« Je suis très heureux à Tongres »

     

Pour une première expérience d’entraineur de l’autre côté de la frontière linguistique, Olivier MacFly forge d’excellents résultats avec Tongres. A l’heure de dresser un premier bilan, l’ancien coach de la R2 de Ninane se dit satisfait mais persuadé que son équipe possède une marge de progression certaine. Entretien.

   

Oli, comment analystes-tu cette première moitié de saison?

Nous sommes dans une série assez compliquée, relevée et avec Gand et De Pinte qui sont un cran au-dessus. Néanmoins, tout le monde semble capable de battre tout le monde, il faut respecter chaque adversaire et ne snober personne.

De quoi es-tu satisfait?

Je suis satisfait de la mentalité et de l’attitude de mes joueurs. Nous avons répondu présents dans tous les duels. Mis à part contre Esneux et Comblain, nous fûmes compétitifs à chaque match. Nous avons aussi remporté deux « topper », contre De Pinte et Neufchâteau, avons eu le shoot de la victoire à Ninane et perdu de peu contre Gand.

A contrario, que vous faut-il encore améliorer?

Les détails sont à améliorer. Faire preuve de davantage de concentration et mieux communiquer. Je suis persuadé que nous pouvons être 30% meilleurs, surtout défensivement.

    

« Une belle expérience »

   

Quels sont vos objectifs pour le second tour?

Notre objectif est simple: être compétitifs à chaque match.

Pour une première expérience d’entraineur de l’autre côté de la frontière linguistique, que relèves-tu de marquant?

Le professionnalisme du club ainsi que le niveau de certains joueurs ayant côtoyé ou joué en D1. Il existe également une autre approche que celle liégeoise, c’est un mode de fonctionnement différent. Les deux manières de fonctionner ( liégeoise et flamande ) sont bien. C’est en tout cas une belle expérience, je suis très heureux à Tongres.

Avec tous les derbies et une série homogène, que penses-tu de ce championnat?

Les derbies, ne m’en parle pas (rires)! Esneux et Ninane on fait LE match du premier tour contre nous. Les joueurs étaient ultra-motivés et nous approuvons cela. Je prends cela comme une forme de respect. Concernant le classement, je vois De Pinte champion mais impossible de me prononcer concernant la descente.

« Disney comme surprise aux enfants »

Quand on ajoute la féérie de Disney à celle de Noël, les enfants ne peuvent être que ravis, comme nous le raconte Marc Braconnier d’Harimalia.

Pour Marc Braconnier, Noël est et demeure une fête familiale. « C’est la période idéale pour se retrouver en famille et vivre des moments chaleureux » nous explique Marc Braconnier.

En se replongeant des ses souvenirs, le meneur « tall size » d’Harimalia se remémore un Noël qui sortait de l’ordinaire. « Voici trois ou quatre ans, nous étions parti le lendemain de Noël à Disney » nous raconte-t-il. « Nous avions fait la surprise à mes enfants. Leurs yeux étaient remplis de magie.« 

Et nul doute que les parents aussi ont dû apprécier leur séjour hivernal au Pays de Mickey.

« Noël, c’est magique! »

Grand amateur de la période de Noël, c’est cette fois devant les décorations du Strip et sous le soleil du Nevada que Gael Colson passe la plus chouette des fêtes de l’année. Entretien depuis les States.

Gael, que représente Noël pour toi?

Noël représente beaucoup pour moi. Avant tout, Noël, c’est la magie! C’est aussi de la joie et l’occasion de passer du temps avec sa famille, ce qui est la chose la plus importante au monde. On oublie trop souvent qu’on a qu’une famille et qu’il faut en profiter au maximum! C’est aussi une période magique où les gens décorent leur intérieur à leur façon et je trouve cela exceptionnel de mettre de l’harmonie dans la maison. Pour tout dire, j’ai décoré chez moi le 12 novembre. Je fais ça très tôt car je veux en profiter un maximum.

Quel est ton meilleur souvenir de Noël?

C’est celui que je suis en train de passer ici (ndlr: Gael est à Las Vegas) car je l’ai reçu comme cadeau pour mes trente ans. Une surprise que je n’oublierai jamais, surtout dans ma ville préférée avec mes parents, ma soeur, son copain, ma copine et son petit bout qui a cinq ans. Il nous dit d’ailleurs tous les jours que c’est magnifique ici!

Justement, c’est comment Noël à Vegas?

C’est la première fois que nous sommes ici à cette période et c’est hors du commun. Les hôtels sont décorés pour les fêtes et il fait 18 degrés et plein soleil tous les jours. Mais, le plus important, c’est de voir mes parents heureux et d’être ici en famille. Cela, ça n’a pas de prix.

« Désormais, ce sont mes enfants qui reçoivent les cadeaux »

Noel, jour attendu toute l’année par bon nombre de basketteurs. Jean-Pierre Darmont évoque, pour Liège & Basketball, les charmes de cette fête séculaire.

Pour Jean-Pierre Darmont, Noël est synonyme de « partage en famille, bon repas, bon vin et échange de cadeaux. » Papa de deux adorables enfants, c’est désormais surtout les chérubins de l’ailier calidifontain qui sont choyés. « Mais j’ai toujours été bien gâté aux fêtes » se rappelle Jipé. « Cette année, mes parents se font plaisir avec une piscine et je pense que je profiterai de leur cadeau cet été. »

« Les 13 points d’affilée de Nzisabira nous ont donné de l’air »

Mission accomplie pour Liège qui est sorti victorieux de sa confrontation face au Centre de formation.

Liège a pris sa revanche sur le Centre de formation en s’imposant 78 à 67. Pourtant, ce ne fut pas une partie de plaisir pour les Liégeois emmenés par un quatuor Titeca/Nzisabira/Roland productif (59 points à eux quatre). « Difficile d’être totalement satisfait à l’issue de cette rencontre. Nous gagnons sans faire un grand match, cela ne fut pas facile » nuance Jérôme Jacquemin. « Il y a énormément de talent(s) au Centre et nous fûmes vite en problème de fautes. Néanmoins, nous avons dominé le rebond et nous avons affiché un bel esprit pendant toute la rencontre.« 

C’est finalement de Nzisabira que la lumière est -en partie- venue. « Il faut également reconnaitre que les 13 points d’affilée qu’Orly, enfin en verve, marque au début du dernier quart-temps nous ont donné de l’air » souligne le coach des Liégeois.

Avec cette cinquième victoire, Liège rejoint Cointe et Mons à la onzième place du classement de première régionale.

3X3 de Noel à Wanze

Le 30 décembre, il y aura du basket à Wanze.

Pour ne pas perdre la main pendant les fêtes et, aussi, éviter de trop s’empâter, Wanze organise son premier 3X3 de Noel le dimanche 30 décembre, de 10h à 17h.

L’inscription revient à 20 euros par équipe de cinq joueurs maximum. Le club sucrier prévoit de nombreux lots à gagner et une petite restauration tout au long de la journée.

« L’ambiance et la solidarité de l’équipe restent au top »

Pour Liège & Basketball, Haytam Baeri revient sur le revers de Cointe à Pepinster et tire le bilan du premier tour des Grenouilles.

Haytam, que retiens-tu de votre court revers, 70 à 65, à Pepinster?

C’est un match qui s’est joué sur des détails. Ludo Humblet (ndlr: l’entraineur de Cointe) nous a dit à la mi-temps que le vainqueur de ce match serait l’équipe qui commettrait le moins d’erreurs. Il avait totalement raison. Nous sommes restés sereins malgré le bon début de troisième quart de notre adversaire et sommes revenus petit à petit en faisant douter les Pépins grâce à notre zone. A trente-cinq secondes du coup de sifflet final, nous comptions une unité d’avance. Pepinster avait le ballon et ne trouvait pas de solution. James Deblond a pris un shoot en fin de possession à un mètre de la ligne et s’est laissé tomber après un contact minime, ce que j’aurais également fait, cela fait partie du jeu. L’arbitre a sifflé et le meneur local a hérité de trois lancers ainsi que d’un supplémentaire suite à une technique imputée à notre coach qui était logiquement frustré de cette décision arbitrale. Du coup, la pièce est tombée du côté verviétois.

Quel bilan tires-tu de votre premier tour?

Sportivement, je n’ai jamais connu autant de malchance pour une équipe entre la foultitude de blessés, ces nombreux matchs perdus de moins de quatre points et ces fois où nous avons affronté des formations particulièrement en réussite. Nous n’avons pas été gâtés mais, étonnamment, l’ambiance et la solidarité de l’équipe restent au top. Je me réjouis d’être au deuxième tour et de récupérer mon bon Pirson afin de nous retrouver à notre place dans le classement.

La balade dominicale des Aubelois

Aubel a profité de la venue de La Rulles pour s’offrir une charmante balade dominicale et clore ainsi l’année en beauté.

Ce dimanche, Aubel recevait La Rulles, seule formation dont le compteur de victoires est toujours bloqué sur zéro. Une occasion idéale pour les hommes d’Arnaud Lardinois, devenu papa durant la semaine, de finir 2018 en beauté.

Le début de match est poussif et, après dix minutes, les locaux ne mènent que 22 à 18. « C’est peut-être notre choix défensif du début qui a amené à une certaine lenteur » déclare l’entraineur aubelois au micro de Vedia. Dans le deuxième quart, Lambot (11 points) et ses partenaires appuient sur le champignon et creusent l’écart. A la pause, le marquoir affiche 54-35.

La reprise est, comme souvent pour les Herbagers, (légèrement) délicate. La Rulles repasse sous la barre des 20 points à 58-39. « On est typiquement mauvais en reprise de mi-temps » reconnait Guillaume Liégeois au micro de Vedia. Un flottement qui sera de courte durée, Aubel reprenant sa marche en avant, bien aidé par Guillaume, justement, auteur de vingt-cinq points dont six triples. Les Herbagers déroulent, à l’image de Xavier Hubert qui s’autorise une passe décisive derrière le dos pour Max Fontaine (20 points). Les pensionnaires du Green Temple l’emportent et terminent l’année à une superbe cinquième place en R2A.

« Le burger, la meilleure invention de l’homme après le legging »

    

Audric Muller de Spa se plie avec beaucoup d’humour à l’exercice du Thé ou Café. 

   

Audric, plutôt passe ou panier?

Panier. Je me considère plus comme un marqueur qu’un passeur, mais c’est toujours glorifiant de faire l’assist.

Attaque ou défense?

Attaque. J’aime attaquer pour montrer des belles choses, de beaux mouvements, une sortie de système qui marche bien.

Netflix ou cinéma?

Cinéma. C’est bien mieux à regarder avec des ami(e)s, et puis ça finit souvent à boire des chopes au kot ou dans le carré (rires).

 Pizza ou burger?

Burger. La meilleur invention de l’homme après les leggings!

City-trip ou vacances à la plage?

City-trip. J’aime bouger et voir des nouveaux décors.

LeBron ou Curry?

Curry . Il est trop bon lorsqu’il sort des circus shoots!! J’aime le voir prendre des shoots depuis n’importe où. A Spa on appel ça une « Splach ».

Anderlecht ou Standard?

Standard. Jamais pour les mauves! Standard mais sans réellement les suivre. A l’époque d’Axel Witsel, c’était beaucoup plus prenant !

Et enfin, plutôt thé ou café?

Thé, sans pourtant vraiment aimer. Le café, ça ne passe pas et j’ai des doutes sur le fait que cela passera un jour.

« Un peu frustrant de ne pas terminer invaincus »

   

En s’inclinant à Hannut, Waremme n’a pas réussi à boucler son premier tour invaincu. Rien de grave cependant pour les Wawas qui trônent encore sur la P1 mais s’apprêtent à vivre un début d’année sur les chapeaux de roues.

     

A Hannut, Waremme s’est, pour la premier fois de la saison, incliné en championnatCe fut un chassé-croisé permanent et, malheureusement, la pièce est tombée du côté de notre adversaire » regrette Mehdi Aouini. « Chaque semaine, nous rencontrons des équipes ultra-motivées à l’idée de faire tomber la nôtre. Hannut en est l’exemple parfait et a pu compter sur une très belle réussite. »

Un revers qui ne goûte guère aux Wawas, pourtant largement en tête de la première provinciale. « C’est un peu frustrant de ne pas terminer ce premier tour invaincus. C’était un mini challenge que nous nous étions mis en tête » reconnait le meneur de Waremme.  « Maintenant, nous avons une semaine pour soigner les petits bobos et nous remobiliser avant d’attaquer un début 2019 chargé avec la réception de Jupille et le déplacement en coupe à Bellaire où nous n’aurons évidement plus droit à un faux pas.«