« L’arrêt burger obligatoire avec les « tardifs » de l’équipe »

Damien Grzesinski se prête au questionnaire du Thé ou Café.

Damien, es-tu davantage passe ou panier?

Alor moi, je suis plutôt passe… Je dirais même rebond! C’est mon gros point fort et le coach me pousse un max dans ce domaine. Je n’ai jamais été un gros marqueur donc j’aide l’équipe autrement.

Plutôt défense qu’attaque alors?

Exact. J’adore ennuyer l’adversaire en défense et prendre des rebonds pour balancer devant. C’est tout aussi satisfaisant que de marquer un panier car, au fond, tout démarre du rebond.

A choisir, Netflix ou cinéma?

J’aime les deux… Je regarde beaucoup Netflix le soir quand ma compagne s’endort avant moi et que je ne trouve pas le sommeil. Quant au cinéma, quand il y a un gros film qui sort, je vais le voir sans hésiter.

Plutôt pizza ou burger?

Plutôt pizza… Quoique ça arrive de manger un burger avec les « tardifs » de l’équipe après certains matchs en déplacement. Petit arrêt obligatoire (rires).

Préfères-tu partir en city-trip ou en vacances à la plage?

City-trip. J’essaie de partir une fois par an durant deux ou trois jours, même si cela fait un an que je ne suis plus parti. Cette année, ce fut Strasbourg entre les fêtes. Par contre, le ski est une obligation chaque année. Et, forcément, vacances d’été aussi mais pas toujours à la plage.

LeBron ou Curry?

LeBron revient bien en puissance cette année, cela promet encore pas mal de choses. Mais un qui m’impressionne depuis le Real de Madrid, c’est Luka Doncic. Il est phénoménal!

Standard ou Anderlecht?

Forcément le Standard! Gros conflit à la maison avec mon père d’ailleurs, c’est un mauve. Les classicos sont toujours bien drôles du coup.

Et enfin, thé ou café?

Les deux. Le café, c’est davantage le matin histoire de me réveiller et le thé c’est plus le soir après un bon repas. C’est toujours agréable.

« Erkenne clutch pour refroidir la salle »

Samedi contrasté pour Pepinster. Alors que la TDM2 a sombré à Courtrai, la P2 a remporté une importante victoire à Prayon.

A Courtrai, Pepinster a sombré, 94-57. « Le score reflète bien la physionomie de ce match sur lequel il n’y a honnêtement pas grand chose à dire » soupire Jordan Maucourant avant de souligner l’absence préjudiciable de Julémont.

Pour la P2 pepine, le résultat fut plus positif avec une victoire 68-74 à Prayon. Les visiteurs ont pu compter sur Rossinfosse qui avait déjà rechaussé ses sneakers en Coupe malgré une cheville gonflée. « Ce n’était pas un bon match de notre part, Prayon a imposé son rythme et nous n’avons pas su « tuer » la rencontre quand il l’aurait fallu » reconnait ce dernier. « Nous avons pris plus de dix points d’avance dans le troisième quart avant d’être repris et de compter six ou sept longueurs de retard sur les locaux.« 

Le groupe de Jerôme Jennes trouvait alors les ressources nécessaires pour inverser la dynamique. « Heureusement, nous avons su réagir et notre changement de défense nous a aidé à piquer des ballons pour aller rapidement conclure devant » poursuit Nicolas. « Chapeau à Max Erkenne qui a été clutch et qui a répondu présent en plantant plusieurs bombes décisives pour refroidir une salle où il ne faisait déjà pas très chaud. »

« De la raclette à la raclée! »

A Gent, Spa a complètement loupé son début de deuxième tour en s’inclinant 104-64. Reportage.

C’est devenu une (très mauvaise) habitude, les Spadois cochonnent souvent leur remise en route. Il en a encore été ainsi, vendredi soir, via une dégelée à Gand se passant quasi de tout commentaire : 104 à 64. Les mirlitons des dernières fêtes étaient rangés après seulement de 5 minutes de match à sens unique (12-0). La suite s’avérait tout aussi compliquée (49-22, à la 18e). Les Ardennais (Franck (dont vous pourrez retrouver l’interview complète ce mardi) 22 points, Vandenbrule 8 rebonds) profitaient alors de la déconcentration locale pour éphémèrement revenir à 69-51, au cap de la demi-heure. Un feu de paille vite éteint par des Flandriens (Foucart, ex-Alost D1, 23 pts et De Clercq, ex-Lions U18, 21) qui allumaient un bouquet final à 35-13 pour terminer à 104-64.

« Quand tu te déplaces à Gand en mode réveillon, tu te réveilles en mode raclée : au travail ! », stigmatise Bruno Dagnely. « Grâce à cette victoire et à cet écart monstrueux, nous dépassons les Spadois au classement. A confirmer, dans huit jours, à Pepinster », prévient l’affable Patrick Gevaert, le manager du Falco.

Michel CHRISTIANE

« Une salle froide et des glissades fréquentes »

A Liers, Saint-Louis a rivalisé offensivement avec le leader Gembloux mais ne s’est pas montré suffisamment hermétique en défense que pour l’emporter.

C’était à Liers que Saint-Louis recevait le leader Gembloux vendredi. « Ce fut assez difficile pour les deux équipes. La salle était très froide et les glissades assez fréquentes » regrette Jason Troisfontaine à l’issue du revers des siens, 82-97. « Offensivement, notre prestation fut plutôt bonne. C’est plutôt défensivement que nous ne fûmes pas assez présents, notamment au rebond défensif, ce qui a offert de nombreuses possessions supplémentaires à notre adversaire. »

Crédit photo: PP Photography Amateur

« Cela s’est joué sur un coup de dés »

A domicile, Belleflamme a bien failli créer la surprise contre Tongres, ne cédant 75-80 qu’en toute fin de partie. Damien Aussems revient sur la prestation encourageante des Haricots. Interview.

Damien, que retiens-tu de votre prestation contre Tongres?

Nous avons vraiment sorti un gros match au niveau de l’intensité et nous avons eu une bonne réussite. Nous avons mis les Limbourgeois en difficulté dans tous les compartiments du jeu alors que nous n’avons joué qu’avec un seul pivot spécifique pendant quarante minutes.

Que vous a-t-il manqué pour l’emporter et créer la première surprise de ce week-end de reprise?

Cela s’est joué dans les deux dernières minutes, sur un coup de dés. Il n’y a rien d’autre à dire. Pour le même prix, la pièce aurait pu tomber de notre côté.

« Un shoot du milieu de terrain qui nous a assommé »

Malgré un cruel manque de réussite, Sprimont n’est pas passé bien loin de l’emporter à Hasselt. Reportage.

Gaetan Hertay l’avait souligné dans nos colonnes: « Ce match contre Hasselt vient trop tôt après les fêtes même si la trêve a fait énormément de bien pour soigner les bobos. » Pourtant, l’intérieur des Carriers semblait avoir bien digéré les fêtes, à l’inverse de ses coéquipiers. « Hormis Gaëtan, nous avons tous cruellement manqué de réussite aux shoots » reconnaissait Robin Malpas.

En panne d’adresse, Sprimont se reposait sur une défense hermétique afin de rendre la vie dure aux Limbourgeois. « C’était un match serré et nous avons fait jeu égal durant trente-huit minutes » soulignait d’ailleurs Robin à l’issue de la rencontre. « Nous avons alors encaissé un shoot quasiment du milieu du terrain sur une fin de possession. Cela nous a littéralement assommé! » Les Carriers n’allaient pas s’en relever et laissait filer la victoire, 65-55. « Jouer un trois janvier n’était pas l’idéal mais mais c’était pareil pour Hasselt » conclut Robin, beau joueur.

« Cela ne sera pas un match facile »

Ce dimanche, Sainte Walburge et Verviers devront directement être dans le bain pour une confrontation importante dans la lutte au maintien.

« Cette petit trêve a fait du bien et chacun a pu soigner ses petits bobos » nous confie Quentin fassotte avant d’évoquer l’avenir. « Nous devons débuter ce deuxième tour avec la même envie qu’à la fin du premier, c’est-à-dire en nous jettant sur tous les ballons et en essayant de jouer assez haut en défense pour gêner nos adversaires.« 

Et les Sang et Marine devront redémarrer sur les chapeaux de roues avec un match à six points contre Verviers. « Nous savons que cela ne sera pas un match facile. Les Verviétois viendront chez nous pour prendre cette victoire qui les ferait bien remonter au classement » concède le scoreur local. « Nous allons devoir contrôler le rebond malgré notre déficit de taille et ensuite jouer les contre-attaques dès que nous le pourrons. Calmer le jeu dans les moments importants – ce que nous avons encore du mal à faire – sera aussi un facteur décisif de cette rencontre.« 

« La trêve a fait un bien fou! »

Après avoir profité de la trêve pour recharger leurs batteries, Alexandre Aerts et ses coéquipiers de LAAJ retrouveront la compétition avec un déplacement à Ciney.

Alex, la trêve vous a-t-elle fait du bien?

Oui, un bien fou! Même si on ne se le dit pas, le corps était bien fatigué et avait besoin de repos ainsi que de toutes ses capacités pour étudier (rires).

Dans quel état d’esprit allez-vous reprendre le collier?

Nous allons recommencer le deuxième tour avec la même mentalité qu’en début de saison, c’est-à-dire sans nous mettre de pression et avec la volonté de créer quelques surprises et d’empocher le maximum de victoires!

A quel genre de match t’attends-tu à Ciney et que devrez-vous faire pour vous y imposer?

Ciney est une belle équipe et cela risque d’être un match physique. Nous allons devoir imposer notre rythme directement et être concentrés pendant quarante minutes car le danger peut venir de partout dans cette équipe.

« Le public jupillois est toujours présent dans les gradins »

Après une courte trêve, André Yon et Wanze retrouvent déjà la Vaillante Jupille. Entretien.

André, la trêve fut-elle appréciée chez les Sucriers?

Oui, elle nous a permis de passer plus de temps en famille et d’oublier un peu le basket même si, pour certains, ce n’est pas toujours facile.

Comment allez-vous aborder cette deuxième moitié de saison?

Nous avons une seule envie: essayer de continuer à jouer notre basket en nous amusant.

Ce dimanche, vous irez aux Argilières pour retrouver pour la troisième fois la Vaillante Jupille. A quel genre de match t’attends-tu?

A un match difficile car nous sommes habitués aux grands terrains (rires).

Une initiative à soutenir et à encourager

Que devrez-vous faire pour vous imposer pour la troisième fois contre cette équipe?

Jupille est une bonne équipe avec de très grandes qualités individuelles. Nous devrons respecter les consignes du coach, jouer sur nos forces et rester concentrés sur notre match car le public jupillois est toujours présent dans les gradins.

Enfin, un petit mot sur ton association caritative?

« Joy and Life for All » continue sa marche de soutien aux enfants en situation précaire au Cameroun grâce aux âmes de bonne volonté, grâce aussi au RBC Wanze et au comité des Sucriers qui prennent de plus en plus la chose au sérieux. J’en profite pour souhaiter plein de vie et de sourires aux enfants pour l’année 2020.

Dimanche excitant en P2B

Ce dimanche de reprise s’annonce particulièrement excitant en P2B.

Ce dimanche de reprise s’annonce particulièrement excitant en P2B avec pas moins de cinq matchs au programme. LAAJ recevra Huy, une formation qui mise sur l’éclosion de ses jeunes. « Je suis persuadé que notre second tour sera meilleur que le premier et que nos jeunes vont monter en puissance. Arriver aussi vite que possible à un nombre de victoires suffisant pour assurer notre maintien est notre priorité » nous confiait, jeudi, Nicolas Gustin.

L’autre équipe de Jupille, la Vaillante, tentera, à domicile, de prendre sa revchance sur Wanze, une formation sortie victorieuse de leurs deux précédentes confrontations (retrouvez l’interview d’André Yon au sujet de ce match ce dimanche). Saint-Louis tentera d’assurer contre Aywaille, une équipe qui traverse une période compliquée marquée par de nombreuses blessures. Awans, beau promu mais encore trop inconstant, essaiera de démarrer 2020 comme la saison avait commencé: par une série de victoires. La venue d’Harimalia constitue une belle opportunité pour les troupes d’Eric Herben.

Enfin, Hannut tentera de forger l’exploit contre Union Liège. Malgré les blessures, les Hesbignons ont réalisé un premier tour correct et se veulent ambitieux pour la suite de la compétition. « Nous mettre à l’abri définitivement dans une série où les débats seront ouverts aussi bien en tête qu’en queue de peloton est notre objectif prioritaire ainsi que, bien évidemment, tenter de faire mieux que la saison dernière. Il s’agira également de tenter de récupérer nos blessés – Humblet à la cheville et moi qui met plus de temps que prévu – et pouvoir enfin prouver ce que nous valons vraiment lorsque nous sommes au complet » nous confiait, mercredi, Dennis Plomteux.