« Impressionné par la gare! »

 

Arrivé en fin de saison à Liège Basket en ligne droite de G-League, Gerald Beverly a pu faire admirer ses talents de contreur et de scoreur inside. Liège & Basketball est allé à la rencontre du pivot US qui devrait probablement partir sous d’autres cieux pour la prochaine saison.

 

Gerald, comment as-tu atterri à Liège?

Je suis arrivé à Liège par l’intermédiaire de mon coach en G-League.

Qu’as-tu pensé de votre fin de saison?

J’estime que nous avons fini assez fort. Après une saison difficile, nous finissons sur une bonne note.

Que penses-tu du niveau de l’EuroMillions Basketball League?

Il est assez relevé selon moi. Les différentes équipes de l’élite comptent de nombreux joueurs et entraineurs talentueux, des éléments qui prouvent la valeur de cette compétition.

Quelles sont les plus grosses différences entre le basket US et celui pratiqué en Belgique?

La plus grosse différence se situe au niveau de la longueur des matchs. En G-League, les quarts-temps durent douze minutes, contre dix en Belgique. De plus, les trois secondes défensives n’existent pas ici.

 

 

« La NBA reste le but ultime »

 

Souhaites-tu poursuivre ta carrière en Europe ou rentrer aux Etats-Unis?

Je suis ouvert à toutes les options. Il est encore trop tôt pour décider quelle sera la meilleure opportunité pour moi, mais je suis totalement « open » à l’idée de revenir en Europe.

As-tu eu la chance de découvrir Liège? Qu’as-tu apprécié dans cette ville?

Oui, j’ai pu découvrir cette ville. J’adorais me promener dans le centre et dans le quartier de l’université. Et j’ai été impressionné par la gare!

Quels sont tes buts pour le futur?

Mon but ultime, si Dieu le veut, est d’arriver en NBA.

 

Avec l’aimable contribution de Morgan WEY.

 

« Trois belles années à Verlaine »

 

Ces trois dernières années, Gilles Jacques faisait partie de l’aventure du BC Verlaine. La saison prochaine, ce passionné portera les couleurs d’Ohey, en P2 Namuroise. Pour Liège & Basketball, il revient sur ses années verlainoises et ses nouveaux défis.

 

« Je suis allé à Ciney pour disputer un match avec la P3, qui se veut ambitieuse. Cela s’est très bien passé mais l’effectif est un peu trop jeune pour moi. Pour m’intégrer, il y a mieux » nous explique Gilles Jacques. « J’ai donc décidé de rejoindre Ohey, en P2 Namuroise et à 15-20 minutes de la maison. L’objectif est de monter en P1 et je me mettrai à la disposition de l’équipe pour l’aider au maximum. »

Après trois saisons à Verlaine, c’est une page qui se tourne pour ce passionné de la balle orange. « J’ai passé trois belles années à Verlaine, avec une préférence pour les deux premières. La création du club, des maillots, de l’équipe Dames… C’était un peu comme une deuxième famille » sourit Gilles. « Lors du dernier exercice, l’ambiance n’était plus trop la même, nous savions que nous allions monter mais je trouvais la dynamique différente. Et puis, je suis repassé à l’aile, ce que j’ai moins apprécié. Mais un coach doit faire des choix et cela ne se discute pas. »

Reste tout de même énormément de positif et de bons souvenirs pour ce Nivellois d’origine. « Je retiendrai bien évidemment le titre, ainsi que la belle progression en Dames sur trois ans » continue-t-il. « Nous passons d’une première saison à une seule victoire à dix victoires et une belle cinquième place cette saison. La création des « babies » basket fut aussi une vraie réussite. Mais cette année, je fais une pose coaching car cela demande énormément d’énergie et je préfère être plus présent à la maison. »

Après le basket liégeois, c’est désormais au basket namurois que se frottera Gilles. Liège & Basketball lui souhaite beaucoup de réussite dans son nouveau challenge.

 

« Cela va être costaud »

 

Champion de P1 au terme d’une saison palpitante, le Rebond Neuville évoluera l’an prochain à l’échelon supérieur. Kevin Reyserhove évoque le futur championnat, la préparation de ses ouailles et le derby face à Tilff.

 

Kevin, qu’est ce que tu penses de votre série de R2?

Je suis content des Liégeois avec qui nous sommes tombés mais si cela avait été d’autres, cela aurait été sympa aussi. Je regrette de ne pas avoir Mariembourg dans notre série, nous avions vécu de bons moments avec ce club lorsque nous étions à Huy.

Il semble qu’il n’y ait pas de véritables ogres mais plutôt un gros rassemblement d’équipes capables de jouer les Playoffs. C’est aussi ton impression?

Je ne connais pas vraiment toutes les équipes, mais tout le monde me répète que cela va être costaud car plusieurs formations ont joué les Playoffs l’an dernier ou descendent de R1.

Quelles sont tes envies pour la prochaine saison?

Nous visons le maintien et nous espérons gagner un maximum de matchs rapidement pour vivre une saison tranquille, sans trop de pression.

Tu vas changer quelque chose à votre préparation?

La préparation sera semblable à la précédente même si, à la place d’un stage à Neuville, cette année, j’aimerais le faire à la mer ou ailleurs. Je suis d’ailleurs à la recherche d’un endroit pour cela. Cela avait été compliqué à mettre en place la saison dernière mais, cette fois, cela devrait aller.

Le derby contre Tilff risque d’être épique sur bien des points…

J’espère que les Porais se sont améliorés car, lorsque nous nous rencontrions en P1, à part voler nos chansons, nous ne les avons pas entendu (rires).

 

« Nous faire violence pour être rapidement à niveau »

 

Au terme d’une belle campagne de Playoffs, Aubel a remporté son ticket pour la R2. Une nouvelle aventure pour Xavier Hubert et les Herbagers.

 

Xavier, que penses-tu de votre future série de deuxième régionale?

Je ne connais pas tous les adversaires mais Visé me semble costaud, tout comme Brainois. Nous avons sept déplacements plus importants sur la saison mais nous allons nous arranger pour que cela soit agréable.

Quelles sont tes envies pour la prochaine saison?

Je souhaite que nous vivions une saison qui se rapproche de celle que nous allons clore ce soir tous ensemble. Cela signifie prendre du plaisir avec des gens que j’apprécie, mais cela passe évidemment par des victoires.

Vous grimpez d’un échelon, cela va-t-il changer quelque chose à ta préparation?

Nous nous sommes vus jeudi dernier avec le nouveau groupe et nous avons un programme de crossfit naturel à faire chez nous, à raison de trois séances par semaine, avec du renforcement musculaire et de la cardio. J’avais pour habitude, durant l’intersaison, de courir quarante-cinq minutes à une heure, de jouer au tennis et de nous retrouver à la salle en essayant d’être huit ou dix. Ce nouveau programme va remplacer cela en partie. La R2 est plus physique. A nous de nous faire violence pour être rapidement à niveau.

 

Kenny Boers, de Porais à Haricot

 

Cette saison, Kenny Boers faisait profiter Tilff de ses qualités de scoreur. La saison prochaine, le Porais deviendra Haricot et aidera Belleflamme à réussir une belle saison en première provinciale.

 

Lors de la saison qui vient de s’écouler, Kenny Boers portait le maillot de Tilff. « C’est un super club composé de bons gars » sourit Kenny. « J’essaierai d’être présent le plus possible aux matchs de mes anciens coéquipiers, surtout pour ceux qui les opposeront à Wanze de « tonton Kate » (ndlr: André Yon, qui jouera pour les Sucriers l’an prochain). » Car c’est de vert que sera vêtu Kenny à partir du mois d’août. « Belleflamme est un club familial et accueillant » poursuit l’ailier. « J’ai eu l’occasion d’essayer dans plusieurs équipes de P1, qui est la division dans laquelle je souhaitais évoluer. Mais, chez les Haricots, je connais déjà pas mal de joueurs avec qui j’étais à Liège Atlas. Cela me fait plaisir de les retrouver. »

Cette année, Belleflamme a dû batailler dur pour se sauver mais y est néanmoins parvenu avant la fin du championnat. « Je suis heureux d’évoluer en première provinciale la saison prochaine » continue Kenny. « La série s’annonce particulièrement attractive avec, notamment, deux équipes qui étaient dans la nôtre en P2 cette année et qui montent (ndlr: l’Etoile et Sainte Walburge), et de gros poissons comme Waremme et Haut-Pré qui accueille un pote, Sebo Lussadissu. Ca promet! »

Un nouveau défi pour Kenny pour une saison qui s’annonce, une nouvelle fois, particulièrement alléchante.

Nouvelle aventure allemande pour Antoine Braibant

 

A la tête de la D1 féminine de Pepinster cette année, Antoine Braibant a décidé de s’exporter outre-Rhin pour la prochaine saison. 

 

Antoine, où coacheras-tu la saison prochaine?

Au TG Tiger Neuss, en Bundesliga 2 women. C’est un club qui se situe un peu avant Dusseldorf et qui est habitué à jouer les premiers rôles dans son championnat. Cette saison, l’équipe a été éliminé en demi-finale des Playoffs.

Qu’est ce qui a motivé ta décision de rejoindre ce club?

J’avais envie de découvrir l’étranger et c’est ici un excellent compromis, Neuss se trouvant seulement à 115 kilomètres de mon domicile, ce qui me permet de ne pas déménager et de continuer à voir ma famille. De plus, cette équipe est habituée à réaliser de bons résultats et, après une saison de vaches maigres en terme de victoires, cela me tenait à coeur de renouer avec cela. Enfin, c’est un club qui met l’accent sur la formation, un domaine que j’affectionne.

Le club possède en effet plusieurs jeunes talents dans son noyau…

Oui, quatre de nos jeunes joueuses -mais une qui quitte Neuss pour aller en Bundesliga 1- sont en sélection nationale allemande. L’effectif reste d’ailleurs considérablement le même en ce qui concerne les autochtones, il reste encore à trouver deux américaines, ainsi qu’un assistant-coach. Pour ma part, j’y donnerai trois séances d’entrainement ainsi que le match hebdomadaire.

 

 

« Un basket différent »

 

Comment as-tu atterri là-bas?

C’est via mon ami Jean-François Loop ainsi que la coach actuelle, que je connaissais un peu et qui a admirablement travaillé avec cette équipe durant les six dernières années. Après des négociations, nous sommes tombés d’accord pour un contrat d’un an, avec possibilité de rediscuter par la suite si les choses se passent bien.

Tu connais un peu le basket allemand?

Par le passé, j’ai déjà, en préparation, affronté quelques équipes de Bundesliga 2. Selon moi, le niveau est celui des équipes moyennes de D1 belge. J’ai déjà regardé plusieurs matchs de ma future équipe et ce qui m’a, actuellement, le plus frappé c’est que là-bas, le jeu se fait beaucoup via des écrans loin du ballon alors que dans notre pays, c’est plus axé sur le ball-screen. Physiquement aussi, il existe quelques différences. Les Allemandes sont peut-être un peu moins à l’aise en dribble mais sont, par contre, bien plus imposantes. En terme d’infrastructures, enfin, c’est vraiment le top, tout est pensé pour évoluer dans les meilleurs conditions.

Que représente pour toi ce nouveau contrat?

Bien sûr, c’est une récompense, un beau cadeau. C’était un objectif de découvrir l’étranger et je suis très satisfait. C’est une marche supplémentaire dans ma carrière et ce sera une toute nouvelle expérience. Je devrais m’adapter à un nouvel arbitrage -j’ai déjà pu constater que celui-ci était différent- et un nouveau basket ainsi qu’à une autre culture et une autre langue. Je me suis d’ailleurs engagé à prendre des cours d’allemand de mon coté car j’estime cela nécessaire quand on entraine dans un autre pays.

 

 

« Une nouvelle expérience »

 

Quels seront vos objectifs la prochaine saison?

Cette année, l’équipe était un peu en sur-régime. La volonté du club est de finir dans le top 6, afin d’accéder à la première poule pour la suite du championnat. Après, nous verrons bien, le club de met pas de pression supplémentaire. L’autre objectif du club est d’intégrer au fur et à mesure les jeunes joueuses les plus méritantes et les plus douées. Neuss privilégie vraiment la formation, c’est dans l’ADN du club et c’est un élément que j’apprécie.

Et à titre personnel, quels objectifs t’es-tu fixés?

Je souhaite, à moyen terme, réussir aussi bien que la coach qui était en place et, pourquoi pas, m’établir dans la durée.

Que retiendras-tu de ton aventure pépine?

Le titre de champion de Belgique avec les U16 lors de mon dernier match avec Pepinster. Cela n’arrive pas si souvent dans une carrière. Ensuite, de façon plus générale, je garde en mémoire tout le travail fournit avec les différents acteurs du club pour relancer la section féminine.

La saison de D1 t’a-t-elle permis de tirer des enseignements?

Bien sûr. Nous étions les petits poucets et ce ne fut pas toujours facile. Mais comme le disait Mandela: « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends. » J’ai beaucoup appris au cours de cette dernière saison, notamment à relativiser la défaite et à comprendre qu’à un moment donné, il faut faire avec les armes dont on dispose. J’ai pris quelques claques qui m’ont fait grandir.

« Cela soude considérablement l’équipe »

 

Les séries sont désormais connues, à tous les échelons. De quoi se positionner pour nos différents représentants, comme c’est le cas pour Tilff et Quentin Pincemail.

 

Quentin, que penses-tu de votre future série de deuxième régionale?

Il y a quelques grosses cylindrées comme Ixelles, Quaregnon, Maffle, le Fresh Air ou encore Haneffe. Ce sont des équipes qui jouent souvent la première partie de tableau.

Vous rencontrerez également Neuville…

Une formation qui s’est bien renforcée avec l’arrivée de Lizin et pas mal de joueurs qui ont déjà connu ce niveau.

Cela promet de belles batailles?

La série a beaucoup changé. Nous ne retrouverons que trois formations contre qui nous avons joué cette saison. Ixelles sera probablement très fort. Le challenge sportif sera énorme pour nous qui n’avons pas les mêmes moyens que la plupart des autres équipes.

Quand recommencerez-vous les entrainements?

On redémarre fin juillet et on part en stage dans les Ardennes début août. On loge tous ensemble dans un gîte, c’est déjà la quatrième fois que nous y allons. Cela soude énormément l’équipe et permet aux nouveaux d’être directement dans le bain.

 

Euro de basket en Belgique

 

Prochainement, Jumet acceuillera le championnat d’Europe de basket en chaises roulantes.

 

C’est l’awbb qui s’en fait l’écho sur son site: Le championnat d’Europe B en chaises roulantes aura lieu du 18 au 23 juin prochains. Il aura une saveur toute particulière puisqu’il se disputera à Jumet (entrée gratuite) et verra nos compatriotes en débattre notamment avec les Russes, les Suédois, ou encore, les Autrichiens. Avec, comme objectif prioritaire, rejoindre l’élite continentale.

 

Michel CHISTIANE

En tête-à-tête avec John McEnroe

Les Carnets du basketteur

 

En près de quarante ans de carrière, Michel Christiane a accumulé une kyrielle de souvenirs et d’anecdotes. De Fond-de-Forêt à Barcelone. Régulièrement, pour Liège & Basketball, il vous proposera un billet dont le seul but sera de vous faire sourire et de permettre aux plus jeunes de découvrir « le basket du siècle dernier »…

 

Je profite de Roland Garros – voire du scandale des matches truqués – pour m’attarder quelque peu sur le tennis… qui permet d’ailleurs à pas mal de basketteurs d’entretenir leur condition pendant l’été.

Dans ce contexte, savez-vous que j’ai déjà été juge de ligne lors d’un match international ? Je suis ado et habite à une portée de smash du club de Spa qui accueille une rencontre féminine internationale entre la Belgique et le Danemark. Compétition qui correspond, à l’époque, à la Fed Cup. Les joueuses s’échauffent et l’arbitre constate qu’il lui manque quelqu’un pour « faire la ligne ». Me connaissant, il sollicite mon aide et je prends place sur la chaise. Première balle dehors, j’y vais d’un « out » à peine perceptible et de m’inviter à quelque peu hausser le ton. Deuxième balle hors des limites, j’éructe un « OUT » qui a dû s’entendre jusqu’au centre-ville. Et de me demander d’essayer de trouver un juste milieu sonore…

Lors de quelques saisons, le BC Verviers, cher au président Binet, a disputé ses matches de D1 à la « bulle » de Maison-Bois (Heusy) qui appartenait à Bernard Mignot, ex-champion de Belgique. Celle-ci faisait régulièrement le plein et ne tenait debout que via l’apport d’énormes souffleries. L’équipe du cru était coachée par le Bobelin, Léon Dothée, qui emmenait son papa systématiquement avec lui. Or, le brave homme craignait le dégonflement soudain de l’infrastructure. Raison pour laquelle, il cachait dans son loden un impressionnant poignard. On n’est jamais assez prudent…

Pendant plusieurs hivers, le Country Hall a servi de cadre à la « Legend Cup » qui réunissait d’anciennes gloires du tennis mondial. A ce propos, elles logeaient au « Sanglier des Ardennes », à Durbuy, où les soirées étaient particulièrement bien arrosées. Les 11 et 12 décembre 2010, le casting se révèle pour le moins explosif avec Mansour Bahrami, un incroyable showman ; Henri Leconte, jamais le dernier à mettre le boxon ; Bjorn Borg, plus fidèle que jamais à son image de marque et John McEnroe qu’on ne présente pas. A tout hasard, la DH me demande d’essayer d’avoir quelques mots de l’irascible Américain. Une mission impossible, de prime abord. De fait, il se révèle inapprochable quand, me faufilant dans le dédale du Sart Tilman, je finis par le croiser. Je lui explique la raison de ma présence et, avec une incroyable gentillesse, me prend le bras et m’entraîne dans son vestiaire où nous avons discuté en tête-à-tête pendant un petit quart d’heure. Un grand souvenir et un papier que je ne suis pas prêt d’oublier…

Pour conclure, ces deux « clignettes » plus régionales. La première a trait à Michèle Gurdal, ancienne championne de Belgique, cousine de Bernard Mignot (lire ci-dessus), première coach d’un certain David Goffin et, depuis peu, ma voisine. La coïncidence ne s’arrête pas là car nous sommes aussi nés à quelques heures d’intervalle… Si vous vous intéressez quelque peu au tennis, vous n’êtes pas sans savoir que le président de la fédération n’est autre qu’André Stein. Mais, le premier sport de prédilection du Liégeois a été le basket. « J’ai joué pendant des années et jusqu’en première à Saint-Louis », aime-t-il répéter avec un sourire plein de nostalgie.

 

Michel CHRISTIANE

Giancaterino revient à Mons

 

A Limburg cette saison après une pige en Grèce, Lorenzo Giancaterino portera les couleurs de Mons la saison prochaine.

 

C’est un retour au bercail pour Lorenzo Giancaterino. La DH nous apprend que celui qui a également porté le maillot de Liège en son temps va retrouver son club formateur pour la prochaine saison.

Cette année à Limburg après une pige en Grèce, l’ailier a compilé des moyennes de 4.5 points, 0.9 rebonds et 0.9 assists  en 13 minutes par rencontres mais avec des pourcentages assez médiocres (36,1% à 2 points, 31,7% à 3 points).