude de jouer: c’est top » avance l’ancien Carrier. « Mais je regrette quand même de ne pouvoir jouer quelques matchs contre les Liégeois. Cela fait toujours plaisir d’affronter des adversaires que l’on connaît.« 

Le côté festif et chaleureux va me manquer

Pour l’éternel optimiste qu’est Olivier Macfly, il y a du positif mais aussi de réelles inquiétudes concernant l’avenir à moyen terme. « Cela va faire quelques arrêts pompes et plusieurs weekends à la mer » prédit, à l’instar de Yoann Hertay, le coach de Tongres. « Cela reste une décision assez surprenante. J’ai reçu plusieurs sms et coups de fil de joueurs et coachs wallons assez surpris et déçu. »

Si certaines ambiances vont manquer au mentor des Limbourgeois, c’est surtout pour l’avenir du basket en général que les inquiétudes sont de mises. « Pour la Wallonie, on va vers une « super régionale », ce n’est pas très excitant. Il y aura plus de derbies et d’ambiance du côté de Liège, c’est un fait certain et ce côté festif et chaleureux va me manquer. C’était toujours un réel plaisir d’accueillir nos amis liégeois à Tongres » souligne Macfly. « Mais sportivement parlant, c’est clairement un pas en arrière pour la Wallonie. Le niveau dans le nord du pays est beaucoup plus relevé et jouer des matchs contre des équipes très compétitives aide sans aucun doute à progresser. » Et de conclure: « Notre série s’annonce ultra-compétitive, je me réjouis déjà.« 

« D’énormes tacticiens et des playbooks assez étoffés »

La crise sanitaire et le confinement, Obradoiro et la Liga Endensa, le championnat belge et le projet de BeNeLeague, les Lions et Dario Gjergja: autant de sujets abordés par Maxime De Zeeuw pour Liège & Basketball. Entretien.

Maxime as-tu vécu cette situation inédite et ce confinement?

Il m’a fallu énormément de temps pour comprendre la gravité de la situation. Je me souviens être, à l’époque, en train de regarder les news et me dire que ce qui se produisait en Chine n’arriverait jamais chez nous. C’était également très difficile d’expliquer la situation à mes enfants et, surtout, qu’ils prennent réellement conscience de ce qu’il se passait. Le vingt avril, après plus de six semaines de confinement strict, la ligue espagnole décidait de jouer la fin de la saison sans notre club – et d’autres. J’ai donc pris la décision de rentrer en Belgique en voiture le plus vite possible. Nous sommes depuis le vingt-trois avril à la maison et la vérité est que nous sommes bien mieux ici. Nos vivons très bien ce confinement. Nous sommes fort occupés à la maison, nous faisons aussi des balades et du sport.

Selon un récent sondage, la majorité des joueurs du championnat espagnol sont contre la reprise à huis-clos du championnat. Quelle est ta position sur le sujet?

Je suis contre. J’ai récemment regardé la reprise de la Bundesliga et je trouve ridicule de devoir jouer dans des stades vides, sans les fans. Faire plaisir aux gens et provoquer des émotions, c’est la base du sport. En tant que sportif professionnel, tu as besoin de ce soutien en match.

Avec une quatorzième place au général au moment où le championnat fut stoppé par le Covid-19, quel bilan peux-tu déjà dresser de ta saison avec Obradoiro?

Nous étions certes dans le bas du classement mais nous étions aussi fort proches des Playoffs. Les clubs se tenaient dans un mouchoir de poche et cela montre à nouveau le niveau de la Liga Endensa. Mais pour faire un vrai bilan, il aurait fallu finir la saison.

Et au niveau personnel et de tes prestations, comment juges-tu ta saison?

Je suis un peu déçu de mon temps de jeu. Suite à mes blessures de la saison précédente, le club avait recruté durant l’été en pensant que je n’allais pas revenir à 100%. Mais après avoir bossé dur durant la période estivale, je suis revenu à 100%… Je ne peux pas expliquer mon faible temps de jeu, surtout que j’étais performant à l’entrainement et lors des matchs où je jouais beaucoup.

Sous le soleil espagnol, Max peut voir la vie en rose.

Tu évolues dans la deuxième meilleure ligue du monde. Quelles sont les spécificités de la Liga Endensa selon toi et quelles différences as-tu pu noter avec les championnats belge et allemand?

Le niveau de chaque rencontre est élevé. Il n’y a pas un seul match où tu peux te dire que cela va être facile. Tout le monde peut battre tout le monde et tous les joueurs sont plus techniques qu’en Allemagne ou en Belgique. Chaque erreur se paie cash. De plus, les coachs sont tous d’énormes tacticiens et les playbooks sont généralement assez étoffés.

Tu as, par le passé, joué plusieurs années dans le championnat belge. Quelle est ton opinion sur l’évolution de la ligue?

Je regarde encore assez souvent des matchs de la ligue belge et force est de constater que la ligue est un peu malade. Les budgets continuent de diminuer chaque année, les spectateurs désertent les salles… Cela reste malgré tout une très bonne ligue et nous avons la chance d’y avoir de très bons joueurs.

Es-tu favorable à une BeNeLeague?

J’y suis favorable car cela apporterai un vent de fraicheur. Cela pourrait permettre d’augmenter le niveau du championnat, attirer plus de sponsors et de bons joueurs.

Quels sont tes projets et tes envies pour la prochaine saison?

J’aimerais pouvoir continuer de jouer à l’étranger pendant encore deux ou trois ans. Je verrai pendant l’été ce qui viendra car il est trop tôt pour se projeter, surtout après cette crise sanitaire qui aura forcément fait beaucoup de mal aux clubs partout en Europe.

Tu es un membre important des Lions. Qu’est-ce que l’arrivée de Dario Gjergja a pu changer et peut changer pour notre équipe nationale?

Je n’ai passé que dix jours avec lui pendant la dernière trêve et j’ai été très agréablement surpris par l’homme. C’est un vrai plus de pouvoir compter sur un coach pareil. C’est un véritable meneur d’hommes qui est extrêmement motivé et passionné, un coach droit qui implique tout le monde. Cela apporte un renouveau chez les Lions qui fait plaisir à voir.

Finalement, qu’est-ce qui t’a marqué cette saison?

L’ampleur de cette crise, sans hésitation. Cela va complètement changer notre manière de vivre dans les mois et les années à venir. C’est très difficile de se projeter et c’est frustrant. Mais il faut l’accepter et essayer d’en tirer le maximum de positif. J’ai pu passer énormément de temps avec ma famille et cela m’a aidé à penser à autre chose, à relativiser et à réaliser ce qui compte réellement dans la vie.

Un véritable stretch four.

Crédit photo: ACB et Obradoiro


« Un gin made in Belgium et en édition limitée

Deux basketteurs liégeois lancent leur propre Gin. Genèse d’un succès annoncé.

« Cela fait maintenant quelques années qu’avec mon meilleur ami Marvin Lizein – qui viendra me rejoindre à Aubel la saison prochaine – nous nous disions que ce serait top de bosser ensemble sur un projet » commence Fred Perin. « Un soir de novembre 2019, alors que nous prenions l’apéro, l’idée de créer notre propre breuvage apéritif nous est venue. Nous étions déjà amateurs de bon gin à ce moment-là, nous avons donc mixé ces deux idées. »

L’idée fait son chemin et Fred et Marvin planchent sérieusement sur la question. « Il a d’abord fallu creuser petit à petit les renseignements et cela nous a pris pas mal de temps. Nous avons vraiment démarré de zéro » nous précise l’homme aux 62 points. « Nous nous sommes renseignés dans plusieurs distilleries et près d’autres fournisseurs (bouteille, bouchons, étiquettes) pour pouvoir faire nos choix. Huit mois plus tard, tout était peaufiné et notre gin sortira mi-juin. »

Très frais pour déguster au soleil

Une production dont les deux compères peuvent être fiers. « Nous ne voulions pas sortir un simple gin, nous voulions un concept derrière la boisson » ajoute Fred. « Nous avons choisi de produire un gin entièrement made in Belgium, aux arômes naturels et, surtout, en édition limitée. Voilà pourquoi nous avons choisi d’appeler notre marque « Hundred » car ces éditions limitées seront produites uniquement par centaines d’exemplaires. Chaque bouteille aura son propre numéro gravé dessus et la première recette sort à trois cents exemplaires. »

Une première version qui se vend comme… des petits pains! « Nous avons eu beaucoup de succès ces derniers jours, il reste moins de septante bouteilles disponibles » sourit l’Aubelois. « Par ordre de prédominance, notre première recette est aux arômes de vanille, pastèque, zeste de citron et concombre. C’est très frais pour déguster au soleil l’été. »

Les deux comparses ont de la suite dans les idées. « Notre deuxième recette sortira dans quelques mois, toujours en édition limitée. Mais nous prévoyons aussi de sortir un gin à édition illimitée pour pouvoir en profiter à n’importe quel moment de l’année » conclut Fred.

Toutes les informations complémentaires se trouvent sur la page Facebook « Hundred Gin » et les commandes se font via le site internet www.hundredgin.be. Dans la mesure du possible et en fonction des kilomètres, les deux jeunes entrepreneurs offrent la livraison pour le commencement.

Un front commun des Wallons?

A Neufchâteau, la décision de scinder la TDM2 ne plaît guère.

Mercredi, Marc Hawley réagissait à la décision de scinder la TDM2 entre Flamands et Wallons pour la prochaine saison. « Je trouve ça triste. Pourquoi les deux côtés linguistiques devraient-ils être scindés? Nous n’avons jamais fonctionné ainsi. Pourquoi maintenantC’est le début de la fin » nous confiait le mentor des Chestrolais.

Une opinion partagée par Alexandre Billot, intérieur emblématique – passé par le Sport-Etudes-Basket de Liège Atlas – de Neuchâteau et désormais directeur technique du cercle luxembourgeois. Dans un excellent article de La DH/Les Sports+, l’ancien intérieur des chestrolais réfute totalement l’hypothèse que cette solution était prônée par le BCCA et affirme avec force que Neufchâteau ne souhaite nullement un championnat « régionalisé ». Alexandre Billot en appelle à un front commun de tous les clubs wallons afin d’avoir suffisamment de poids pour contester les nouvelles séries de TDM2. Une réunion devrait vraisemblablement avoir lieu ce jeudi soir.

Le sujet est également développé par TVLux sur ce lien.

La Belgique fout le camp !

Après que Ninane ait abattu ses ultimes atouts en retard, on a assisté à une redistribution des cartes en TDM2. C’est alors engagé une « bataille » communautaire qui n’est franchement pas une « réussite ». Un « strip poker » qui déplume encore davantage le basket belge. Sans oublier la reconversion de Serge Crevecoeur. Ce sont les infos d’EMCE.

La future D3 n’aura plus rien de nationale : à qui la faute ?

En dépit de certains démentis de circonstance, il est clair qu’un pas supplémentaire a été franchi, hier soir, en direction de la scission linguistique du basket belge. L’AWBB a introduit deux nouvelles propositions afin d’éviter ce scénario-catastrophe. A chaque fois, elles ont été rejetées par les responsables néerlandophones. Ceux-ci arguent du fait que les seules réclamations venaient de clubs wallons se plaignant de la longueur des déplacements. Bref, on aura droit à deux super régionales qui n’auront plus rien de nationales. Lamentable ! On retrouvera donc Neufchâteau, Nivelles, Woluwe, Royal IV, Anderlecht, Gembloux, Belgrade, Pepinster, Esneux, Comblain, Sprimont, Ninane et Spa, d’un côté. Falco Gand, Audenarde, Oostkamp, Sijsele, Gistel, Louvain B, Vilvorde, Aarschot, Tongres, Hasselt, Anvers B, Geel, Willebroek et Kangoeroes B, de l’autre. Une formule qui, promet-on, n’est valable que la prochaine saison. Mais on sait qu’en Belgique le provisoire devient vite définitif.

D 1 dames : et une Américaine de plus à Namur Capitale

Sûr que Namur Capitale n’achète pas un chat dans un sac en enrôlant Courtney Range (25 a, 1,90 m). En effet, la longiligne Américaine (16,8 pts, 11,8 rbs) était, la saison passée, sous les ordres de Jan Callewaert à l’Elfic Fribourg (D1 sui). Pour rappel, celui-ci officiera désormais au hall Octave Henry de Saint-Servais. Auparavant, elle avait successivement loué ses services au TC Herner (D1 all, club de Chloé Bully) puis au CB Bembibre, (D1 espagnole, nord-ouest du pays). Attention, l’intéressée n’a plus joué depuis l’automne dernier suite à une fracture de fatigue du tibia.

Serge Crevecoeur devient « coach individuel »

Il y a quelques jours, le Bruxellois a accordé à une assez longue interview à un confrère d’outre-Quiévrain. Toujours aussi à l’aise dans cet exercice, il a notamment eu cette formule : « Il est évident que Tony Parker devient le patron du basket français ». Dans la foulée, il a confié qu’il était en pleine reconversion vu les circonstances : « A l’heure actuelle, je me transforme en coach individuel : de foot pour mon fils et de hockey sur gazon pour ma fille (rires) ». En attendant, l’ancien mentor de Pau ne sait toujours pas s’il sera reconduit chez les « Maritimes » de Gravelines. Ce qu’il espère ardemment.

Terrain extérieur : Andenne, sa place des Tilleuls et son kiosque

Il n’était guère insurmontable de trouver le terrain extérieur d’Andenne. Celui-ci se trouvait sur la place des Tilleuls où le célèbre kiosque était pris d’assaut à chaque rencontre. Le trio d’internationaux – dont il était question hier – se composait d’Etienne Bodson, de Christian Tirtiaux et de Pierre Cornia. Les basketteurs de la cité chère à Roger Laboureur prestèrent là-bas de 1949 (fondation du club) à 1972, année de l’inauguration du complexe sportif. Un évènement présidé, à l’époque, par le ministre Namèche qui n’était autre que l’oncle de Luc (Pepin, Awans, Stavelot, Welkenraedt, etc…).

Michel CHRISTIANE

Un meneur en provenance de Croatie pour Liège Basket

Liège a trouvé son meneur pour la prochaine saison.

« VOO Liège Basket est heureux de vous annoncer qu’il a trouvé son meneur européen !Il s’agit de Lovre Basic qui est croate. Il est né le 10 janvier 1995 et mesure 1m90. Il a joué de 2012 à 2019 à Zadar puis cette saison à Osijek » communique le club principautaire sur sa page facebook. « C’est un meneur talentueux, qui sait marquer mais aussi faire marquer ses coéquipiers, voici ses stats : 13,6 points et 8,6 assists par match. »

Avec son club, Basic a terminé sixième du championnat croate cette saison.

Le Top 3 de Vince Carter

Vince Carter livre son Top 3 de l’Histoire.

Jordan, Kobe Bryant et LeBron James. C’est, dans cet ordre, le Top 3 des meilleurs joueurs de l’Histoire selon Vince Carter. « « LeBron a encore une opportunité de passer Kobe selon ce qu’il fera d’ici la fin de sa carrière », prévient Vince Carter. « S’il retourne encore en finales, il faudra lui donner du crédit. 10 finales jouées ? C’est fou. Donc je dis aux gens d’attendre. Attendons que chacun finisse sa carrière et là on pourra faire un débat. »

« Nous voici tous en R1… »

Tom Ventat d’Esneux et Jérôme Jacquemin de Sprimont réagissent aux nouvelles séries de TDM2.

En apprenant que les séries de TDM2 était finalement scindées entre Flamands et Wallons, la réaction de Jérôme Jacquemin fut sans équivoque. « Nous voici tous en R1… J’espère vraiment que les clubs ne se laisseront pas faire. Si cela reste comme ça, c’est le basket qui est perdant !« , s’exclame le nouvel entraineur de Sprimont.

Un constat partagé par Tom Ventat qui évolue en double affiliation à Esneux et Saint-Louis. « Cela fait deux ou trois ans que la BVL parle d’un R0. Les clubs flamands y seront habilement arrivés si l’AWBB se laisse faire » rappelle le jeune meneur. « Il y a déjà un écart entre le Nord et le Sud, là le fossé risque de se creuser encore davantage. Cependant, je ne crois pas que ce sont encore les séries définitives. Les clubs vont réclamer et, encore une fois, nous trouverons une solution pour revenir au point de départ. »

Le début d’une nouvelle saga?