« Nos dix points d’avance seront très importants »

     

Ce samedi, en Coupe de la Province, la P4 de Ninane reçoit une des P2 de Tilff. Diego Toussaint, le métronome des Calidifontains, revient sur la préparation de son équipe et préface le derby face aux Porais.

    

« Notre préparation fut assez cool, je dirais même toute petite. Mais avec les repêchages, les vacances et autres, difficile de faire autrement » nous informe Diego Toussait. « En P4, je pense que le principal est d’être motivé et de rester complet tout au long de la saison.« 

Une saison qui démarrera officiellement le weekend prochain. Mais avant cela, place à la Coupe! Ce samedi, la P4 du BC Ninane accueillera une des P2 de Tilff pour un joli derby. « Honnêtement, je ne connais pas cette équipe » nous avoue le fer de lance des Calidifontains. « Par contre, je connais la nôtre et si nous voulons gagner, il faudra courir, prendre des rebonds et marquer. Je pense que notre point fort, cette année, c’est l’attaque. Les dix points d’avance seront très importants et il ne faudra gâcher que très peu de ballons si nous voulons avoir une chance.« 

« L’humeur est au beau fixe »

     

Mehdi Aouni revient sur la préparation de la P1 de Waremme, la présence de Sacha Massot et le déplacement de ce samedi à Stavelot pour y affronter, en Coupe de la Province, la P4 locale.

    

Mehdi, comment juges-tu votre préparation?

Nous sortons d’une très belle prestation face à la R1 du Royal IV Brussels. Une belle victoire qui fait du bien au groupe et nous motive pour la saison. Les entrainements se passent bien, l’humeur est au beau fixe.

Sacha Massot participe-t-il à tous les entrainements?

Il a eu quelques soucis au niveau du genou mais se soigne et participe, en effet, à tous les entrainements.

Ce samedi, vous vous rendez à Stavelot pour y défier la P4 du cru. Une promenade de santé pour vous?

Effectivement, l’écart de divisions devrait être justifié sur le terrain. Mais, pour cela, à nous d’arriver avec la meilleure attitude possible tout en respectant l’adversaire.

« Ne sous-estimer aucune équipe »

     

Lourdement blessé la saison dernière, Thomas Broset porte désormais les couleurs de Modave, en P2. Des Castors qui affronteront l’ogre de P3, Haneffe, ce dimanche, en Coupe de la Province. Pour Liège & Basketball, Thomas revient sur sa rééducation, la préparation vécue par sa nouvelle formation et préface la rencontre face aux Templiers.

     

Thomas, comment te sens-tu physiquement?

Je sens que cela va mieux. J’ai moins d’appréhension et je peux augmenter l’intensité dans mes exercices. Toutefois, à certains moments, je ressens des douleurs mais plus aux ischios que dans mon genou, ce qui est apparemment positif. Il me reste encore un mois pour me remuscler et travailler pour vraiment réintégrer l’équipe. J’espère vraiment aider et trouver ma place dans le groupe.

Comment juges-tu la préparation de ton équipe de Modave?

Elle se déroule bien. Nous avons eu beaucoup d’entrainements et nous voyons que cette nouvelle équipe progresse. De match en match, nous avançons tactiquement et dans la philosophie que nous tâchons d’instaurer. De plus, l’ambiance est bonne. J’espère que nous parviendrons encore à tout peaufiner d’ici la reprise du championnat.

Ce dimanche, en Coupe, vous vous déplacez à Haneffe pour y affronter la P3 locale que tous les observateurs pointent comme la toute grosse équipe de troisième provinciale. Vous vous méfiez des Templiers?

Je pense qu’il ne faut sous-estimer aucune équipe. Nous savons que cette équipe possède des joueurs d’expérience capables de mettre la balle dedans, mais nous avons aussi nos armes à faire valoir. Il suffit juste de jouer à fond et sérieusement, comme nous devrons le faire pendant la saison, pour livrer un bon match.

Avez-vous des ambitions dans cette Coupe provinciale?

Celles-ci sont les mêmes qu’en championnat, je pense. Nous voulons disputer tous les matchs pour les gagner ou, du moins, faire tout notre possible pour ne rien regretter. Ce sera le mot d’ordre dimanche.

« Une alchimie s’est créée »

      

Adrien Lozina revient sur la surprenante préparation des All Blacks et son intégration dans sa nouvelle équipe d’Alleur. Interview.

    

Adrien, vous réalisez un parcours sans faute en Coupe AWBB. Surpris?

Honnêtement, nous n’avions aucun objectif pour la Coupe et la reprise n’a pas été optimale avec les examens et autres contre-temps. Je ne m’étais d’ailleurs entrainé qu’une fois avant notre victoire contre Liège. C’est donc bel et bien une surprise mais nous avons livré deux excellents matchs contre Liège et Brainois, c’est donc du bonus.

Comment se passe ton intégration dans cette nouvelle équipe?

L’ambiance est déjà très bonne dans le groupe. Tout le monde boit son verre ensemble à la fin des matchs et même sur le terrain, il y a une bonne alchimie qui s’est créée. C’est facile de bien s’intégrer à un groupe pareil.

« Le basket, c’est comme le vélo: cela ne s’oublie pas! »

      

Après un retour réussi sur les parquets avec Ninane, Anne-Marie Glazemakers évoluera cette saison en première régionale avec Sainte Walburge. Pour Liège & Basketball, la talentueuse intérieure revient sur cet ultime défi.

       

La saison dernière, Anne-Marie Glazemakers a aidé la P3 de Ninane a décrocher la montée à l’échelon supérieur. « Il faut savoir que j’ai repris après sept ans d’arrêt » nous précise la talentueuse intérieur. « Je voulais juste retoucher la balle et m’amuser un peu, et cela sans aucune préparation.« 

Un retour sur les parquets plus que réussi avec les Calidifontaines. « Ninane a été un super club pour me permettre de reprendre, avec une excellente ambiance familiale. Cela m’a redonné goût au ballon orange » sourit Anne-Marie. « Quand Sabine Herben m’a contactée pour venir retenter le coup en R1 pour cette saison, j’ai pas mal réfléchi en me demandant si j’avais encore ma place à ce niveau. Et puis je me suis lancé un défi en me disant que c’était l’occasion de réessayer une ultime fois.« 

Cette saison, Anne-Ma portera les couleurs de Sainte Walburge et évoluera en première régionale avec les Sang et Marine. « Une grande partie de l’équipe est composée de joueuses avec qui j’ai déjà joué à Belleflamme, Montegnée ou Sprimont, voici quelques années. C’était une belle époque » se remémore-t-elle.

Afin d’aborder au mieux ce changement conséquent de division, Anne-Marie a voulu mettre toutes les chances de son côté. « C’est évident que pour passer de la P3 à la R1, ma préparation fut totalement différente » reconnait-elle. « Depuis que j’ai pris ma décision début avril, j’ai entrepris différentes choses. J’ai, notamment, suivi des entrainements spécifiques avec mes amis de Game Time, Ludo Humblet et Mike Bodson. Ils m’ont aidé à retrouver certains automatismes ou mouvements pivots qui étaient enfuis. Mais, comme pour le vélo, vingt ans de basket, cela ne s’oublie pas. »

A l’aube de cette nouvelle saison, Anne-Marie est ambitieuse mais sereine.  « Je ne me mets pas de pression mais ce qui est certain c’est que je ferai mon maximum pour l’équipe, pour que nous puissions toutes ensemble prendre du plaisir sur le terrain » poursuit-elle. « Je pense que nous avons une équipe complète et que si la sauce prend, comme on dit, nous pouvons vraiment réaliser de belles choses. » Et de conclure: « Qui vivra verra!« 

« Un début fort chahuté »

     

La préparation de la P4 de Wanze est loin d’être optimale pour une équipe qui brigue ouvertement la montée.

     

« Nous connaissons un début fort chahuté avec de nombreux joueurs en vacances et déjà plusieurs blessés » regrette le coach des Sucriers, Steven Vanherck. « Néanmoins, nos deux rencontres face à d’autres P4 se sont soldées par deux victoires de plus de trente points. »

Du positif tout de même pour un groupe ambitieux. « Nous espérons faire l’ascenseur et remonter directement grâce à nos transferts, le retour d’autres joueurs et deux pivots qui feront P2-P4 cette saison » continue Steven. « Nous avons les cartes en main pour réaliser une belle saison. Ceci dit, c’est toujours difficile de monter de P4. Il suffit de tomber sur deux ou trois équipes plus fortes, composées d’anciens joueurs de régionale par exemple, pour voir nos espoirs compromis. Mais j’ai confiance en mon groupe cette année et je suis persuadé que nous ferons de bonnes choses.« 

« Nous allons devoir être patients »

     

Ce weekend sera dédié à la Coupe de la Province pour nos formations provinciales. Dimanche, la P2 de Grivegnée se rendra à Aubel pour y défier la P3 locale. Nathan Stevens revient sur la préparation des Sang et Or et préface cette rencontre.

    

Comment s’est déroulée votre préparation?

La préparation ne s’est pas réellement passée comme prévu. Nous avons peu de matchs dans les jambes -trois amicaux en un mois- et plusieurs joueurs ont du s’absenter pour raisons familiale ou professionnelle. Nous allons devoir être patients avec notre équipe qui est composée à 50% de nouveaux venus et d’un nouveau coach. Il faut apprendre à se connaitre et cela ne se fait pas en quelques semaines.

Vous jouez à Aubel en Coupe ce week-ed, vous vous méfiez de cette P3?

Nous savons que ce match à Aubel sera compliqué car il s’agit d’une belle équipe qui, je pense, n’a pas beaucoup bougé depuis l’année passée. 

Comment abordez-vous cette rencontre et que devrez-vous faire pour l’emporter?

C’est un match de préparation supplémentaire en vue du championnat. Pour vaincre les Aubelois, il faudra que tout le monde soit concentré et régulier en attaque, ce qui nous fait défaut actuellement.

Haut-Pré, premier qualifié en Coupe de la Province

      

Ce weekend auront lieu les soixante-quatrièmes de finale de la Coupe de la Province. Et le premier qualifié, respectant la logique, est Haut-Pré, qui s’est imposé à Hamoir.

     

Une semaine avant la reprise du championnat, toutes nos équipes provinciales seront à pied d’oeuvre ce weekend pour le premier tour de la Coupe de la Province. De nombreux duels alléchants auront lieu un peu partout dans notre belle Principauté (nous y reviendrons). Une première rencontre de ces soixante-quatrièmes de finale a déjà été disputée. La P3 d’Hamoir a reçu la P1 du Haut-Pré. Pas d’exploit du petit poucet de cette confrontation: Ougrée a évité le faux-pas et s’est imposé 67 à 90.

« Attention à Ninane et à une équipe surprise! »

    

En marge de la présentation de Spa, nous vous proposons d’aller à la rencontre de Bruno Dagnely. Un coach encore assez méconnu du grand public et qui a longtemps vécu dans l’ombre – parfois envahissante – de Thomas Doneux…

      

Bruno, je suppose que tu as, aussi, un vécu de joueur ?

Effectivement puisque, dès mes 9 ans, je m’affiliais au CEP Fleurus (club mythique de la région de Charleroi) où j’évoluais jusqu’en Juniors Fiba. A ce moment, j’étais victime d’un grave accident au genou gauche : capsule, ménisque et ligaments explosés. La totale, quoi. Je me suis vite rendu compte qu’il me serait impossible de revenir à un bon niveau.

C’est alors que tu t’es tourné vers le coaching…

Exact. A Fleurus, j’ai pu m’inspirer de grands formateurs. Mais, celui-ci qui m’a le plus impressionné est sans conteste le Tchécoslovaque (à l’époque), Jiri Zednicek. Pour raisons professionnelles, je déménageais ensuite à Spa où je m’inscrivais, un peu par hasard, au club de Citibank Spa, aujourd’hui disparu. Là-bas, je faisais connaissance de gars qui allaient devenir de véritables amis et qui me permettaient, entre autres, de découvrir le basket liégeois.

Dont certains personnages incontournables, semble-t-il ?

C’est ainsi que Jeannot Dethier me contactait pour prendre en charge, en 2004, les pupilles de Pepinster. Je me demande si nous avons gagné un match cette saison-là… Puis, j’ai fait connaissance de Christian Lemaire avant de m’occuper des minimes-cadets de Spa à l’époque d’Arnaud Cornet et de Luc Namèche. J’ai été encore l’assistant de Jeannot à Herve/Battice, en R2, où je pouvais le remplacer, mais je ne me sentais pas encore assez mûr. Et cap sur Stavelot et sa P2. Afin de pouvoir travailler avec Pascal Mossay, j’ai pris la direction de SFX/St-Michel (P4) et retour à Spa en commençant avec la P4.

Quel souvenir gardes-tu de Thomas Doneux ?

Quand j’étais avec la 1ère Provinciale, il m’a proposé de devenir son assistant. Je n’ai pas hésité longtemps et l’aventure a duré quatre magnifiques années : montée en D3, ou encore, victoire en Coupe AWBB. Je définirais Thomas comme un coach passionné au grand cœur.

Pour conclure, qui pointes-tu comme favori de la série ?

J’ai le sentiment qu’il n’y pas de gros favori indiscutable. Malgré tout, j’estime que Ninane a certainement la possibilité de jouer le titre. Et puis, souvent, il y a une équipe que l’on n’attend pas…

    

Michel CHRISTIANE

A la découverte de Carolie Slaviero

     

Ce mercredi, nous partons à la découverte de Carolie Slaviero. Au cours de cet entretien, la jeune Poraise nous parle de son club de Tilff, de son équipe, de ses objectifs pour cette nouvelle saison, de ses qualités comme joueuse, de sa passion du basket et des avantages d’être en couple avec un basketteur. 

        

Depuis combien de temps pratiques-tu le basket et depuis combien de temps évolues-tu à Tilff?

Cela fait quinze ans que je pratique le basket. J’ai commencé à l’âge de sept ans au Haut-Pré. C’est ma troisième saison au RB Tilff, un club que j’ai rejoint lorsque l’équipe est montée en R2.

Quel bilan tires-tu de la saison dernière?

Très positif dans les chiffres sachant que nous perdions un pion majeur de l’équipe -Bénédicte Lhonneux- pour cause de grossesse et que nous avions deux nouvelles joueuses à intégrer. C’était notre deuxième saison en R2, soit celle de la confirmation après une première campagne prometteuse. Je ne peux qu’être satisfaite même si, d’un point de vue personnel, j’aurais aimé participer aux Playoffs puisque nous étions en ordre utile pour les disputer.

Quelles sont les forces de ton équipe?

Nous formons un groupe assez hétérogène du point de vue de l’âge et de l’expérience. Nous possédons cinq à six joueuses expérimentées qui mettent leurs connaissances au profit des plus jeunes qui évoluent tant en cadettes qu’en R2. C’est une excellente opportunité pour les jeunes de pouvoir s’entrainer et jouer chaque semaine avec des joueuses ayant connu le plus haut niveau, dont ma soeur, Stéphanie, qui a connu la D1. Je me situe un peu entre ces deux extrêmes puisque, malgré mon jeune âge, j’entame ma huitième saison en seniors, après Sprimont et Bellaire, respectivement en R1 et R2.

     

« Ma vitesse est mon plus grand atout »  

       

A quelle position joues-tu et quel style de joueuse es-tu?

J’évolue sur les postes un et deux. Je peux autant mener le jeu et distribuer le ballon qu’avoir un rôle d’ailier. Je suis plutôt agressive en dribble, j’aime créer en un contre un et fixer la défense pour terminer au panier ou donner un assist à une coéquipière démarquée. J’aime aussi allumer en « catch and shoot » quand on me ressort le ballon.

Quels sont tes points forts?

Mon principal atout est sans doute ma vitesse. J’aime quand la meneuse adverse met une pression tout terrain, cela laisse des espaces (rires).

Quels sont vos objectifs avec Tilff cette saison?

Nous souhaitons jouer le coup à fond et nous ferons les comptes à la fin de la saison. Nous entamerons chaque match pour le gagner, quelle que soit notre position au classement. Nous verrons où nous en serons au moment des verdicts de fin de saison.

Comment juges-tu le niveau en R2 Dames?

C’est un championnat à deux vitesses: quatre ou cinq équipes du top se disputent les premiers rôles, quatre à cinq équipes sont jugées plus abordables. Ce sont souvent les mêmes clubs que l’on retrouve en haut du classement. Par contre, les rencontres en déplacement chez les équipes moins bien classées ne sont pas toujours faciles à négocier. Il arrive de perdre des plumes dans ces conditions. Chaque match doit être joué, ce qui est assez plaisant. Ceci dit, d’un point de vue personnel, j’aspire à retrouver la première régionale qui apparait logiquement plus relevée.

      

« Un sport complet et collectif »

        

Tu es en couple avec Nicolas Franck. En quoi est-ce chouette d’avoir un partenaire qui pratique le même sport?

C’est chouette car nous partageons la même passion et les mêmes envies. Nous avons pu faire notre préparation physique ensemble, il m’a beaucoup aidée. C’est un peu comme mon deuxième coach. Il me connait assez bien donc il sait comment s’y prendre avec moi. Il me briefe avant chaque rencontre, il sait que j’en ai besoin et que, surtout, mentalement, cela me fait du bien.

Tu vas souvent le voir? Tu lui débriefes ses matchs?

Oui, très souvent. On discute de la rencontre lors du trajet retour en voiture. Il aime bien que je lui donne mon ressenti sur son jeu. Il en va de même lorsqu’il coache son équipe et que je suis présente. Il aime avoir un regard objectif des tribunes, que cela soit depuis le terrain ou depuis le banc de touche car, en tant que joueur ou coach, on ne voit pas toujours la même chose.

Passionnés de basketball tous les deux, qu’est-ce que tu aimes particulièrement dans ce sport?

J’aime le basket car je trouve que c’est un sport complet: il faut allier rapidité et agilité. Cela nécessite aussi un regard stratégique sur le jeu pour distribuer des passes décisives ou réaliser la bonne action au bon moment. Il existe peu de sports qui demandent autant de qualités physiques, tactiques et psychologiques. D’autant plus qu’au basket, rien n’est jamais joué! En deux minutes, une équipe peut inscrire vingt points et combler un large déficit ou renverser une situation mal embarquée. Je trouve ce sport assez palpitant. Un autre aspect qui est, chez nous, vraiment primordial, c’est l’esprit d’équipe. L’ambiance collective est indispensable pour moi. Je ne sais pas si l’on retrouve ce genre d’ambiance dans les autres disciplines sportives. Je peux mettre tout particulièrement en exergue l’atmosphère que nous avons développée au fil des saisons à Tilff. Ce qu’il y a d’original avec notre équipe, c’est que nous avons inventé notre propre troisième mi-temps. Chez nous, le plus important n’est pas de savoir ce qu’on boit mais plutôt ce qu’on mange! Nous aimons nous rassembler autour d’une table après le match et grignoter un morceau toutes ensemble. C’est ce qui fait la force de notre équipe.