« Goémé confirme tout le bien que je pensais de lui »

Ce samedi, Tongres entame un mois ardu et décisif en recevant le leader Kontich. Focus.

Ce samedi, Tongres entamera une série de matchs ardus et potentiellement décisifs avec au menu deux fois Kontich, Ninane et Comblain. « Effectivement, notre mois de février est costaud mais je ne pense pas que notre saison se jouera en février. Elle se joue tous les week-ends » nuance Olivier Macfly. « Cela sera un mois compliqué avec ces deux matchs contre Kontich qui survole la série mais nous abordons tous les matchs de la même façon, avec la même envie de nous donner à fond sur le terrain » rajoute Julien Walravens.

Tout commencera par la réception de Kontich ce samedi. « Nous attendions depuis longtemps de pouvoir nous frotter à une équipe pareille dans un match avec de l’enjeu. C’est pour de telles confrontations que nous jouons au basket » s’enflamme le mentor des Limbourgeois. « Les Wolves possèdent un bel effectif avec des joueurs qui ont joué en D1 ou furent ultra-dominants en TDM1. Je me réjouis. Seul petit bémol, nous avons une semaine d’entrainement compliquée suite à plusieurs absences. Pas l’idéal pour préparer un topper. » Néanmoins, Tongres connait la musique. « Pour battre Kontich, il faudra rester au contact jusque dans le money time. A ce moment là nous pourrons les faire douter et nous aurons une chance » ajoute Oli. « Je suis allé deux fois voir les Wolves et c’est vraiment costaud » embraie Julien. « Il faudra batailler dès la première minute et ne pas nous laisser bousculer. »

Ensuite, ce sera la réception de Comblain, un déplacement à Kontich et un presque derby contre Ninane. « Deux équipes liégeoises pas faciles à jouer. Comblain aligne un Rondoz qui fait sa meilleure saison en TDM2 et un Goémé qui confirme tout le bien que je pense de lui » précise le coach de Tongres. « Ninane s’en sort super bien malgré la blessure de Mimi Dedave. Les Calidifontains sont des guerriers, ils ne vont rien lâcher. »

Du côté limbourgeois, l’ambiance est au beau fixe. « Cela se passe merveilleusement bien à Tongres! Je ne pouvais pas rêver mieux » sourit Julien. « C’est un club très professionnel qui se préoccupe beaucoup plus du basket et de ce qu’il se passe sur le terrain plutôt que du nombre d’heures passées dans la cafétéria (rires). »

Tongres réussira-t-il dès lors la passe de quatre? Premier élément de réponse ce samedi!