Je ne saurais jamais assez féliciter les responsables de club espagnol d’avoir enrôlé l’exemplaire Antonia Delaere tandis que vous en connaîtrez davantage sur la vie actuelle de l’Alostois Frank Van Impe mais, aussi, sur un passé souvent ignoré… Sans oublier la petite présentation du match NBA de la nuit prochaine. Ce sont les infos d’EMCE.
Le couteau suisse des Cats à l’IDK Saint-Sébastien (D1 esp)
Une de leurs Américaines ayant subitement décidé de demeurer au pays, les dirigeants de l’IDK Saint-Sébastien (D1 esp) se devaient de pourvoir à son remplacement. Leur choix s’est (judicieusement) porté sur notre compatriote, Antonia Delaere (26 a, 1,81 m, photo). Le « couteau suisse » des Belgian Cats avait débuté à Boom et jouait, la saison passée, à Nantes, ex-adversaire des Liège Panthers en EuroCup. « Le fait d’évoluer dans une des meilleures ligues continentales va me permettre d’encore progresser », conclut-elle. Sûr que le club basque ne le regrettera pas !
La nouvelle vie de Frank Van Impe : cafetier à Liedekerke
Après avoir défendu bec et ongle les couleurs de l’Okapi sur le terrain, Frank Van Impe (52 ans) en est devenu le manager durant un bon bout de temps. Depuis sa mise à l’écart, on se demandait ce qu’était devenu l’éternel comparse de Brad Dean. En fait, il est devenu cafetier et tient le « Sportkaffee Bokaal », à Liedekerke (entre Ninove et Bruxelles). Dans une autre vie, le sympathique Flandrien avait été marié (deux enfants) avec Ilse Uyttersprot (ex-bourgmestre d’Alost) sauvagement assassinée à coups de marteau en début de semaine.
La télé crève l’écran
La nuit prochaine vous aurez droit votre habituel « petit match » de NBA. En l’espèce, il s’agira de l’explication entre Dallas et les Clippers, sur Eleven Sports 2, dès minuit trente.
OKC est bien l’équipe surprise de la saison grâce à l’apport indéniable de Chris Paul. Gare à qui devra défier le Thunder en Playoffs.
Pour le premier match « officiel » du Thunder, Chris Paul a régalé avec 18 points à 7 sur 11 aux tirs, 7 rebonds et 7 passes. Dans le sillage de son meneur, les troupes de Billy Donovan ont étrillé le Jazz. « Il vous rend les choses difficiles quoi qu’il arrive. Mais si vous n’exécutez pas des deux côtés du terrain contre lui, il va trouver vos faiblesses en défense et les exploiter. Et même souvent quand vous exécutez, il arrive à faire la même chose. J’ai trouvé qu’ils nous avaient empêchés de faire presque tout ce que nous avons essayé de faire. Il y a eu des moments où nous avons eu du succès, mais où nous n’avons pas conclu l’action. Nous avons raté des shoots, mais sur l’ensemble du match ce n’était pas une question de shoots ratés. Nous n’avons pas été l’équipe que nous sommes capables d’être. Crédit à Oklahoma City. Ils nous ont rendu la vie vraiment difficile et nous devons pouvoir exécuter et rivaliser malgré ça » confiait Quin Snyder après le revers de sa formation.
Equipe surprise de la saison, OKC confirme être un sacré client pour les Playoffs. Gare à qui devra défier le Thunder en post-season !
Seconde perf’ de choix d’affilée pour Michael Porter Jr, Embiid marche sur la raquette des Wizards, Lowry frôle le triple-double, les Lakers arrosent sans succès, Boston flambe, Toronto demeure invaincu dans la « bulle » et Memphis court toujours après sa première victoire: c’est le résumé de la nuit en NBA.
Michael Porter Jr a sorti une seconde prestation étincelante (30 points et 15 rebonds) pour épauler Jokic (25 points et 11 passes) dans la victoire des Nuggets sur les Spurs 132-126. La défense de Rudy Gay (24 points, 4 rebonds et 4 passes) et de ses coéquipiers fut, comme très souvent cette saison, trop permissive.
Permissive est d’ailleurs un terme presque trop doux pour qualifier la défense des Nets qui ont laissé les Celtics inscrire 149 points ! Avec sept joueurs à dix points ou plus et une adresse remarquable (20 sur 39 derrière l’arc), Boston a déroulé face à des New Yorkais dépassés. Score final: 149-115.
L’adresse n’était par contre pas au rendez-vous pour les Lakers qui ont arrosé (5 sur 37 from downtown) sans succès contre contre OKC. Davis fut de nouveau timide (9 points à 3 sur 11, 8 rebonds et 5 passes), James moins tranchant (19 points à 35% , 11 rebonds et 4 passes) et les Lakers se sont inclinés 86-105 face à Chris Paul (21 points, 7 rebonds et 6 passes) et au collectif (tout le cinq majeur a scoré 13 points ou plus) d’Oklahoma.
Pour Memphis, ce sont les victoires qui ne sont pas au rendez-vous. Les Grizzlies se sont inclinés 124-115 contre le Jazz et sont toujours à la recherche d’une première victoire dans la « bulle ». Ingles termine meilleur marqueur du Jazz (25 points) tandis que Valanciunas (21 points et 16 rebonds) a posé des problèmes à Gobert.
Toronto continue son petit bonhomme de chemin grâce à une nouvelle victoire, contre Orlando cette fois, 109-99. Fournier a encore dévissé (4 sur 11 aux tirs) alors que Lowry a frôlé le triple-double: 8 points, 9 rebonds et 10 passes. Les Raptors demeurent invaincus depuis la reprise !
Enfin, les Wizards étaient trop justes contre les Sixers, 98-107. Joel Embiid (30 points et 11 rebonds) a marché sur la raquette de Washington avec une facilité déconcertante, faisant ainsi oublier la panne d’adresse (2 sur 10) de Ben Simmons.
L’adrénaline que procurent les matchs tendus manque à François Huby qui espère vivement pouvoir débuter le championnat début octobre. Interview.
François, comment as-tu réagi à l’annonce du report de la reprise de la saison ?
J’étais très déçu, comme tous les basketteurs et sportifs en salle, mais c’était prévisible vu les informations qui tournaient.
As-tu bon espoir de voir le championnat débuter début octobre ?
Oui, je pense que nous pourrons débuter la saison en octobre. J’y crois et attendre encore plus longtemps avant de rejouer donnerait moins de sens à une saison qui serait, à nouveau, encore plus courte.
Qu’est-ce qui te manque dans cette période sans basket ?
L’amusement sur le terrain et avec mes coéquipiers mais surtout l’adrénaline que me procurent des matchs intenses.
Comment vas-tu t’entretenir pour arriver en forme à la reprise ?
Je vais continuer la préparation physique donnée par mes coachs – elle devait prendre fin en août – et, en priorité, continuer à courir.
La Belgian Cats a livré une toute grosse prestation mais les Mystics se sont inclinées de peu contre Las Vegas.
Avec 24 points (certes à 10 sur 23 aux tirs mais 3 sur 7 derrière l’arc), 13 rebonds et 2 passes, Emma Meesseman n’a pas nié ses responsabilités. Grâce à la Belge, Washington prenait les devants à l’issue du premier quart, 21-19. Les Mystics comptaient toujours deux points d’avance à la pause avant de voir Las Vegas passer devant d’une unité à l’issue du troisième quart pour finalement s’imposer 83-77.
Au fil de ses diverses pérégrinations, David Iliaens a cotoyé et affronté de fameux talents, reçu les conseils d’excellents techniciens et flambé dans divers endroits. Entretien.
David, quel adversaire t’a le plus impressionné au cours de ta carrière ?
Van Hove avec ses shoots dégueulasses… Mais comment aussi ne pas citer cette légende du basket liégeois qu’est Fred Delsaute qui a cette capacité à enfiler autant de paniers que de bières. Incroyable mais vrai (rires).
Lequel de tes coéquipiers était le plus fort ?
Sans hésiter, Karim Doukmani. Ce mec avec toute la panoplie du joueur écœurant et rendait ses équipiers meilleurs. Un autre avec qui j’ai pris énormément de plaisir à évoluer, c’est Valery Borgers. Etre si fort et si altruiste tout en affichant une telle régularité, c’est impressionnant. Je me réjouis de le voir évoluer à Cointe !
Et le plus drôle ?
C’est évidemment Olivier Matray alias MacFly ! Il y a trop à dire sur lui, il faudrait en faire un bouquin. La question serait même: quel joueur ayant évolué avec lui citerait quelqu’un d’autre que lui comme le coéquipier le plus drôle (rires) ?
Quel est to coach favori ?
Mon préféré, c’est Gregg Popovich mais dans tous ceux que j’ai eu dans mon parcours, le meilleur formateur fut Serge Polet. Il m’a donné du caractère et de la précision. Comme entraineur, sans hésitation, c’est Laurent François. Il sait donner confiance à ses gars !
Quelle est ta salle préférée ?
Spa où j’ai joué cinq ans. J’adore cette salle… Pour l’ambiance, c’est les anciennes installations de Libramont avec le bar construit avec des casiers.
Quel déplacement redoutes-tu le plus ?
Je déteste la salle du Jésyl. Heureusement, je n’y ai plus joué depuis dix-huit ans – oui, je suis un ancien (rires).
Quel est ton souhait pour le basket liégeois ?
C’est bien plus qu’un souhait ! S’il vous plaît, je vous en supplie, pouvons-nous réapprendre aux jeunes à avoir de la lecture de jeu avec et sans ballon mais, surtout, à ne pas réagir aux feintes comme des poulets sans tête. Cela devient risible de marquer les pieds au sol (rires). Je préfère en rire qu’en pleurer.
Julie Allemand et Indiana s’inclinent contre les Sparks de Los Angeles.
Cette nuit, Indiana affrontait les Los Angeles Sparks, candidates au titre suprême et qui comptent dans leurs rangs Candace Parker. La soeur d’Anthony Parker (ex Maccabi Tel Aviv et Toronto Raptors, notamment) est l’une des meilleurs joueuses de la planète. Grande, athlétique, technique, polyvalente, elle possède le bagage complet et fut d’ailleurs impactante dans cette rencontre avec 18 points, 11 rebonds et 3 passes.
Traditionnellement à l’aise avec les Parker (son Président à Lyon était Tony… Parker), Julie Allemand fut cette nuit moins tranchante que lors de ses dernières sorties. Avec 6 points, 5 rebonds, 4 passes, 2 steals mais aussi 5 turnovers, la Liégeoise est un peu passée à côté de la rencontre, à l’image du Fever, constamment mené mais qui eu tout de même un beau sursaut d’orgueil en fin de rencontre pour grignoter son retard. Score final: 75-86
Le début du championnat de l’EuroMillions Basketball League est postposé d’un mois.Il faudra donc attendre pour voir les premiers pas de Tom Malempré sur les parquets de l’élite.
Comme les amateurs, les « pros » devront patienter avant d’effectuer leur retour sur les parquets. « Les restrictions de voyage au niveau européen étant toujours en vigueur pour les voyages venant d’en dehors de la UE pour un grand nombre de pays, dont les Etats-Unis, les mesures restrictives renforcées prises par le Conseil National de Sécurité et l’interdiction locale sur les sports de contact dans certaines régions, le début de la compétition en EuroMillions Basketball League est reporté du 2 octobre au week-end du 7 novembre » annonce la ligue sur son site internet. « La formule de compétition et la formule de la Coupe de Belgique sont maintenues. »
« L’évolution de la pandémie et les décisions qui en résultent au niveau européen, au niveau national et au niveau local, ne permettent actuellement pas à nos clubs de préparer la saison correctement. Nous avions élaboré un scénario nous permettant de reporter au début novembre, ce que nous venons d’activer » explique Arthur Goethals sur le site officiel de l’EuroMillions Basketball League.
« C’est dommage car, comme tout le monde, je me réjouissais que la saison reprenne après que celle de l’an dernier fut écourtée » nous confie Tom Malempré qui évoluera avec la D1 de Liège et la R1 de Waremme. « Pour la reprise des entrainements, nous ne savons pas encore exactement quand cela pourra se faire car cela varie régulièrement suite aux mesures gouvernementales. »
En attendant, le jeune espoir du basket liégeois révise ses gammes et peaufine sa condition physique. « Actuellement, mes journées se ressemblent assez fortement. Le matin je vais à la salle de muscu chez Kineo et l’après-midi ou le soir je joue au basket seul ou avec des potes » nous précise Tom. Allez, encore un peu de patience…
La recrudescence de la pandémie contrarie la préparation de l’ensemble des clubs : la preuve du côté de Comblain et, peut-être, de la Fraineuse. On a retrouvé la trace d’un irascible international nigérian ayant presté au hall du Paire et qui poursuivra sa carrière au sein de la seconde phalange de Rome. Ce sont les infos d’EMCE.
Pas de Liège à Comblain, ni de Gravelines à Spa ?
Alors que l’on attend avec impatience le calendrier de préparation de Liège Basket, la phalange du Country Hall ne jouera pas à Comblain. Pour rappel, ce match aurait dû avoir lieu le mercredi 26 août prochain (20 h) et a été supprimé pour les raisons que l’on imagine aisément. Dans ce contexte, on peut se demander si Gravelines viendra en stage, la semaine prochaine, à la Fraineuse. Pour la reprise des entraînements, Serge Crevecoeur ne pouvait compter que sur quatre joueurs. En effet, aucun des Américains, ni le renfort monténégrin n’était parvenu à quitter leurs pays respectifs. Pour les raisons que l’on imagine aisément…
Que sont-ils devenus ? Aujourd’hui, Jamal Olasewere (Pepinster)
Cet ailier vif-argent (28 a, 2,01 m, photo) a défendu les intérêts de la sélection nigériane et a entamé son périple européen à Crémone, en Italie. Il a ensuite débarqué au Paire en 14/15 sous la houlette de Thibaut Petit. Capable du pire comme du meilleur, il péta ainsi les plombs, un samedi soir, à Ostende. En cause, un uppercut particulièrement percutant qui l’expédia illico aux vestiaires avec une suspension, à la clé. Il retourna alors dans la Botte avant de découvrir l’Islande, la saison passée. Pour la prochaine, il se mettra au service d’Eurobasket Roma, en D2 italienne.
La télé crève l’écran
Cette nuit, vous avez pu assister au succès (112-106) du Heat au détriment des Celtics. On remettra le couvert tout à l’heure (0 h 30), sur Eleven Sports 2, au travers de la confrontation opposant Thunder d’Oklahoma City aux Lakers de Los Angeles.
Devin Booker qui crucifie les Clippers, Luka Doncic qui réalise une nouvelle performance historique, Carmelo Anthony clutch face à ses anciens équipiers des Rockets, l’équipe D des Nets qui fait tomber les Bucks, TJ Warren toujours aussi « on fire », les premiers points et la blessure de Jamal Crawford: c’est le résumé de la nuit en NBA.
Le héros du jour se nomme Devin Booker. L’arrière des Suns a sorti un match de mammouth (35 points et 8 passes) pour contrecarrer les plans des Clippers qui saluaient le retour de Lou Williams (7 points et 6 passes). Mieux, Booker a crucifié Leonard (27 points et 7 rebonds) on the buzzer pour offrir sa troisième victoire dans la « bulle » à Phoenix. Les Suns sont toujours en course pour se qualifier in extremis pour les Playoffs. « Après qu’on ait intercepté et récupéré le ballon à 10 secondes de la fin, je voulais prendre le dernier tir en m’assurant de ne pas leur laisser de temps derrière. Je savais que la prise à deux arrivait, donc j’ai attaqué de l’autre côté. Kawhi est très long donc j’ai feinté, je l’ai fait sauter et j’ai pris le fade away » expliquait Booker après son buzzer beater victorieux.
Le champion de jour – et de l’année – est l’inévitable Luka Doncic. Avec 34 points, 20 rebonds et 12 passes, le Slovène signe son seizième triple-double de la saison et devient le plus jeune joueur de l’histoire à réussir un match à 30/20/10 ! Les Mavs l’ont emporté 114-110, empêchant ainsi Fox (28 points et 9 passes) et ses coéquipiers de décrocher leur première victoire dans la « bulle ». «
Nous avions absolument besoin de cette victoire. Nous avons joué, je pense, l’un de nos pires matches depuis mon arrivée ici. Mais nous avons gagné. Nous n’avons pas bien joué. Mais nous avons fait le maximum pour nous accrocher. Nous nous sommes entraidés et n’avons jamais abandonné. Je suis fier de cette victoire. (Doncic)
La victoire semblait impossible pour les Nets version G-League – Brooklyn, en plus de ses blessés longue durée, était privé de LaVert, Allen et Harris – face aux Bucks. Pourtant, les New Yorkais ont créé l’exploit dans le sillage du Français Luwawu-Cabarrot, auteur de 26 points (record en carrière égalé) à 8 sur 12. Certes, le staff des Bucks a peu fait jouer ses vedettes mais la victoire 119-116 de Brooklyn reste un bel exploit. « Sans nos meilleurs scoreurs ici, il y a des opportunités à saisir pour tout le monde. J’ai laissé le jeu venir à moi, je ne voulais rien forcer. C’était un bon match pour moi et une grosse victoire pour l’équipe » a réagi le Français après le succès des siens. « On avait pour mission défensive de bien remplir la raquette et de ne pas se laisser battre en un-contre-un sur les extérieurs et je pense qu’on a bien réussi à le faire. On a pris les bonnes décisions sur les shooteurs aussi et on a su garder notre concentration pendant tout le match. C’est ce qui nous a permis de l’emporter. » Par contre, la poisse continue pour les Nets qui ont déjà perdu Jamal Crawford (5 points et 3 passes), blessé après six minutes de jeu.
Sans Jimmy Butler, le Heat a tout de même réussi à s’offrir le scalp des inconstants Celtics, 112-106. Miami a pu compter sur Adebayo (21 points et 12 rebonds), Robinson (21 pions) et Dragic (20 unités). Chaque membre du cinq majeur des Celtics a scoré 15 points ou plus mais les 15 triples des Floridiens ont fait la différence face à un Boston maladroit.
A l’inverse, les autres Floridiens – ceux d’Orlando – font la soupe à la grimace avec un revers 109-120 contre des Pacers pourtant privés de Sabonis. Evan Fournier s’est encore troué (2 sur 10 aux tirs). C’est tout le contraire pour TJ Warren qui continue de cartonner. Après 53 et 34 pions inscrits lors de ses deux dernières sorties, l’ailier d’Indiana a cette fois marqué 32 points à 13 sur 17. Sa première période fut monstrueuse avec 19 points à 8 sur 8.
Carmelo Anthony n’a pas loupé ses retrouvailles avec son ancienne équipe. Avec 15 points, 11 rebonds et un triple clutch dans le money time, Melo a contribué au succès des Blazers sur les Rockets, 110-102. Portland savoure le retour aux affaires de Nurkic (18 points et 19 rebonds) alors que la paire Westbrook/Harden fut maladroite (12 sur 31 aux tirs dont 3 sur 10 de loin et 11 sur 19 aux lancers). « Si vous l’avez, vous l’avez. Il faut le vouloir. Il faut vouloir se retrouver dans ces situations et apprécier ces moments. Prendre ces tirs tout en ayant la confiance de pouvoir les mettre » confiait Anthony à propos de sa « clutchitude ».