Le meneur des Kings fut impressionnant cette nuit, initiant une superbe remontada pour permettre à Sac-town de s’imposer à NOLA.
Avec 38 points et 12 passes, Fox fut magnifique cette nuit. Surtout, c’est dans son sillage que les Kings ont su remonter leur handicap face à des Pelicans toujours aussi amorphes. Score final: 109-118.
Devin Booker a assassiné les Mavs d’un tir ultra-clutch à la sirène.
Sixième revers de rang pour Doncic (25 points et 8 passes), cette fois contre Phoenix, 108-109. Dans une fin de match à couper au couteau, Chris Paul (34 points, 9 rebonds et autant de passes) a su trouver Devin Booker (24 pions) pour le panier de la gagne.
« Cela dit quelque chose. De notre basket, mais aussi du basket en général, trop souvent méconnu en France alors que, en termes d’universalité, c’est clairement le deuxième sport mondial derrière le football. C’est une discipline qui se joue partout, en Europe, Asie, Afrique, Amérique du Sud… Les autres sports américains sont plutôt mineurs dans le reste du monde. Et le nombre de joueurs que l’on continue d’envoyer confirme – j’en parle régulièrement avec des recruteurs – que la Jeep ÉLITE est considérée comme un excellent tremplin » a déclaré le sélectionneur tricolore au média français.
Malgré la crise sanitaire, le comité d’Andenne ne reste pas inactif et les contours des futurs noyaux R1, P1 et P2 se dessinent.
Maintenant que les clubs sont fixés sur leur sort et la non-reprise du championnat, il convient à tous les staffs et comités de se pencher sur la saison à venir.
Liège & Basketball a fait le point avec Michael Neureuther, le Président d’Andenne. « Les coach Maxence Gillet (R1) et Pierre-Philippe Baeken (P1 et et également assistant R1) son reconduits pour la saison 2021-2022 » nous informe le boss des Oursons. « Pour la R1, Greg Bertholet envisage de stopper sa belle carrière et nous confirmera prochainement sa décision. Thibaut Carême est également en réflexion. Tous les autres joueurs repartent pour un tour. En P1, la majorité des joueurs ont également donné leur accord. Par ailleurs, le club alignera toujours deux équipes en deuxième provinciales qui seront, elles, coachées par Bastien Maquet et Gilles Vanoverschelde. »
A Andenne, les Dames ne sont pas oubliées, loin de là. « Le coach de la P1 Dames, Johan Gillain, a décidé de prendre du recul et ne rempilera pas » nous précise Mike Neureuther. « Le club en profite pour le remercier pour le travail accompli à Andenne et lui souhaite le meilleur pour la suite. Les joueuses du noyau P1 vont être contactées dans les prochains jours afin de connaitre leurs intentions. »
Contre Boulazac, lanterne rouge du classement, le BCM n’a pas failli et remporté un franc succès grâce à une excellente seconde période.
Mission réussie pour Serge Crevecoeur qui a vu ses troupes livrer une très bonne seconde période (52-35) pour s’imposer contre la lanterne rouge Boulazac, 100 à 84.
Boukichou (6 points, 2 rebonds et autant de passes) prennent un peu d’air avec le fond du classement où six équipes comptent trois succès – pour quatre aux Nordistes.
En verve dimanche contre Liège, Ajay Mitchell revient sur la belle prestation et le début de saison des Limbourgeois et évoque le prochain déplacement au Country Hall.
A vrai dire, j’approche chaque match de la même manière. C’est vrai que j’ai joué à Liège étant plus jeune, donc c’est toujours cool de rejouer contre d’anciens joueurs que je connais, mais je suis animé de la même motivation pour toutes les rencontres.
Comment juges-tu le début de saison réalisé par Limburg ?
Notre début de saison est plutôt bien. Les deux premiers matchs furent compliqués pour nous mais maintenant nous nous sentons bien et ne retenons que le positif, jusqu’ici.
Vendredi prochain, vous irez au Country Hall pour y défier à nouveau Liège. Que devrez-vous reproduire pour remporter une seconde fois ce presque derby ?
Je pense que Liège va vouloir réagir, nous allons donc devoir aborder ce match encore plus sérieusement que dimanche dernier et ne pas laisser les Principautaires se mettre en confiance.
Après treize saisons à Spa, Antoine Massart avait pris la direction de Pepinster pour y devenir l’assistant de Pascal Horrion.
« Voici treize saisons que je suis à Spa et j’ai besoin d’un nouveau challenge »nous confiait Antoine Massart en février. Le coach des Bobelins allait prendre, à l’issue d’une saison tronquée par le Covid, la direction de Pepinster pour y devenir l’assistant de Pascal Horrion. « Je veux continuer à progresser comme coach et avoir des mecs qui en veulent un minimum, qui sont présents aux entrainements et ont envie d’évoluer » nous précisait-t-il.
Le job de T2 de Pascal Horrion à Pepinster rencontrait parfaitement les aspirations du Bobelin. « C’est idéal pour continuer mon apprentissage. On trouve difficilement mieux que Pascal Horrion à ce niveau-là » assurait Antoine qui, malheureusement, a vu sa nouvelle aventure au Hall Jean Simon être singulièrement contrariée par la seconde vague de ce fichu virus.
Cette fois, il y avait dix classes d’écart entre le sublime Joker et le pivot français complètement incapable de stopper son adversaire direct qui lui a collé 47 points dans les gencives sans forcer.
Mi-janvier, Nikola Jokic avait dévoré tout cru Rudy Gobert, pourtant bien mieux payé que le Serbe. Avec 35 points (à 14 sur 23 dont 4 sur 6 à trois points et 100% aux lancers), 14 rebonds, 9 passes et 1 contre, Jokic avait au four et au moulin face à un Gobert très moyen (15 points à 7 sur 13 aux lancers et 13 rebonds).
Si la différence de « classe » avait sauté aux yeux de tous les observateurs, que dire du contraste de cette nuit. Dans la belle victoire des Nuggets 128-117 contre Utah, Jokic semblait faire de Gobert sa marionnette et évoluer à des années lumières du pivot tricolore. 47 points, 11 rebonds, 5 passes, 1 steals et 1 contres pour Jokic, 12 points, 8 rebonds et 1 contres pour Gobert: la stats sont parlantes. Mais l’impression visuelle était encore plus cruelle pour le pivot français totalement à la rue face à son opposant direct.
Si Gobert est certainement un bon pivot défensif en second rideau, c’est souvent bien différent lorsqu’il doit contenir des pivots techniques et talentueux. De quoi sérieusement se poser des questions sur le réel niveau défensif de l’intérieur du Jazz atteint de melonite aigue. Jokic, lui, ne fait pas dans l’esbrouffe et continue de détruire tous ses adversaires.
Contre Indiana, la zone de Doc Rivers a permis une une belle remontada des Sixers.
Longtemps interdite en NBA, la zone est désormais autorisée mais peu pratiquée. Toutefois, cette nuit, c’est grâce à cette défense chère au Haut-Pré que Philly a réussi une superbe remontada pour s’imposer 110-119 à Indiana.