Stéphane Grandry se remémore sa performance à quarante-cinq points contre Waremme.
Tu t’es senti comment lors du match où tu as planté quarante-cinq points à la défense de Waremme?
Je ne l’ai même pas remarqué. Je n’ai pas eu l’impression de shooter plus ou moins que d’habitude. Un peu après, contre Ensival, j’ai inscrit vingt-six de mes trente-et-un points en deuxième mi-temps. Là j’ai plus « senti » que je scorais. Je joue toujours naturellement.
Tu avais déjà atteint une telle marque?
Non, c’est la première fois mais j’ai déjà atteint plusieurs fois le seuil des trente unités. Il est vrai que je prends pas mal d’option en attaque. Mais il est impossible de gagner seul et notre avantage est d’avoir beaucoup de scoreurs naturels au sein de notre équipe, ce qui explique aussi nos scores fleuves et notre facilité à marquer.