« Que le meilleur gagne! »

C’est un samedi qui fera date à Harimalia! En trente-deuxièmes de finale de la Coupe de la Province, la P3 locale et la P2 se défieront dans une joute aussi passionnée qu’amicale. Et la buvette risque bien de résonner de chants festifs jusqu’au premières lueurs de l’aube.

La saison dernière, la P4 d’Harimalia avait effectué un formidable parcours en Coupe de la Province. Ayant décroché son ticket pour la division supérieure grâce à un tour final admirablement maitrisé, le groupe de Pascal Goffin devra cette fois passer sur le corps de la P1 de Spa pour poursuivre l’aventure dans la compétition.

Une compétition qui réservera une belle surprise aux Abeilles car l’autre P3 locale devra, pour passer au tour suivant, créer la surprise face à la P2… d’Harimalia! »Pour nous, c’est une première que deux équipes du club se rencontrent » se félicite Goff’.

Face à la P2 locale, les pensionnaires de P3 ne partiront pas avec les faveurs du pronostic même si leur bilan en ce début de saison est excellent. « La P3 est une bande de potes et pratique un jeu très offensif et fort atypique » précise Pascal Goffin. « La P2 possède un groupe davantage défensif et monte en puissance à chaque sortie. »

S’il faudra bien un vainqueur à l’issue des quarante minutes, ce sera toutefois le matricule 2211 qui tirera le mieux son épingle du jeu. « Le club n’a donné aucune directive aux coachs et aux joueurs. Que le meilleur gagne… mais de toute façon, nous ferons la fête après » conclut Pascal.

« Nous sommes à notre place »

A domicile, Henri-Chapelle s’est incliné 71-79 contre Sprimont. Fred Ledain revient sur cette rencontre et sur le début de saison des promus qui recevront la P4 d’Ensival en Coupe ce samedi.

Fred, que retenir de ce revers contre Sprimont?

Contrairement à la rencontre contre Atlas où nous n’avons jamais eu droit au chapitre, nous sommes longtemps restés au contact face aux Carriers. Mais toutes nos erreurs défensives se payaient cash, notamment une certain faiblesse au rebond offensif que notre adversaire a su exploiter. Beaucoup plus athlétiques que nous, les Carriers nous ont usé physiquement en trouvant facilement la brèche alors que nous bataillions à chaque attaque pour inscrire deux points.

Des regrets?

Non, nous avons en vain tenté plusieurs défenses et nos trop nombreuses erreurs et lancers ratés nous coûtent cher. Il aurait fallu jouer plus juste pour inquiéter les Sprimontois.

Comment juges-tu votre début de saison?

Avec un bilan équilibré de deux sur deux, nous sommes à notre place et continuons notre saison dans la bonne humeur.

« Le public a répondu présent et mis une terrible ambiance »

Pour recevoir Cointe et assister à la première de Jimmy Stas sous le maillot des Oursons, le public était présent dans les gradins d’Andenne. Et, pour la troisième fois depuis début septembre, les Grenouilles se sont inclinées d’un minuscule petit point.

80-81 contre le Centre, 69-79 contre Vieux Campinaire et maintenant 57-56 à Andenne, n’en jetez plus, la Coupe est pleine! En s’inclinant pour la troisième fois d’un minuscule petit point, Cointe peut nourrir des regrets. La différence entre un début de saison idéal ou un départ « loupé » tient finalement à peu de choses… Un point, ou deux.

Pourtant, tout avait bien commencé pour les Grenouilles qui rentraient bien dans leur match avant de voir les Oursons revenir à leur hauteur et les dépasser. Et les Cointois de devoir courir après le score. « Il s’agissait d’un match délicat. Après trois défaites, il n’est pas toujours facile de rebondir » soulignait d’ailleurs Jimmy Stas à l’issue de la rencontre. « Mais l’équipe a pu le faire grâce à son envie et son public. Bien que nous jouions un mardi soir, le public a répondu présent. »

Venus nombreux soutenir leurs couleurs et assister à la première de l’ancien pepin sous le maillot des Oursons, les supporters d’Andenne ont porté leurs protégés vers une première victoire, 57-56. « Cela faisait longtemps que je n’avais plus connu une telle ambiance dans un match de R1. Cela fait vraiment plaisir » souriait Jimmy. « Je pense que nous méritons cette victoire pour avoir mené au score la majeure partie du match. J’adresse mes plus sincères remerciements à nos supporters qui ont fait l’effort de venir en semaine. J’espère que cela se répètera tout au long de l’année.« 

Du côté des Grenouilles, entre les blessés et les défaites d’un point, il est temps que la malédiction s’estompe et que Dubois et ses coéquipiers retrouvent ce petit brin de chance qui fait souvent toute la différence.

« Les trois bombes consécutives de Wéry ont fait mal »

En P3C, Sprimont, Aywaille et Modave se sont inclinés ce weekend et sont encore à la recherche d’une première victoire en championnat.

A Union Liège, Sprimont s’est incliné 66-51, laissant les « Unionistes » seuls et invaincus en tête de la série. « Un très bon match des jeunes Bruno Ceccato et Marvin Albert » nous précise Sacha Evrard. « Je dirige un super groupe mais nous devons être plus rigoureux.« 

A l’inverse de l’Union, les Carriers n’ont pas encore goûté aux joies de la victoire. « Pour le premier match à Alleur, c’est la P4 qui a joué. Pour le second à Neuville, nous avions quatre absents, un autre contre Visé et deux contre Liège » énumère le coach de Sprimont. « C’est impossible de gagner avec autant d’absentéisme, nous sommes obligés de prendre des gars de P4 à tous les matchs.« 

Wéry en sauveur

Tout comme les Sprimontois, Modave court encore après une première victoire. Ce weekend, les Castors se sont inclinés à Grâce-Hollogne, 74-64. « Nous n’étions que 5 mais sans les trois bombes consécutives de Julien Wéry, cela aurait pu être un autre résultat » avance Arnaud Croteux. « Nous avons réussi à installer un faux rythme et les Buffalos n’ont jamais su en sortir. Nous avons d’ailleurs bénéficié d’un nombre incroyable de contre-attaque. Julien Wéry a alors planté trois bombes pour faire passer les locaux devant. Nous sommes ensuite revenus mais Lhoest a remis un triple qui a fait mal au mental.« 

Un succès qui permet aux Buffalos de rester en embuscade – avec Alleur et Visé – derrière l’Union. « Nous ne retiendrons d’ailleurs que la victoire » peste Bruno Masciulli, encore sur la touche suite a des problèmes de dos et qui mets les bouchées doubles pour espérer être de retour aussi rapidement que possible. « Nous avons affiché un gros manque d’envie et d’agressivité face aux cinq valeureux Castors. Félicitations à eux! Ils ont livré un match courageux et nous ont bien embêté. La partie fut serrée et nous étions même menés à la pause. Depuis le début de championnat, nous connaissons un vrai problème d’adresse et cela nous met en difficulté. »

Aywaille, suite à sa défaite 84-56, à Montegnée continue de fermer la marche. « Actuellement, la mayonnaise a du mal à prendre » regrette Vincent Darmont. Waremme a enfin remporté sa première victoire, 43-61 à Visé. « Nous fûmes vraiment très solidaires durant toute la partie. Toutes les rotations ont apporté quelque chose » nous explique Michael Proesmans. « Cette victoire nous enlève pas mal de pression car personne ne nous voyait dans pareille situation et j’espère qu’elle va nous permettre de nous libérer. » Quant aux Giants de Braives, ils ont étrillé Neuville, 76-49.

Verlaine seul leader en P3B

En remportant une quatrième victoire de rang contre Harimalia, Verlaine s’approprie le leadership de la P3B.

C’est une nouvelle victoire qui est venue garnir l’escarcelle de Verlaine. Le groupe de Jérôme Louwette a imposé ses vues à Harimalia et empoché trois nouveaux points grâce à sa défense de fer. Un succès 73-51 qui place Verlaine seul en tête de la P3B.

Dans la même série, Bellaire a équilibré son bilan en dominant Pepinster 84-67 alors qu’Haneffe s’inclinait à Saint-Louis (74-55) et Wanze à Dison-Andrimont (69-60).

Verlaine fait partie des trois équipes encore invaincues en troisième provinciale. Stavelot (en P3A) et Union Liège (en P3C) son également dans ce cas de figure.

« Le basket est si riche de stratégies pour gagner »

Après quatre matchs, les Dames de LAAJ trônent en tête du classement en R2A. Un départ en trombe qui valide le projet d’Atlas. Liège & Basketball est allé à la rencontre de Pascal Vanderoost pour évoquer cette nouvelle saison, le basket féminin, la R2A, le coaching et sa jeune équipe de Jupille. Entretien fleuve avec un coach passionné.

Pascal, depuis combien de temps entraines-tu et quelles équipes as-tu déjà entrainé?

J’entame déjà ma dixième saison au coaching… En jeunes, j’ai entraîné dans toutes les catégories régionales aussi bien en garçons qu’en filles. En seniors, dans toutes les divisions dames excepté la D1.

Peux-tu nous retracer ton parcours sur le banc?

Après avoir commencé à coacher à Waremme, club dans lequel j’ai toujours joué, je suis passé passé durant six saisons à Haneffe où j’ai eu des jeunes et des seniors tout en collaborant avec les Panthers. J’ai aussi effectué trois saisons en seniors à Herve-Battice. Depuis deux ans, j’ai la grande chance d’être en charge de la section féminine que nous venons de recréer à Liège Atlas avec la R2 Dames et les U19, en partenariat avec Alleur pour ces dernières.

Qu’est-ce qui te plait dans le coaching?

Notre sport est si riche qu’il existe des tas de stratégies pour gagner un match. Anticiper les choix adverses pour tenter de les faire échouer tout en proposant un modus operandi cohérent est tellement grisant! Et, pour nous entraineurs, quel bonheur si nous y arrivons tout en permettant à nos joueurs de franchir des paliers et de s’améliorer.

Qu’est-ce qui te plait dans le basket? Et dans le basket féminin?

J’ai souvent rencontré des joueuses débordantes d’envie, d’abnégation, de motivation… Mais parfois brimées par un manque d’intérêt envers le basket féminin.  Tenter de leur apporter un enseignement similaire à celui prodigué en hommes, avec les mêmes exigences comme cela se fait au sein du basket-étude de Liège Atlas, est tellement satisfaisant et est l’une des raisons d’être de notre projet au sein du club du même nom. Les filles, bien que limitées par rapport aux hommes à cause de contraintes physiologiques – même si on tente de réduire ces contraintes – sont souvent plus scolaires et suivent dès lors plus aisément la voie indiquée par le coach une fois que cette voie est comprise. La gestion du groupe, bien que parfois délicate, reste un challenge tellement captivant. Après, la plus grosse différence réside dans le fait qu’il faille toquer à la porte avant de rentrer dans un vestiaire de filles (rires) !

« Une saison de stabilisation »

Quelles sont les forces de ton équipe de LAAJ?

Compter plusieurs joueuses issues du basket-études d’Atlas et d’autres qui travaillent avec moi depuis minimum un an nous permet d’insister davantage sur les détails sans devoir recréer toutes les bases d’un collectif, comme ce fut le cas la saison dernière à la genèse du projet. Nos autres forces sont la fougue inhérente à la jeunesse de notre équipe – la plus jeune de la série – qui permet parfois de surmonter certains obstacles et l’état d’esprit et l’entente entre les joueuses qui sont exceptionnels. De plus, nous possédons un banc très fourni, nous ne devons pas calculer nos efforts et les joueuses qui ne sont plus en catégories de jeunes réussissent à hausser leur niveau de jeu et créent ainsi une saine émulation.

Quels sont vos objectifs cette saison?

Après l’année du lancement, cette saison doit être celle de la stabilisation pour le groupe. Avec de si jeunes joueuses, les voir s’améliorer au fil des semaines – aussi bien individuellement que collectivement – en les rendant plus intelligentes et performantes est essentiel. Pour les moins jeunes, continuer de les voir s’améliorer même après avoir joué à un plus haut niveau est très satisfaisant. Quant au bilan comptable, je ne vais pas être original en disant que chaque match est préparé pour le gagner… Et j’attends des filles que chaque seconde prestée sur le terrain le soit avec l’ambition de gagner. Nous verrons où cela nous mène.

Que penses-tu du niveau de votre championnat et qui vois-tu parmi les favoris?

Notre championnat est d’un très bon niveau avec de nombreuses équipes qui ambitionnent les Playoffs, d’autres équipes très expérimentées et trois clubs possédants des D1… Tous les Liégeois seront redoutables : les Précieuses d’Esneux qu’on ne présente plus, Tilff et ses joueuses qui furent parmi les meilleures en R1 il y a quelques années, ainsi que Pepinster qui possède un mix entre jeunesse et expérience. Au sein des autres provinces, Neufchâteau brigue toujours les places d’honneur, Spirou Ladies et sa D1 et j’en passe et des meilleures. Cette saison vaudra la peine d’être vécue!

Comment qualifierais-tu votre début de saison avec quatre victoires dont trois par de si petits écarts et une « on the buzzer »?

Le début de saison est évidemment excellent en étant en tête du championnat après un mois. Deux victoires en prolongations et une sur le buzzer: le suspense est au rendez-vous (rires). Nous avons battu des équipes contre lesquelles nous nous étions inclinés la saison passée, des équipes qui ambitionnent les Playoffs. Et nous avons remporté ces victoires sans nos deux intérieures, blessées! Contrairement à la saison dernière, mes filles savent rebondir après des périodes de creux mais nous devons encore afficher davantage de constance et de justesse.

« La confiance est là mais nous gardons les pieds sur terre »

Tout comme l’Etoile Jupille, David Lamborelle réalise un début de saison tout feu, tout flamme. Avant de recevoir la P1 d’Alleur ce mercredi et de se rendre à Saint-Louis samedi, le jeune papa passe à l’interview.

David, tu as cartonné contre Sainte Walburge. Comment te sens-tu cette saison?

Ca va, je me sens bien! L’équipe est bonne et nous avons une super ambiance, comme toujours depuis que je suis à l’Etoile.

Vous avez deux matchs cette semaine. D’abord ce mercredi à domicile contre Alleur et puis samedi à Saint-Louis face à la P2 locale. Comment allez-vous aborder ces deux rencontres?

Nous n’avons pas entrainement cette semaine, nous n’avons donc pas vraiment parlé des matchs mais nous allons faire comme toujours et tout donner pour réaliser de grosses prestations.

Après un tel début de saison, votre confiance doit être à son zénith?

La confiance est là mais nous gardons les pieds sur terre. Nous savons très bien qu’il faut que nous nous « donnions » pour gagner, que cela soit contre la P1 des All Blacks ou chez la belle P2 du Collège.

« Les Blancs-Moussis sont deux crans au-dessus »

Première victoire pour Ensival contre Saint Vith, première défaite d’Harimalia à Liège Basket et carton pour Stavelot, voici les faits marquants du weekend en P3A.

Dimanche, Harimalia a connu son premièr revers de la saison à Liège Basket. Les Abeilles qui sortaient d’un succès convaincant contre Belleflamme se sont inclinées 77-56 face à Kenny Boers et ses coéquipiers.

L’expérimentée équipe de Belleflamme, justement, a renoué avec la victoire en prenant la mesure de Theux, 81-67. Succès aussi pour Pepinster à Dison, 48-63, et pour Spa à Blegny, 56-75.

La Spéciale Aywaille a décroché sa première victoire de la saison contre La Vaillante Jupille, 66-53 (le reportage complet est ici). Premier succès également pour Ensival contre Saint Vith, 67-47. « Les jeunes joueurs d’Ensival ont très bien joué, avec leur coeur et à fond pendant quarante minutes » reconnait François Henin. « Bien que menés à la pause, ils ont pris quinze points d’avance à la reprise et ont encore accéléré dans le quatrième quart-temps avec un pressing impressionnant. »

Une défait surprenante mais logique au vu de la prestation des la plus lointaine équipe de la Province. « Nous n’avons pas trouvé la parade » assume le coach du Power Tower. « Nous avons commis beaucoup trop de pertes de balle et nos systèmes ne furent pas appliqués vu le pressing adverse. La leçon du jour à retenir est que ce n’est pas parce que nous venons de P2 que nous allons nous promener et avoir facile. La série est très forte et tout le monde peut battre tout le monde. »

Et dans la série de P3A, Stavelot a confirmé son statut de grandissime favori et dominant Aubel dans les grandes largeurs, 29-98. « Stavelot était vraiment trop fort. Nous avons été dominé dans tous les domaines de jeu. La volonté était la mais, devant une telle armada, nous avons subi. Les Blancs-Moussis sont un voir deux niveaux au-dessus!« , affirme Jean-François Loop, le coach des Herbagers.

Les Grenouilles rendent visitent aux Oursons

Ce mardi, Cointe se rend à Andenne pour y affronter des Oursons renforcés par Jimmy Stas.

Devant gérer des problèmes de blessures et une rotation parfois réduite à peau de chagrin, Cointe n’a remporté qu’une victoire en trois matchs depuis le début de la saison. C’est toujours une victoire de plus qu’Andenne, scotché dans le fond du classement. De jeunes Oursons, toujours à la recherche de leur premier succès, qui peuvent désormais compter sur le talent et l’expérience de Jimmy Stas. « J’ai choisi Andenne car ce club a bercé mon enfance avec, toujours, de bonnes équipes de jeunes » nous confiait récemment l’ancien pepin. « Le challenge est de taille. La R1 me semble plus faible mais davantage équilibrée que l’an dernier. Cela va forcément nous amener à disputer chaque match a fond . Je n’aurais pas signé si je ne pensais pas que l’équipe est capable de se maintenir, ce qui est l’objectif premier du club. Il faudra décrocher ce maintien le plus rapidement possible et cela risque d’être tendu jusqu’au bout vu l’homogénéité de la série. Mon rôle sera de permettre aux jeunes de briller et de se maintenir en apportant mon expérience, sur le parquet et en dehors. »

Un déplacement déjà crucial pour des Grenouilles afin de rejoindre le ventre mou du classement.

« Cette victoire nous enlève pas mal de pression »

Ca y est, Waremme a enfin remporté sa première victoire de la saison. Pointé parmi les favoris de P3C, les Wawas ont dû attendre la quatrième journée de championnat pour débloquer leur compteur. Michael Proesmans revient sur le succès des siens à Visé, 43-61 alors que ce dimanche, sa formation se rendra à Wanze pour y défier la P2 des Sucriers en Coupe de la Province. Interview.

Michael, cette première victoire doit vous faire du bien?

Oui, absolument. Elle nous enlève pas mal de pression car personne ne nous voyait dans pareille situation et j’espère qu’elle va nous permettre de nous libérer. Croisons les doigts pour que notre compteur de victoires se garnisse davantage.

Qu’est-ce qui vous a permis de vous imposer 43-61 en bords de Meuse?

A Visé, nous fûmes vraiment très solidaires durant toute la partie. Toutes les rotations ont apporté quelque chose. Il faut que nous conservions cette mentalité et cet état d’esprit pour les matchs à venir.