Le titre promis à SFX

 

Si le suspens fait rage en P2B pour le titre de champion, celui-ci semble pratiquement acquis pour SFX-Saint Michel dans l’autre série. Un bel accomplissement pour les troupes de Julien Denooz.

 

« Rien n’est fait tant que nous ne sommes pas mathématiquement champions » tempère Hugo Maréchal. « Ceci dit, chaque semaine, il y a de moins en moins de chances que ce titre nous échappe grâce à nos victoires et aux revers de nos concurrents. » A trois match du terme de la saison, et avec deux victoires d’avance sur leur dauphin, Welkenraedt, le trophée semble bel et bien promis aux Verviétois.

« Notre première place est méritée car nous avons vaincu nos adversaires les plus coriaces » souligne celui qui explose aussi les compteurs en première régionale. « Nous ne nous y attendions pas, même si nous savions que nous aurions une belle équipe qui propose un savoureux cocktail de jeunesse et d’expérience. Cela forme un bel ensemble. »

 

 

Une réussite pour Julien Denoz

 

Au fil de la saison, SFX a émergé comme le leader de cette série. « Cette année s’est déroulée de mieux en mieux au fil des matchs. Chacun de nous a progressé et nous nous sommes vite rendus compte que nous pouvions aller au bout. Le titre est, in fine, rapidement devenu notre objectif » relate Hugo. « Le championnat semble plié, il nous reste à parachever le travail pour être fiers de l’oeuvre accomplie. »

Une belle épopée que les Collégiens doivent aussi à leur entraineur, Julien Denoz. « C’est un coach réputé pour les jeunes, mais il est aussi capable de gérer les plus vieux » remarque le talentueux poste 4. « Il est calme, réfléchi et, surtout, nous aide à progresser. Il connaît le basket. Lorsque l’on se prend à le regarder coacher, il y a très peu de situations où l’on pourrait dire qu’il n’a pas fait le bon choix. » Hugo est bien placé pour en parler, cela fait maintenant quelques années qu’il fait route commune avec son entraineur. « Cela fait cinq ans qu’il est mon coach, c’est principalement lui qui m’a formé » poursuit-il. « Je n’ai absolument pas à me plaindre, au contraire. C’était un plaisir de jouer une dernière saison pour lui… Et quelle saison! »