« Comme la restauration ou la culture, le sport est un univers qui rassemble »

Quand le basketball pourra-t-il reprendre ses droits? Un peu partout dans le monde, tant au plus haut niveau que chez les amateurs, cette question demeure (presque) insoluble.

Dans un entretien accordé au magazine Le Point depuis sa résidence dans l’Utah, Boris Diaw s’est penché sur la question du sport en cette période de pandémie mondialisée. « Le sport est un oublié du déconfinement. C’est évident, ce n’est pas quelque chose qui peut recommencer tout de suite. Comme la restauration ou la culture, le sport est un univers qui rassemble et, avec une telle crise sanitaire, cela paraît compliqué. Surtout les sports collectifs comme le basket. C’est du contact, beaucoup de contacts, et les joueurs ne peuvent s’affronter ou s’entraîner ensemble. J’ai bien peur que la reprise du sport soit la chose que l’on va repousser le plus. C’est d’autant plus triste pour les sports collectifs » a développé « Babac ».

Invité à réagir aux déclaration de la Ministre des Sport qui affirmait que « le sport n’est pas la priorité dans notre société« , Diaw a livré sa vision des choses. « Comparé à l’ouverture des magasins alimentaires, évidemment que cela n’est pas quelque chose d’essentiel, dans une période d’urgence sanitaire et de survie. Il n’empêche : le sport touche aussi au moral des Français. C’est un élément clé de notre santé. On l’a tous vu : qu’ont fait les gens de la seule heure de sortie qui leur était autorisée pendant le confinement ? Du footing. Cela reste un besoin essentiel certes secondaire, mais essentiel dans notre société » a-t-il assuré au Point.

Alors que la Bundesliga a repris ses droits en Allemagne, la NBA étudie l’hypothèse d’une reprise à huis-clos dans un lieu unique. « Cela apparaît très compliqué de reprendre. Le problème pour la NBA est financier, parce que l’arrêt impacte les droits télévisés, des pertes d’argent pour les joueurs et pour les clubs, qui font travailler de nombreuses personnes. Le championnat américain est une grosse multinationale qui marche, comme d’autres, sur des œufs : le risque financier ou le risque sanitaire ? La NBA, ce n’est pas que des jeunes joueurs en pleine forme. Ces derniers sont au contact d’arbitres, de dirigeants, de kinésithérapeutes, etc. Il suffirait d’un seul problème sanitaire pour ternir la réputation de la NBA. Et, là aussi, les conséquences seraient dramatiques » analyse Boris pour le média français.

« Qu’est-ce que LeBron a fait pour construire une organisation? »

Pour Paul Pierce, LeBron James ne fait pas partie du Top 5 des meilleurs joueurs de l’Histoire. Voilà pourquoi.

« Voilà pourquoi : et tout part de l’épisode 10 de The Last Dance lors duquel on voit Michael Jordan dire: je veux construire une organisation similaire aux Boston Celtics, aux Sixers, et et nous connaissons tous la tradition des Lakers. Tous les grands joueurs ont construit la tradition de leur franchise, Kareem (Abdul-Jabbar) et Magic (Johnson), et Kobe (Bryant) et Shaq ont perpétué cette tradition, 3 titres ensemble, 2 pour Kobe à lui seul. (Larry) Bird a perpétué la tradition avec les Boston Celtics en remportant 3 titres. (Michael) Jordan a démarré une tradition à Chicago, avec 6 titres. Les Spurs, avant que Duncan arrive, ils n’étaient même pas sur la carte. Il a construit cette organisation. Donc quand je regarde en arrière et que je parle de ces joueurs, qui sont dans le Top 5, ils ont construit une franchise ou perpétué la tradition, je me demande : Qu’est-ce que LeBron a fait pour construire une organisation ? Ces joueurs dont je parle, ils sont tous dans le Top 5 ou le Top 10. Bill Russell a construit la franchise de Boston, et on devrait lui donner bien plus de crédit qu’on ne le fait, on l’oublie très souvent dans la discussion. Écoutez les noms que je donne :  Kareem, Magic, Jordan, Tim Duncan, Kobe, Larry. Ces gars sont des joueurs du Top 10 qui ont, soit aidé à construire leur organisation ou soit perpétué la tradition. LeBron est allé assembler une équipe à Miami. Puis il est revenu à Cleveland pour assembler cette équipe. Puis il est allé aux Lakers, là où la tradition était encore là, et il va falloir être patient pour voir si elle va être perpétuée. Voilà mon argument » a développé Pierce pour ESPN.

Quelle était la différence entre Kobe et MJ?

Une bague, plusieurs titres de MVP et de MVP des Finals, de meilleur scoreur ou de meilleur défenseur de la ligue répondront certains. Rick Fox, ancien Tar Heel et coéquipier de Bryant, livre son opinion.

« Que vous le vouliez ou non, Mike était en compétition avec vous. Il ne pouvait pas rouler de Chapel Hill à Wilmington sans faire la course. Michael voulait tout gagner », raconte l’ancien champion NBA.

« Je pense que Kobe est surtout en compétition avec lui-même. Il se met au défi et se fixe des objectifs et il a juste besoin de gens autour de lui pour l’accompagner. Il pratique un sport individuel au sein d’un jeu d’équipe. Et il domine. Mais dès qu’il est sorti du terrain, il ne cherche plus à faire la compétition avec vous. Il était obsédé par les objectifs qu’il s’était fixé à 15 ou 16 ans. »

« Pour l’instant, nous voulons juste jouer »

Avec la nouvelle mouture des séries de TDM2, Comblain et Clément Matisse se positionnent encore davantage pour le titre.

Mardi soir, la décision de scinder les séries de TDM2 était prise. « Une décision assez inattendue et cela va faire assez bizarre pour nous. Néanmoins, il n’y aura pas beaucoup de changements pour nous à part les longs trajets » rigole Clément Matisse.

Déjà unanimement pointé parmi les candidats au titre lors de la parution des séries intiales, Comblain deviendrait-il, sans la présence des clubs flamands, le super favori? « Nous restons avec les mêmes objectifs. Nous serons ambitieux quand nous aurons le droit de rejouer au basket. Pour l’instant, nous voulons juste jouer » nous répond le futur ailier du Mailleux.

« Cela va être une série très ouverte » annonce Maxime André qui nourrit avec Belgrade des ambitions de Top 3. « Même si ca reste jeune, Comblain demeure le favori selon moi. »

« Illogique de régionaliser une division nationale »

Arrivé de Liège à Sprimont avec plusieurs coéquipiers, Louis Titeca ne sera pas dépaysé dans une TDM2 assez similaire à la R1 dans laquelle il évoluait cette saison. Interview.

Louis, t’attendais-tu à pareil dénouement concernant la TDM2?

Non, je suis surpris et déçu de la décision qui a été prise. Je trouve cela illogique de régionaliser une division nationale. Nous savions que les poules proposées ne convenaient pas à tout le monde mais la décision prise devait être la dernière envisageable, surtout pour une saison. C’est vraiment triste.

Quelles conséquences cela pourrait-il avoir?

Il n’y en aura pas vraiment au final, hormis des déplacements réduits qui arrangeront certains. Cela restera un championnat à vingt, trente rencontres j’imagine. Le seul changement est qu’il n’y aura pas vraiment de D3 nationale l’année prochaine et que c’est une première qui n’aurait jamais dû arriver.

Cela modifie-t-il vos ambitions?

Nous ne modifierons pas nos ambitions. Elles sont claires: arracher un maximum de victoires. Nous serons une nouvelle équipe qui, je l’espère, offrira un peu de surprise(s) à tout le monde.

Crédit photo: Philippe Collin

« La dernière association nationale des coachs belges »

Fondée en 1966, la BBCA – la dernière association nationale des coachs belges présidée par le Liégeois Jacques Delcomminette – sort une édition spéciale Coronavirus de son trimestriel « Rebound ».

Alors que la TDM2 est – provisoirement? – régionalisée pour la prochaine saison, il existe encore une forme d’unité dans le basket belge grâce, notamment, à l’Association Belge des Coachs de Basketball. « La BBCA a été fondée en 1966. Son Président actuel est Jacques Delcomminette, bien connu dans le paysage du basket liégeois » nous informe Benoit Volant. « Nous sommes la dernière association nationale regroupant les coachs belges du Nord et du Sud du pays. Notre mission est de soutenir les coachs de basket en organisant des clinics – en néerlandais et en français – deux fois par an et en éditant le magazine « Rebound » qui contient de nombreux conseils d’entrainement, des exercices et bien plus encore… Nous avons beaucoup d’autres projets pour le futur, notamment celui de créer une grande base de données d’exercices commune à tous les entraineurs. »

Suite à la pandémie, le clinic organisé par la BBCA et qui devait se tenir à Ougrée a dû être reporté. « Il y a de fortes chances que, lorsque la situation le permettra, il soit encore organisé dans la Province de Liège » nous précise Benoit. Par contre, le dernier numéro de « Rebound » vient de paraitre. »

« Ce magazine est publié quatre fois par an et contient des articles pratiques donnant des conseils d’entrainement, de drills mais aussi des notes de clinics auxquels nos membres ont participé et des systèmes tactiques » nous explique celui qui est l’éditeur responsable de « Rebound ». « Le dernier numéro est un numéro spécial Coronovirus avec des conseils d’un préparateur physique pour la reprise, de nombreux drills et des conseils pour préparer la prochaine saison.« 

Comment devenir membre de la BBCA? « Il suffit de se rendre sur notre site web et de remplir le formulaire d’adhésion (lien: https://belgianbasketballcoaches.be/fr/devenir-membre/) avec deux formules possibles: BBCA uniquement (20,00 € / an) ou combiné avec nos partenaires de la Vlaamse Basketball Association pour 5,00 € de plus (25,00 € / an) avec comme supplément accès au magazine « Overtime » (mensuel en néerlandais) » nous répond Benoit. « Tous les membres de la BBCA ont des réductions sur les clinics organisés et sur leurs commandes de clinics vidéo MP4. A savoir que toute personne voulant s’investir comme nous dans l’association – qui compte aussi un vice-Président, un trésorier et un secrétaire – est la bienvenue. Les renseignements se trouvent sur notre site web.« 



Le site de la BBCA: https://belgianbasketballcoaches.be/fr

Pour suivre l’actu de la BBCA sur Facebook: https://www.facebook.com/BBCA-Belgian-Basketball-Coaches-Association-451489314977664

« Qui seront les clubs qui voudront monter en TDM1? »

Pierrick Van Den Brule revient sur la « régionalisation » de la troisième nationale. Entretien.

Pierrick, que penses-tu de la décision de « régionaliser » la TDM2?

Beaucoup vont s’offusquer de jouer dans une R1++ mais, personnellement et cela n’engage que moi, cela ne me dérange absolument pas. Je suis content d’être avec tous les Liégeois et, concernant le reste des équipes, je trouve cela moins important.

Vous avez terminé quatrièmes derrière trois équipes flamandes cette saison. Ces nouvelles séries peuvent-elle vous servir pour revoir vos ambitions à la hausse?

Non, les objectifs doivent demeurer les mêmes. Aucune équipe ne semblait invincible dans la série initialement publiée et aucune ne l’est dans la nouvelle. Nous jouerons tous les matchs pour les gagner. Je ne connais pas bien Woluwe ni le Royal IV mais nous restons avec tous les Liégeois et c’est de cela dont je suis satisfait. Le jeu flamand est, en général, plus rigoureux, plus carré et mieux organisé. C’est un jeu qui nous correspond mieux et cela me pousse à dire que nous ne devons pas revoir nos objectifs à la hausse. Nous voulions, pour la prochaine saison et à la parution des séries initiales, terminer dans la première moitié du classement et nous le voulons toujours.

Par contre, une question te taraude.

En effet, je me demande quels seront les clubs de notre nouvelle série qui voudront monter en TDM1?

« Le fameux écart entre Flamands et Wallons risque de se creuser davantage »

Pour Liège & Basketball, Hugo Maréchal revient sur le chamboulement des séries de TDM2, sa décision de rester à Pepinster et les futures ambitions de sa formation.

Cette saison, Pepinster n’avait eu droit qu’à deux derbies et avait dû effectuer plusieurs longs trajets à la côte belge. Dans les première mouture des séries de TDM2, les Pepins se retrouvaient avec les clubs liégeois, limbourgeois et quelques autres. Mais, lundi, décision fut prise de remodeler les séries de D3 avec d’un côté les Flamands et de l’autre les Wallons et les Bruxellois. « Je trouve cela triste. Le choix entre Tongres et Hasselt ou Anderlecht et le Royal IV Brussels est vite fait » nous confie Hugo Maréchal. « Mais si la fédération a pris cette décision, c’est sûrement parce qu’il fallait qu’un wallon puissen enfin monter en TDM1. Comblain va devoir assumer son statut car c’est la seule équipe qui vise ouvertement la montée et peut-être que les autres formations auront une motivation supplémentaire lorsqu’elle affronteront le Mailleux.« 

Pour Pepinster, la possibilité d’engranger de bons résultats est réelle, même si le basket wallon n’en sortira peut-être pas totalement indemne. « Cette division linguistique des séries risque de creuser encore davantage le fameux écart entre Wallons et Flamands » avance le jeune intérieur. « Avec Pepinster, nous devrons lâcher moins de matchs serrés que lors de la défunte saison. Nous pourrions très bien nous retrouver troisièmes en faisant un super championnat, sans commettre trop d’erreurs. Mais nous pourrions aussi finir avant-derniers si nous jouons de la même manière que lors de du premier tour de la campagne 2019-2020.« 

Je vise le Top 4

Bien que courtisé par plusieurs clubs, Hugo a décidé de prolonger à Pepinster. « Je m’y plais vraiment bien. Le coach qui arrive est vraiment top et je ne suis pas du genre à partir dans un club pour un projet d’un an, sauf si celui-ci est irrefusable » nous précise-t-il.

La saison prochaine marquera le début d’un nouveau cycle chez les Pepins qui pourront toutefois tabler sur de solides bases. Pascal Horrion arrive au coaching et retrouvera Fred Delsaute en provenance d’Ans, Roosen fera ses premiers pas en nationale et Akinbodu sera en double affiliation avec Verviers. Hormis, Chickaoui (P2 SFX), Thelen (P2 Pepinster), Agapit (R1 SFX) et Habsch (D3 Sprimont), tous les acteurs de la dernière aventure repartent pour un tour. « Nous verrons si nous serons plus forts ou moins forts mais j’espère que nous ferons mieux que ce délicat exercice terminé » poursuit Hugo qui restera disponible pour aider la P2 locale en cas de mach pour la montée. « En tout sincérité, personnellement et avec notre équipe qui n’a pas presté à son niveau pour ses premiers pas en TDM2, je vise le Top 4. »

Après avoir décroché le titre en R1 avec SFX et la montée de R2 en R1 avec Ans, Fred Delsaute récoltera-t-il un troisième trophée en trois saisons?

Où a été prise cette photo ?

Certains joueurs néerlandophones se réjouissent quand même d’éviter le sud du pays à la reprise alors que Julie Allemand a été confirmée à Indiana Fever. Serge Crevecoeur devrait rempiler à Gravelines et pourra compter sur un nouveau pivot américain. Photo-mystère : le terrain existe toujours, plus le club. Ce sont les infos d’EMCE ?

TDM2 : voix discordantes au nord et mise au point

Il est rare qu’une décision fasse autant l’unanimité contre elle. En effet, la scission de la TDM2 en séries linguistiques est rejetée tant du côté francophone que néerlandophone. A quelques exceptions près au nord du pays : « C’est positif car nous n’aurons plus de longs déplacements à effectuer », commente Ranzy Berquin (Oostkamp) sur « Basket360 », « En outre, l’ensemble des équipes flamandes conservent ainsi de gros derbies. A l’heure actuelle, il convient de respecter la volonté de la « Liga » qui nous permettra d’évoluer dans de bonnes conditions sanitaires. » Ou encore Bob Jansen (Geel) : « Il ne faut pas perdre de vue que quelques équipes wallonnes évoluent dans des salles fort délabrées et possèdent ainsi un réel avantage à domicile. En plus, il n’est jamais certain d’y disposer de douches chaudes. » Cette mise au point pour conclure le chapitre : hier, je n’ai jamais affirmé que les clubs flamands avaient été contactés. Merci dès lors à l’auteur de cette contre-vérité de s’abstenir à l’avenir.

Julie Allemand confirmée au sein d’Indiana Fever (WNBA)

Les franchises de WNBA avaient jusqu’en début de semaine pour confirmer leurs « rosters » en vue du prochain championnat. Si tout va bien ! Vu les circonstances, trois Françaises sont finalement restées sur le carreau : Marine Johannes, Olivia Epoupa et Valériane Ayway. Aucun souci, en revanche, pour « notre » Julie Allemand qui dirigera bel et bien la manœuvre au sein de la formation d’Indiana Fever. La connaissant, elle doit trépigner d’impatience. En attendant, les supporters du cru ont déjà pu découvrir la maman de l’Alleuroise à l’occasion de la fête des mères…

Selon la Voix du Nord : Serge Crevecoeur confirmé à Gravelines

« Avant de prendre la moindre décision, nous devons savoir à quel niveau nous jouerons la saison prochaine », ne cessaient de répéter les dirigeants de Gravelines. Mercredi en fin d’après-midi, ils apprenaient leur maintien en Jeep Elite (ex-Pro A). Dans la foulée, ils annonçaient l’engagement du pivot US, Chris Horton (25 a, 2,02 m), en provenance de Cholet. Quant à la Voix du Nord, elle confirme la prolongation du contrat de Serge Crevecoeur. Même si le club « maritime » n’officialisera la nouvelle qu’en fin du mois de juin.

Terrains extérieurs : sur une des hauteurs liégeoises

L’air de rien, le basket s’est pratiqué en pas mal d’endroits sur cette commune faisant partie de la périphérie liégeoise. Que ce soit dans une « enclave » polonaise qu’à l’ombre d’un important charbonnage. Pour l’indice, je vous préciserai que, si les panneaux et les lignes existent toujours, le club a disparu depuis belle lurette et ne termina même son existence là-bas…

Michel CHRISTIANE

Julie Allemand, seule Européenne d’Indiana

La meneuse liégeoise fera bel et bien partie du noyau de l’Indiana Fever.

A l’inverse de son ancienne coéquipière Marine Johannes qui ne jouera pas pour le New York Liberty cette saison, Julie Allemand portera bien les couleurs d’Indiana si la saison WNBA a lieu. En effet, la Liégeoise a bel et bien été conservée par la franchise avec laquelle elle s’était engagé récemment. Julie Allemand rejoint ainsi Emma Meesseman – qui évoluera toujours pour les Mystics – outre Atlantique.

Avec son style up-tempo tout en percussion, sa qualité de passe, sa brillante utilisation du pick-and-roll et son shoot en constante progression, nul doute que la meneuse des Belgian Cats a tous les atouts dans son jeu pour briller sur la scène américaine. Reste à savoir désormais quand la saison pourra avoir lieu.

Bonus: l’excellent article de Swish sur l’arrivée de Julie Allemand en WNBA à découvrir ici.

Crédit photo: FIBA