« Au bout du compte, les shooteurs shootent »

La force des grands shooteurs est de ne jamais perdre confiance.

La Province de Liège possède une ribambelle de super shooteurs – Iliaens, Geurten, Delsaute, Grandry, Hubert, Borgers, Bassini, Lhote, Boxus, Lussadissu pour n’en citer que quelques uns – qui sont redoutés par toutes les défenses.

Bien souvent, un bon shooteur se distingue assez rapidement par des qualités intrinsèques et naturelles mais c’est par la répétition que les bons shooteurs deviennent d’excellents shooteurs. D’autres facteurs sont également essentiels pour enquiller les perles: le rythme et la confiance.

Cette nuit, Carmelo Anthony – l’un des meilleurs pointeurs outre-Atlantique et injouable dans le basket FIBA comme il l’a démontré à plusieurs reprises avec Team USA – fut clutch pour Portland après un début de rencontre cahin-caha. « Je fais ça depuis 18 ans. Au bout du compte, les shooteurs shootent. Je suis un gars de rythme, qui aime être en rythme. Quand tu n’as pas de rythme, tu dois trouver des moyens de le trouver et ce soir je me suis impliqué dans d’autres domaines pour trouver mon rythme » a-t-il assuré après la victoire des Blazers contre les Raptors. Une opinion plus que vraisemblablement validée par la « Confrérie des shooteurs liégeois ».