« Un match incroyable d’Antoine Barbay »

Comme l’année dernière, les Theutois créent la surprise en Coupe provinciale. Nico Bousmanne et ses coéquipiers se sont imposés 58-79 à Grâce-Hollogne pour se qualifier pour les huitièmes de finale de la compétition où ils rencontreront la P1 d’Henri-Chapelle.

A Grâce-Hollogne, les Theutois ont créé la surprise en s’imposant 58-79. « Je pense que nous avons joué pour nous amuser et cela a fonctionné », sourit Nico Bousmanne. « Grâce-Hollogne est une magnifique équipe bien balancée et composée de beaucoup de joueurs d’expérience. Nous connaissions bien cet adversaire qui nous avait battus lors des deux confrontations de la saison dernière. »

Sans pression et avec cinq longueurs d’avance, les Theutois ont réussi un joli exploit. « Notre objectif étant clairement un Top 3 en championnat, nous étions détendus pour ce match de Coupe avec pour mission de jouer pour nous amuser », contextualise le sniper. « En voyant l’écart se creuser au marquoir, nous nous sommes pris au jeu et avons tenté notre chance. Résultat : une très belle victoire contre une des meilleures équipes de la province. C’est toujours bon à prendre. »

Reste que les Buffalos ont de sérieuses qualités et qu’il ne s’agissait absolument pas d’une balade de santé pour les Theutois. « C’est tout de même le genre de match où on attend impatiemment la 40ème minute pour y croire car même avec 20 longueurs d’avance, les Buffalos pouvaient rapidement prendre feu et nous corriger », rappelle Nico. « Mais nous avons fini sérieusement alors qu’Antoine Barbay a réussi un match incroyable. »

Au prochain tour, ce sera encore une P1 pour Theux : celle d’Henri-Chapelle. « Contre nos copains de Kapelle, l’objectif restera le même : jouer en équipe, bien figurer et acquérir de l’expérience pour la suite », prévient Nico. « Par contre, nous sommes déjà tous concentrés sur notre prochain match de championnat contre Flémalle Nous avons une revanche à prendre sur les Métallos puisqu’ils nous avaient éliminés en demi-finale de Coupe il y a deux. » Voilà qui est dit.