« Le vrai défi, c’est VEDIA qui l’a relevé en me sélectionnant »

Pendant quatre jours, François Poull a relevé des défis dingues pour VEDIA lors des Francofolies de Spa. Retour sur une expérience pas comme les autres.

François, comment as-tu vécu ces Francos et cette expérience pour VEDIA ?

C’était incroyable. Différent, mais incroyable. Il faut savoir que ce festival est pour moi un incontournable, comme une date que je coche chaque année dans mon calendrier. Ce sont quatre jours de fête, de découverte(s) et de plaisir(s). Le vrai défi, c’est VEDIA qui l’a relevé en me sélectionnant. J’ai donc dû tout donner pour récompenser la confiance de cette TV locale. Et j’espère avoir été à la hauteur.

Quel fut, sans conteste, ton meilleur moment ?

C’est difficile pour moi de n’en sélectionner qu’un tant ce fut intense. Je suis un fan de Tim Dup et j’ai adoré être à ses côtés sur le plateau. En tant que passionné de hip hop, c’était succulent de partager quelques minutes d’intimité avec Black M qui a bercé une belle partie de ma vingtaine avec Sexion d’Assaut. Bien sûr, du point de vue émotionnel, c’est sans conteste le « clapping » seul sur scène qui restera un moment inoubliable. Ce fut dingue à deux égards : par le stress occasionné avant de monter sur scène en ouvrant le rideau et puis par l’adrénaline procurée.

Quel est le concert que tu as le plus savouré ?

Mon meilleur concert, ce fut celui de PEET pour l’avoir savouré avec lui au milieu de la foule. En petit comité, nous sentions vraiment que l’énergie dégagée par chaque personne se répercutait sur sa prestation.

Peux-tu nous dire un petit mot sur ton frère Kevin que les lecteurs de #Liégeois connaissent au travers de sa chronique « Fricadelles et crustacés. Chronique d’un jeune #Liégeois dérangé » ?

Mon frère est une des personnes les plus importantes à mes yeux. Il compte énormément pour moi et je suis son premier fan. Sa personnalité est si singulière. Son écriture est le simple miroir de son humour et de sa connaissance aiguë de la littérature, comme en témoigne son premier bouquin, une sorte d’autobiographie satirique qui est la preuve de son talent et de son autodérision.

Crédit photo : François Poull